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haydn
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 Posté le: Lun Nov 04, 2013 6:29 pm Sujet du message: |
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Danielle Gabou
Transe
Création à Chaillot
Avec le film de Jean Rouch Mammy Water (1956)
Conception
Danielle Gabou
Coordination du projet
Jean-Yves Camus
Chorégraphie
Julien Ficely
Musique
Marco Marini
Vidéo, lumières
Olivier Bauer
Costumes
Rachel Brayer
Avec Danielle Gabou
Salle Maurice Béjart
Du 5 au 9 novembre 2013
Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, 20h30
Samedi, 17h
Durée 40 minutes
Renseignements : 01 53 65 30 00 / internet : www.theatre-chaillot.fr
Tarifs : 20 € plein tarif, 15 € tarif réduit, 8 € tarifs jeunes
| Citation: |
Danielle Gabou ne laisse jamais indifférents ceux qui assistent à ses spectacles. Sa beauté et sa puissance sont mises au service d’une passion inassouvie de dire et de mettre au jour par le corps, l’espace et l’image, des questionnements profonds sur l’identité, la culture et le statut de la femme.
Tout commence par une rencontre. Celle entre Danielle Gabou, chorégraphe et danseuse, et Julien Ficely, interprète puis chorégraphe pour le Ballet de Lorraine – pour lequel il a notamment créé en 2010 le quatuor Ô. Née à Paris de parents ivoiriens, Danielle Gabou se passionne pour l’oeuvre du cinéaste et ethnologue Jean Rouch, auteur de précieux documentaires sur le continent africain dont le film Mammy Water, tourné en 1956 au Ghana. Consacré à la divinité de la mer, ce reportage met en scène une communauté de pécheurs confrontée à une pénurie de poissons. Selon la croyance locale, celle-ci ne peut être due qu’à la colère des esprits et de la déesse, d’autant que l’évènement coïncide avec la mort d’une prêtresse. Les rites et sacrifices accomplis en l’honneur de celle qui incarne une féminité à la fois bénéfique et menaçante entrent en résonance avec la propre quête identitaire de Danielle Gabou, femme entre deux cultures. Conçu à partir de ces regards croisés, son solo Transe associe les images du film de Jean Rouch et la chorégraphie imaginée pour elle par Julien Ficely. Une expérience totale qui place l’éternel féminin au cœur de la création et part du singulier pour retrouver l’universel.
Isabelle Calabre
La femme a toujours été au centre de mes créations.
La femme comme symbole d’une quête sociale toujours en mouvement.
La difficulté d’être une femme et plus largement la difficulté d’un être humain dans nos sociétés contemporaines. Cette femme est proche de mon histoire personnelle mais je ne suis pas cette femme. Je me nourris de mes expériences pour poser des questions. Pour tenter de comprendre. La scène me permet de vivre, de lutter. Le climat de crise actuelle fragilise mes résistances mais n’atteint pas mes convictions.
Il me serait difficile de continuer de vivre sans la scène. Car vivre pour moi, c’est inventer des formes où l’on peut parler à l’autre. Ces formes peuvent avoir comme point de départ un mot, un geste, un souvenir. Vivre pour moi, c’est vivre en paix parmi les autres dans une
histoire commune. Ce qui me pousse à vouloir réaliser ce projet est la question de l’héritage. Donc la France puisque je suis née en France mais aussi l’Afrique puisque mon père est né en Afrique. Je dois trouver « l’image », « le mouvement » de ce double regard dans le patrimoine culturel Français et Africain. Bien au-delà de l’héritage familial. Il ne s’agit pas de raconter mon histoire personnelle mais de toucher l’intime par l’universel. L’oeuvre de Jean Rouch me permet d’approcher ce que je recherche. Il a filmé dans différents pays d’Afrique dès 1950 et il était Français. Cela fait plus d’un an que je regarde tous les films que j’ai pu trouver de Jean Rouch.
Un film a retenu particulièrement mon attention. Il s’agit de Mamy Water un documentaire sur les pêcheurs ghanéens tourné en 1958.
A partir de ce documentaire, je poursuis ma recherche ayant comme cible le mouvement, le mot, le son. Mes intentions sont de découvrir et d’interroger la valeur de l’héritage des films de Jean Rouch. Peut-on construire une histoire commune grâce au patrimoine culturel
ethnographique laissé par Jean Rouch? Quelle vision avons-nous de l’Afrique d’hier et celled’aujourd’hui? Jean Rouch a créé un oeuvre à partir du vivant, de l’existant. De la rencontre avec l’Autre. Il a approché des vies, des corps en mouvement dans une société. |
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serge1 paris
Inscrit le: 06 Jan 2008
Messages: 877
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| Posté le: Sam Jan 04, 2014 1:27 am Sujet du message: |
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Ballet Preljocaj. Les Nuits. 3 au 19 janvier 2014.
