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Le Bolchoï à Paris : Illusions Perdues [4-10 janvier 2014]
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NEOPHYTE



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MessagePosté le: Dim Jan 05, 2014 5:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les danseurs du Bolchoi méritent le déplacement,
et comme Diana Vishneva participe à cette petite virée parisienne les amateurs de danse seront contents.

Je trouve sa musique franchement affreuse mais Leonid Desyatnikov semble être un compositeur connu et Alexei Ratmansky a l'air d'apprécier sa musique qu'il a utilisée pour 3 de ses ballets : "les Saisons Russes", "Old Ladies Falling out" et "Illusions Perdues".

La distribution de cette première était extraordinaire :

Diana Vishneva en Coralie, incarnation de la Sylphide, que Lucien, Vladislav Lantratov, va abandonner pour Florine, Ekaterina Shipulina, sorte d'agent double qui le séduit pour mieux le manipuler.
Le trio amoureux est divinement accompagné d'Artem Ovcharenko en Premier Danseur qui incarne un magnifique James, quelle bonne idée d'incorporer des extraits de la Sylphide.

Ce ballet contient quelques très beaux passages, un magnifique pas de 3 à la fin du Ier Acte, une superbe série de fouettés au IIème Acte mais c'est vrai qu'il faut surtout y aller pour voir danser le Bolchoi et Diana Vishneva.


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krinchy



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MessagePosté le: Dim Jan 05, 2014 5:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je lis très souvent ce forum et me permets rarement d'y écrire. Toutefois, puisque chacun y va de son avis sur la première d'hier soir, je dois reconnaitre m'être particulièrement ennuyé.

Ca n'enlève rien au travail qu'il y a derrière ce spectacle et, bien sûr, au talent des interprètes (la Shipulina fut fabuleuse, piquante, étincelante). Et ça n'est qu'un avis totalement subjectif basé sur mon ressenti.

Je suis peut-être resté scotché (comme d'autres, avouons le) sur la série des Don Quichotte de la précédente tournée et suis, de ce fait, resté dans le très simpliste "Bolchoï = plein les yeux". La déception ou plutôt la frustration n'en fut que plus grande. Je n'arrive pas à être aussi modéré que certains et je le regrette. Cette musique a eu le mérite de me donner une migraine ! Et le narratif prend trop de place, à mon goût.

Toutefois, il faut y aller ! Ceux qui ont leurs billets, n'annulez pas, vous allez peut-être, au contraire, vivre une expérience qui vous plaira.


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sophia



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MessagePosté le: Dim Jan 05, 2014 6:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Vichneva est une merveilleuse interprète qui donne un petit cachet international bienvenu à la première, mais pour moi, elle n'efface pas le souvenir de Lunkina qui dansait avec Lantratov lors de la création. Le couple était, je pense, plus uni, plus équilibré.

Quant au ballet du IIIe acte, Dans les montagnes de Bohème, avec Florine en vedette, qui se présente comme un contrepoint esthétique à La Sylphide, il s'agit d'une fiction, mais il me semble vaguement inspiré de Marco Spada, ou La Fille du Bandit (que j'aurais préféré mille fois revoir en vrai, cela va sans dire). Smile


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NEOPHYTE



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MessagePosté le: Dim Jan 05, 2014 9:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Avec Pierre Lacotte dans la salle, c'est amusant que les 2 "ballets dans le ballet" soient "la Sylphide" et "Marco Spada"....

Les romans de Balzac ne me passionnent pas mais il faut avouer que les romans du XIXème siècle inspirent les chorégraphes et sont très présents au programme de l'Opéra de Paris, "Onéguine", "Dame aux Camélias", "Notre-Dame de Paris" et "Illusions perdues".
"Manon" est un peu dans la même veine.

"Illusions Perdues", c'est aussi la critique des milieux artistiques où l'on reste entre amis et qui étouffent les petits nouveaux un peu trop talentueux en organisant des cabales....
Mais ça, c'est intemporel!

