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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Jeu Juin 13, 2013 11:19 am Sujet du message: |
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Qu'ils soient entrés à cette époque dans un système marchand, c'est bien possible, mais de manière générale, ni Béjart ni Roland Petit ne se voulaient "élitistes", même au sommet de leur créativité et de leur succès. Je crois que c'est surtout la perte d'inspiration, avec ses effets corollaires (redites, kitschitude... et pour Béjart, cet insupportable salmigondis mystico-new age qui vieillit si mal), qui, chez l'un comme chez l'autre, a petit à petit fait son oeuvre - fatale.
Avec Pina, évidemment, on est dans un autre monde. J'aurais aimé voir ça. Malheureusement, lorsqu'on n'est pas de la chapelle, c'est pour le coup bien trop compliqué de s'y rendre.
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Marie-Ange
Inscrit le: 12 Déc 2010 Messages: 335 Localisation: Paris
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Posté le: Jeu Juin 13, 2013 7:11 pm Sujet du message: |
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Kontakthof offre une soirée d'exception, rien n'a vieilli depuis 1978, on se plaît à compter le nombre de "trucs" de Pina repris partout depuis. On se plaît aussi à remarquer tant de jeunes dans la salle comme dit plus haut. Le bémol de la soirée, la chaleur dans la salle du TDV !
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serge1 paris
Inscrit le: 06 Jan 2008 Messages: 877
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Posté le: Mer Juin 26, 2013 10:29 am Sujet du message: |
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Si la Sylphide vous en laisse le temps, Tabac Rouge de James Thiérrée vaut le détour et ne ressemble à rien de ce qu'on a pu voir à Paris ces dernières années...
Un délire créatif assez années 80 mais aussi un spectacle extrêmement bien construit avec une utilisation de la musique et des lumières d'une intelligence rare.
Un formidable décor mobile permet des changements d'atmosphères presque magiques et le langage chorégraphique est très personnel, à la fois virtuose et poétique...
Jusqu'au 8 juillet !
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Mer Sep 25, 2013 2:08 pm Sujet du message: |
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Une polémique oppose Le Figaro et la Ville de Paris, au sujet de la gestion du Théâtre de la Ville, qui fait face à celui du Châtelet.
Hier, Le Figaro faisait état d'irrégularités, voire de malversations dans les comptes de la célèbre institution parisienne dédiée à la danse contemporaine :
Dérapages incontrôlés au Théâtre de la Ville, par Armelle Heliot et Etienne Sorin (Le Figaro)
La mairie de Paris réfute les accusations, mais dans un nouvel article publié ce matin, Le Figaro persiste et signe :
Théâtre de la Ville : la mairie au rapport, par Armelle Heliot et Etienne Sorin (Le Figaro)
Citation: |
la municipalité «déplore» le terme d'«illégales» concernant les primes versées à M. Violette et à certains de ses collaborateurs. Néanmoins, la CRC [Chambre Régionale des Comptes] parle d'une prime touchée par l'ancien directeur, «décidée dans des conditions peu transparentes et calculée sur des bases parfaitement indéterminées, de 75 000 euros brut, et versée sur 2007 et 2008». À propos des primes d'ancienneté déplafonnées, l'étude évoque des «décisions qualifiées d'exceptionnelles et pourtant reformulées chaque année». Et par souci de clarté, la chambre précise: «Le directeur est un des principaux bénéficiaires de ces pratiques irrégulières» et elle engage son successeur «à poursuivre ses efforts pour préciser les règles de gestion et faire disparaître de telles anomalies».
Les services culturels réfutent par ailleurs toute implication de M. Bertrand Delanoë dans la prime exceptionnelle versée à M. Violette. Ce n'est pas Le Figaroqui l'écrit, mais les experts chargés de ce rapport. Cette gratification fait suite à une décision du 15 juillet 2008 de Dominique Alduy, présidente du conseil d'administration, ainsi formulée: «En accord avec M. Bertrand Delanoë, maire de Paris, j'ai décidé de vous attribuer une prime exceptionnelle au moment où votre mandat à la tête du Théâtre de la Ville s'achève.» |
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serge1 paris
Inscrit le: 06 Jan 2008 Messages: 877
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Posté le: Mer Sep 25, 2013 5:53 pm Sujet du message: |
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En deux mandatures parisiennes, Bertrand Delanoe s'est peu exprimé au sujet des acteurs culturels parisiens et généralement de manière assez négative.
J'ai pourtant remarqué qu'il ne ratait jamais une occasion de couvrir d'éloges Gérard Violette.
Les raisons de cet enthousiasme me sont toujours restées mystérieuses...
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Dim Déc 15, 2013 1:47 pm Sujet du message: |
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Le Théâtre de la Ville, à Paris, organise conjointement avec le Musée de la danse de Rennes, un concours destiné aux danseurs, chorégraphes, musiciens et plasticiens. Les épreuves se dérouleront le 14 et le 15 juin 2014, au Théâtre de la Ville.
