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mizuko
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mizuko
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Posté le: Lun Mai 13, 2013 2:54 pm Sujet du message: |
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[本家より]
それから、来シーズン 2013-2014 シーズンについても発表されています。 ベラルビ版 『美女と野獣』... じゃなくて、『野獣と美女』 か (?) での幕明けです! ちなみに、2005年にモントリオールのレ・グラン・バレエ・カナディアンが初演したものです。
24-29 octobre : La Bête et la Belle (Kader Belarbi / Louis-Claude Daquin, Franz Josef Haydn, György Ligeti, Maurice Ravel)
28 novembre-1er décembre : Dans les pas de Noureev
- La Bayadère, acte des Ombres
- La Belle au bois dormant, pas de deux, acte III
- Roméo et Juliette, scène d'amour, acte I
- Le Lac des cygnes, pas de trois du Cygne noir
- Don Quichotte, acte III
30 janvier-2 février : Bach Suites
- Bach Suite III (Francine Lancelot, Kader Belarbi)
- A Million Kisses to my Skin (David Dawson)
- Grossland (Maguy Marin)
10-13 avril : Pâques russes
- Chopiniana
- Le Fils prodigue
- Paquita, Grand pas
18-22 juin : Valser (Catherine Berbessou / Jean-Sébastien Bach, les maîtres-tambours du Burundi, Dario Moreno, Giù per la mala via (louange anonyme du XVe siècle) et divers compositeurs de tangos)
http://www.theatreducapitole.fr/1/saison-2013-2014/saison-2013-2014-1255.html
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mizuko
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Posté le: Lun Mai 13, 2013 2:55 pm Sujet du message: |
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ちなみに 本家・JMJ さんによると、来シーズンにはダンサーの顔ぶれがかなり変わることが予想されるそうです。 退団予定者も何人もいて、その中には、ガエラ・プジョルもいるとか。
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mizuko
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mizuko
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Posté le: Lun Mai 13, 2013 2:57 pm Sujet du message: |
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[本家より]
お待たせしました。 いよいよ5月16日に初演を迎えるベラルビ版 『海賊』 の公演概要です。 なんと、ベジャール・バレエのカテリーナ・シャルキナがゲスト出演することになってるそうですよー! 公式 Twitter / facebook で告知されてます。
LE CORSAIRE
Ballet en deux actes
Argument de Kader Belarbi. Inspiré du poème de Lord Byron The Corsair (1814)
Création du ballet original dans la chorégraphie de Joseph Mazilier par le Ballet du Théâtre impérial de l’Opéra de Paris le 23 janvier 1856
Musique : Adolphe Adam, Anton Arenski, David Coleman, Edouard Lalo, Jules Massenet, Jean Sibelius
Chorégraphie : Kader Belarbi
Décors : Sylvie Olivé
Costumes : Olivier Bériot
Lumières : Marion Hewlett
Ballet du Capitole
Orchestre national du Capitole
David Coleman, Direction musicale
Théâtre du Capitole
16, 17*, 18* mai 2013 à 20h
18, 19 mai à 15h
* 2e distribution
Répétition générale : 15 mai à 20h
Durée : 1h50 - Tarifs : 8 € à 50 €
RESERVATIONS
www.theatre-du-capitole.fr
+33 (0)5 61 63 13 13
Citation: |
Kader Belarbi, directeur de la danse au Théâtre du Capitole et chorégraphe crée un grand ballet académique et épique aux parfums orientalistes pour le Ballet du Capitole : Le Corsaire.
Une nouvelle version française du Corsaire
Après La Reine morte la saison dernière, Kader Belarbi imagine un nouveau ballet narratif pour sa compagnie, s’inspirant cette fois-ci du célèbre poème de Lord Byron, The Corsair.
Le grand succès rencontré par ce dernier dès sa publication en 1814, contribua à alimenter pendant tout le XIXe siècle le goût des artistes et du public pour l’exotisme. En 1856, le chorégraphe français Joseph Mazilier crée un grand ballet académique à l’Académie Impériale de Musique de Paris, Le Corsaire. Depuis, Le Corsaire n’a jamais été reprogrammé en France dans une version française.
