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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Sam Déc 12, 2015 4:13 pm Sujet du message: |
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Quelques nouveaux retours dans la presse :
Culture Box (bon, c'est surtout pour les vidéos que je signale)
Les Echos
Financial Times
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Marie-Ange
Inscrit le: 12 Déc 2010 Messages: 335 Localisation: Paris
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Posté le: Mar Déc 15, 2015 12:25 pm Sujet du message: |
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Hier soir Marie Agnès Gillot était très en forme, Polyphonia, très applaudie, trouva la dimension musicale et poétique qui manquait dans la prestation de Laura Hecquet. Sauf l'interprétation de Sae Eun Park, qui a du mal à trouver sa place, cette pièce prend en maturité avec des ensembles de garçons superbes.
Je laisse Alea Sands, dont je n'arrive pas à modeler le puzzle musique lumières et chorégraphie en un tout. Pour donner de l'éclat à cette danse si particulière, j'aurais aussi aimé voir une disponibilité corporelle et une personnalité à la Marie-Agnès Gillot à l'heure où son corps pouvait, Sofiane Sylve ou Sylvie Guillem.
Et Le Sacre chef d'oeuvre! Avec une Alice Renavand qui donne sa vie!
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dounits
Inscrit le: 18 Déc 2012 Messages: 65
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Posté le: Mer Déc 16, 2015 12:06 pm Sujet du message: |
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Retour rapide sur la représentation d'hier mardi :
Quel ennui pendant les deux premières pièces...
Pour le Wheeldon, des pièces de Ligeti intéressantes, mais sur le plan chorégraphique, une impression d'avoir déjà vu 20 fois ce ballet, très lisse, oserais-je dire très banal : présentation des 4 couples qui se retrouvent à la fin, chorégraphie essentiellement frontale, des canons, de la symétrie et des figures géométriques... Les seuls passages intéressants (notamment le-les je ne sais plus pas de deux entre Baulac et Paquette) restent pour moi des "trouvailles" qui n'ont pas été suffisamment exploitées. Entre parenthèse, L. Baulac m'a agréablement surpris, moi qui ne suis pas un grand fan de cette danseuse dans le répertoire classique, mais elle a démontré de belles qualités physiques adaptées à ce type de répertoire (quelle belle souplesse de dos !)
Le McGregor : effets lumières et son à la JM Jarre au début, pourquoi pas sauf que ça devient trop vite une musique à la carrure trop "carrée" (on ne sortira donc jamais du 4/4...) qui revient comme un cheveu sur la soupe à la fin. Bon. Très belle performance au passage du violoniste qui a été le véritable intérêt pour moi de cette pièce. Malgré la présence de MA Gillot (qui ne semblait malheureusement pas convaincue, n'allait pas au bout du mouvement) et de Baulac à nouveau, je n'ai pas du tout cerné le langage qu'a voulu exploiter le chorégraphe. De plus, je trouve que les danseurs de l'Opéra de Paris (en tout cas cette distribution) sont beaucoup trop "sages" et trop raides pour ce type de mouvements. Excepté J. Bélingard pour qui cela a l'air plus instinctif. En résumé, une pièce qui se prend beaucoup trop au sérieux et qui, pour paraphraser Erik Satie, se "regarde" la tête entre les mains.
Alors oui, évidemment le Sacre est ce que l'on retiendra en sortant, et pas seulement parce qu'il est placé en dernier ou parce que les deux autres pièces sont en deçà de son niveau. Cette pièce semble avoir créé une symbiose entre les éléments qui la composent : monument musical, qui personnellement me prend aux tripes pendant 35 minutes même à la 250ème écoute, scénographie, inventivité chorégraphique (langage, espace scénique, musicalité), investissement des danseurs (que l'on entendait respirer très fort pendant les passages plus piano, ce qui donne encore plus d'intensité à l'oeuvre), etc. L'élue de la soirée était à ma grande (et agréable surprise) L. Galloni. Je ne sais pas si elle l'a déjà dansé dans cette série, mais elle avait l'air bouleversée lors des saluts, qui ont de ce fait pour moi été totalement intégrés à l'oeuvre, je n'arrivais pas à décrocher mon regard de la danseuse. Très bel investissement (croissant) de sa part, on pouvait ressentir à la fois l'accablement, le désespoir du personnage et la décharge émotionnelle qu'éprouvait visiblement l'interprète (la danse sacrale doit en effet être un moment artistique unique dans une carrière).
Bref, oui, le Sacre de Pina Bausch est un chef-d'oeuvre, et il ne sert à rien de se priver de le rappeler.
Dernière édition par dounits le Jeu Déc 17, 2015 12:06 am; édité 1 fois |
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Ambrine
Inscrit le: 10 Déc 2008 Messages: 297
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Posté le: Mer Déc 16, 2015 4:17 pm Sujet du message: |
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Je partage complètement cet avis.
