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La danse au cinéma : Sorties de films
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sophia



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MessagePosté le: Mer Oct 12, 2016 6:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La bande-annonce de L'Age d'or (1er épisode de la web-série de la saison 2016-17 Bolchoï/Pathé Live) de Youri Grigorovitch, à retrouver en direct sur les écrans dimanche prochain.

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haydn
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MessagePosté le: Jeu Oct 13, 2016 8:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

Avant le direct de l'Age d'or au cinéma dimanche 16 octobre 2016, nous avons voulu en savoir un peu plus sur la préparation d'une telle retransmission. Nous sommes donc allés à la rencontre de Vincent Bataillon, juste avant son départ pour Moscou. Il a confié à notre correspondante les "petits secrets" de ces désormais traditionnels rendez-vous cinématographiques et chorégraphiques. Avec un petit "scoop" : L'Age d'or paraîtra en DVD!




    05 octobre 2016 : Vincent Bataillon, réalisateur - Le Bolchoï, derrière la caméra

      Ma collaboration avec le Bolchoï a débuté en réalité avant Pathé Live. C'était en 2003 et François Duplat, le producteur de Bel Air Media, faisait son premier grand ballet avec le Bolchoï : La Fille du Pharaon. Il m'avait demandé d'être directeur photo sur cette production. Ce ballet a été ma première rencontre avec le Bolchoï et ce fut un choc. J'avais rarement vu une compagnie de danse de ce niveau-là. Par la suite, je suis devenu réalisateur. Le premier film que j'ai réalisé, c'était Bolt, d'Alexei Ratmansky. Tout de suite après, on a fait Flammes de Paris, qui était la première retransmission en direct réalisée avec Pathé Live. A l'époque, ça s'appelait Cielécran et on ne prévoyait pas encore de faire quelque chose de régulier. C'est à partir de 2010 qu'on a proposé cinq directs par an. Nous entamons donc notre sixième saison.

      --> Lire la suite



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haydn
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MessagePosté le: Sam Oct 15, 2016 10:37 am    Sujet du message: Répondre en citant

A ne pas manquer : notre dossier sur l'Age d'or (Youri Grigorovitch), repris cette année au Bolchoï et retransmis en direct au cinéma le 16 octobre 2016 à 17h00 :




Dossier / interviews : l'Age d'Or au Bolchoï et au Cinéma



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sophia



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MessagePosté le: Lun Oct 17, 2016 11:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

L'Age d'or n'est sans doute pas, en soi, un ballet majeur de Grigorovitch, surtout si on le confronte à La Légende d'amour, remonté au Bolchoï en 2014. Si l'on se souvient, c'était d'ailleurs L'Age d'or qui devait être alors repris, et le projet a traîné, en raison, semble-t-il, de l'indécision du chorégraphe. C'est en revanche un ballet étonnant, drôle, inattendu dans ses références et ses résonances musicales, et beaucoup plus aimable plus que les images, aux coloris pas forcément flatteurs, des décors néo-constructivistes de Simon Virsaladze ne le laissent présager. Il faut vraiment le regarder comme une pochade, comme une pure comédie musicale à l'ancienne, un West Side Story à la soviét, avec des personnages hautement stéréotypés et des scènes de danse, entrecoupées de pas de deux, à n'en plus finir, déclinant le vocabulaire aussi réduit qu'efficace du maître. L'histoire, d'une simplicité enfantine, voit se croiser et s'affronter, dans une ambiance de cabaret, un couple romantique - Rita (Nina Kaptsova) et Boris (Rouslan Skvortsov) - et un couple fatal - la vamp Lyuska (Ekaterina Kryssanova) et le bandit Yashka (Mikhail Loboukhine). A ce quatuor il faut ajouter le personnage du Compère (Viacheslav Lopatine), maître de cérémonie quelque part entre le bouffon du ballet classique et la figure décadente d'un cabaret berlinois. Autant dire que la coloration politique originelle de l’œuvre est ici très affadie, anecdotique à tout le moins - un simple décor, prétexte à quelques ensembles, pas les plus mémorables du ballet du reste, rappelant les cérémonies sportives de feu l'URSS. Rien de monumental pourtant dans ce ballet, à l'atmosphère presque intimiste (autant que Grigorovitch puisse l'être), qui tient plutôt du pastiche, voire de l'auto-pastiche, permanent. Intéressant - et judicieux - d'ailleurs qu'on ait choisi de remonter ce ballet sur la nouvelle scène et non sur la scène historique. C'est à mon sens un écrin plus favorable aux scènes de music-hall qui viennent épicer cette trame des plus classique et en constituent in fine l'intérêt principal.