Conscient que la préservation du répertoire n’est vraiment efficace que si l’on adapte ces œuvres au monde d’aujourd’hui, Kader Belarbi a souhaité créer, avec le Ballet du Capitole, sa propre lecture d’une œuvre aux racines orientalistes. Réorganisant la cohérence narrative du poème initial, il crée un grand ballet épique, académique. Sa chorégraphie joue sur la virtuosité des ensembles et des variations solistes, l’esprit du ballet romantique et ses entrelacs, les péripéties de l’action et l’exotisme des divertissements.
Une nouvelle partition pour Le Corsaire
Prenant comme point de départ la trame musicale d’Adolphe Adam qui a largement contribué à la partition originale du Corsaire, Kader Belarbi choisit également des œuvres d’Anton Arenski, Edouard Lalo, Massenet et Jean Sibelius pour créer un canevas musical de deux heures. C’est au chef d’orchestre et compositeur anglais David Coleman, à qui l’on doit de nombreuses réorchestrations des grands ballets du XIXe siècle, qu’il confie l’écriture d’une nouvelle partition à partir de ce canevas.
L’histoire
Au royaume d’un sultan qui règne en redoutable maître dans un palais fortifié. Le Corsaire, hors-la-loi sur la route des océans, descend un jour à terre. Sur la place du marché où a lieu la mise aux enchères de nouvelles esclaves, un amour réciproque naît, dès la première rencontre, avec la plus belle d’entre elles. Malheureusement, la bourse remplie d’or du Sultan convainc un riche marchand de lui céder son plus beau joyau. Sa Favorite est alors folle de jalousie d’être ainsi mise en péril par cette nouvelle venue. Le Corsaire, lui, se retrouve impuissant, mais décide d’agir vite et de la faire évader. Grâce à la complicité de la perfide Favorite, il réussit à pénétrer dans le palais. Cependant la Favorite, comprenant l’amour qu’éprouve le Sultan pour sa nouvelle «acquisition», les trahit en faisant découvrir à son maître les secrètes amours de la belle Esclave et du Corsaire. S’ensuivent de nombreuses péripéties avant que le sultan ne livre les deux amants aux caprices de la mer et de leur destin.
ENTRETIEN AVEC KADER BELARBI
Le Corsaire est un long ballet du répertoire classique, créé au XIXe siècle. Pourquoi avoir eu envie d'en donner votre propre version?
Du Corsaire, on connaît surtout le Pas de deux, souvent programmé dans les galas de danse et mis aux épreuves des grands concours. Les plus grands danseurs l’ont à leur répertoire, mais l’interprétation de Margot Fonteyn et Rudolf Noureev a tout spécialement marqué les esprits. J’ai eu l’occasion de voir la version intégrale du ballet par le Bolchoï et l’American Ballet Theatre et, à chaque fois, j’ai eu le sentiment d’une histoire confuse sur un agencement musical souvent disparate et inégal. De là, le souhait d’éclaircir le propos et de rendre homogène une nouvelle partition musicale. Je me suis détaché du poème de Lord Byron de 1814 pour écrire un nouveau livret en deux parties. Le désir premier est d’aspirer à la création d’un grand ballet académique, épique, aux parfums orientalistes sans tomber dans les clichés. Je crois à la tradition renouvelée en évitant l’ambition d’être original pour s’efforcer d’être simple et authentique. J’ai eu envie de faire appel à des artistes venant d’univers comme le cinéma pour créer, en quelque sorte, un ballet cinématographique. En tant que directeur de la danse, c’est aussi la volonté de s’emparer d’un grand ballet classique et de le créer en correspondance avec les danseurs du Ballet du Capitole afin qu’il devienne leur signature.
Selon vous, que peut apporter la relecture de grands classiques du répertoire ?
