Le Temps d'aimer, Biarritz [11/09 - 20/09/2009]

[haydn]

Programme du festival Le temps d'aimer, comme chaque année en septembre à Biarritz. C'est Thierry Malandain, qui, depuis l'an passé, a repris les rennes de la manifestation.

En avant première, quelques photos aimablement envoyées par le service de presse de Biarritz-Culture

__________________

LE GUETTEUR
LUC PETTON & CIE
> Luc PETTON

La Confidence des Oiseaux
Une ouverture de festival dans un bruissement d’ailes avec un spectacle étonnant où danseurs et oiseaux évoluent de concert en toute liberté.

Vendredi 11 septembre – 19h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein: 28 €
Tarif réduit : 25 €
Tarif fidèle : 17 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €

Concept et chorégraphie : Luc Petton
Conseil artistique : Marilén Iglesias-Breuker
Danseurs : Marie-Laure Agrapart, Mélisande Carré-
Angeli, Aurore Castan-Aïn et Maxime Iannarelli
Musicien - Compositeur : Xavier Rosselle
Oiseleur capacitaire : Tristan Plot
Oiseleur : Julien Durdilly
Oiseaux : corneilles, étourneaux, perruches de
pennant, pies et geais.
Scénographie : Jean-Paul Céalis
Costumes : Raul Pajaro Gomez
Création et Régie lumière : Sylvie Vautrin
Régie plateau : Lydie Harmegnies

Durée : 1h



__________________

BALLET DE WIESBADEN
Das Auge Der Welt
(L’oeil du Monde)

Un triptyque sur l’irréalité pour inscrire, non sans humour, les images figurées que procure la musique, dans une danse libérée et enjouée.

Vendredi 11 septembre – 21h
Gare du Midi
Première Française
Tarif plein: 38 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif fidèle : 30 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Places numérotées

Chorégraphie : Stephan Thoss
Scène : Arne Walther, Stephan Thoss
Costume : Stephan Thoss
TOBENDE STILLE (Silence orageux)
Musique : Antonio Vilvadi et Alessandro Marcello
Durée : 30’
HEIM SUCHEN - (chercher le chez soi)
Musique : Philip Glass
Durée 27’
BOLERO
Musique : Max Raabe und das Palastorchester, Maurice Ravel
Scène : Arne Walther, Stephan Thoss
Costume : Stephan Thoss
Durée : 24’
Durée totale : 2h avec entractes





__________________

Compagnie EX NIHILO
Trajet de vie

Une danse du bitume et du vent sur des bancs publics. Une invitation à prêter un autre regard sur nos vies dans le flux de la ville.

Samedi 12 septembre – 10h
Place Clémenceau
Direction artistique : Anne Le Batard , Jean-Antoine Bigot
Distribution : Anne Le Batard, Jean-Antoine Bigot, Anne-Claude Goustiaux / Huges Pomiès, Corinne Pontana
Musique : Yves Miara
Gratuit
Durée : 2h



__________________

Compagnie GRIMALDI
Les Jardins des grenades

Archéologue de la danse, Christine Grimaldi, magnifie la danse de la Renaissance en lui confèrant une pertinence toute contemporaine.
Samedi 12 septembre – 19h
Colisée
Tarif unique : 12 €
Chorégraphe : Christine Grimaldi
Interprètes : Christine Grimaldi, Raphaëlle Duhamel, Muriel Turpin, Sylvie Daverat, Eric Laborie
Musiciens : Jodel Grasset-Saruwatari : luths, psaltérion, percussions, programmation ; Fanette Estrade: flûtes, cornemuse, dulciane,
chalumeau ; Pau Marcos: vièle à archet, viole de gambe
Lumières : Florent Blanchon
Son : Pascal Dupouy
Costumes: Inge Zorn Gauthier, Claude Iruretagoiena
Vidéaste : Camille Auburtin

Création

Résidence de Création à Garazikus (scène de Pays Baxe Nafaroa) suivie
de la présentation en avant première à Garazi / Saint-Jean Pied de Port.
Durée : 1h



__________________

DANSK DANSE TEATER
Kridt / Shadowland
(Danemark)

Une fascination pour les mots auquel le chorégraphe donne corps, avec son écriture puissante et physique, en rendant hommage aux poètes de la Beat Generation. Une énergie folle à l’image de la très dynamique scène scandinave.

Samedi 12 septembre – 21h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein: 28 €
Tarif réduit : 25 €
Tarif fidèle : 17 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Chorégraphie : Tim Rushton
KRIDT
Costumes : Charlotte Østergaard
Scénographie : Tim Rushton
Lumière : Tim Rushton & Anders Poll
Musique : Musica Adventus (1996) by Peteris Vasks
Durée : 28’
SHADOWLAND
Costume : Tim Rushton
Vidéo : Signe Krogh
Lumière : Mikael Sylvest
Musique : Une collection de paroles et de sons de la beat generation : Ken Nordine, Jack Kerouac, Lydia Lunch, Maggie Estep & The Splitters, Mark Sandman & Billy Conway, Morphine and Allen Ginsberg
Durée : 20’

Première Française
Durée totale : 1h05 avec entracte

[haydn]

VILCANOTA & CIE – BRUNO
PRADET
Pousse-toi !

Deux corps s’affrontent, se bousculent, s’effacent. Un duo sur le pouvoir et ses mécanismes pour une danse théâtralisée en prise avec la réalité et son absurdité.

Dimanche 13 septembre – 17h
Colisée
Tarif unique : 12 €
Conception : Bruno Pradet
Interprètes : Christophe Brombin et Bruno Pradet
Maître de Cérémonie : Samson Milcent
Musique : Nicolas Stimbre
Production : Vilcanota - Bruno Pradet & Cie

Durée : 45 minutes



__________________

GOTRA BALLET
5MB
(Pays-Bas)

Jeune garde de la féconde et ambitieuse scène néerlandaise, Gotra Ballet défend une danse expressive et sensible.