Les danseurs du Bolchoï sont là dans leur élément, plus flamboyants que jamais, excellant dans tous les registres, y compris, et surtout, dans celui, inédit, du jazz et du music-hall. Chacun est aussi, comme toujours, parfaitement à sa place. Rouslan Skvortsov, pas vu depuis longtemps (il fut un temps où il assurait toutes les retransmissions ou presque), est apparu très à l'aise en héros soviétique - d'une virilité toujours un peu sur la réserve -, Nina Kaptsova est parfaite dans le lyrisme et la délicatesse, mais le couple manque en revanche un tantinet d'alchimie, malgré des portés aussi impressionnants qu'impeccablement maîtrisés. Ils sont peut-être aussi un peu éclipsés par les personnalités ravageuses et cocasses de Ekaterina Krysanova, plus prima que jamais dans ce rôle de femme fatale (qui prolonge bien son travail dans La Mégère apprivoisée), et Mikhail Loboukhine, à la plastique puissante et féline, qui s'affirme magnifiquement dans les grands rôles sombres grigorovitchiens - presque de caractère -, qui l'ont conduit du Mariinsky au Bolchoï.


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Bernard45



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MessagePosté le: Lun Oct 17, 2016 5:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tout à fait d'accord avec Sophia.
Il serait intéressant de voir Krysanova dans le rôle de Rita. Mon sentiment, c'est qu'on aurait une tout autre Rita que celle de Kaptsova, très (trop ?) romantique sur les écrans.

Je dois dire que je me suis un peu ennuyé sur le premier acte, avant le très beau et très long pas de deux sur un concerto pour piano, je pense, qui termine l'acte.

Après, ce fut merveilleux, avec de très nombreux portés acrobatiques (Grigo n'a pas lésiné sur le nombre) sans l'ombre d'une hésitation, d'un tremblement, et le "numéro" de Krysanova.


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haydn
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MessagePosté le: Lun Oct 17, 2016 6:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les critiques exprimées à l'endroit de l'Age d'or par la presse française lorsque l'ouvrage fut présenté par le Bolchoï à Paris en tournée en septembre-octobre 1986 ne sont pas toutes injustifiées. Si la scénographie, contestée à l'époque, de Simon Virsaladzé, a me semble-t-il plutôt bien résisté à l'épreuve du temps, la chorégraphie, elle, pose tout de même quelques problèmes. En fait, l'ouvrage est - et cela avait été souligné par certains critiques - plombé par la réécriture du livret par Youri Grigorovitch et Isaak Glikman. Il ne reste strictement plus rien de l'extravagant manifeste bolchevique d'origine - craignait-on qu'il ne soit plus compris par le public de la fin du vingtième siècle, même dans l'Union Soviétique alors agonisante? C'est dommage, car il y aurait eu au moins l'intérêt suscité par une curiosité historique. Curiosité d'autant plus intéressante que L'Age d'or est, en 1930, le premier des ballets "politiques" de Chostakovitch (Le Boulon et Le Clair ruisseau suivront respectivement en 1931 et en 1935), et qu'il est créé peu de temps après l'accession au pouvoir de Staline. Les relations entre le compositeur et le dictateur seront d'ailleurs toujours un intrigant mélange d'admiration et de défiance réciproques. Dans L'Age d'or, Chostakovitch expérimente les mêmes recettes que plus tard dans le Le Boulon et Le Clair ruisseau : un livret si extravagant qu'on ne peut décemment pas le prendre au premier degré, et une partition aux allures de collage, qui n'hésite pas à intégrer des musiques "bourgeoises" venues d'Occident (jazz, danses de salon américaines), même si officiellement c'est pour "la bonne cause" (dépeindre en sons l'"ennemi capitaliste"). Lard ou cochon, Staline, lui, a sans doute parfaitement compris les vraies intentions de Chostakovitch, et les trois ballets connaîtront le même sort : l'interdiction au bout de quelques représentations.