Hier soir Letizia Galloni, l’élue, semblait anéantie pendant les saluts, parvenant à peine à sourire. Elle s’est fondue dans son rôle qui l’a visiblement sonnée et sans point de comparaison avec les élues qui l’ont précédée, on ne peut qu’être terrifié par sa performance.
Le fait que l’élue ne soit pas dévoilée dans la distribution intensifie le dénouement.
En fin de compte, on reste angoissé du début à la fin.
Je tiens à dire à tous ceux qui ont vu et revu ce Sacre de Pina et qui doutent de l’intemporalité de ce chef d’œuvre, qu’il reste fascinant de bout en bout quand on le découvre aujourd’hui comme c’était mon cas, un bonheur de chaque note, chaque pas, chaque sursaut, un roc qui résistera probablement à toutes les modes.
Le reste de la soirée s’est révélé, en ce qui me concerne aussi, piteux.
Polyphonia - paradoxalement harmonieux malgré sa suite d’équilibres compliqués, ses dos étrangement renversés, ses enchainements inattendus - ennuie quel que soit l’investissement des danseurs.
Quant à Alea Sands, il achève d’assommer.
D’abord c’est rigolo, toute la salle têtes renversées vers le plafond. Cela crépite, cela clignote, cela surprend, cela fait sourire mais aussi cela perdure, cela torture les cervicales, cela fige le sourire, cela finit par décontenancer ou agacer.
Viennent ensuite, je ne sais plus dans quel ordre, les sonneries stridentes, la luciole hystérique sur fond de scène, les éclairs. C’est foutu. Les danseurs (hormis Léonore Baulac) ne changeront rien à cette ambiance plombée et la chorégraphie inventive non plus.
Il fallait bien 25 minutes d’entracte pour s’en remettre et le ballet des balais non par dépit applaudi
Dernière édition par Ambrine le Mer Déc 16, 2015 6:49 pm; édité 1 fois |
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Mer Déc 16, 2015 5:21 pm Sujet du message: |
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Jimagine que Letizia Galloni a fait un tabac dans Le Sacre, cela convient parfaitement à son tempérament. Dommage qu'on ne l'ait pas eu aussi sur la Bayadère. Cela dit, le choix de l'Elue, même s'il ne figure plus sur les distributions mises en ligne, n'est absolument pas décidé aléatoirement au cours de la représentation, et Letizia savait que ce serait elle. |
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Bernard45
Inscrit le: 06 Avr 2008 Messages: 498 Localisation: Orléans
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Posté le: Mer Déc 16, 2015 5:31 pm Sujet du message: |
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haydn a écrit: |
Cela dit, le choix de l'Elue, même s'il ne figure plus sur les distributions mises en ligne, n'est absolument pas décidé aléatoirement au cours de la représentation, et Letizia savait que ce serait elle. |
A tel point que la distribution de l'Élue a figuré quelques jours sur le site de l'ONP avant d'être retirée.
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Ornella
Inscrit le: 03 Mai 2013 Messages: 363 Localisation: Versailles
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Posté le: Mer Déc 16, 2015 5:38 pm Sujet du message: |
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J’étais aussi à la représentation d’hier. C’était mon unique chance de voir Letizia Galloni dans Le Sacre, j’étais curieuse de découvrir l’interprétation de cette danseuse qui m’a tapé dans l’œil depuis plusieurs saisons.
J’ai bien aimé Polyphonia, mais je ne pense pas que je m’en souviendrai très longtemps. Mon passage préféré a été le solo de Juliette Hilaire, j’ai été charmée par la musique et la chorégraphie. C’était une belle manière pour moi de "faire connaissance" avec cette danseuse.
Léonore Baulac excelle dans ce registre, on ne peut pas le nier. La muse de Benjamin Millepied se distingue ici par sa sensualité, sa luminosité.
J’ai retrouvé avec plaisir Mélanie Hurel, si fraîche alors qu’elle approche de la retraite. Sa danse est précise et vivace, et à chaque fois, elle semble très impliquée.
Les hommes ont moins attiré mon attention, mais Pierre-Arthur Raveau semblait bien en forme.
Passons à la suite des festivités : Alea Sands.
Puis-je sauver quelque chose dans ce ballet ? À part le début, très original, j’ai eu beaucoup de mal à maintenir de l’intérêt pour ce qui se passait sur scène. Même en me focalisant sur les interprètes, j’étais trop déconcentrée par la musique, qui n’a suscité chez moi que de l’angoisse. Un moment pénible, donc, sans oublier les costumes assez laids et une chorégraphie trop alambiquée à mon goût. Ça s’arrange un peu vers la fin, mais ce n’est décidément pas "ma came". Bref, cette looongue demi-heure n’aura eu qu’un avantage : apercevoir Jérémie Bélingard sur scène (et aussi Marie-Agnès Gillot).