Dimanche 13 septembre – 19h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein: 28 €
Tarif réduit : 25 €
Tarif fidèle : 17 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Première française
Chorégraphie et concept : Joost Vrouenraets
Costumes : Jorine van Beek
Conception éclairage : Rob van Nieuw Amerongen
5 / Five
Musique : Marijn Simons
Scénographie : Mathieu Bruls
MB / Moon Boards
Musique : Giovanni Sollima
Scénographie : Erol Oztan

Durée : 1h15






__________________

BALLET ROYAL DE L’OPERA DE
SUEDE
Radis noir / Tableau perdu

Une danse qui fait voir la musique. Avec le grand Mats Ek, qui signe sa dernière création, au titre énigmatique, pour les danseurs de cette vénérable et prestigieuse troupe de Ballet.

Dimanche 13 septembre – 21h
Gare du Midi
Tarif plein : 38 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif fidèle : 30 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Places numérotées
Radis noir - Première française
Chorégraphie : Mats Ek
Assistante chorégraphique : Ana Laguna
Musique : Concerto pour violon en Ré Majeur de Johannes Brahms
Scénographie et costumes : Mylla Ek
Lumières : Erik Berglund
Tableau perdu
Chorégraphie et scénographie : Christian Spuck
Musique : Felix Mendelssohn, Symphonie n° 4
Costumes : Emma Ryott
Lumières : Reinhard Traub
Première française

Durée: 1h30 avec entracte





__________________

CIE HORS SÉRIE
> Hamid Ben Mahi
Faut qu’on parle !

Figure du hip hop, Hamid Ben Mahi tchatche et danse avec l’urgence de
réinscrire la danse dans une vie. Solo qui a créé l’évènement à Avignon.

Lundi 14 septembre – 19h
Colisée
Tarif unique : 12 €
Pass Passion : 16 €
Conception : Hamid Ben Mahi et Guy Alloucherie
Textes : Guy Alloucherie et Hamid Ben Mahi
Avec : Hamid Ben Mahi
Mise en scène : Guy Alloucherie
Chorégraphie : Hamid Ben Mahi
Dramaturgie et vidéo : Martine Cendre
Assistant et conseil artistique: Hassan Razak
Scénographie et lumière : Frantz Loustalot
Environnement sonore : Nicolas Barillot
Régie générale : Antoine Auger et Pierre Martigne

Durée : 1h



__________________

PNEUMA DANCE THEATER
> Mauro de Candia
Black Garden

Une danse sous forme d’allégories, incarnée par une compagnie qui signe le renouveau de la danse en Italie.

Lundi 14 septembre – 21h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein : 28 €
Tarif réduit : 25 €
Tarif fidèle : 17 €
Tarif découverte : €
Pass Passion : 16 €
Chorégraphie et régie : Mauro de Candia
Arrangement musical : Daniel Lett
Scénographie : Mauro de Candia
Costumes : Brigitte Koch
Lumières : Paco Toscano
Interprètes : Camelia Georgescu et Mauro de Candia
Première française

Durée : 1 heure

[haydn]

CCN DE LA ROCHELLE
POITOU CHARENTES
ACCRORAP
> Kader ATTOU
Petites Histoires.com

Chorégraphe ayant fait émerger une danse d'auteur hip hop, Kader Attou égrène ses souvenirs comme autant de saynètes tendres et burlesques qui racontent l'histoire sociale sensible de notre pays mosaïque.

Mardi 15 septembre – 19h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein : 28 €
Tarif réduit : 25 €
Tarif fidèle : 17 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Chorégraphie : Kader Attou
Interprètes : Hichem Serir Abdallah, Thô Anothai, Pierre Bolo, Brahim
Bouchelaghem, Kader Attou ou Sébastien Vela Lopez
Scénographie : Guillaume de Baudreuil
Création lumière : Fabrice Crouzet
Costumes: Nadia Genez
Collaboration théâtrale : Mohamed Guellati

Durée : 1h10



__________________

CORELLA BALLET
CASTILLA Y LEÓN
Bruch Violin Concerto n°1/Don Quichotte Grand Pas de
Deux/Clear/We got it good/In the upper room

Un programme entre Espagne et Amérique à l’image du fondateur un peu fou de cette compagnie classique, Angel Corella, star internationale et Etoile à l’American Ballet Theatre

Mardi 15 septembre – 21h
Gare du Midi
Tarif plein : 38 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif fidèle : 30 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Places numérotées
BRUCH VIOLIN CONCERTO N° 1
Chorégraphie: Clark Tippet
Musique: Max Bruch (Concerto no 1 en sol mineur pour violon, Op. 26 )
Costumes : Dain Marcus
Lumières: Jennifer Tipton
Répetiteur: David Richardson
DON QUICHOTTE GRAND PAS DE DEUX
Chorégraphie : Marius Petipa ET Alexander Gorsky
Musique : Ludwig Minkus
Interprètes : Ángel Corella ET Adiarys Almeida
CLEAR
Chorégraphie : Stanton Welch
Musique : Johann Sebastián Bach (1685-1750). Concerto pour Violon et
hautbois en do mineur et pemier et second mouvement du concerto pour
violon en sol mineur
Costumes : Michael Kors for Celine
Lumières : Lisa Pinkham
WE GOT IT GOOD
Chorégraphie : Stanton Welch
Musique : Duke Ellington et Billy Strayhorn
Interprète : Ángel Corella
IN THE UPPER ROOM
Chorégraphie : Twyla Tharp
Musique : Philip Glass
Musique produite par : Kurt Munkacsi
Costumes : Norma Kamali
Lumières : Jennifer Tipton
Répetiteur : Keith Roberts
Avec les remerciements au Birmingham Ballet pour l’usage de sa
scénographie et ses costumes.

Durée : 2h30 avec entractes
PREMIERE FRANCAISE



__________________

Cie ANDROPHYNE
>Pierre JOHANN SUC et
Magali POBEL
Faites demi-tour dès que possible

La première création de Pierre-Johann Suc reprise par sa fille et son père autour d’un road Movie rock n’roll et de questionnements sur l’identité. Une pièce désinvolte et poignante, à l’image de cette compagnie qui ne cesse d’interroger les formes de la danse.

