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Danse au Festival de Sablé-sur-Sarthe [25-29 août 2009]

 
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sophia



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MessagePosté le: Sam Aoû 29, 2009 9:00 am    Sujet du message: Danse au Festival de Sablé-sur-Sarthe [25-29 août 2009] Répondre en citant

Dédié à la musique baroque depuis sa création en 1979, le Festival de Sablé-sur-Sarthe célèbre cette année son 31ème anniversaire. Le Festival se déroule du 25 au 29 août, à Sablé même, et dans divers lieux idylliques de la région.
Dans ce haut lieu de la musique ancienne, qui participa activement à la redécouverte du répertoire baroque et au renouveau de son interprétation, la "belle danse" sut trouver d’emblée une place de choix.

Cette année, le Festival s'est ouvert par une création où la danse se mêlait à la musique, au chant... et aux acrobaties: Müsennâ. Divertissements et fêtes à Istanbul au 17ème siècle, un spectacle de Chimène Seymen, Cécile Roussat et Julien Lubek. A noter encore que Müsennâ est présenté dans le cadre de la Saison de la Turquie en France (juillet 2009 - mars 2010).
Je vous laisse un petit lien sur le reportage de France 3 (à la conclusion bien simpliste, mais c'est une autre question) et sur l'article de Renaud Machard dans Le Monde. Le spectacle devrait être repris, notamment à Paris, aux Bouffes du Nord, je crois, dans quelques mois. Je vous donnerai plus de détails dès que possible.
Hier, avait lieu le spectacle d'une toute jeune compagnie, L'Espace, dirigée par Nathalie Adam et composée de danseurs formés au CNSMD de Paris. Absent, je te retrouve - tel est le titre du ballet - se présente comme une variation sur des textes de Shakespeare et des musiques de la Renaissance élisabéthaine.
Ce soir, enfin, le Festival se clôturera par un grand spectacle gratuit dans le parc du château de Sablé offert par la Compagnie L'Eventail de Marie-Geneviève Massé (basée à Sablé - voir interview sur Dansomanie réalisée l'an dernier) et intitulé Voyage en Europe.
Pour l'anecdote, Ouest-France a déjà annoncé que François Fillon serait présent, ainsi qu'au concert de l'Arpeggiata, dirigée par Christina Pluhar (Rappresentatione di Anima e di Corpo d'Emilio de' Cavalieri, y participent également deux danseurs) qui précède le ballet de Marie-Geneviève Massé.


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sophia



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MessagePosté le: Lun Aoû 31, 2009 5:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Müsennâ. Divertissements et fêtes à Istanbul au 17ème siècle

Citation:
Müsennâ – nom donné à l’écriture « en miroir » de la calligraphie turque du XVIIe siècle – est un spectacle pluridisciplinaire, conçu par la soprano et musicologue franco-turque Chimène Seymen pour refléter la rencontre de l’Orient et de l’Occident dans la ville cosmopolite d’Istanbul. On y suit l’arrivée d’un sujet de Louis XIV et sa découverte des fêtes et lieux de plaisirs de la capitale ottomane.

Le spectacle de la rue offre au regard émerveillé et interloqué du voyageur un cortège de personnages burlesques, masques grotesques, marionnettes géantes et cerfs volants, des démonstrations de mime et d’acrobatie, qui se fondent dans ces tableaux de musique et de danse. Sur la scène, le théâtre d’ombres « Karagöz » rivalise de verve et de sarcasmes avec les farces de Molière représentées au palais de France. L’ensemble de musique ottomane répond à l’ensemble de musique baroque sur instruments anciens, les danses traditionnelles turques rencontrent et dialoguent avec la danse renaissance et baroque, les airs populaires et savants tissent un univers poétique et sensible en alternant chant baroque et chant oriental.

Loin des Turqueries ou de l’Orientalisme, Müsennâ invite le spectateur à un voyage baroque au Levant, sur les traces des témoignages écrits et iconographiques du XVIIe siècle.