J’étais donc impatiente que commence Le Sacre, dont j’avais tant entendu parler. J’avais peur d’en attendre trop et d’être déçue, mais ce n’a pas été le cas. Sans pouvoir l’expliquer, on est happé dans cette œuvre du début à la fin. L’émotion surgit à des moments où l’on ne s’y attend pas. C’est presque mystique, pour le public comme pour les artistes. Je tenais à voir Letizia Galloni dans le rôle de l’Elue et elle a atteint un état de transe déstabilisant et bouleversant.
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Vivip27
Inscrit le: 30 Mar 2015 Messages: 15
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Posté le: Sam Déc 19, 2015 1:56 am Sujet du message: |
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j'étais également à la représentation de mardi soir, et si je pouvais faire un copie/coller se serait le commentaire d'Ornella.
Nous avons, à priori ressenti les mêmes émotions.
J’ai aimé Polyphonia, c'est un ballet agréable à regarder, et je dois dire que mon coup de coeur a été le solo de Juliette Hilaire, j’ai été charmée par son travail de jambes et sa musicalité. J'ai déjà vu Juliette danser plusieurs fois, et j'ai été heureuse de pouvoir la regarder seule, à sa juste place et juste valeur.
Léonore Baulac excelle dans ce registre, elle crève littéralement la scène. je comprends davantage qu'elle soit l'une des "élues" de Benjamin Millepied.
J'ai beaucoup aimé son couple avec Karl Paquette.
Le duo des deux garçons, Pierre-Arthur Raveau et Emmanuel Thibault, m'a scotchée, j'ai vraiment aimé leur prestation. ce n'est pas à proprement parler le ballet, mais ce sont eux, au travers de leur personnalité, qui m'ont fait voyager.
Pour le ballet Alea Sands, je pense que définitivement Wayne Mac Gregor et moi ne sommes pas faits "l'un pour l"autre".
La seule qui est parvenue a attirer mon oeil, c'est encore Léonore Baulac... par sa fraicheur, son expressivité.
Le plaisir aussi de voir danser (enfin) Jérémie Bélingard sur scène.
Pour le reste un grand BOF, les costumes sont franchement laids, et ne mettent absolument pas les corps en valeur, bien au contraire, ils soulignent les défauts (et pourtant ils n'en ont pas beaucoup).
Et la musique, m'a littéralement angoissée, j'étais crispé "poings serrés"... Je me suis même fait la réflexion pendant le ballet (pour dire si j'étais absorbée par ce que je visualisais)..."pourquoi serres-tu les poings alors que tu es censée te détendre?"
J'entends tout le monde dire que cette soirée va crescendo, pour moi, pas du tout...un gros FLOP pour le numéro 2...dommage!
J’étais donc impatiente de découvrir Le Sacre du printemps et le travail de Pina Baush. J'en ai tellement entendu parler. J’avais, comme Ornella, peur d’être déçue. Ce ballet vous emporte littéralement. L’émotion surgit, on a envie d' aller aussi sur scène, de se rouler et de courir dans la terre. Je pensais vraiment voir Alice Renavand ou Eleonora Abbagnato, et c'est Letizia Galloni qui a été l’Elue et elle a atteint un état de transe déstabilisant et bouleversant. S bien que, pendant les saluts, elle n'était plus là. Bravo pour cette très belle performance.
J'aurais voulu que ce ballet soit repris 2 fois encore... avec Alice et Eleonora pour vivre avec chacune de ces personnalités leur "transe", ça doit être intéressant de pouvoir les comparer.
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3624
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Posté le: Mer Déc 23, 2015 1:09 am Sujet du message: |
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De retour de la représentation de ce mardi 22, couronnée par une Letizia Galloni absolument extraordinaire, incarnant de façon géniale le personnage de l'Elue, complètement incarnée, vécue de l'intérieur, somptueusement tragique. Une très grande surprise en ce qui me concerne ! - et encore un beau talent de la génération montante à l'ONP
De façon générale, le Sacre a inévitablement été le grand moment de la soirée, avec une compagnie en forme et bien engagée. Concernant les deux autres pièces :
- Le Wheeldon n'est pas si nul, le problème est qu'il est mal dansé. Non pas que les danseurs ne soient pas à la hauteur techniquement - en dehors d'une chute évitée de justesse et de quelques problèmes de synchronisation qu'on attribuera au "pas de chance"-, mais il leur manque clairement le style Wheeldon, cet élan, cette ampleur dans les mouvements, cette générosité. Tout est beaucoup trop sage, étroit, timide, sans éclat. Qu'on se le dise : jardin à la française où rien ne dépasse et chorégraphies de Wheeldon sont absolument incompatibles, il faudra que l'ONP en tienne compte s'ils reprogramment des oeuvres de ce chorégraphe à l'avenir... (Après on peut retourner l'argument à l'envers et se demander quel intérêt il y a à forcer les danseurs de l'ONP à danser du Wheeldon si c'est aussi éloigné de leur ADN...). Dansés comme ce soir, les "full length" triomphaux du Royal Ballet qu'ont été Alice et Winter's tale auraient probablement fait flop à la création... Seul éclat de peps et proche du style requis, Léonore Baulac, qui se distingue très nettement au sein de la distribution de ce soir.