J'ignore si à la création au Bolchoi les éclairages étaient les mêmes, mais hier certains passages manquaient vraiment de lumière et je n'ai pas pu m'empêcher de penser que Serguei Fillin ne risquait pas d'être gêné par l'intensité lumineuse du spectacle...




Dernière édition par NEOPHYTE le Dim Jan 05, 2014 9:53 pm; édité 1 fois
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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22163

MessagePosté le: Dim Jan 05, 2014 9:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Un reportage sur Vesti.


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haydn
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MessagePosté le: Dim Jan 05, 2014 10:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je me fais un peu chambrer - à juste titre cette fois - par l'ami Florestiano, en message privé. J'aurais du relire avec plus d'attention (mais ça vaut aussi pour Sophia Wink ) l'article d'Ariane Bavelier publié dans le Figaro, qui contient une bévue vénielle :

"David Hallberg, première étoile américaine invitée en guest star par le Bolchoï depuis 2011"

Hallberg n'est évidemment pas une "gest star" au Bolchoï, mais une étoile de plein droit, membre permanent de la troupe

et une autre tellement grosse que je ne l'avais pas relevée :

"David Hallberg [...], qui dansera la première [des Illusions perdues] avec Svletana (sic) Zakharova" (la Zakharova n'a jamais été distribuée sur ce ballet).

Le Bolchoï retrouve ses illusions à Paris (et moi j'ai bien perdu les miennes)

Au temps pour moi Embarassed Embarassed Embarassed



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NEOPHYTE



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MessagePosté le: Dim Jan 05, 2014 11:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Sur le compte Twitter de dansomanie quelqu'un avait noté que c'était Vishneva/Lantratov pour la première et qu'Ariane Bavelier avait fait une erreur...


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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26657

MessagePosté le: Lun Jan 06, 2014 12:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

Contrairement aux apparences, Illusions perdues se situe dans la lignée des reconstructions – ou des relectures radicales, dans certains cas – des ballets remontant à la période la plus créative de l’ère soviétique, qui s’étend, grossièrement, de 1920 à 1938. L’influence grandissante de Béria auprès de Staline et les affres de la Seconde Guerre mondiale auront ensuite raison de cet éphémère foisonnement culturel.

Du ballet originel de Rostislav Zakharov et Boris Assafiev, créé en 1936, Alexei Ratmansky n’a préservé que le livret. Une nouvelle partition a été commandée à Leonid Desyatnikov et la scénographie a elle aussi été rebâtie ex-nihilo. On peut se demander pourquoi l’ancien directeur du Bolchoï a fait le choix de Leonid Desyatnikov pour la musique de cette (re?)-création. Desyatnikov s’en défendrait sans doute, mais le compositeur, né en 1955 et formé à Saint-Pétersbourg, dans l’URSS bréjnévienne, reste malgré tout assez tributaire de l’orthodoxie néo-tonale professée par un Rodion Chédrine alors président de l’Union des compositeurs de la Fédération de Russie. L’ouvrage, par ailleurs très marqué par l’esthétique sonore du cinéma, se situe finalement assez bien dans la continuité du travail d’Asafiev, l’originalité en moins, malheureusement. Car là où Asafiev usait habilement de sa grande culture historique et de sa science du pot-pourri pour faire découvrir aux mélomanes russes les ouvrages du répertoire classique et romantique français, Desyatnikov se contente d’un vague «à la manière de» Chopin, Schumann, Debussy ou Ravel. Le résultat n’est pas forcément déplaisant, mais il manque singulièrement de saveur. Son seul véritable intérêt vient de la collaboration étroite avec Alexeï Ratmansky, qui a pu ainsi caler très précisément les pas sur les notes.

Ceci étant posé, on ne peut que louer la volonté de Ratmansky de réhabiliter, en l’adaptant aux circonstances et au goût actuels, une partie de la production artistique russe des années vingt et trente du vingtième siècle plutôt que de faire table rase d’un passé certes controversé, mais qui a aussi vu naître d’authentiques chefs d’œuvres. Et à la décharge du chorégraphe russe, il faut bien reconnaître que si Desyatnikov ne suscite pas forcément l’enthousiasme des mélomanes, il n’aurait sans doute pas trouvé beaucoup mieux auprès des compositeurs occidentaux qui acceptent encore de se «salir les mains» en écrivant de la musique de ballet. Quelques récentes créations parisiennes peuvent en témoigner. Restera un jour à rendre également justice à Boris Asafiev, qui, s’il reste un compositeur mineur, a eu un rôle de premier plan dans la Russie d’avant la Grande Guerre Patriotique pour y faire connaître, souvent au mépris des directives officielles, les grands courants de la musique occidentale.