Une production Agora Musiques sur une idée originale et sous la direction musicale de Chimène Seymen ; mise en scène et chorégraphies de Cécile Roussat et Julien Lubek.

Source: http://www.saisondelaturquie.fr/


Dates de la tournée

* 25 août 2009, création du spectacle, Festival de Sablé-sur-Sarthe
* 4 octobre 2009, concert au Théâtre Georges-Leygues, Villeneuve-sur-Lot
* 6 octobre 2009, Odyssud, Scène de Blagnac - 4 avenue du Parc, Blagnac
* 24 novembre 2009, concert à la Bibliothèque Nationale de France – site François Mitterrand, Paris 13e (dans le cadre de l’exposition sur les Manuscrits turcs)
* 17 janvier 2010, L’Illiade, Illkirch (Strasbourg), à confirmer
* 19 janvier 2010, La Comète, Scène Nationale de Châlons-en-Champagne
* 21 mars 2010, concert au Festival Les Instants du monde, Rezé
* 24 mars 2010, Théâtre de la Sinne - 20 allée Nathan Katz, Mulhouse
* 27 mars 2010, Théâtre de la Butte, Cherbourg
* 29 mars 2010, Théâtre des Bouffes du Nord - 37 bis bd de la Chapelle, Paris 10e


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sophia



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MessagePosté le: Dim Sep 06, 2009 7:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Compagnie L’Espace
"Absent, je te retrouve"
Festival de Sablé-sur-Sarthe
28 août 2009

Depuis sa création en 1979, le Festival de Sablé-sur-Sarthe, dédié au répertoire baroque, offre une place de choix à la danse - "la belle danse", comme on l’appelle traditionnellement -, au sein d’une programmation musicale toujours très dense et variée. Son académie annuelle accueille parallèlement de jeunes danseurs, au même titre que des chanteurs, des acteurs et des musiciens, pour des stages de formation et de perfectionnement en danse et en musique anciennes. Les lieux de la région où se tiennent les spectacles – idylliques et enchanteurs, à l’image d’une France rêvée – ajoutent du reste au charme d’un festival qui se veut particulièrement chaleureux et convivial.

Pour sa 31ème édition, le directeur du Festival, Jean-Bernard Meunier, avait notamment choisi de donner sa chance à une jeune troupe encore peu connue, l’Espace, dirigée par Nathalie Adam et composée de danseurs formés pour la plupart au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris. C’est d’ailleurs là que Nathalie Adam, la chorégraphe, a reçu l’enseignement de Wilfride Piollet, une influence qu’elle juge aujourd’hui primordiale et qui a contribué, avant qu’elle n’aille l’approfondir sous d’autres cieux, à lui faire appréhender l’univers de la danse baroque. La créatrice et interprète d’"Absent, je te retrouve" ne se retrouvait toutefois pas en terre inconnue à Sablé, puisque, en marge de ses activités chorégraphiques et pédagogiques, elle est membre de l’Eventail, la compagnie de danse baroque de Marie-Geneviève Massé, basée depuis plusieurs années dans la petite ville de la Sarthe et coutumière de son festival annuel.

Le spectacle chorégraphié par Nathalie Adam se présente formellement comme une série de variations autour de textes divers extraits de pièces ou de sonnets de Shakespeare - qui l'inspire jusqu'au titre même de l'oeuvre - et de musiques empruntées au répertoire de la Renaissance élisabéthaine. Durant un peu plus d’une heure, quatre danseurs – deux filles et deux garçons – se rencontrent, vivent, s’aiment ou se déchirent dans de petites saynètes centrées chacune autour d’un thème, d’une humeur ou d’une ambiance, suggérés simultanément par la musique ou le texte. Un personnage éminemment shakespearien, le Fou (un rôle créé à l’origine par Jean Guizerix et repris ici par Romain Panassié), qui vient s’adjoindre à ce quatuor de danseurs, constitue en quelque sorte le fil conducteur narratif et symbolique du ballet, le deus ex machina qui trace son chemin au long des différentes miniatures picturales et chorégraphiques qui le composent. Il est celui qui regarde le monde agir pour s’en faire le nécessaire commentateur, celui qui dénonce par le verbe, en un joyeux paradoxe, le théâtre des apparences, la folie des hommes.

