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Florestiano
Inscrit le: 28 Mai 2010
Messages: 1802
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005
Messages: 3557
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 Posté le: Lun Oct 22, 2012 2:45 pm Sujet du message: |
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| sophia a écrit: |
C'est exactement ce que je déplore à peu près chaque année à propos du gala parisien : le vide chorégraphique auquel nous assistons à chaque édition (plus ou moins), en gros cet espèce d'académisme néo-classique ridicule à force de clichés éternellement répétés, qui nous fait in fine regretter les bons vieux Corsaire et autres Diane et Actéon d'antan ("There is nothing like a ballet gala to turn a person into a reactionary conservative.").
Et encore à New York ont-ils eu de grands danseurs, pas des seconds couteaux... |
moi aussi je ne suis pas étonné de la réaction - très saine - de la journaliste. Toutefois ce n'est peut-être pas au "Parc" que je m'en serais pris, il y avait, du moins sur le papier, bien pire comme chorégraphies proposées...
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voyageur
Inscrit le: 29 Juin 2009
Messages: 209
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| Posté le: Lun Oct 22, 2012 8:02 pm Sujet du message: |
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| Florestiano a écrit: |
J'aurais bien aimé en savoir un peu plus sur la manière dont Smirnova a été accueillie - et sur sa prestation elle-même bien sûr !
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I'll try to help.
While not as thin on the ground as that for the Paris gala last month, the roster for the Stars of the 21st Century gala in New York felt a bit lacking, particularly as this gala was returning to New York after a hiatus of some years--I believe the last one was more than 4 years ago. And so, in advance, virtually all the excitement was about seeing Smirnova live. That certainly wasn't channeled elsewhere by the pieces in the first half, nearly all of which were of the bare-chested, writhing on the floor genre and honestly, without the program, I couldn't have told you, nor particularly cared, who had choreographed what (I did think Matvienko turned in a stylish DQ pas, with some very fleet turns), and it turned into major anxiety for many when, without announcement, let alone explanation, the billed Petit Thais pdd was skipped, and I heard more than one balletomane asking at intermission if she had even arrived.
The second half was a bit better. Shklyarov's generally a joy to watch, and so he was in Tchai pas, though I don't think it was the best performance he's given. (Shirinkina, though lovely, was wrong for it, needing far more attack and just plain oomph than she displayed.) I had not seen Petit's Leda before and I found it surprisingly effective (the gala, by the way, was my first glimpse of Olga Esina since her not-entirely-successful debut in Lake in Baden Baden with the Mariinsky some years ago--she's clearly developed some since then).
And so to the Grand Pas Classique. A very polished, assured, technically smooth performance from both Smirnova and Chudin, which the audience ate up--with loud and sustained applause and bravi's. I do wish, though, that they'd chosen another piece--from what I've seen of her on video, and what I could see in this (my first time seeing her live), there's something in the way she moves--rather than the way she stops--that can be ravishing; I don't think she's a bravura dancer, however secure her technique, nor I do think Chudin is, either.
October 18, the date of the gala, was also the date of ABT's premiere of the new Ratmansky. It was also the night of a concert at Carnegie Hall celebrating the 85th birthday of my favorite vocalist. I passed on both in favor the Smirnova's NY debut, but with the benefit of hindsight I wish I'd gone to Carnegie Hall.
Dernière édition par voyageur le Jeu Oct 25, 2012 4:29 pm; édité 1 fois |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086
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| Posté le: Lun Oct 22, 2012 8:13 pm Sujet du message: |
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| paco a écrit: |
| Toutefois ce n'est peut-être pas au "Parc" que je m'en serais pris, il y avait, du moins sur le papier, bien pire comme chorégraphies proposées... |
Encore que le duo final du Parc, vu et revu jusque dans la pub, me semble aussi parfaitement emblématique de ce "nouveau" répertoire, lisse, décoratif, et parfaitement inoffensif, qui a remplacé les vieux tubes du répertoire de bravoure, qui avait au moins ce mérite immense de l'absence de vanité. Dans le genre, Caravaggio de Bigonzetti ou Thaïs de Roland Petit ne sont pas mal non plus (la vidéo avec Olga Smirnova et Semyon Chudin est sur YT, mais c'est vraiment juste pour admirer Olga).
Vous mettez deux danseurs pas trop mal faits ensemble (une fille et un garçon pour les tradis, mais deux garçons aussi peuvent faire l'affaire - on est ouverts, non?), petit boxer moulant pour monsieur, petite nuisette vaporeuse pour madame (autre version possible : l'académique post-Forsythe), vous ajoutez un peu de choréo-pornographie esthétisante à base d'hyper-extensions, de portés périlleux et de pointes d'acier, vous mixez avec quelques éclairages crus ou en clair obscur (tendance clip-vidéo), vous décorez le tout avec un fond musical qui captivera le grand public - au choix, l'adagio du 21e Concerto pour piano de Mozart, Arvo Pärt, Phil Glass, un tango, ou même, pour les spiritualistes, Monteverdi (Orlando Gibbons est en option), liste non exhaustive - et vous obtenez une pièce toute formatée pour le Gala des Etoiles.