A vrai dire un spectacle assez inclassable.
Plus une revue qu'un ballet avec une suite de cartes postales sans véritable fil conducteur inspirées de Mille et Une Nuits.
Cela commence et finit avec les femmes mais toutes les géométries de la sexualité sont explorées pendant 1h40.
C'est magistralement éclairé et décoré. Les costumes de Alaïa sont à la hauteur de l'enjeu et les danseurs sont spectaculaires.
Comme souvent avec Preljocaj, on passe sans transition de la caresse au coup de poing. Ca prend aussi volontiers des allures "hard" mais c'est finalement plutôt "soft" et tout public.
Le public a d'ailleurs adoré cet Orient "Paris-London-New York". Le spectacle est déjà programmé en tournée internationale et pourrait tout aussi bien faire un carton à Broadway ou à Las Vegas...
En tout cas, celui qui sort de ce spectacle avec la libido en berne est un cas désespéré !
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Joelle
Inscrit le: 06 Avr 2013
Messages: 882
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marc
Inscrit le: 16 Fév 2009
Messages: 1157
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| Posté le: Sam Mar 08, 2014 1:20 pm Sujet du message: |
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| serge1 paris a écrit: |
Ballet Preljocaj. Les Nuits. 3 au 19 janvier 2014.
A vrai dire un spectacle assez inclassable.
Plus une revue qu'un ballet avec une suite de cartes postales sans véritable fil conducteur inspirées de Mille et Une Nuits.
Cela commence et finit avec les femmes mais toutes les géométries de la sexualité sont explorées pendant 1h40.
C'est magistralement éclairé et décoré. Les costumes de Alaïa sont à la hauteur de l'enjeu et les danseurs sont spectaculaires.
Comme souvent avec Preljocaj, on passe sans transition de la caresse au coup de poing. Ca prend aussi volontiers des allures "hard" mais c'est finalement plutôt "soft" et tout public.
Le public a d'ailleurs adoré cet Orient "Paris-London-New York". Le spectacle est déjà programmé en tournée internationale et pourrait tout aussi bien faire un carton à Broadway ou à Las Vegas...
En tout cas, celui qui sort de ce spectacle avec la libido en berne est un cas désespéré ! |
Oh je n'avais pas lu cela. Un cauchemar, cette soirée fut pour moi un cauchemar, mais Preljocaj n'y était pour rien. Tout avait mal commencé : A l'origine je devais voir ce ballet à l'Opéra Royal du Château de Versailles où j'avais pris une belle place. Je n'y suis pas allé parce que j'ai oublié, tout simplement. A la frustration d'avoir jeté l'argent de cette place par la fenêtre s'est ajoutée la frustration de ne pas avoir vu ce spectacle d'un choréagraphe que j'aime beaucoup. Pour combler la deuxième frustration, celle de ne pas avoir vu le spectacle, je me suis donc rabattu sur ce même ballet à Chaillot. Mais là, rien à voir avec les conditions de Versailles. Comme il ne restait plus que cela, j'avais pris une place tout au bout de la deuxième passerelle. Horrible ! J'étais assis de côté sur un siège pivotant qui ressemblait à un siège de bar, et cette place était la plus éloignée possible de la scène de toute la salle. Autrement dit, à Chaillot, cela voulait dire que je voyais le spectacle d'une hauteur d'hélicoptère. Ce que dit Serge1 est certainement exact et explique probablement pourquoi ce spectacle fut un désastre pour moi, car, si l'exposé de la sensualité, de la "sexualité", de l'érotisme se satisfait par essence d'une certaine complicité, d'une proximité, il ne marche pas du tout vu de 15 mètres de haut, en ayant de surcroît mal aux fesses tellement on est mal assis. Quelle déception !  (Et quelle absurdité de programmer un tel ballet dans une salle pareille !)