Loin de se vouloir une tentative pittoresque de reconstitution historique d’un monde perdu, le ballet de Nathalie Adam s’offre à nous comme un spectacle impressionniste et d’allure résolument contemporaine, mais revendiquant ouvertement des influences puisées dans la peinture, la littérature et la musique de la Renaissance anglaise, dont la chorégraphie cherche à ressaisir le raffinement extrême, notamment dans le délicat travail des mains. La gestuelle est "baroque" dans son épine dorsale, mais en même temps revivifiée par un langage plus contemporain, tactile et souvent proche du sol. Et si les silhouettes corsetées, tout de noir vêtues, à l’image du clair-(très) obscur dans laquelle la scène reste plongée, suggèrent aisément la mélancolie propre au monde imaginaire baroque, ses éléments scénographiques rappellent tout autant des œuvres d’aujourd’hui, particulièrement celles de Jiří Kylian, un maître que cite volontiers la chorégraphe.

Si le projet se révèle séduisant, tant sur le plan esthétique qu’intellectuel, le spectacle, riche en soi de potentialités créatives, manque toutefois dans sa mise en scène et sa dramaturgie d’un certain sens de la nuance et du contraste - jusque dans le jeu très impersonnel des interprètes -, malgré les intentions affichées par le texte, la musique et la construction même de la pièce. C’est l’ombre, plutôt que la lumière, qui domine ici très largement – et pourquoi pas ? – mais de manière sans doute trop uniforme à l’échelle d’un ballet de près d’1h15. Le chatoiement baroque, celui que l’on retrouve encore au fond de la mélancolie qui inspire les airs de John Dowland, semble au final quelque peu monochrome, privée de son dynamisme interne, davantage peut-être à l’image de la tristesse romantique ou de la dépression contemporaine que d’un univers esthétique qui aime à se nourrir du conflit, de l’opposition… et de la surprise.


Interprètes :
Nathalie Adam, Olivier Bioret, Robert Le Nuz, Bérénice Montagné, Romain Panassié

Nathalie Adam, chorégraphie
Olivier Fredj, dramaturgie et mise en scène
Thomaz Le Gouès, costumes
Monique Adam, réalisation des costumes
Pascal Le Friec, lumières
Fabien Monrose, assistant régie

"Absent, je te retrouve"

Textes de William Shakespeare
Création musicale et sonore de Jean-Yves Bernhard

Musiques de la Renaissance élisabéthaine (musique enregistrée) :

- Anonyme, Gallyarde, Jordi Savall, Hespèrion XXI
- Anonyme, Dance, Jordi Savall, Hespèrion XXI
- John Dowland, Flow My Tears, Andreas Scholl et Andreas Martin
- Thomas Martin, Courante, Les Sacqueboutiers
- Anthony Holborne, Muy Linda, Les Sacqueboutiers
- Paolo Pandolfo, La Florentine
- John Dowland, Lachrymae, Paul O’Dette
- Anonyme, I will give my love an apple, Andreas Scholl et Andreas Martin
- John Dowland, I saw my lady weep, Andreas Scholl et Andreas Martin
- Wallow green, The Witches
- Nobody’s Jig, Mr Lane’s Maggott, The Witches
- Anonyme, The Three Raven, Andreas Scholl et Andreas Martin
- Anonyme, Come live with me and bee my love, Paul Agnew, Christopher Wilson

Création le 8 avril 2008 au Théâtre de la Vallée, Brunoy (91)
Production : Compagnie L’Espace / Coproduction : CCN de Biarritz et CDC Biennale de Danse du Val-de-Marne, dans le cadre de résidence "accueil-studio".