Mercredi 16 septembre – 19h
Colisée
Tarif unique : 12 €
Chorégraphe & interprète : Pierre Johann Suc
Assistante : Magali POBEL
Avec : Pierre-Johann SUC, Daniel SUC,
Romane SUC
Compositeur : Eddy CRAMPES.
Création lumières : Harrys Picot

Durée : 1h10



__________________

Cie L’HÉLICE
> Myriam NAISY
Ainsi-Danse

On connaît la chanson : une musique, un souvenir. De Trenet, Piaf, à Dutronc et Camille, traversées des souvenirs et anecdotes de la vie à travers la chanson française. A chacun sa chanson, à chacun sa danse. Un sectacle suivi d’un bal.

Mercredi 16 septembre – 21h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein : 28 €
Tarif réduit : 25 €
Tarif fidèle : 17 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Chorégraphie et scénographie : Myriam Naisy
Lumière : Christophe Olivier
Costumes : Philippe Combeau
Musiques : Grand corps Malade, Arthur H, Lola Lafon, Camille, Nougaro, Claire Diterzi, Dutronc, Colette Magny, Edith Piaf, Charles Trenet, Brigitte Fontaine, Gainsbourg, ... .
Danseurs : Stéphanie Bouillaud, Audrey Hector, Melissa Courbin, Mireille Reyes, Marie Souquet *, Julien Le Cuziat *, Nicolas Maye, Myriam Naisy.
(* chorégraphes du duo Lili Dale)

Durée : 2h – 1h de spectacle et 1h de bal moderne





__________________

Cie ERTZA
Zoo-Pizti Trajedunak

Asier Zabaleta s’impose comme le représentant le plus brillant de cette nouvelle génération de chorégraphes basques avec des pièces qui questionnent l’image et le regard.

Jeudi 17 septembre – 19h
Colisée
Tarif unique : 12 €
Chorégraphie et direction : Asier Zabaleta
Assistante de direction : Arantza Balentziaga
Interprètes : Pilar Andrés, Andrea Quintana,
Manuel Rodriguez, Noemí Viana, Asier Zabaleta, Druny
Scénographie : Bigara (Itziar García, Jon Ander García)
Lumières : Antoni Angel Alcaide
Son – Musique originale : Borja Ramos
Vidéo : Iker Urteaga

Durée : 1 heure
PREMIERE FRANCAISE

[haydn]

Cie HERVÉ KOUBI
Coppélia, une fiancée aux yeux d’émail
Les Suprêmes / Bref séjour chez les vivants

Jeu d’écriture : trois pièces, trois mouvements, trois univers. Et en moins de trois temps la découverte de l’étendu du talent d’Hervé Koubi.

Jeudi 17 septembre – 21h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein: 28 €
Tarif réduit : 25 €
Tarif fidèle : 17 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Chorégraphie : Hervé Koubi assisté de Guillaume Gabriel
Danseurs : Alexandra Besnier, Carlos Ferreira da Silva, David Guasgua, Min Jeong Kim, Guillaume Milhac ,CarlPorta
Travail de notation Benesh pour la création Bref séjour chez les
vivants :Romain Panassié
Musiques :Léo Delibes (Coppélia), Diana Ross (Les suprêmes), Thomas
Tallis (Bref séjour chez les vivants)
Création musicale : Maxime Bodson, Gaël Desbois, Stéphane Fromentin, Laetitia Sheriff
Lumières :Lionel Buzonie
Costumes :Guillaume Gabriel, Ilona Deydier, Cécile Labrunie

Durée : 1h10





__________________

Cie BLICKE
> Virginia HEINEN & Enrico TEDDE
Io Sono Je Suis Ich Bin

L’italien, l’allmemand, le français, dans toutes les langues, cette question qui taraude l’artiste : qui suis-je? Un solo théâtral qui évoque le parcours de celui qui fut l’interprète Pina Bausch.

Vendredi 18 septembre – 19h
Colisée
Tarif unique : 12 €
Idée conception : Enrico Tedde, Giorgio Tedde
Chorégraphie et interprétation : Enrico Tedde
Collaboration artistique : Doriana Crema
Musiques originales et bande-son : GiorgioTedde
Création lumières : Damiano Foà

Durée : 50 min



__________________

CCN de NANTES
CLAUDE BRUMACHON – BENJAMINLAMARCHE
Folie

Une pièce mythique, créée pour célébrer le bicentenaire de la Marche des
Femmes sur Versailles. De la chair, de la terre et la puissance des corps qui avancent. Une pièce intemporelle.

Vendredi 18 septembre - 21h
Gare du Midi
Tarif plein: 38 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif fidèle : 30 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Chorégraphie : Claude Brumachon
Assistant : Benjamin Lamarche
Interprètes :Ioulia Angot - Plotnikova, Vincent Blanc, Fabienne Donnio, Lise Fassier, Elisabetta Gareri, Britta Gemmer, Julien Grosvalet, Benjamin Lamarche, Ernest Mandap, Africa Manso Asensio, Mathieu Morin, Julius
Olabayo Ogunrinola, Claire Richard, Oliver Tida Tida, Barbara Sallier- Vasquez
Musique : Christophe Zurfluh
Régisseur son : Anthony Baize
Création lumières : Philippe Mombellet
Régisseur lumières : Olivier Tessier
Maquillage : Carole Anquetil
Costumes : Claude Brumachon et Carole Anquetil

Durée : 1 h 15






__________________

KELEMENIS & CIE
L’Amoureuse Monsieur Muscle

Monsieur Muscle a des muscles ronds, des muscles étirés, et sous la peau, des tendons, des ligaments, des pleins, des déliés, de la matière à se mouvoir, à s’émouvoir, à rire et à danser. Une invitation à découvrir le coeur du corps avec une histoire digne des contes sur fond de musique électro. Une fantaise ludo-anatomique.

Samedi 19 septembre – 18h
Dimanche 20 septembre – 11h
Colisée
Jeune public
Dès 4 ans
Tarif unique : 12 €
Conception générale et chorégraphie :Michel Kelemenis
Avec :L'amoureuse Caroline Blanc Monsieur Muscle Olivier Clarge, Anatom Bastien Lefèvre
Conception sonore : André Serre
Création costumes : Agatha Ruiz de la Prada
Réalisation costumes : Philippe Combeau
Lumière : Alexandre Martre et Michel Kelemenis

Durée : 43 min



__________________

Compagnie ARIADONE
> Carlotta IKEDA
Uchuu-Cabaret

Un cabaret onirique des métamorphoses du corps. Une danse butô sans cesse renouvelée par sa reine, l’iconoclaste Carlotta Ikeda qui fait de cette danse des ténèbres un spectacle somptueusement bouffon, baroque et franchement réjouissant.