Citation: |
La troisième édition du concours Danse Elargie est organisée par le musée de la danse à rennes et le théâtre de la Ville à Paris. Elle se déroulera les 14 et 15 juin 2014 au théâtre de la Ville à Paris
Le concours Danse Elargie est ouvert aux artistes de toutes nationalités, sans limitation d’âge, quelque soit leur pratique artistique d’origine (arts plastiques, théâtre, danse, musique, architecture, design…). Le concours est ouvert à tout type de danse, entendue au sens le plus ouvert qui soit.
le projet présenté au concours doit réunir 3 interprètes au minimum sur le plateau et sa durée ne peut excéder 10 minutes.
les candidats doivent renvoyer les documents suivants, impérativement avant le 5 mars 2014 (cachet de la poste faisant foi) :
→ Un formulaire d’inscription dûment complété et signé (à télécharger sur le site www.danse-elargie.com).
→ Une note descriptive du projet (une page maximum).
→ Une biographie du ou des auteurs (une page maximum).
→ Un dVd d’une maquette du projet proposé au concours, accompagnée éventuellement d’une oeuvre précédente, d’une durée maximale de 10 minutes.
Par voie postale uniquement à l’attention de :
Danse Elargie
Théâtre de la Ville
2 place du Châtelet
75004 Paris
Aucun renseignement ne sera donné par téléphone. |
(L'image est dans la qualité d'origine, désolé)
Plus d'infos (lisibles!) : http://www.danse-elargie.com/ |
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Dim Déc 29, 2013 10:19 am Sujet du message: |
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serge1 paris a écrit: |
22 pages de commentaires et plus de 80 000 visites pour une reprise de la Belle au Bois Dormant pas exceptionnelle et rien pour la Giselle de Mats Ek?
Cela interpelle tout de même sur l'échelle des valeurs.
Quoiqu'il en soit, le langage chorégraphique de Mats Ek est toujours aussi limpide et aussi direct et c'est le spectacle parfait pour faire face à une overdose de Noureev.
Sa chorégraphie de Giselle n'a rien perdu en 30 ans ni de sa force ni de sa fraîcheur et le Ballet de Lyon en est devenu le spécialiste.
Pour la première distribution, excellente Giselle de Dorothée Delabie et Albrecht assez phénoménal de Randy Castillo.
Jusqu'au 3 janvier.
PS: Il semblerait que Mats Ek ait fait sa version de la Belle au Bois Dormant en 1996... |
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Dim Déc 29, 2013 10:19 am Sujet du message: |
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Joelle a écrit: |
On y était ! Une nouvelle découverte et ce fut superbe ! |
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Dim Déc 29, 2013 10:40 am Sujet du message: |
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Pour serge1 paris : je ne peux être partout, je commence à me faire vieux aussi, et je ne peux que vous renouveler la proposition que je vous ai faite il y a quelques temps via MP.
Si par ailleurs il y a parmi nos lecteurs des fans de danse contemporaine (encore que là, ce soit du Mats Ek presque "classique"), ils peuvent également prendre contact avec moi.
Vous parlez d'échelle des valeurs en citant le nombre de visites... Je vous dirai que pour la Belle au bois dormant, c'est presque décevant, l'an passé Don Quichotte avait fait... 181 000 vues et 46 pages de commentaires.
Ce n'est pas moi qui peux décider à la place de nos lecteurs ce qu'il faut voir et ne pas voir. J'ai beau m'évertuer à dire du mal des chorégraphies de Noureev, si c'est ça qui plaît aux gens, je n'ai pas le droit de les en blâmer. L'Opéra de Paris les maintient au répertoire, ce n'est pas par hasard : avec quels autres ballets pourrait-il remplir 23 soirs de suite une salle de 2800 places (64400 entrées au total)?
Il faut aussi savoir que même si, pour d'évidentes raisons, les interventions sur le forum sont essentiellement le fait de francophones (mis à part la section japonaise animée par Mizuko évidemment), plus de 70% du lectorat de Dansomanie est étranger, et notre principal site affluent est... google translate, le traducteur automatique du célèbre moteur de recherche. Ce qui signifie qu'un très grand nombre de non-francophones utilisent le traducteur pour s'informer du contenu de nos discussions. Et très clairement, ce qui passionne les balletomanes de Tokyo, Pékin ou Moscou, ce sont les exploits des étoiles ou futures étoiles de l'Opéra de Paris. Je n'y peux rien. |
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serge1 paris
Inscrit le: 06 Jan 2008 Messages: 877
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Posté le: Mar Jan 07, 2014 12:34 am Sujet du message: |
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Pour tous ceux qui veulent absolument du neuf et pleurnichent sur la banalité de la musique de la chorégraphie d'Illusions Perdues, une seule adresse :
SUN d'Hofesh Schechter au Théatre de la Ville jusqu'au 14 janvier.
On en reparle ensuite ...