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doudou
Inscrit le: 03 Mai 2005
Messages: 1128
Localisation: PARIS
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| Posté le: Lun Oct 22, 2012 8:17 pm Sujet du message: |
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| sophia a écrit: |
| paco a écrit: |
| Toutefois ce n'est peut-être pas au "Parc" que je m'en serais pris, il y avait, du moins sur le papier, bien pire comme chorégraphies proposées... |
Encore que le duo final du Parc, vu et revu jusque dans la pub, me semble aussi parfaitement emblématique de ce "nouveau" répertoire, lisse, décoratif, et parfaitement inoffensif, qui a remplacé les vieux tubes du répertoire de bravoure, qui avait au moins ce mérite immense de l'absence de vanité. Dans le genre, Caravaggio de Bigonzetti ou Thaïs de Roland Petit ne sont pas mal non plus (la vidéo avec Olga Smirnova et Semyon Chudin est sur YT, mais c'est vraiment juste pour admirer Olga).
Vous mettez deux danseurs pas trop mal faits ensemble (une fille et un garçon pour les tradis, mais deux garçons aussi peuvent faire l'affaire - on est ouverts, non?), petit boxer moulant pour monsieur, petite nuisette vaporeuse pour madame (autre version possible : l'académique post-Forsythe), vous ajoutez un peu de choréo-pornographie esthétisante à base d'hyper-extensions, de portés périlleux et de pointes d'acier, vous mixez avec quelques éclairages crus ou en clair obscur (tendance clip-vidéo), vous décorez le tout avec un fond musical qui captivera le grand public - au choix, l'adagio du 21e Concerto pour piano de Mozart, Arvo Pärt, Phil Glass, un tango, ou même, pour les spiritualistes, Monteverdi (Orlando Gibbons est en option), liste non exhaustive - et vous obtenez une pièce toute formatée pour le Gala des Etoiles. |
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005
Messages: 3557
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| Posté le: Mar Oct 23, 2012 12:46 pm Sujet du message: |
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| sophia a écrit: |
| paco a écrit: |
| Toutefois ce n'est peut-être pas au "Parc" que je m'en serais pris, il y avait, du moins sur le papier, bien pire comme chorégraphies proposées... |
Encore que le duo final du Parc, vu et revu jusque dans la pub, me semble aussi parfaitement emblématique de ce "nouveau" répertoire, lisse, décoratif, et parfaitement inoffensif, qui a remplacé les vieux tubes du répertoire de bravoure, qui avait au moins ce mérite immense de l'absence de vanité. Dans le genre, Caravaggio de Bigonzetti ou Thaïs de Roland Petit ne sont pas mal non plus (la vidéo avec Olga Smirnova et Semyon Chudin est sur YT, mais c'est vraiment juste pour admirer Olga).
Vous mettez deux danseurs pas trop mal faits ensemble (une fille et un garçon pour les tradis, mais deux garçons aussi peuvent faire l'affaire - on est ouverts, non?), petit boxer moulant pour monsieur, petite nuisette vaporeuse pour madame (autre version possible : l'académique post-Forsythe), vous ajoutez un peu de choréo-pornographie esthétisante à base d'hyper-extensions, de portés périlleux et de pointes d'acier, vous mixez avec quelques éclairages crus ou en clair obscur (tendance clip-vidéo), vous décorez le tout avec un fond musical qui captivera le grand public - au choix, l'adagio du 21e Concerto pour piano de Mozart, Arvo Pärt, Phil Glass, un tango, ou même, pour les spiritualistes, Monteverdi (Orlando Gibbons est en option), liste non exhaustive - et vous obtenez une pièce toute formatée pour le Gala des Etoiles. |
je dois avouer que c'est un peu ça... 
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haydn
Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517
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| Posté le: Ven Oct 26, 2012 6:36 pm Sujet du message: |
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Pour Médée, de Sasha Waltz (chorégraphie) et Pascal Dusapin (musique), le Théâtre des Champs-Elysées offre 30% de rabais sur les places des quatre premières catégories :
| Citation: |
OFFRE EXCEPTIONNELLE : - 30%*
Réservez dès à présent par téléphone au 01.49.52.50.50 (du lundi au vendredi, de 11h à18h et le samedi de 14h à 18h) ou aux guichets du Théâtre (du lundi au samedi de 12h à 19h)
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES
Représentations les vendredi 09 et samedi 10 novembre 2012 à 20h
Durée de l’ouvrage : 1h10
Spectacle en allemand, surtitré en français
*Réduction de 30% valable sur une sélection de places en première, deuxième, troisième et quatrième catégorie, soit 98€ au lieu de 140 en cat.1, 70€ au lieu de 100 en cat.2, 49€ au lieu de 70 en cat.3, 24€ au lieu de 34 en cat.4
THEATRE DES CHAMPS-ELYSEES
15 AVENUE MONTAIGNE 75008 PARIS
www.theatrechampselysees.fr |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086
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| Posté le: Dim Nov 11, 2012 10:09 am Sujet du message: |
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En 2013, le Gala des Etoiles continue...