Samedi 19 septembre – 21h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein :28 €
Tarif réduit : 25 €
Tarif fidèle : 17 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Chorégraphie : Carlotta Ikeda
Musique : Kamal Hamadache, Alain Mahé
Création lumière : Florent Blanchon
Costumes : Régine Maruejouls
Sculptures / Costumes : Jean-François Buisson
Masque : Joseph Lapostolle
Interprètes :Carlotta Ikeda, Mathilde Lapostolle, Olia Lydaki, Emanuela Nelli ,Valérie Pujol , Anna Ventura , Mélissa Von Vepy
Régie générale : Laurent Rieuf
Régie lumière : Florent Blanchon
Régie son : Alain Mahé ou Kamal Hamadache
Régie plateau : Kevin Grin

Durée : 1h20

[haydn]

Compagnie KUKAI-TANTTAKA
Hnuy Illa

La danse comme vecteur de l’univers du poète Joseba Sarrionandia, une manière de considérer autrement la danse traditionnelle.

Dimanche 20 septembre – 19h
Théâtre du Casino Municipal
Plein tarif : 28 €
Tarif réduit : 25 €
Tarif fidèle : 17 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
Poésie: Joseba Sarrionandia
Direction : Mireia Gabilondo
Chorégraphie : Jon Maya
Assistante chorégraphie : Maider Oiartzabal
Danseurs : Jon Maya, Alain Maya, Eneki Gil, Ibon Huarte, Urko Mitxelena, Nerea Vesga, Vanesa Castaño
Musique : Iñaki Salvador
Costumes : Ana Turillas
Lumière : Xabier Lozano
Images : David Bernués



__________________

NEDERLANDS DANS THEATER 1
Schoot the Moon / Vanishing Twin / The Second Person

Une compagnie mythique, une excellence inégalée, entre liberté contemporaine et minutie exigeante du classicisme capable d’emballer les amateurs de danse classique autant que les puristes de danse contemporaine. Un véritable évènement.

Dimanche 20 septembre – 21h
Gare Du Midi
Tarif plein : 38 €
Tarif réduit : 35 €
Tarif fidèle : 30 €
Tarif découverte : 12 €
Pass Passion : 16 €
SHOOT THE MOON
Chorégraphie : Lightfoot Leon
Musique : Philip Glass
Décors et costumes : Tom Bevoort
Vidéo : Yvan Dubreuil et Pedro Goucha
VANISHING TWIN
Chorégraphie : Jiri Kylian
Assistante : Lorraine Blouin
Musique : Dirk Haubrich
Costumes : Joke Visser
Lumières : Kees Tjebbes
Vidéo : Tatsuo Unemi, Daniel Bisig
2ND PERSON
Chorégraphie : Cristal Pite
Assistante : Maurice Causey
Musique : Owen Belton
Texte : Crystal Pite
Costumes : Joke Visser , Cristal Pite
Lumières : Kees Tjebbes
Décors : Crystal Pite
Vidéo : Tatsuo Unemi, Daniel Bisig

Durée : 1h23
Première Française



__________________

La Pamperruque
> Maritzuli

Dimanche 20 septembre – 17h
Esplanade du Casino

Défilé dans la ville.
Chorégraphe et conception : Claude Iruretagoyena

Claude Iruretagoiena grand connaisseur des us et coutumes des pas et des jambes basques recrée la Pamperruque, une danse du Bayonne du XVIIIe siècle où l'aristocratie paradait en envahissant la rue.

Une danse cérémonielle et spectaculaire organisée par les autorités à l’occasion de grands évènements tels que visites princières, naissance d’un dauphin, proclamation d’une paix et qui mêlait danse de cour et danse populaire dans une danse joyeuse.

S'appuyant sur des descriptions précises de cette danse-tour de ville Claude Iruretagoiena ne cherche pas à reconstituer, mais à saisir la vitalité de la tradition.

__________________

Faites un effort !
> Androphyne

Installation sportive de Vidéo Danse
Hall du Casino Municipal
16h-20h
Du 11 au 20 septembre

Conception : Magali Pobel & Pierre Johann Suc
Interprètes : Anne-Cécile Massoni / Samuel Dutertre
Musique : Eddy Crampes
Décors, accessoires : Christian Frapreau

Faites un effort ! est une installation invitant le sportif qui s’ignore à produire le mécanisme dont naît l’oeuvre. Ecrans de télé, vélo et efforts sont les trois éléments indispensables au déroulement de cette pièce très particulière. Le spectateur doit pédaler pour accéder aux images diffusées sur la télévision, à l’abri des regards ou presque… Une caméra infrarouge filme la course et la retransmet sur un écran à l’extérieur de la structure.
Effort est signe de réconfort. Pédaler pour apprécier le spectacle. Le spectateur est en réalité le maître de cérémonie et dirige la pièce dans son intégralité. Il fait apparaître les danseurs aux fruits de ses efforts.
Un troc expérimental.

__________________

In the flesh
> Billy Cowie

Installation danse/vidéo
Département Images de la médiathèque de Biarritz
Médiathèque – du mardi au samedi : 10h – 18h
(le jeudi : 14h – 20h)
Du 12 au 20 septembre

Conception / chorégraphie / musique / texte : Billy Cowie
Direction artistique : Silke Mansholt
Interprète : Sara Popowa

Une installation pour être au plus près de la chair ou de son illusion. Billy Cowie, artiste écossais multi disciplinaire, tout autant reconnu pour ses compositions que ses films ou chorégraphies, installe sa grande boîte noire dans le hall de la Médiathèque durant tout le festival. Un espace dans lequel on pénètre chaussé de lunettes 3 D pour assister à la danse d’une créature recréée. Les frontières du réel s’estompent, et laissent surgir un monde réinventé par la danse. Une expérience fascinante et troublante à ne pas manquer.

Billy Cowie animera une rencontre atelier au sein du Département Images de la médiathèque le samedi 19 septembre à 11h.

Rencontre ouverte à tous publics : danseurs, vidéastes et curieux
Inscriptions indispensables auprès du Département Images (places limitées).