Illusions perdues bénéficie d’une scénographie plutôt luxueuse, et la chorégraphie de Ratmansky est soignée. L’ancien directeur du Bolchoï sait régler de grands ensembles, et c’est presque dommage qu’il n’y en ait que si peu ici. Les pas de deux distillent un certain ennui, et se complaisent dans un style exagérément verbeux, qui rappelle avec insistance celui de John Neumeier. Les passages les mieux réussis sont les «pièces de genre» constituées des « ballets dans le ballet», La Sylphide, évidemment, et Dans les montagnes de Bohème – une parodie de La Fille du bandit, pièce de Perrot sur une musique de Cesare Pugni, créée à Londres en 1846, et qui a connu un succès international lorsqu’elle a été reprise à Milan et à Saint-Pétersbourg avec Fanny Elssler dans le rôle titre. C’est l’occasion d’offrir au public un numéro de haute voltige dans lequel Ekaterina Shipulina peut faire valoir toute son énergie, son abattage, si caractéristiques du Bolchoï. Le livret, qui entend opposer la virtuosité «gratuite» de Dans les montagnes de Bohème, ballet composé par Lucien (Vladislav Lantratov) pour s’attirer un succès facile, à La Sylphide, créé «avec le cœur», pour le seul amour de l’art, est ici involontairement démenti par Ratmansky : le spectateur – occidental en l’occurrence – qui vient voir le Bolchoï, espère davantage un feu d’artifice qu’une leçon de morale (là encore, il y a Neumeier et ses affects de Jésuite pour cela). Les interprètes eux, sont idéaux, et Diana Vichneva, en Coralie, s’inscrit dans la lignée de Svetlana Lunkina, qui avait tant séduit à Moscou il y a trois ans.

Illusions perdues n’a de toute évidence pas le même impact que les exaltantes Flammes de Paris ou le revigorant Clair ruisseau, à l’humour si corrosif. Mais c’est un ballet qu’il ne faudrait pas non plus traiter par le mépris. Il est un témoignage supplémentaire de l’admiration que portent les Russes à la culture française, et que nous leur rendons bien mal. Peut-être parce que nous savons trop bien que ce cette culture-là n’appartient plus qu’à un passé glorieux et révolu.



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Cantalabute



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Messages: 185
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MessagePosté le: Lun Jan 06, 2014 1:18 am    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
Il est un témoignage supplémentaire de l’admiration que portent les Russes à la culture française, et que nous leur rendons bien mal. Peut-être parce que nous savons trop bien que ce cette culture-là n’appartient plus qu’à un passé glorieux et révolu.


Conclusion bien vraie, ... mais bien triste, cher Modérateur ...


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Florestiano



Inscrit le: 28 Mai 2010
Messages: 1802

MessagePosté le: Lun Jan 06, 2014 1:51 am    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
c’est un ballet qu’il ne faudrait pas non plus traiter par le mépris. Il est un témoignage supplémentaire de l’admiration que portent les Russes à la culture française, et que nous leur rendons bien mal.

Absolument pas d'accord, cher Modérateur, avec ces propos moralisateurs (à moins qu'ils soient simplement désabusés ?). D'autant que s'il est un lieu sur la Toile francophone où s'exprime régulièrement l'admiration de Français pour la culture russe (dans sa dimension "dansomaniaque" certes, mais on est ici pour parler de ça, rappelons-le), c'est bien ce forum - il n'est que de parcourir furtivement les fils de discussion sur le Mariinsky, le Bolchoï ou le Théâtre Stanislavsky et Nemirovitch-Danchenko pour s'en rendre vite compte !