- McGregor peut être capable du meilleur, du pire et... du "bof sans plus". De meilleur à Paris on a vu L'Anatomie de la sensation, et à Londres sa création au printemps dernier "Woolf's Works" a bien résumé son style : un 1er acte pas mal, un 2e acte à fuir (sorte de cours de stretching), un 3e acte absolument génial. La pièce créée à Garnier ce mois-ci est plutôt dans la catégorie "pas mal sans plus"...
Ca démarre plutôt bien, et il y a çà et là de beaux moments, mais le défaut majeur, comme de plus en plus souvent dans les chorégraphies contemporaines, McGregor n'étant pas le seul à avoir cette faiblesse, le tout manque de forme, de structure, de sens : ça peut se terminer 10 minutes avant, 10 minutes après, le résultat serait le même, on ne comprend jamais où il veut en venir, pourquoi ces mouvements, pourquoi ces belles images, il n'y a pas de tension, de conduite vers des climax, c'est joli et c'est tout. Mais là aussi il manque sans doute au Ballet de l'ONP une sorte de niak, de peps, d'ampleur du geste, l'ensemble est très propre et bien maîtrisé, mais il est certain que quand le RB joue McGregor il aligne sur le même plateau le même soir des tornades telles que les Osipova, Morera, Nunez, Yanowsky et autres Mc Rae ou Campbell, ça met immédiatement le feu au plancher...
Le seul intérêt de la pièce de ce soir était la remarquable interprétation de l'oeuvre de Boulez par le fiston Barenboim : c'était un très grand plaisir d'entendre cette oeuvre aussi bien jouée et surtout, saluons la performance consistant à interpréter cette oeuvre si complexe rythmiquement tout en soutenant les danseurs, la moindre erreur de rythme pouvant leur être fatale. Un bien beau musicien ! Par ailleurs j'ai été agréablement surpris de constater que la musique de Boulez avait plutôt bien vieilli, moi qui il y a 20 ans avais prédit qu'elle vieillirait plus vite que celle de tous ses prédécesseurs, eh bien je m'étais trompé.
Pour l'anecdote, j'étais ce soir avec des amis et leur fils de 7 ans, qui a adoré la musique de Boulez. Manquerait plus qu'on doive l'emmener aux concerts de l'Ircam maintenant... 
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serge1 paris
Inscrit le: 06 Jan 2008 Messages: 877
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Posté le: Ven Déc 25, 2015 12:47 pm Sujet du message: |
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Cela reste un plaisir immense de revoir le Sacre de Pina Bausch.
Pour le reste, Polyphonia n'a rien de désagréable et j'ai trouvé qu'Amandine Albisson y cultive en scène une certaine ressemblance avec Aurélie Dupont.
Le McGregor a été par contre pour moi une véritable purge.
L'hommage à Boulez me parait aller carrément à l'encontre de son objectif et on cherche la musique derrière les bruitages divers. Mais ce sont certainement les costumes qui m'ont le plus défrisé. Je crois bien n'avoir jamais vu des justaucorps qui enlaidissent à ce point les danseurs. Avec de tels atours, ils ont tous l'air courts sur pattes avec un énorme popotin.
3O minutes un peu difficiles à passer..
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Ambrine
Inscrit le: 10 Déc 2008 Messages: 297
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Ven Déc 25, 2015 9:01 pm Sujet du message: |
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Heu c'est la musique de Boulez que vous n'aimez pas ou y avait-il un défaut de sonorisation? Je ne comprends pas exactement le sens de votre remarque. |
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Ambrine
Inscrit le: 10 Déc 2008 Messages: 297
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Mer Déc 30, 2015 10:37 pm Sujet du message: |
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Apparemment Laura Hecquet a été remplacée par Sofia Rosolini ce soir dans "Alea Sands". Elle est censée danser Nikiya demain soir à la Bastille.  |
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Nati
Inscrit le: 06 Nov 2013 Messages: 123 Localisation: Paris
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