Renseignements et inscriptions auprès de la médiathèque : Tél : 05 59 22 58 60 ou
dpt.image@biarritz.fr

__________________

SCÈNES OUVERTES
Les rendez-vous dansés de midi.

Samedi 12 septembre – 12h
Jardin Public
Compagnie Marie-Laure AGRAPART
Transmut - 2 soli
Chorégraphie : Marie-Laure Agrapart
Interprètes : Roberto Forleo et Marie-Laure Agrapart
Musique : Patti Smith et arrangement musical

Un solo féminin transmis à un homme selon le principe du reverse qui consiste à reproduire le mouvement à l’envers. Deux soli sur les genres dansés sur pointes.

En collaboration avec le CCN-Malandain Ballet Biarritz (accueil studio)

Dimanche 13 septembre – 12h
Esplanade du Casino
Lauréats de l’université de Pau et des Pays de l’Adour
Les lauréats présenteront leur pièce et danseront des extraits du répertoire de Thierry Malandain.

Lundi 14 septembre – 12h
Jardin Public
PNEUMA DANCE THEATER
Répétition publique.

Mardi 15 septembre – 12h
Jardin Public
ACCRORAP
Répétition Publique.

Mercredi 16 septembre – 12h
Jardin Public
Cie Myriam Naisy / l’Hélice
Répétition Publique.

Jeudi 17 septembre – 12h
Jardin Public
CIE HERVÉ KOUBI
Répétition publique.

Vendredi 18 septembre – 12h
Jardin Public
CIE KIRSTEN DEBROCK – K- DANSE

En collaboration avec le CCN-Malandain Ballet Biarritz (accueil studio).
My absence of
Chorégraphie : Kirsten Debrock
Texte : Jo Witek

Samedi 19 septembre – 12h
Jardin de la Médiathèque
BARBE BLEUE

Barbe Bleue est né de la rencontre des élèves de l’option art danse du lycée A. Malraux et des élèves de la classe de chant et musique traditionnelle du Conservatoire Maurice Ravel. Cette rencontre s’est faite à l’occasion d’ateliers d’improvisations et, de compositions, autour
d’une réflexion sur le souffle dans la danse et le chant. Barbe bleue est donc le résultat de ces ateliers et, un questionnement sur la relation homme femme, au moment du passage de l’adolescence à l’âge adulte.
Travaux dirigés par Beñat Achiary et Gaël Domenger.


Dimanche 20 septembre – 12h
Esplanade du Casino
Scènes Lycéennes avec le Lycée Cassin (Bayonne)
Scènes Lycéennes avec le Lycée Louis Barthou (Pau)


Dimanche 13 Septembre - 11h
Promenoir de la Grande plage
(Du côté de l’Hôtel du Palais)
La Gigabarre de Thierry Malandain,

Dimanche 20 Septembre - 11h
Promenoir de la Grande plage
(Du côté de l’Hôtel du Palais)
La Gigabarre du Nederlands Dans Theater
Une gigabarre confiée au NDT 1qui mettra son univers et sa danse au service de cette barreréinventée.

Mercredi 16 septembre – de 14h à 17h
Grand studio de la Gare du Midi
Stage de hip hop avec les danseurs d’Accrorap
(Centre Chorégraphique National de la Rochelle/ Poitou Charentes- Accrorap, Kader Attou)

Niveau confirmé
Groupe limité à 20 personnes
Ouvert aux danseurs confirmés.
Tarif unique : 15 €
Inscription auprès de Biarritz Culture au 05 59 22 20 21

Samedi 19 septembre – de 10h à 12h
Grand studio de la Gare du Midi
Stage de danse contemporaine avec Benjamin Lamarche
(Centre Chorégraphique National de Nantes >Claude Brumachon – Benjamin Lamarche)

Groupe limité à 20 personnes
Ouvert aux danseurs amateurs
Niveau confirmé.
Tarif unique : 15 €
Inscription auprès de Biarritz Culture au 05 59 22 20 21


__________________

DOCUMENTAIRES

Hommage au Festival du Film Maudit qui il y a 60 ans, sous la présidence de Jean Cocteaucélébrait les poètes maudits. Ces artistes invisibles sauf à ceux dont l'oeil regarde loin et « aime à scruter les douces lumières insolentes et profondes.».

Des documentaires sur les protagonistes de ce festival légendaire et sur des danseurs et chorégraphes qui, pour reprendre la définition de Mallarmé, auront été des artistes maudits par leur œuvre qui «déborde des cadres normaux».

Médiathèque de Biarritz – 15h
Entrée Libre

Mardi 15 septembre
Initiation à la danse des possédés
Réalisation : Jean Rouch
Durée : 22min
Grand Prix du Festival du Film Maudit

Cérémonie d'initiation d'une femme songhaï à la danse de possession, dans le village de Firgoun au Niger. La danse de possession est le moyen d'entrer en contact avec les dieux. Cette femme, malade depuis plusieurs mois, était possédée en permanence. Initiée, elle guérira et les dieux ne s'incarneront plus en elle qu'à la demande des prêtres.

Les musiciens arrivent. Les femmes déjà initiées dansent, puis la leçon commence pour la nouvelle initiée qui apprend peu à peu les mouvements de la danse. La leçon est parfois interrompue par le prêtre pour que les danseuses se reposent. Le dernier jour a lieu la danse de sortie. De nombreux visiteurs arrivent pour la fête. Des femmes sont possédées par les génies, des hommes déposent les cadeaux qu'ils ont apporté aux divinités et les festivités ne s'achèvent qu'à la nuit tombée.