Il est toujours question d’inscription, d’interprétation et de transmission ; c’est en somme la tradition qui se perpétue. Ensuite, libre à chacun de lier et de délier les choses. Rien ne se perd et tout se transforme selon le regard et le désir. Je pense qu’il ne suffit pas de répéter mais d’innover pour trouver un autre sens. Il me paraît capital de respecter les ouvrages du passé mais ils correspondent à leur contexte de création. Ce que je fais avec ce nouveau Corsaire, c’est l’inscrire dans notre époque. D’ailleurs, Le Corsaire a été créé par le Ballet de l’Académie Impériale de Musique de Paris, le 23 janvier 1856, dans une chorégraphie de Joseph Mazilier, et depuis cette date, il n’est jamais réapparu dans une version française.
Quelle sera la musique de ce ballet ? Aurez-vous recours à la partition d'origine, à laquelle Adam et Delibes ont largement contribué?
A partir des diverses partitions existantes, j’ai souhaité conserver la trame musicale de Adolphe Adam et j’ai procédé à des ajouts musicaux pour créer une dramaturgie musicale. Après une recherche personnelle de
plusieurs mois et la réalisation d’une première ébauche musicale reliant la dramaturgie et la danse, j’ai immédiatement pensé à David Coleman qui est, certes, un grand chef d’orchestre mais qui a intégré aussi la notion du ballet dans ses gestes. D’ailleurs, vous pouvez lui demander d’exécuter sans difficulté un pas de danse. C’est un apport indiscutable pour pouvoir converser sur la création d’un ballet. Suite à de nombreuses rencontres, il est intervenu harmonieusement sur mon canevas musical d’environ deux heures, en créant de nouvelles parties musicales, en enrichissant certains arrangements, en restituant des tonalités pour certaines transitions et en jouant de leitmotive musicaux qui font apparaître des résonances sur l’ensemble. Au final, il a été surtout question pour nous de créer une nouvelle partition du Corsaire, homogène et fluide.
(Propos recueillis par Carole Teulet)
ENTRETIEN AVEC DAVID COLEMAN
Le directeur musical d’un spectacle de ballet dirige en permanence deux partitions, l’une est musicale, l’autre chorégraphique. Quel équilibre instaurez-vous entre les deux?
L’équilibre entre musique et chorégraphie est complexe. Mais je peux vous
donner mon opinion nourrie à ce jour par une expérience longue de nombreuses années en tant que directeur musical accompagnant de grandes compagnies. Habituellement, je commence par apprendre la chorégraphie dans un studio après avoir mémorisé la musique. Bien entendu, lorsqu’il s’agit d’un répertoire connu, que j’ai déjà dirigé dans de nombreuses productions, je m'intéresse plutôt, lors des répétitions, au contexte dramatique. Quand il s'agit d’œuvres nouvelles, une collaboration étroite entre le chorégraphe et le directeur musical est la source des meilleurs résultats. Je pense que votre question fait référence aussi au cadre de la représentation. La préparation très complète de l’oeuvre que j’évoque ci-dessus me permet ensuite de donner une impulsion dramatique à l’oeuvre pendant le spectacle, tout en tenant compte de la personnalité des interprètes et de leurs capacités physiques, bien sûr. Chaque représentation est différente et je me considère autant responsable de la musique que des danseurs, tout en respectant l’inspiration du chorégraphe.
Avez-vous déjà dirigé la version du Corsaire de Mazilier et Petipa?
Oui, mais le plus souvent seulement le célèbre Pas de deux. L’ouverture du solo du Corsaire me rappelle Noureev surgissant sur scène pour le danser.
Diriger une nouvelle chorégraphie vous oblige également à l’apprendre au même titre que les danseurs?
Je considère qu’il est essentiel de connaître la chorégraphie avant de diriger une nouvelle œuvre, afin que mon interprétation de la musique lui soit appropriée. De plus la production et les décors deviennent des aspects importants au fur et à mesure que l’œuvre se crée et, de ce fait, un ensemble de connaissances historiques se rapportant au sujet du ballet me permet de préparer l’œuvre pour l'aborder dans toute sa complexité.
