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Artem
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Artem
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Artem
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Artem
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Artem
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Artem
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Artem
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 Posté le: Lun Fév 09, 2015 12:01 pm Sujet du message: Fitzgerald dans les montagnes russes |
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"Fitzgerald dans les montagnes russes". Ariane Bavelier
"La passion, la folie, le cabotinage. Telle est la signature de Boris Eifman qui s'aventure une fois de plus en terres psychiatriques. Son Tendre est la nuit, sur un audacieux assemblage de Schubert, Gershwin et Berg («Petipa aussi pratiquait le collage musical», lâche-t-il), commence et finit à l'asile. D'abord par l'arrivée de Nicole Warren, schizophrène à cause d'un père incestueux, qui précisément vient la confier au brillant Dr Dick River. Et à la fin, Dick River, qui avait quitté ses malades pour épouser Nicole et veiller sur elle, retourne à l'asile, mais parmi les aliénés. Entre-temps, le ballet Eifman, dopé à la splendeur des Années folles, aura emporté le spectateur dans une pièce qui a le glamour de l'Amérique et la puissance tumultueuse de la Russie éternelle...."
http://www.lefigaro.fr/culture/2015/02/09/03004-20150209ARTFIG00023-fitzgerald-dans-les-montagnes-russes.php
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Artem
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sophia
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| Posté le: Mar Fév 10, 2015 1:35 am Sujet du message: |
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| Le programme du spectacle du TCE mentionne, parmi les solistes du Ballet Eifman, Lilia Lishchuk (une ancienne danseuse du corps de ballet du Mariinsky qui y eut son heure de gloire pendant quelques mois - elle avait notamment dansé le rôle de la Fée des Lilas), Isabelle McGuire Mayers (une récente diplômée - britannique - de l'Académie Vaganova), Jiri Jelinek (ancien danseur étoile du Ballet de Stuttgart - il a un rôle important dans Up and Down), Pavel Moskvito (ancien danseur étoile du Ballet de Dresde et époux de Natalia Sologub, revenue elle aussi de Dresde et apparemment maître de ballet de la compagnie).
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Artem
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paco
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| Posté le: Jeu Fév 12, 2015 12:19 pm Sujet du message: |
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J'ai eu du mal à "entrer" dans ce spectacle, peut-être aussi parce que le vent et la brouillasse glaciale qui régnaient à Paris ce soir-là m'avaient assommé sur le chemin avant même d'arriver au TCE...
En fait j'ai eu du mal à accrocher car l'ensemble est vraiment un patchwork assez décousu. Patchwork musical d'abord, où tous les tubes que l'on peut imaginer y passent, de Schubert à Gershwin, sans que l'on en comprenne la logique. Patchwork chorégraphique ensuite, avec un côté trop "pièces de puzzle éparpillées", où il manque un lien, une progression, une construction, indispensables dès lors que l'on se lance dans un ballet narratif. Avec comme résultat que ces 2 heures me sont passées devant les yeux sans que je ressente la moindre émotion ou que je ne me sente concerné par ce qui se déroulait sur scène.
Ceci étant, la troupe est de bon niveau, avec de vraies personnalités, et le spectacle était très bien préparé. Une belle succession d'images et de mouvements en quelque sorte, mais pour que j'en ressorte en disant "ah oui !" il manquait quelque chose.
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Artem
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Artem
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Artem
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Artem
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