Mercredi 16 septembre
Jean Cocteau, autoportrait d’un inconnu
Réalisation : Edgardo Cozarinsky
Durée : 1h

Montage d’extraits de films (Le Testament d’Orphée, La Villa Santo Sospir, La Belle et la Bête, Le Sang d’un poète) et d’archives sonores et filmées, à la quête de Jean Cocteau, du poète, du peintre, de l’homme de théâtre et de cinéma, du baladin à la fois public et secret ; galerie de portraits des fidèles amis et compagnons de route : Diaghilev, Nijinski, Stravinsky,
Picasso, Erik Satie, Jean Renoir, Coco Chanel, Jean Marais, Yul Brynner, Daniel Gélin, Radiguet ; exposition des dessins et fresques murales. L’énorme travail de mise en scène d’Edgardo Cozarinsky vise moins à montrer les multiples faces de la personnalité de Jean Cocteau qu’à trouver par synthèse et réduction un dénominateur commun, une expression partagée, qui correspondrait au personnage énigmatique, à la force mystérieuse qui, selon Cocteau, habite le poète quand il écrit. Ce faisant, Edgardo Cozarinsky reprend à son compte le propos de Jean Cocteau lorsqu’il réalise La Villa Santo Sospir : « ce film sera une
espèce d’ombre chinoise de ma vie... J’ai décidé de m’enfoncer en moi-même, dans ce trou terrible. » Dans le dédale de cette vie extrêmement riche, Jean Cocteau nous guide comme
à travers un labyrinthe de glaces aux miroirs anamorphosants et brisés, aux frontières du rêve et de la réalité ; d’un miroir à l’autre, il nous ouvre littéralement les portes de son monde, un monde entièrement redessiné et recomposé par lui, où peintures, films et mythologies fixent les règles et les proportions.

Vendredi 18 septembre
Ribatz, Ribatz! ou le grain du temps
Réalisateur Marie-Hélène Rebois.

Gardons-nous mémoire de nos gestes? C'est à résoudre cette énigme que s'emploient des danseurs d'une troupe dispersée après la mort du célèbre chorégraphe français Dominique Bagouet. Invités à retrouver les mouvements d'une pièce créée vingt ans auparavant, 'Ribatz', et dont ne subsistent plusque quelques rares photographies de plateau, ces danseurs, déjà marqués par l'âge, nous offrent un spectacle saisissant : celui de la renaissance, à même leurs corps et dans un travail d'équipe, d'une écriture bien particulière, celle qui emprunte les gestes et leurs enchaînements pour se déplier dans l'espace. Il ne s'agit pas ici de fabriquer une chorégraphie, mais de la laisser remonter, aussi neuve qu'à sa création, à la surface des corps.


CINÉMA DANSE

En collaboration avec le cinéma le Royal

Jeudi 10 septembre
Cinéma Le Royal
20h30 – LA DANSE, Le ballet de l’Opéra de Paris

Avant première.
Documentaire réalisé par Frederick Wiseman.
Le Ballet de l'Opéra de Paris est l'une des plus grandes compagnies de danse du monde. Le film montrera dans toute sa variété, la vie de cette institution culturelle.

La projection sera suivie de la présentation du Temps d’Aimer par Thierry Malandain.

[haydn]

EXPOSITION
> Les écritures du mouvement

Exposition présentée par Le Centre National de la Danse, en collaboration avec Le CCN- Malandain Ballet Biarritz et la Médiathèque de Biarritz.

Ouverte du 20 août au 19 septembre
Du 11 au 20 septembre
Médiathèque – du mardi au samedi : 10h – 18h
(le jeudi : 14h – 20h)
Commissaire d’exposition : Claire Rousier
Conseillères scientifiques : Jacqueline Challet-Haas et Annie Suquet
Rédaction des textes : Jacqueline Challet-Haas, Claire Rousier et Annie Suquet
Graphisme de l’exposition : Agnès Dahan

Samedi 12 septembre
16h - Auditorium de la médiathèque

Lecture dansée avec Marie Nimier - Les inséparables
Marie Nimier propose avec Claudia Gradinger, danseuse chorégraphe, une lecture dansée de son dernier roman les inséparables. L’une lit, l’autre danse, encore que …

Samedi 19 septembre
16h - Auditorium de la médiathèque

Conférence avec Dany Levêque
Choréologue, notatrice d’Angelin Preljocaj

__________________

EXPOSITION
>Guy Delahaye
La danse d’Androphyne

Du 11 au 20 septembre
Hall de la Gare du Midi

Guy Delahaye photographie le théâtre et la danse depuis vingt-cinq ans sur toutes les scènes européennes et au-delà. À ce jour, il a réalisé plus de trois cents expositions, illustré une trentaine de livres et publié des ouvrages sur Pina Bausch, Carolyn Carlson, Sankai Juku, Angelin Preljocaj. Il a photographié les spectacles présentés par la Maison de la
Culture de Grenoble depuis son inauguration en février 1968.

Il s’est attaché à la compagnie Androphyne qu’il photographie depuis ses débuts et dont il présente les clichés dans une expo qui ne veut pas en être une. Loin des accrochages léchés et aseptisés en vigueur pour les expositions photos souvent présentées comme des icônes, il choisit d’exposer en vrac ses épreuves.



RENSEIGNEMENTS/LOCATIONS

TARIFS

- Tarif Fidèle : Carte de fidélité
- Tarif réduit : Carte en cours de validité pour l’année 2009/2010
Amis du Théâtre, Adhérents Fnac France et Espagne, Association AVH, Avignon Off, Accords, Cézam, ¡ Festival !,Complicité Chimères, Garazikus, Eihartzea, Haize Berri, Aek Gau Eskola, Korrika, les Amis de Ballet Biarritz, Synergie 2000, abonnés saison Hendaye, Abonnés saison Entractes Organisation. Groupe de 10 personnes.
- Tarif découverte : Jusqu’à 18 ans, Étudiant (jusqu’à 26 ans) demandeur d’emploi (justificatif de moins d’un an), intermittent, Biarritz 15-20
- Pass Passion (réservé aux détenteurs de la carte de fidélité) :
6 spectacles au choix (dont 3 à la Gare du Midi) : 96 euros
- Tarif permission de minuit : Cette carte distribuée aux enfants des écoles de Biarritz lors de la rentrée scolaire, permet aux parents qui accompagnent leurs enfants aux spectacles de bénéficier de places à tarif réduit. Quel que soit le spectacle : enfant et parents qui l’accompagnent ne paient que 12 euros chacun. La Permission de Minuit est valable durant la saison, pour 3 spectacles à choisirparmi ceux programmés par Biarritz Culture ou par les Amis du Théâtre.

LOCATIONS

- Gare du Midi :
Accueil du Festival et Billetterie du 11 au 20 septembre de 11h à 17h30,
Et le soir des spectacles à la Gare du Midi de 19h à 21h.