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3624
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Posté le: Mar Jan 07, 2014 1:02 am Sujet du message: |
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Paradoxalement, les grands classiques de type Belle au bois dormant sont devenus si rares en France qu'ils sont davantage perçus comme des nouveautés / curiosités que la Giselle de Mats Ek (que personnellement j'adore), que l'on a encore pu voir à l'Opéra de Lille il y a peu et qui n'est pas franchement une rareté.
Aujourd'hui, la plupart des créations d'envergure en danse contemporaine tournent dans toute la France, du moins sur les scènes des dix principales agglomérations de province et d'Ile-de-France, il n'y a donc pas d'excitation particulière liée à une éventuelle rareté le jour où cette création débarque au Théâtre de la Ville (sauf pour les parisiens). Les étrangers les auront aussi vus soit avant soit après Paris (la plupart du temps la programmation du Théâtre de la Ville se retrouve au Sadler's Wells et réciproquement).
De fait, je comprends que les fils consacrés aux classiques de l'ONP soient plus actifs que ceux de danse contemporaine, discipline finalement plus "banale" aujourd'hui en France, et paradoxalement devenue moins étonnante qu'un ballet classique.
Dernière édition par paco le Mar Jan 07, 2014 1:09 am; édité 1 fois |
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Florestiano
Inscrit le: 28 Mai 2010 Messages: 1802
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france
Inscrit le: 03 Fév 2011 Messages: 29
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Posté le: Mar Jan 07, 2014 4:08 pm Sujet du message: |
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Pour Serge1Paris, c'est avec grand plaisir que j'ai assisté à la représentation du 3 janvier dernier de Giselle de Mats Ek au théâtre de la ville. Je ne connaissais pas ce ballet et je me suis laissée emporter par l'énergie dégagée par les danseurs et la chorégraphie (plus de 30 ans !)qui m'a éblouie. J'ai trouvé cette chorégraphie particulièrement bien construite, en harmonie avec la musique et j'ai été surprise de trouver un schéma aussi narratif, similaire au ballet original et dans un univers aussi personnel et décalé. Je comprends que ce spectacle ait toujours du succès et cela n'a pas manqué : les applaudissements étaient bien là et les danseurs du ballet de l'opéra de Lyon, en particulier la danseuse qui incarnait Giselle, ont été chaleureusement acclamés.
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Marie-Ange
Inscrit le: 12 Déc 2010 Messages: 335 Localisation: Paris
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Posté le: Mar Jan 07, 2014 8:41 pm Sujet du message: |
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@Haydn, pardon de répondre dans ce fil hors sujet.
"Et très clairement, ce qui passionne les balletomanes de Tokyo, Pékin ou Moscou, ce sont les exploits des étoiles ou futures étoiles de l'Opéra de Paris."
Ajoutées à vos informations précédentes très intéressantes à découvrir, je suis heureuse de votre parole ci-dessus car à force de lire "les danseurs de l'Opéra de Paris" ne sont plus ce qu'ils étaient ou ne sont pas à la hauteur des solistes et d'étoiles russes, anglaises, américaines etc..., on se met à désespérer du public français. Certes les géniaux sont ce qu'ils sont, rares par définition et ils se mesurent sur l'échelle mondiale. Ces perles du ciel mises à part (nous avons eu "notre" Guillem qui a révolutionné la danse classique féminine mondiale ne l'oublions pas!), le Ballet de l'Opéra de Paris présente des qualités d'exception qui expliquent l'engouement des étrangers. Notamment la rapidité de mouvement et l'entrée aussi bien de répertoires très différents. Concernant le classique classique, n'est pas la faute des danseurs d'avoir à se farcir les chorégraphies de Noureev qui laissent peu de place au travail quotidien des prouesses à applaudimètre telles celles de Ratmansky, Mc Millan etc...
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Mer Jan 08, 2014 12:08 am Sujet du message: |
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Que les danseurs du Ballet parisien aient des qualités exceptionnelles, avec leur histoire, leur école, et les conditions de travail et de répétition qu'on leur offre, c'est tout de même la moindre des choses. Que l'Opéra soit une institution prestigieuse dans le monde, on ose croire, sans vanité, que c'est encore le cas. Maintenant, il n'y a pas que le public français, tellement blasé et prompt à la critique (vraiment? on peut aussi le trouver très complaisant avec "ses" danseurs), qui pense que le niveau classique n'est pas si reluisant en France actuellement. Les gens voyagent, échangent, il y a Internet, on ne peut plus vivre dans ce discours langue de bois de la meilleure compagnie du monde qui a trois cents ans et que ses danseurs sont les plus merveilleux, ou comme si l'on était les seuls au monde à avoir un répertoire varié et intéressant.
Pour ce qui est des statistiques publiées par Haydn, elles me semblent relever de la simple logique, le site étant français, donc forcément mieux informé que disons un site américain des actualités de la danse en France (et qu'on ne va pas se cacher que la danse classique en France, c'est l'Opéra).
Je ne vois pas très bien ce que cette discussion vient faire ici, mais bon...
Dernière édition par sophia le Mer Jan 08, 2014 10:19 am; édité 1 fois |
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