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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26657

MessagePosté le: Lun Jan 06, 2014 2:00 am    Sujet du message: Répondre en citant

Mes propos avaient une portée générale, il ne concernaient absolument pas pas les interventions sur le forum, mais je pense que vous l'aviez parfaitement compris Wink



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alila



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Messages: 287
Localisation: Paris

MessagePosté le: Lun Jan 06, 2014 11:38 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis d'accord avec notre cher modérateur.

Pour l'anecdote, il y a quelques années je me promenais avec mon cousin et des amies en visite à Paris, c'était l'année de la Russie en France. Une des filles en voyant les pancartes m'a demandé de quoi il s'agissait et je lui ai répondu que c'était l'occasion de voir des spectacles de culture russe en France. Elle m'a regardé interloquée: "il y a de la culture en Russie?!"

Selon mon cousin, pendant une demi-seconde j'ai failli étrangler cette personne. Puis j'ai juste répondu calmement qu'entre l'avant-garde russe dans la peinture, les Ballets Russes de Diaghilev avec Fokine, Baskt, Benois, Stravinsky, Nijinsky, les compositeurs comme Prokofiev, les écrivains Boulgakov, Tchekov entre moult autres, on avait quand même de quoi faire.

Mais c'est vrai que tout ces merveilleux artistes et créateurs appartiennent au passé... Même si mon panthéon actuel compte de merveilleux danseurs, partagé avec les dansomaniaques comme l'a souligné Florestiano.


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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26657

MessagePosté le: Lun Jan 06, 2014 1:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Interview de David Hallberg dans Le Monde d'aujourd'hui :

Citation:
A Moscou, David Hallberg apprend le russe, cisèle sa danse en forçat du boulot et observe. « Pas toujours facile, car cette culture est loin de moi, mais intéressante ! » glisse-t-il. Il se déclare « vraiment américain, genre ouvert, sourire, quoi ! », mais sans le poing levé et le drapeau, mime-t-il. Il parle de sa région natale, le Dakota du Sud, avec amour. La danse, il la découvre avec Fred Astaire et fait des claquettes de 8 ans jusqu'à l'adolescence. A 13 ans, il bascule dans le classique à l'Arizona Ballet School, à Phoenix (Arizona). « J'avais un bon prof, mais… ».

Il envoie une vidéo et une lettre à Claude Bessy, directrice de l'Ecole de danse de l'Opéra de Paris, qui l'accepte en tant qu'élève payant étranger. Il a 17 ans. « On était quatre étrangers au départ, au bout de deux mois, j'étais seul, se souvient-il. Ça a été une année très difficile. Je ne me suis fait aucun ami. Trop américain sans doute, trop ouvert, trop naïf ! » Retrouver ses anciens collègues parisiens pour La Belle au bois dormant a évidemment été une étrange affaire pour David Hallberg. « On est devenu adulte, on s'est rappelé de cette époque, on en a même rigolé. » Il sourit.


David Hallberg, un Américain au Bolchoï, par Rosita Boisseau (Le Monde)



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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
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MessagePosté le: Lun Jan 06, 2014 6:14 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Des photos de la classe de Boris Akimov dans le studio Petipa.


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NEOPHYTE



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MessagePosté le: Lun Jan 06, 2014 9:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ce que j'aime dans ce que je connais de la culture russe c'est que le ballet classique y est une affaire sérieuse.

Parfois les conséquences sont terribles, l'attaque à l'acide dont a été victime Serguei Fillin est peut-être le résultat d'un conflit sur la distribution en Odette/Odile d'une danseuse, il n'y a qu'en Russie que cela peut arriver.

J'ai l'impression que pour ce qui est des compositeurs, la Russie est loin devant la France (Tchaikovsky, Prokofiev, Stravinsky, Rimsky-Korsakov, Chostachovitch...).
Petipa n'aurait certainement pas eu le même rayonnement sans Tchaikovsky, mais c'est clair, ce binôme a fait des merveilles.

Par contre, je ne suis pas persuadée qu'Alexei Ratmansky ait trouvé son Tchaikovsky... Je vais m'en rappeler de la musique d'Illusions Perdues...


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