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marc
Inscrit le: 16 Fév 2009
Messages: 1157
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| Posté le: Sam Mar 08, 2014 2:35 pm Sujet du message: |
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Hier soir, à Chaillot (et non plus sur la passerelle, au deuxième rang ce coup-ci !  ) j'ai vu un spectacle de danse théâtrale tout à fait passionnant. C'était "Et mon coeur a vu à foison" de Alban Richard par l'ensemble "l'Abrupt". Le thème exprimé par la fiche de programme était : "Sur scène, onze interprètes masculins, danseurs, musiciens, acteurs, traversent sept chambres au format et au genre différents : sottie, mystère, moralité, monologue, sabbat... Ces sept chambres sont comme autant de rituels de transe et de théâtre, d'histoires de sang et de fantômes, d'apparitions et de disparitions."
Ces sept tableaux étaient comme des voyages dans le temps, moyen-âge, antiquité, univers de légendes et de contes. Le thème de la transe largement exploré créait une tension dramatique qui maintenait l'attention en alerte permanente. La transe s'exprimait aussi bien par le corps que par les voix, les cris, exigeant des danseurs-acteurs une qualité de performance de très haut niveau. La musique de Robin Leduc mélangeait des sons électroniques avec des percussions et le cuivre d'une trompette, et elle étaient interprétée par 3 musiciens qui participaient par leur présence sur scène au spectacle. Le décor très sobre était astucieusement agencé avec deux rideaux qui barraient la scène selon les besoins de profondeur.
Le premier tableau, "Chambre des souffles", voyait les trois musiciens, debout sur une estrade en fond de scène, revêtus de tenues qui les faisaient ressembler à des spectres, ânonner d'une voix sépulcrale des extraits de Macbeth sur une inquiétante musique électronique, pendant que les danseurs couchés sur scène, dans des poses semblables aux victimes de Pompéi, essayaient de se redresser avec des gestes d'une lenteur accablante, mais échouaient à chaque fois, comme emprisonnés dans une gangue de terre. Impressionnant.
Le deuxième tableau, "Chambre des exubérances", évoquaient les carnavals et les fêtes des fous du moyen-âge. Les danseurs seuls ou à plusieurs, habillés de costumes exubérants se livraient à des danses déchainées, comme ivres d'alcool, ivres de musique, ivres de fête, sur des sons de percussions endiablés. Exaltant ! Et sacrées performances des danseurs !
Le troisième tableau, "Chambre de guerre", n'était pas dansé. Un acteur-danseur, face à la scène, récitait un texte étrange avec une voix et une diction impeccable, la transe étant exprimée par la voix, pendant que deux autres danseurs l'habillaient peu à peu, le faisant passer, de vêtement en vêtement, de guerrier, à pharaon, puis à courtisane. Intrigant et captivant par la performance de la voix.
Le quatrième tableau, "Chambre des danses nocturnes", évoquait le Sabbat, les danses chamaniques. Un danseur seul était pris peu à peu de transe, puis était rejoint par les autres danseurs pour une danse générale de transe primitive, rythmée par des percussions de plus en plus rapides, hypnotiques. Combien de temps ce tableau a-t-il duré ? Longtemps, mais on se s'en lassait pas tant cela évoquait des rythmes vitaux, ceux du corps, du sang dans les veines, des battements du coeur. Excitant et épuisant !
Le cinquième tableau, "Chambre des pleurs et des regrets", évoquait le chagrin de la mort et me faisait penser à la cohorte des pleureuses qui suivaient le pharaon vers sa dernière demeure. Austère et sombrement beau.
Le sixième tableau, "Chambre d'âme et d'amour", était un dialogue d'amour de deux danseurs qui se faisaient face, assis chacun de part et d'autre de la scène sur une estrade, pendant que trois autres danseurs effectuaient des gestes harmonieux et doux avec une lenteur de ralenti de cinéma. Là encore, comme pour "Chambre de guerre", tout concourrait à la mise en valeur sensitive du texte. Intéressant.
Le dernier tableau, "Chambre des huées : Apocalypse", qui s'intéressait au matériel chorégraphique issu des films d'horreur et de possession est celui qui m'a paru le moins abouti, un peu brouillon, un peu confus, un peu trop démonstratif, sans compter la nudité complète d'un danseur qui m'a semblé plutôt inutile dans le contexte, et presque un contresens (la nudité étant quasiment toujours absente des films d'horreur et de possession...)
En tout cas, ce spectacle explosif d'énergie, avec des danseurs performeurs remarquables, une chorégraphie inspirée, a fait que j'ai passé une très bonne soirée.