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sophia



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MessagePosté le: Dim Sep 06, 2009 7:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Compagnie de danse baroque l’Eventail
Voyage en Europe

Festival de Sablé-sur-Sarthe
29 août 2009

La compagnie de Marie-Geneviève Massé, l’Eventail, avait ouvert la précédente édition du Festival de Sablé par la création du Ballet des Arts, une œuvre de Jean-Baptiste Lully, sur un livret d’Isaac de Benserade, qui retrouvait à cette occasion une nouvelle vie. Cette année, l’Eventail était chargé de clore le Festival, avec Voyage en Europe, un ballet en quatre tableaux offrant au public une promenade musicale et chorégraphique à travers l’Europe du Grand Siècle. Conformément à la coutume, c’est dans le parc du Château de Sablé que se tenait cet ultime spectacle – gratuit.

Le ballet de Marie-Geneviève Massé, interprété par sept danseurs de la troupe, était présenté ici dans une version particulière, adaptée aux circonstances quelque peu spartiates d’une représentation en plein air : point de décor donc et une musique enregistrée, en lieu et place des Folies Françoises, l’ensemble de Patrick Cohen-Akenine associé d’ordinaire à cette production, qui a vu le jour en 2000.

Les quatre tableaux qui composent l’œuvre nous conduisent successivement en France, en Angleterre, en Allemagne et en Italie, ressaisies en un instantané imaginaire et mouvant, celui d’un XVIIème siècle finissant, encore touché par la grâce. Au travers d’un choix musical en rapport intime et presque charnel avec le pays représenté, ces miniatures chorégraphiques, reposant chacune sur une ébauche d’intrigue théâtrale, tentent ainsi de restituer la saveur et l’esprit d’une contrée, en même temps que le style de danse qui lui est propre. Une sorte de recherche du temps perdu, usant de l’art de la belle danse comme d’un guide tout-puissant, au parfum entêtant… La France est ainsi vue au travers du ballet de cour, où chaque pas, chaque geste, chaque regard, à la fois mesuré, solennel et contraint, se veut le révélateur paradoxal de l’être de la personne. C’est du reste le seul tableau qui se donne comme reconstitution, puisqu’il s’appuie sur des chorégraphies de Pécour et Feuillet, extraites d’opéras de Campra, Destouches ou Lully. En contrepoint, l’Angleterre, placée sous les auspices de Purcell, donne lieu à une évocation d’un registre ouvertement dramatique, dans laquelle les corps semblent se libérer des contraintes de l’étiquette et de l’apparence pour s’ouvrir à l’expression débridée – et virtuose - des passions. L’Allemagne, associée à une sonate mélancolique de Rosenmüller, apparaît alors comme l’adage, le moment suspendu et détaché de la chair du monde, de ce drame en quatre actes. L’Italie, incarnée par Vivaldi, marque enfin le retour à la vie, à une vie se confondant avec le théâtre et l’illusion féerique présidant au carnaval de Venise, qui conclut, en forme de feu d’artifice symbolique, ce Voyage en Europe rêvé et fantasmé.

Au fil des tableaux, on retrouve mis en scène, de manière significative, un même couple de protagonistes - le Marquis et la Marquise de Sablé - choisi en quelque sorte comme fil conducteur et prétexte à l’exposé des différentes situations et ambiances nées du voyage. Sans doute ces saynètes sont-elles moins à voir comme des cartes postales, recourant au pittoresque du costume d’époque, que comme des images indissociables les unes des autres, se reflétant et s’appelant nécessairement, évocatrices enfin d’une même réalité, celle de cette "comédie aux cent actes divers" qu’est l’existence humaine. Mises bout à bout, appréhendées dans leur unité, à la manière d’un kaléidoscope, elles sont ainsi à même de nous faire éprouver, bien au-delà de la couleur locale, la coïncidence ultime des contraires et le chatoiement incessant propres au baroque.