Chostakovitch aurait-il voulu "tester" le camarade Djougachvili, pour savoir jusqu'où il pouvait aller? Ou partait-il d'emblée du principe que la censure n'allait pas tarder à sévir, et qu'en tout état de cause, si quelques représentations avaient lieu avant que le couperait ne tombe, ce serait déjà une victoire? En l'absence de témoignage explicite du compositeur à ce sujet, on ne peut que spéculer, mais toujours est-il que dans ses rapports avec Staline, Chostakovitch n'a eu de cesse de jouer avec le feu, sans fort heureusement jamais se brûler vraiment.

Dans la version Grigorovitch / Glikman, toute cette ironie "sur le fil du rasoir" est irrémédiablement perdue, et L'Age d'or se transforme en une bluette qui manque un peu de saveur, et s'apparente, peu ou prou, pour reprendre les mots de Sophia, à un "West-Side Story" à la sauce soviétique.

Les personnages et les stéréotypes peuvent d'ailleurs être mis en équivalence quasi-parfaite :

Rita = Maria
Boris = Tony
Yashka = Riff + Bernardo
Lyuska = Anita

Les deux grands pas de deux (on dirait presque du Neumeier) ajoutés par Grigorovitch pour le couple d'amoureux Rita/Boris contribuent à édulcorer un peu plus encore cet Age d'or, d'autant que la musique ajoutée à ces nouveaux numéros n'est pas du meilleur Chostakovitch (les mouvements lents des concerti pour piano en ut mineur et en fa majeur sont écrits dans un style néo-romantique passablement mièvre). L'introduction des célèbres variations sur Tea for two est, elle, davantage réussie et permet à une scène d'ensemble bien construite de se développer dans le cabaret à l'enseigne de L'Age d'or.

La distribution était, à mon sens, assez largement dominée par la Lyuska flamboyante d'Ekaterina Krysanova. C'est elle qui a finalement hérité du rôle le plus intéressant, même si hiérarchiquement, dans L'Age d'or, la Prima Ballerina est Rita, la "gentille". Lyuska, qui correspond plus ou moins à la sulfureuse "Diva" fasciste du livret originel, permet à Ekaterina Krysanova de composer un personnage flamboyant, et de faire montre de beaucoup d'abattage. C'est elle, finalement qui donne un réel intérêt à l'ouvrage et retient toute l'attention.

Nina Kaptsova, face à la tornade Krysanova, paraît un peu affadie, mais sa danse n'est pas forcément en cause. Ce qui la plombe, c'est le rôle de jeune amoureuse, sans grande profondeur, qui lui est dévolu. Apparemment, le choix de l'interprète aurait été motivé par une supposée ressemblance physique avec Natalia Bessmertnova, mais c'est une antienne qu'on nous ressort pour quasiment chaque ballet de Grigorovitch. Toujours est-il que ses allures de délicieux angelot baroque ne font que renforcer le déséquilibre avec Ekaterina Krysanova.

Chez les interprètes masculins, on retrouve un peu le même problème. Le Boris de Rouslan Skvortsov a certes des relents de héros soviétique, mais un héros auquel on a sérieusement coupé les ailes, et dont le rôle a lui aussi été dissout dans un néo-romantisme un peu bêta. Et comme chez ces dames, ce sont ceux qui se sont vu attribuer les rôles de méchant ou de composition, Mikhail Lobukkin (Yashka, le chef de bande) et Viacheslav Lopatin, l'imprésario, qui tirent le mieux leur épingle du jeu.

Le corps de ballet était pour sa part excellent, avec une unité de mouvement et un sens du show (ah, les danseuses de cabaret aux jambes interminables) impressionnants.



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marc



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MessagePosté le: Lun Oct 17, 2016 11:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai été enchanté par mon après midi de dimanche au cinéma devant "l'âge d'or". Tout était réuni pour un ballet populaire, joyeux et entraînant. La musique de Chostakovitch n'est peut être pas la plus profonde qui soit mais elle est inventive et fait se télescoper les styles. Les 4 rôles principaux étaient parfaitement tenus et présentaient une complémentarité de genre bien affirmée : les deux garçons étaient trés masculins quand les deux jeunes femmes étaient très féminines, (ce n'est pas toujours si marqué en danse), et cela donnaît au ballet un relief qui était en parfaite adéquation avec le livret. J'accorde une palme particulière au couple formé par Nina Kaptsova et Ruslan Skvortsov que j'ai trouvé charismatique et touchant comme un couple de cinéma. D'ailleurs, leur grand pas de deux qui clôturait l'acte I, magnifié par toute la puissance technique émotionnelle du cinéma, m'est apparu d'une beauté renversante.