- Office de Tourisme de Biarritz :
Square d’Ixelles 64200 Biarritz
Réservations par téléphone tous les jours : Tél. 05 59 22 44 66
Possibilité de paiement par carte Bleue visa.

- Sur internet :
www.biarritz.fr : rubrique accès direct : Billetterie en ligne

- Ticketnet / Virgin-Leclerc : www.ticketnet.fr Tel. 0892 390 100 (0,34 euros /minute)

- Fnac- Carrefour- Géant (www.fnac.com) -Tél. 0892 683 622 (0,34 euros /minute)

[haydn]

Le Monde publie aujourd'hui (15/9) un article de Rosita Boisseau consacré au "Temps d'aimer" :

[laurence]

Thierry Malandain: une ouverture à 360 degrés.

Thierry Malandain a repris, cette année, la direction du Festival de Danse de Biarritz, «Le Temps d'Aimer», qu'il avait abandonnée pendant quelques années.
«Une pause», dit il... «Un directeur de festival, c'est quelqu'un qui rejette des œuvres et cette fonction devient parfois très lourde. Mais la Mairie m'a demandé de reprendre et j'ai accepté...»
«Quand le diable mène la danse!», c'est le sujet qu'il a choisi pour ce 19e Festival et il invoque, dans son introduction, la première édition du Festival du Film Maudit, lancée à Biarritz par Jean Cocteau, il y a 60 ans...
«Ce qui m'a séduit à nouveau c'est la possibilité d'ouverture qui m'a été donnée.
En effet ma première volonté en 2000 avait été d'aller à la rencontre d'un public pas forcément passionné, l'interpeler, lui donner le temps d'aimer la danse en quelque sorte.
Traversant le jardin public face à la «Gare du midi», qui est notre lieu de représentations et de répétitions, j'ai été frappé par une petite scène qui servait à des groupes de danses folkloriques ; j'ai voulu que mes danseurs viennent répéter là, de temps en temps, au contact des enfants, des passants, des promeneurs. Je choisis mes danseurs avec cette optique, ils doivent aimer transmettre une passion.
La «Gigabarre», maintenant copiée à Montpellier, a été ma deuxième volonté. Sur la plage, devant le Casino de Biarritz, est donné un cours de danse qui rassemble tous les âges, du débutant au professionnel, «les apprentis sorciers».
Mais votre rêve à vous, quel est il?
«Bien sûr, c'est de diriger une grande compagnie..., et je gère ce Festival comme le directeur d'une énorme compagnie. J'ai la possibilité d'inviter de très grandes troupes européennes, de celles qu'on voit finalement assez peu en France : le Ballet Royal de l'Opéra de Suède qui est dirigée depuis peu par un Français, Marc Ribaud, le Nederlands Dans Theater1 dont Jiri Kylian est le conseiller artistique et le chorégraphe résident, Carlotta Ikeda, Angel Corella et sa nouvelle compagnie, le Dansk Danse Teater du Danemark et de plus, je peux donner des chances à des formations encore peu connues.
Ce tour d'Europe me permet non seulement de programmer du «néo-classique», mais aussi de quitter le goût officiel pour m'aventurer dans d'autres directions.»
Renouveler son œil, y puiser des forces vives pour de nouveaux échanges, pour de nouvelles créations, la danse européenne est sans doute l'une des plus prometteuses dans cette voie et Thierry Malandain l'invite et nous invite au temps d'aimer...

[laurence]

Le Ballet Royal de l'Opéra de Suède... ce nom laisse rêveur...
des dates anciennes...le premier ballet reconnu...
des maitres de ballet mythiques... avec un Français pour ouvrir... Louis Gallodier, et puis Antoine Bournonville, le père d'Auguste, Charles Louis Didelot, Filippo Taglioni, le père de Marie, Michel Fokine, Anthony Tudor, Erik Bruhn... et puis aujourd'hui, Marc Ribaud, un autre Français...
des chorégraphes invités inégalés... Jerome Robins, José Limon, Rudolf Noureev, John Cranko, Jiri Kylian...

Il danse au Festival de Biarritz deux ballets, commandés par Marc Ribaud, deux ballets créés en 2007 par Christian Spuck, sur la Symphonie Italienne de Mendelssohn, et en 2008 par Mats Ek, sur le Concerto pour violon de Brahms interprété par Anne Sophie Mutter.
Ces deux ballets ont en commun d'avoir comme point de départ une œuvre musicale, l'une des possibilités employées par les chorégraphes travaillant sur la musique comme point d'appui. Ce qu'on appelle dans le jargon médical «la synesthésie», c'est à dire la possibilité de traduire autrement... «A noir, E blanc... »
Or, tous les deux, dans des styles complètement différents, ont, il me semble, une caractéristique : c'est que le mouvement n'est jamais redondant par rapport à la musique. L'imaginaire du spectateur est laissé ainsi dans une grande liberté...
«Tableau perdu» de Christian Spuck dure 20 minutes.
C'est un ballet «classique» pour 19 danseurs, inspiré, dit il, par les œuvres de Watteau.
La scène et les costumes en noir et blanc sont dans la même esthétique que l'épisode des courses dans le film «My Fair Lady» : une étude du mouvement suspendu..., comme d'ailleurs «L'enseigne de Gersaint» tableau de Watteau avec ses sujets «en pose» fixés pour l'éternité.
Entre l'éphémère de la danse et l'éternité du tableau, toute une échappée...
Les costumes réalisés par Emma Ryott sont étonnants. Dans une étude des noirs, ils évoquent non seulement le ballet par des tutus parfois vernissés sous des vestes courtes et sur des pantalons, mais aussi le temps «autre», celui de la photographie en noir et blanc, la couleur d'un paysage sans en donner l'exacte vérité mais simplement l'émotion... l'émotion élégante dans la justesse que rend merveilleusement bien ce bel ensemble de danseurs et de danseuses...

[sophia]

Raphaël de Gubernatis consacre dans Le Nouvel Obs un article relativement long - une fois n'est pas coutume - au Festival de Biarritz, Le Temps d'Aimer. Et parfois, les piques volent...