Adolphe Adam est le compositeur le plus représenté parmi ceux choisis pour la musique de ce spectacle, mais il n’est pas le seul. Vous-même avez participé à l’écriture d'une nouvelle partition du Corsaire. Quelle est votre contribution et comment ce patchwork musical est-il né?
Ma contribution a avant tout consisté à déchiffrer la partition d'origine, recueillir les idées de Kader Belarbi pour ce ballet, d'en discuter avec lui et enfin de produire une partition susceptible d'être le fil dramatique du spectacle. Au cours du processus de réécriture, j’ai entre autres modifié l’instrumentation originale et aussi composé de nouveaux morceaux. En pratique, cela revient à écrire une nouvelle partition. Certains des morceaux reposent sur des motifs qui existent déjà, d’autres sont des compositions nouvelles ajoutées là où il n’y avait pas de musique adéquate. Dans d‘autres cas, j'utilise la musique originale. Toutes ces décisions artistiques sont nées de discussions avec Kader Belarbi avant que mon travail ne commence. Il était de ma responsabilité de créer une partition pouvant donner vie à toutes nos idées. Kader Belarbi a fait la même chose avec la chorégraphie et la mise en scène. Nous avons éveloppé une formidable complicité d’esprit sur ces différents aspects du spectacle, la tâche s'est montrée exaltante et enrichissante.
(Propos recueillis par Robert Pénavayre) |
AUTOUR DU CORSAIRE
Carnet de danse :
Démonstrations-débats commentées et illustrées par des artistes participant aux spectacles du Ballet du Capitole.
Théâtre du Capitole
Samedi 11 mai à 18h
Entrée libre - Durée : 1h - A partir de 10 ans
Danse à la Cinémathèque
Cycle de films en écho à la saison du Ballet du Capitole.
En partenariat avec la Cinémathèque de Toulouse
Le Pirate, comédie musicale de Vincente Minelli
Cinémathèque de Toulouse
Dimanche 12 mai à 16h
Tarifs : 6,50 € / 3 € (- 18 ans) - Durée : 1h45
www.lacinemathequedetoulouse.com - 05 62 30 30 10
Conférence
Danser l’Orient
Martine Kahane, directrice honoraire du Centre national du costume de scène.
Théâtre du Capitole
Lundi 13 mai 18h
Entrée libre
Lecture
Interprètes tout autant que lecteurs, des artistes se saisissent d’un texte littéraire ou documentaire en résonance avec l’univers d’un spectacle ou d’un chorégraphe. Florilège de textes orientalistes, lu par la comédienne Anne Brochet.
Théâtre du Capitole
Vendredi 17 mai à 17h
Entrée libre – à partir de 12 ans
Durée : 1h
Démonstration du Ballet du Capitole
Lors de cette démonstration commentée par des artistes du Ballet du Capitole, des extraits du Corsaire illustrent la relation entre danse et musique.
Centre culturel Alban-Minville
Jeudi 23 mai à 15h (scolaires)
et 18h (tout public)
A partir de 8 ans - Durée : 1h
Réservations auprès du centre culturel
Exposition
«Une journée avec le Ballet du Capitole»
Photographies de David Herrero retraçant le quotidien d’un danseur du Ballet du Capitole et entraînent le spectateur dans les coulisses de la scène.
Centre culturel Alban Minville
Du 6 au 31 mai
Entrée libre - Durée : 1h
Atelier «Quel est ton corsaire aujourd’hui?»
La nouvelle production du Corsaire est au centre de travaux plastiques et graphiques accompagnés par des plasticiens dans le cadre du Passeport pour l’art et des activités proposées par les centres de loisirs de la Ville de Toulouse.
Du 15 février au 15 mai
De 9 à 12 ans
Infos et illustrations : service de presse du Capitole de Toulouse
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mizuko
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mizuko
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Posté le: Sam Mai 25, 2013 4:10 pm Sujet du message: |
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[本家より]
ベラルビ版の 『海賊』 は撮影があったんですが、全編 Arte Live Web で公開されとります! 期間限定で3ヶ月ほどですので、お早めに~。
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