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nabucco
Inscrit le: 14 Mar 2007 Messages: 1462
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Florestiano
Inscrit le: 28 Mai 2010 Messages: 1802
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Posté le: Mar Déc 18, 2012 4:00 pm Sujet du message: |
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Pour le coup, le commentaire de nabucco entrait vraiment en consonance avec le sentiment dont beaucoup font régulièrement état ici selon lequel il manque à la compagnie ce quelque chose qui emporte ou pouvait emporter. Singulièrement, les fils de discussion sur les séries de ballets classiques regorgent de ce type de remarques - et "la troupe de gentilles filles et de gentils garçons, qui font sagement leurs pas", c'est mot pour mot ce que certains critiques ne se sont pas gênés de remarquer lors de la tournée américaine cet été.
De là à déduire de la récurrence du phénomène qu'il pourrait s'agir d'une ligne de conduite consciente au sein de la compagnie ou de la direction (ou en tout cas délibérement subie), il y a un pas, mais refuser que cela soit posé comme un élément de diagnostic empirique sur l'état du ballet relève d'une certaine politique de l'autruche ; que ce fil ou ce forum soit le lieu approprié pour en débattre - sujet par excellence propice à laisser s'exprimer des passions violentes, terreau idéal de "dérapages" -, c'est certes autre chose...
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serge1 paris
Inscrit le: 06 Jan 2008 Messages: 877
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Posté le: Mer Déc 19, 2012 1:10 pm Sujet du message: |
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Revu ce programme hier soir et je dois dire que, même si le plaisir fut grand, je suis d'accord avec Nabucco et Florestiano.
In the Middle avait une distribution encore plus junior que la première.
Son principal mérite a été de me permettre d'identifier la nouvelle promue Valentine Colasante...
Et justement si la compagnie donne de plus en plus le sentiment de ronronner, il me semble qu'il faut en rendre responsable le système de promotion-rémunération qui est complètement au bout du rouleau.
En ce qui me concerne, je retrograderais volontiers une bonne moitié du bataillon "étoiles-premiers danseurs". Des danseurs incapables d'assurer les principaux premiers rôles classiques et d'assurer un certain nombre de représentations par saison n'ont rien à faire à ces grades là !
En plus, cela empêche les jeunes talents de progresser.
Même dans l'armée, il existe des possibilités de rétrograder les généraux...
Bref, on compte sur le prochain directeur de la danse pour dynamiser tout ça !
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akhmatova
Inscrit le: 27 Mar 2007 Messages: 341
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Posté le: Mer Déc 19, 2012 1:13 pm Sujet du message: |
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serge1 paris a écrit: |
Et justement si la compagnie donne de plus en plus le sentiment de ronronner, il me semble qu'il faut en rendre responsable le système de promotion-rémunération qui est complètement au bout du rouleau.
En ce qui me concerne, je retrograderais volontiers une bonne moitié du bataillon "étoiles-premiers danseurs". Des danseurs incapables d'assurer les principaux premiers rôles classiques et d'assurer un certain nombre de représentations par saison n'ont rien à faire à ces grades là !
En plus, cela empêche les jeunes talents de progresser.
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Je suis entièrement d'accord.
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babybelou
Inscrit le: 28 Oct 2011 Messages: 30
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Posté le: Mer Déc 19, 2012 1:54 pm Sujet du message: |
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entièrement d'accord aussi !!!
le système actuel de l'ONP provoque un vrai gâchis, de talent et d'énergie, et pour tous le danseurs il me semble, car je ne suis pas sûre que Karl Paquette soit ravi de devoir assurer un nombre incalculable de représentations de Don Quichotte, ni même de devoir faire tout les sauts "à moitié" ou à la baisse pour éviter de se blesser...
Prendre soin et valoriser un danseur c'est savoir quelle est la place, les rôles, les difficultés qui lui conviennent, qui peuvent à la fois le stimuler (et de ce fait stimuler les spectateurs) tout en étant à sa portée. C'est de l'adaptation, rien de plus, et il me semble que l'ONP fait tout le contraire !
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005 Messages: 1881
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sophie75
Inscrit le: 08 Déc 2012 Messages: 5
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Posté le: Ven Déc 21, 2012 10:22 pm Sujet du message: |
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Dernière soirée Forsythe/Brown le 18/12 pour moi, l'une des plus belle soirée qu'il m'a été donné de voir ces derniers temps.
J'ai vu deux distributions différentes de cette production et cette dernière soirée m'a particulièrement séduite.
Isabelle Ciaravola a été tout simplement sublime dans O Composite et Woundwork.
C'était, pour moi aussi, l'occasion de découvrir Valentine Colasante à son nouveau poste. Je lui trouve une énergie impressionnante et un charisme que je ne remarque que trop rarement chez d'autres.
Fabien Révillon, quant à lui, fait preuve d'une belle maîtrise du style.
Dans Pas Part, j'ai également apprécié les prestations de Juliette Hilaire qui allie charme et vivacité, et Sebastien Bertaud, en grande forme.