Les danseurs de Marie-Geneviève Massé sont au demeurant merveilleux, d’une séduction toute juvénile et d’une harmonie remarquable dans les duos ou les ensembles, où, en dépit de l’effectif restreint, leur reflet semble pour ainsi dire se démultiplier dans la nuit à peine éclairée, comme pour les faire paraître plus nombreux. La virtuosité qu’ils montrent dans l’exécution de cette dentelle de petits pas – glissés, battus ou chassés - qui caractérise le langage chorégraphique est en soi remarquable, mais elle l’est surtout parce qu’elle demeure inséparable de l’expression théâtrale, toujours subtile. Le mouvement n’est en soi ni spectaculaire ni grandiose, mais il s’enrichit et s’embellit constamment de l’ornementation qui donne sens et étoffe à l’oeuvre. De la haute couture.


Marie-Geneviève Massé, conception et chorégraphie
Marie Blaise, assistante
Olivier Bériot, costumes
Marie-Geneviève Massé, Jean-Marie Abplanalp, décor
Carlos Perez, lumières

Avec sept danseurs de la Compagnie l’Eventail : Marc Barret, Bruno Benne, Anne-Sophie Berring, Emilie Bregougnon, Olivier Collin, Adeline Lerme, Enora Mantel

Musique sur bande enregistrée

Voyage en Europe, ballet en quatre tableaux

1er tableau : la France "être et paraître"

Extraits d’Opéras-ballets de Campra, Destouches, Lully
Chorégraphies de Pécour et Feuillet, maîtres à danser du XVIIIème siècle

2e tableau : l’Angleterre ou le drame
Suite de Dioclesian (1690) de Henry Purcell (1659-1695) par le Freiburger Barockorchester, dir : Gottfried Von der Goltz
Chorégraphies : Marie-Geneviève Massé

3e tableau : l’Allemagne ou la nostalgie
Sonate en mi mineur pour deux violons et basse continue (1682) de Johann Rosenmüller (1619-1684), par La Petite Bande, dir : Sigiswald Kuijken
Chorégraphies : Marie-Geneviève Massé

4e tableau : l’Italie ou le carnaval
Concerto pour luth en ré mineur RV 540, Trio en sol mineur RV 85 d’Antonio Vivaldi (1678-1741), par l’ensemble Il Giardino Armonico
Chorégraphies : Marie-Geneviève Massé

Création en 2000
Coproduite par le Festival de Sablé et l’Opéra de Lausanne
Reprise en 2009


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sophia



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MessagePosté le: Lun Sep 07, 2009 6:14 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le Voyage en Europe de Marie-Geneviève Massé se promènera dans quelques villes de France ces prochains mois:

- Le 16 octobre 2009: VOYAGE EN EUROPE accompagné par l'ensemble les Folies Françoises (Patrick Cohen-Akénine) au Grand Théâtre de Bourges

- Le 20 novembre 2009: VOYAGE EN EUROPE accompagné par l'ensemble les Folies Françoises (Patrick Cohen-Akénine) au théâtre/Scène Nationale d'Orléans

- Le 10 décembre 2009: VOYAGE EN EUROPE au Théâtre de Neuilly-sur-Seine

- Les 17 et 18 décembre 2009: VOYAGE EN EUROPE accompagné par l'ensemble les Folies Françoises (Patrick Cohen-Akénine) au Grand Théâtre de Reims


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haydn
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MessagePosté le: Mar Sep 29, 2009 11:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les comptes-rendus de Sophia sont maintenant enfin en ligne sur le site de Dansomanie, les photos d'illustration - un peu artisanales... - fournies par le service de presse du Festival de Sablé ayant quelque peu tardé à venir :


Festival de Sablé-sur-Sarthe 2009

ou

www.dansomanie.net, rubrique "Critiques & Comptes-rendus"





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