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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Mar Juil 08, 2014 12:42 am Sujet du message: |
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Et les deux autres héros de la soirée, Diana Vichneva et Evan McKie
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LucyOnTheMoon
Inscrit le: 18 Nov 2008 Messages: 984
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Posté le: Mar Juil 08, 2014 2:11 am Sujet du message: |
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Merci pour les photos !
Félicitations à Christophe Duquenne pour sa belle carrière à l'ONP et je lui souhaite un aussi bel avenir. Sait-on ce qu'il va faire par la suite ?
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Edouard
Inscrit le: 22 Fév 2012 Messages: 26 Localisation: Paris
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Edouard
Inscrit le: 22 Fév 2012 Messages: 26 Localisation: Paris
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Posté le: Mar Juil 08, 2014 6:15 am Sujet du message: |
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Christophe va enseigner à l’Ecole de Danse de l’Opéra national de Paris. Quatrième division garçons.
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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LucyOnTheMoon
Inscrit le: 18 Nov 2008 Messages: 984
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Posté le: Mar Juil 08, 2014 10:56 am Sujet du message: |
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Edouard a écrit: |
Christophe va enseigner à l’Ecole de Danse de l’Opéra national de Paris. Quatrième division garçons. |
Ce n'est pas Wilfried Romoli qui enseignait dans cette division ?
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chien en peluche
Inscrit le: 29 Oct 2011 Messages: 1977
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Joelle
Inscrit le: 06 Avr 2013 Messages: 882
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ElenaK
Inscrit le: 24 Avr 2013 Messages: 817
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Posté le: Ven Juil 11, 2014 2:18 am Sujet du message: |
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Du Chopin à profusion, (dont un ballet de Robbins) pendant deux soirées de suite au Mariinski, m'a rappelé que moi aussi j'avais assisté à la représentation du 5 juillet. Le choix que j'ai dû faire pour cette soirée ce n'était pas entre Bastille et Garnier, mais entre Paris, pour voir Vichneva dans Psyché, et Saint-Petersbourg, pour revoir Lopatkina dans la Légende de l'amour et, par la même occasion, voir Olessia Novikova faire ses débuts en Shirin. C'est Vichneva qui a remporté (théoriquement, il y a plus de chance de revoir Ouliana Lopatkina et, surtout, Olessia Novikova dans la Légende de l'amour que de retrouver Diana Vichneva dans Psyché) et je suis heureuse de ne pas avoir à regretter mon choix. Tout y a été : une héroïne touchante, suscitant la compassion et combinant l'humour subtile et la volupté, un partenariat tout à fait convainquant avec Evan McKie, sans parler de l'aisance technique. C'est le genre du répertoire dans lequel, à présent, je trouve Vichneva la plus organique et que, visiblement, elle prend beaucoup de plaisir à danser.
Evan McKie s'est montré un Éros... excentrique. L'acharnement avec lequel son personnage lançait les flèches dans tout ce qui bouge, tel un gamin gâté, m'a surprise, mais ça va assez bien avec le sens de l'humour de Ratmanski et l'ironie avec lequel le chorégraphe a traité le sujet (la scène finale en est la preuve ultime), comme d'habitude d'ailleurs. Les sœurs de Psyché semblent sortir tout droit de son ballet Cendrillon.
Dances at the Gathering est une belle occasion de comparer les styles différents des solistes, surtout des femmes . Ainsi, j'ai vu, dans l'ordre d'apparition : une jeune et séduisante aristocrate (Nolwenn Daniel, ma préférée dans ce ballet), une princesse romantique (la fraîcheur juvénile d'Amandine Albisson ne cesse pas de me surprendre), une campagnarde (j'ai eu l'impression que si les autres filles dansaient la pure (néo)classique, Christelle Granier, la demoiselle en bleu, avait une approche un peu différente et, de temps en temps, les notes plutôt folkloriques pouvaient se lire dans sa danse), une snob (je n'ai pas compris pourquoi Valentine Colasante a rendu son personnage si autoritaire) et une... Je ne me permettrais pas de définir le style de Sabrina Mallem par le mot "vulgaire", mais, à mon goût, le solo "La maîtresse de maison" l'a été un peu. Heureusement, ça s'est estompé par la suite pour laisser de la place à une délicieuse frivolité imposée par la partition. Une association, peut-être pas suffisamment justifiée, avec les personnage d'un roman de Tolstoï, m'est venu à l'esprit pendant la séquence "Les trois sœurs" : Natacha Rostova (Amandine Albisson, en rose), Sonia (Christelle Granier, en bleu) et Hélène Bezoukhova (Valentine Colasante, en mauve).
Parmi les messieurs, j'ai surtout admiré Mathieu Ganio (en brun, mais je ne comprends pas quel est le rapport entre cette couleur et sa chemise) et Pierre-Arthur Raveau (en vert) et regretté l'absence de Christophe Duquenne, initialement distribué dans cette représentation (en bleu).
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Katharine Kanter
Inscrit le: 19 Jan 2004 Messages: 1477 Localisation: Paris
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Posté le: Jeu Juil 31, 2014 10:48 am Sujet du message: |
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Having seen a couple of these performances, little K was not a happy camper.
The first and most important thing that springs to mind, is this: I have to ask, is there not a special men's class daily ? There is one way of dancing for the woman, and one way of dancing for the man. The two styles are NOT interchangeable. There is one way of port de bras for the man, and one way for the woman, one way of using the eyes and facial muscles for the woman, and another for the man. NOT interchangeable.
Here we have these great hulking lads,, most over six foot tall, daintily flopping their wrists, pointing their index finger (WHEN will that stop?), coyly admiring an (over-) pointed toe, or faintly drooping the head into the middle-distance as though moon-struck.
We have GOT TO CUT THIS OUT.
Bring back the men's class, PRONTO.
Secondly, I believe we have missed the boat with the Robbins. "Dances" is full of irony, in the English, not the French acceptation of the term. No-one in this ballet is to take himself seriously. As someone familiar with the original cast has explained, Robbins was having a May '68 moment. It was wearing a beard and moustache when that was frowned upon, riding round in shabby vans when everyone else was in Cadis, and so forth. The cast has got to think themselves back into that state of mind, USE YOUR IMAGINATION, gang! It was fifty years ago, ancient history, THINK YOURSELF BACK TO THAT TIME as though it were pre-historic, and you will get it.
And Robbins did not want people to force the body. It is not about making rock-hard, glossy, varnished poses. It is about MOVING.
Finally, what I consider to be the single, biggest POB flaw: dancing as though one were looking at oneself in the glass. I am really cheesed off with this. And possibly not the only individual on the planet so cheesed off with this self-regarding, self-absorbed, Beautiful Body Beautiful Me mindset. That mindset is NOT an artistic emotion. Which is one of the reasons why one might suggest thinking twice before becoming over-involved in advertising campaigns for furs, perfurmes and so forth.
It feeds into the BOOTIFUL ME problem.
Gang, stop looking at yourself, stop thinking about yourself, and go out there and dance.
If your teachers are unhappy with it and give you hell, it's their problem, not yours. Nor the audience's. The poor sods've come to see you DANCE, not to look in on your attempts to get a good mark from Teach.
Suggestion: draw curtains over the looking-glass in every studio for the next five years. There may be no going back!
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