Le triomphe du "style" contemporain international (17/09/09)

[laurence]

Je suis sûre, cher Haydn, après notre conversation, que vous vous posez comme moi cette question essentielle que tout journaliste doit poser à un directeur de festival.
Quelle doit être la mission d'un festival?
Deux réponses sont possibles. Apporter des nouveautés... dit Mr de Gubernatis du Nouvel Observateur, mais ce n'est que sa vision à lui...
En fait, le rôle que se donne le Festival de Biarritz, est par choix, dixit Monsieur Pierre Moutarde, qui fait partie des responsables du Ballet Biarritz, de faire un état des lieux de la danse contemporaine. Amener un public et lui montrer au jour d'aujourd'hui, des compagnies européennes qui présentent ou en représentent les caractéristiques affirmées, avec de bons danseurs.
Voilà ce que nous permet le festival de Biarritz: l'écoute attentive de pages choisies par quelqu'un dont la disponibilité et le savoir ne sont plus à démontrer: Thierry Malandain.

Le Dansk dance theater du Danemark
a présenté 2 pièces écrites par Tim Rushton qui, né à Birmingham, a été formé au Ballet Royal de Londres, puis a intégré les compagnies du Nord de l'Europe.
La première, Shadoland, écrite en 2001 sur une musique et des textes de la Beat Génération, Ken Nordine, Jack Kerouac..., a un petit coté sulfureux. Le ballet commence par la voix si particulière d'Allen Ginsberg lisant «Howl», un scandale littéraire à son époque en raison de son langage cru: «The world is holly! The soul is holy! The skin is holly! The nose is holly! The tongue and cockand hand and asshole are holy! ... Everybody's holy! Everywhere is holy ! Every day is an eternity ! Everyman is an angel». Les textes sont projetés au sol et les lumières en tuyaux d'orgues sculptent une atmosphère de temple ou dansent de curieuses vestales en pantalon de cuir. La danse est suggestive, avec une sorte de profond détachement, métabolisant des dynamismes soudains. Elle pose assez bien ce que pouvait être la création à ce moment là.
Kridt écrit en 2005 est à mon avis plus intéressant et exprime la fascination du chorégraphe pour les mots et l'écriture du mot. Le geste ne traduit plus une musique. Il traduit le mot, et même le silence de la découpe et l'émotion qui se dégage de la lecture.
La pièce est très applaudie, elle a reçu un Danish Theatre Award en 1985.

Pousse toi! de la compagnie Vilcanota créée par Bruno Pradet est une sorte de petite parenthèse comique, et l'on y rit beaucoup. Elle engage fermement le corps, mais aussi l'esprit. C'est une pièce qui cherche ses ressorts dans la vision clownesque du monde, dans une danse de l'absurde dont la justesse dans le miroir, l'asymétrie ou l'opposition, est d'une précision diabolique.
Caricature interne du pouvoir et de la soumission, c'est à la fois tendre et impitoyable...

Le Gotra ballet vient des Pays Bas. Joost Vrouenraets a été formé à l'Ecole-Atelier Rudra et au Béjart Ballet de Lausanne.
Mais je vous parlerai de ceci un peu plus tard il faut ménager ses effets... et ne pas être indigeste...

[laurence]

Le Gotra ballet vient des Pays Bas. Joost Vrouenraets a été formé à l'Ecole-Atelier Rudra et au Béjart Ballet de Lausanne. Gotra signifie en sanscrit force déployée pour atteindre son but et Joost Vrouenraest est fortement convaincu que seule une attitude respectueuse envers les choses et les êtres peut engendrer la beauté.
Moon boards est un ballet de 30 minutes qui met en scène des jeunes gens aux prises avec en quelque sorte le hasard, «le coup de lune». Il explore corporellement dans un premier temps une relation humaine avec ses conflits et ses moments amoureux dans une chorégraphie expressive. La deuxième partie de ce ballet est une sorte de lutte entre l'homme et la nature avec la description des angoisses que peut provoquer la solitude dans ce milieu et l'apparition de visions reliées à la pensée magique. La scène est occupée par deux murs évoquant un paysage de haute montagne avec ses précipices. La jeune danseuse s'invente un double pour répondre à sa solitude et à sa peur qui va la conduire à la chute. La danse est très imagée et physique comme les tenues sportives des danseurs: short, tee-shirt, chaussures de marche.

Dans la deuxième pièce, «5», beaucoup plus abstraite, le chorégraphe a voulu montrer l'emprise du rituel symbolisé par 5 tables à roulettes qui servent d'appui aux danseurs. La vision est un peu cauchemardesque et le propos se désagrège assez rapidement.

De la découverte de ces 48 heures restera dans mon souvenir la pièce de Mats Ek, commandée par le nouveau directeur du Ballet de Suède, Marc Ribaud: «Radis noir», dont le nom intriguant et saugrenu pour un ballet, est, de plus, traité très concrètement - les radis noirs défilent suspendus dans les airs au début du deuxième mouvement de ce concerto pour violon de Brahms, un peu comme les sylphides... Un radis noir finira serré amoureusement dans les bras du danseur, lors d'un dernier et très beau solo.
Ce Concerto pour violon, joué par Anne Sophie Mutter a passionné Mats Ek. Il en parle comme d'une musique puissante, vivante, sans être romantique, «en équilibre au bord d'un ravin». Entre ce violon et cet orchestre, il place la danse, comme une sorte de tiers séparateur qui nous fait voir la musique.
La scénographie est simple, des costumes colorés, jupettes en godets pour les filles, redingotes pour les garçons. La danse est «acide, décalée, ironique», presque en opposition, comme un autre parcours, un autre déchiffrement, riche de potentialités et en tout cas fascinant.
«Radis noir», comme beaucoup de ballet de Mats Ek, pose son unité chorégraphique par l'appropriation et l'actualisation que s'en fait le spectateur.

[haydn]

Sud-Ouest tire un bilan assez élogieux du 19ème festival "Le Temps d'aimer", placé sous la direction de Thierry Malandain, et qui, à en croire le quotidien régional aquitain, prépare déjà activement l'édition du 20ème anniversaire, en 2010 :

[haydn]

Les comptes-rendus de Laurence Guez sont en ligne sur le site de Dansomanie :


Le Temps d'aimer, Biarritz 11 09 2009 - 20 09 2009