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marc
Inscrit le: 16 Fév 2009
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Florestiano
Inscrit le: 28 Mai 2010
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marc
Inscrit le: 16 Fév 2009
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Laurine
Inscrit le: 18 Oct 2006
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
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| Posté le: Lun Mai 19, 2014 8:34 pm Sujet du message: |
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Temps forts de la saison chorégraphique 2014-2015
-> 06 - 16 novembre 2014 : Now
Carolyn Carlson - Création pour 7 danseurs sur une musique de René Aubry
-> 05- 12 décembre 2014 : Study #3
The Forsythe company - Rétrospective de 30 ans de créations.
12 décembre 2014 - Soirée d'adieux de William Forsythe, qui quittera la direction de la troupe.
-> 17 - 21 décembre 2014 Naharin's Virus
Ohad Naharin - Batsheva Dance Company
-> 24 - 28 décembre 2014 Decadance Virus
Ohad Naharin - Batsheva Dance Company
-> 05 - 20 décembre 2014 La Cinquième position, une chronique dansée
Andréa Sitter
-> 09 janvier - 06 février 2015 : Contact
Philippe Decouflé / Cie DCA - Spectacle (comédie musicale) en hommage à Pina Bausch (Contact -> Kontakthof)
-> 22 - 30 janvier 2015 : Achive
Arkadi Zaides (Israël)
-> 25 - 28 mars 2015 : Not Here / Not Ever
Cie Carte Blanche (Norvège)
-> 01 - 04 avril 2015 : Lied Ballet
Thomas Lebrun, sur des musiques de Schubert à Schoenberg
-> 05 - 13 mai 2015 Aux corps prochains (sur une pensée de Spinoza)
Denis Guénoun - librement adapté de l'Ethique de Baruch Spinoza
-> 05 - 13 mai 2015 Light Bird
Luc Petton - Avec 4 danseurs et 4 grues (la bestiole, pas l'engin de travaux publics!) de Mandchourie actuellement en cours de dressage.
-> 20 - 29 mai 2015 Tubes!
Philippe Jamet
-> 28 - 30 mai 2015 Paradoxe Mélodie
Danièle Desnoyers (Canada)
-> 03 - 06 juin 2015 : spécial Australie #1 Complexity of Belonging
Falk Richter / Anouk Van Dijk / Chunky Move
-> 03 - 06 juin 2015 : spécial Australie #2 Dual
Stephanie Lake
-> 03 - 06 juin 2015 : spécial Australie #3 Multiverse
Garry Stewart - Australian Dance Theatre
-> 12 juin - 03 juillet 2015 : La Joyeuse (titre provisoire)
José Montalvo, librement adapté du Sacre du printemps, "ballet pour vieux libidineux", selon le chorégraphe. Dans cette version, "la beauté irradiante de l'Elue rendra les hommes bons".
La saison 2014-2015 sera aussi prétexte à la seconde Biennale d'Art Flamenco (la première avait connu un grand succès en 2012-2013) :
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26657
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Stellina
Inscrit le: 03 Nov 2011
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| Posté le: Mar Mai 27, 2014 9:07 pm Sujet du message: |
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ATTENTION - ANNULATION DON QUICHOTTE DU TROCADERO
Toutes les représentations à venir du spectacle "Don Quichotte du Trocadero" de Montalvo ont du malheureusement etre annulées à cause d'une blessure d'un des danseurs.
Vous pouvez vous faire rembourser votre place ou l'échanger avec une place pour un des spectacles à venir sur le mois de juin.
C'est vraiment dommage car j'avais bien aimé ce ballet
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france
Inscrit le: 03 Fév 2011
Messages: 29
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| Posté le: Dim Juin 15, 2014 12:04 am Sujet du message: |
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Hier soir, j'ai assisté à la dernière représentation de LAC, de Jean-Christophe Maillot avec le Ballet de Monte Carlo. J'ai beaucoup aimé cette version que je découvrais notamment les costumes, la reine de la nuit et le trio formé avec ses "archanges", le tourment du cygne blanc et bien sûr la musique (enregistrée et un peu forte). J'ai trouvé les danseurs plein de tonus et d'allant, le spectacle bien rôdé, la chorégraphie originale tout en restant dans la narration. J'ai un peu moins aimé les portés qui ne m'ont pas toujours paru très "beaux". Enfin, je me suis laissé porté par la fin tragique de l'histoire et reste marquée par l'immense voile noir tourbillonnant de la dernière scène.
Merci pour le spectacle qui s'est terminé par un autre spectacle : une lune rougeoyante et pleine qui se levait à côté de la Tour Eiffel...
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