J'ai été stupéfait par le "Tea for two" qui ouvrait le deuxième acte. En Russie soviétique des années vingt, un tube de comédie musicale des années vingt, mais comment était-ce possible ? Quelques recherches sur internet m'ont donné la solution. Quand on tape "Tea for two", le Wikipedia anglais nous apprend : "In October 1927, the conductor Nikolai Malko challenged Dmitri Shostakovich to do an arrangement of the song after the two listened to it on record at Malko's house. Malko bet 100 roubles that Shostakovich could not completely re-orchestrate it from memory in under an hour. Shostakovich took him up and won, completing it in around 45 minutes. His "Tea for Two" arrangement, Opus 16, was first performed on 25 November 1928. It was incorporated into Tahiti Trot from his ballet The Golden Age first performed in 1929."

Enfin, j'ai été scotché, bluffé, émerveillé par la virtuosité technique ébouriffante de toute la compagnie.

Avec un pareil ballet, le Bolchoï peut partir à la conquète du monde, il fera un tabac populaire à travers toute la planète !


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haydn
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MessagePosté le: Mar Oct 18, 2016 12:16 am    Sujet du message: Répondre en citant

C'était un peu un pari fait sur le coin d'une table de bistrot. Et avant l'arrivée au pouvoir de Staline, en 1929, il y a eu, en Union Soviétique, de nombreuses expérimentations assez innovantes et radicales en manière artistique. C'est le Petit père des peuples qui s'est chargé de mettre tout le monde au pas et de promouvoir le "réalisme socialiste", seule forme d'expression artistique que le peuple était, selon lui, à même de comprendre.

Nikolaï Malko avait été le premier des trois grands chefs qui ont créé l’œuvre symphonique de Chostakovitch. Malko a créé les 2 premières, avant de partir pour le Danemark (après quelques années passées aux USA en exil, il devint le chef principal de l'orchestre de la Radio du Danemark, à Copenhague). Mravinsky a créé les n° 5, 6, 8, 9, 10 et 12, Kondrachine la n°4 (composée en 1936 mais interdite par Staline, la première exécution n'eut lieu qu'en 1961) et la n°13. Les autres ont été crées respectivement par Alexandre Gauk (n°3), Samuil Samosud (n°7), Natan Rakhlin (n°11), Rudolf Barshaï (n°14) et Maxim Chostakovitch, le fils du compositeur (n°15).

Petite sélection d'enregistrements de Nikolaï Malko qu'on peut pêcher sur Y (tous dans le domaine public) :



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marc



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MessagePosté le: Mar Oct 18, 2016 6:44 am    Sujet du message: Répondre en citant

Merci pour ces explications, Haydn.


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sophia



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MessagePosté le: Jeu Oct 20, 2016 5:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le cycle Chostakovitch se poursuit au Bolchoï avec la rediffusion le 6 novembre du Clair Ruisseau, génial ballet d'Alexei Ratmansky, filmé en 2012, avec - déjà - Mikhail Loboukhine, Rouslan Skvortsov, mais aussi Svetlana Lunkina, Maria Alexandrova....





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Delph'



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MessagePosté le: Mer Oct 26, 2016 11:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne suis jamais allée voir une représentation au cinéma. Je suis bien tentée d'aller voir Le Clair Ruisseau. Quelqu'un peut-il m'indiquer où je peux trouver les salles qui retransmettent le ballet (à Paris)? Merci d'avance.


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Danseur en bleu



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MessagePosté le: Mer Oct 26, 2016 11:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Voici: http://www.pathelive.com/le-clair-ruisseau#map-anchor


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Delph'



Inscrit le: 21 Déc 2015
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MessagePosté le: Jeu Oct 27, 2016 3:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci danseur bleu!!


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paco



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MessagePosté le: Mar Nov 01, 2016 8:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour rappel, demain (2 novembre) retransmission cinéma de Anastasia du Royal Ballet (McMillan), avec Natalia Osipova et Federico Bonelli


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
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MessagePosté le: Dim Nov 06, 2016 11:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

Rappel : Le Clair ruisseau est retransmis cet après-midi à 16h. Une petite bande-annonce a été concoctée pour l'occasion, avec des interviews de Ekaterina Shipoulina et Rouslan Skvortsov.
La distribution est par là.

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