Panama (Teatro Nacional) : 7 février 2013
Cannes : 15 juillet 2013
Paris : 13, 14 et 15 septembre 2013
Moscou (Palais du Kremlin) : 28 septembre 2013
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haydn
Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517
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| Posté le: Mer Déc 05, 2012 12:17 pm Sujet du message: |
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Au Théâtre des Champs-Élysées, pour le printemps :
Rodin et son éternelle idole, le nouveau ballet de Boris Eifman sera présenté au TCE les 16, 17 et 18 mars 2013
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086
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haydn
Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517
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| Posté le: Lun Mar 04, 2013 10:07 pm Sujet du message: |
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| marlyd a écrit: |
| Des places sont en vente sur le site de la FNAC pour le 31 mai à 15 heures, apparemment une séance supplémentaire. Pas de mention pour le moment sur le site du théâtre |
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marlyd
Inscrit le: 12 Déc 2007
Messages: 132
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| Posté le: Lun Mar 04, 2013 10:18 pm Sujet du message: |
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Précision. La séance du 31 mai 15 heures est pour ce programme. Il n'y a plus de places pour les soirées
Ballet du Théâtre Mariinsky
Stravinsky Le Sacre du printemps
Chorégraphie originale Vaslav Nijinski
Création Sasha Waltz
Vaslav Nijinski chorégraphie (1913)
Version remontée par Millicent Hosdson et Kenneth Archer (1987)
Sasha Waltz chorégraphie (2013, création)
En complément de programme
Prokofiev Le Fils prodigue
George Balanchine chorégraphie (1929)
Valery Gergiev direction
Orchestre du Théâtre Mariinsky
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086
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| Posté le: Mar Mar 05, 2013 12:05 pm Sujet du message: |
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Avant le Mariinsky, il y aura le Ballet Eifman avec son Rodin, c'est dans quelques jours (du 16 au 18 mars), et la troupe vaut toujours d'être vue même si Alastair Macauley a détesté le ballet >>> reportage de Télématin.
N.B.: avant l'ouverture d'un nouveau fil, quelques changements/ajouts intéressants dans le programme du prochain gala des Etoiles (Maria Kochetkova et Taras Domitro du SFB, Evan McKie du Ballet de Stuttgart).
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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517
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| Posté le: Ven Mar 08, 2013 2:10 pm Sujet du message: |
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C'est dans une semaine au TCE :
Eifman Ballet -Saint-Pétersbourg
Rodin et son éternelle idole
Ballet en deux actes de Boris Eifman (livret original et chorégraphie)
Prix des places : 80€, 65€, 50€ , 37€ et 15€
Réservations : 01 49 52 50 50
www.theatrechampselysees.com
| Citation: |
«La vie et l'amour de Rodin et de Camille Claudel est l’histoire incroyable et dramatique de deux artistes, qui entremêle des sentiments exacerbés: passion, haine, jalousie artistique. Cet échange spirituel et énergique de deux sculpteurs est un phénomène unique. Camille n'était pas seulement une source d’inspiration pour Rodin. Elle l’aidait certes à trouver un nouveau style et à créer ses chefs-d'oeuvre, mais vivre avec lui passait également par le développement impétueux de son propre talent.
Après sa rupture avec Rodin, Claudel commence à plonger dans les ténèbres de la folie. Son âme est réduite en cendres vouant une haine pathologique à son ancien professeur et amant qui avait volé, de l'avis de Camille, et sa vie et son don. Le désir de Rodin pour sa muse, les tourments de sa conscience et l'illusion de Camille, l’Érinye folle, sa destinée impitoyable, l'illusion engendrée par sa maladie mentale, et ses obsessions - tous ces éléments sont reflétés dans la nouvelle ballet. A l'aide du langage du corps, nous parlons de notre création de passion, de lutte interne, de désespoir – autant de phénomènes de la vie de l'esprit humain, qui sont brillamment exprimés par Rodin et Camille en bronze et en marbre. Transformer un moment figé dans la pierre en un flux sensuel et irrépressible de corps en mouvement est ce que je cherchais lors de la création de ce nouveau ballet.
«Rodin» est une contemplation sur le prix déraisonnable que les génies ont à payer pour la création de chefs-d'oeuvre éternels, et aussi sur les tourments et les mystères des processus de création qui perturberont toujours les esprits des artistes ».
Boris Eifman |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
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