Une soirée captivante, de belles prises de risques de la part des interprètes et une énergie communicative. A voir sans tarder!
Dernière édition par sophie75 le Lun Déc 24, 2012 1:17 am; édité 2 fois |
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Gracian2
Inscrit le: 25 Nov 2009 Messages: 147 Localisation: Paris
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Posté le: Sam Déc 22, 2012 7:45 pm Sujet du message: |
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On reste stupéfait devant les programmations de l'Opéra.
Il y avait eu "Le songe de Médée" de Preljocaj couplé à "Genus" de McGregor. "Sous apparence" avec Cunningham et actuellement Trisha Brown avec Forsythe !
Ces rapprochements sont suicidaires, heureusement Brigitte Lefevre, leur maitre d'oeuvre, va bientôt céder sa place.
Ceci dit, j'ai passé hier une soirée exceptionnelle. Le dynamisme des jeunes interprètes du techniquement redoutable "In the Middle", leur qualité technique est confondante. Quel régal, on sent à quel point ils sont heureux de danser cet épuisant ballet.
Trisha Brown ne me plait guère, beaucoup de prétention pour pas grand chose. Tellement peu qu'il m'a paru qu'Aurélié Dupont, sans se fouler, pensait constamment à autre chose.
J'étais heureux de retrouver Letestu et Ciaravola dans ce beau, fluide "Woundwork". Ganio n'est pas fait, je trouve, pour ce genre de chorégraphie, sa taille, ses longs bras le desservent.
Le dernier ballet m'a comblé. M-A Gillot, Abbagnato, Hurel, tout le corps de ballet sont enthousiasmants. Quelle soirée!
Véritablement l'Opéra démontre sa haute qualité dans de pareils programmes.
Laurent Hilaire, assis sur le dernier strapontin de l'orchestre, surveillait les Forsythe avant de filer féliciter ou corriger ses danseurs.
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dounits
Inscrit le: 18 Déc 2012 Messages: 65
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Posté le: Dim Déc 23, 2012 8:06 pm Sujet du message: |
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En réaction au commentaire de Gracian2, voici un compte-rendu de la soirée de vendredi 21 :
- In the Middle : On attend toujours beaucoup de cette pièce phare du répertoire de Forsythe. Eh bien j'ai une fois de plus été happé par la première note de musique et l'éclairage abrupt associé. Dans l'ensemble les danseurs s'en sont plutôt bien sorti, malgré quelques pertes d'endurance sur la fin des plus jeunes. J'ai particulièrement apprécié la prestation enthousiaste et dynamique de Valentine Colasante, qu'il me tardait de revoir après le concours (j'avais déjà été impressionné par son aplomb et sa technique).
- O Zlozony : Je ne comprends pas bien la remarque de Gracian2 "beaucoup de prétention pour pas grand chose"... Je trouve que l'ensemble est très cohérent et les passages à trois m'ont bluffé. C'est la deuxième fois que je voyais cette pièce (je l'avais découverte il y a 2 ans je crois) et j'admire les "tours de passe-passe" fluides que réalisent les deux partenaires hommes avec la danseuse. Et quel porté vers la fin ! (Un de ceux du genre de la BAyadère Acte I, sauf qu'ici Nicolas leRiche soulève sans élan, et à bras portant sa partenaire. L'équilibre qui suit est parfait -j'ai pu constater avec mes jumelles !). Je suis donc conquis par l'ambiance onirique et spatiale de cette pièce.
- Woundwork 1 : la déception ! J'étais moi aussi impatient de revoir Agnes Letestu mais la pièce m'a complètement endormi... Musique sans consistance, chorégraphie répétitive, avec des levés de jambes sans grande pertinence... Sans compter la ligne de jambe cassée d'Isabelle Ciaravola (particulièrement visible lors de dégagés en 4°). Je n'arrivais pas à la regarder sans avoir mal partout !
- Pas./Parts : là, deuxième déception. Très beau plateau, des étoiles, des premiers danseurs etc. mais un problème : Forsythe reprend les mêmes ingrédients que pour In the Middle, sauf qu'ici, ça ne prend pas. Dans In the Middle, la musique est un assemblage d'accents, de contrastes, de violence même, qui se ressentent parfaitement dans la chorégraphie (que ce soit dans les gestes eux-mêmes ou dans la synchronisation surprise de ces gestes avec des accents musicaux). Or, pour Pas./Parts, Forsythe garde le même langage chorégraphique avec une musique majoritairement "molle". Cela crée un contraste, qui me donnait presque envie de dire aux danseurs, "mais pourquoi vous vous excitez comme ça ?" (ce n'est bien sûr pas de leur faute). Donc incompréhension malgré la bonne volonté des distribués.
Si In the Middle a atteint aujourd'hui le rang de chef d'oeuvre que l'on sait, c'est aussi (hormis l'exploit sportif) grâce à l'alchimie entre la bande sonore de Willems et la chorégraphie de Forsythe. Si un des ingrédients est utilisé différemment, pourquoi conserver la même recette ?
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Gracian2
Inscrit le: 25 Nov 2009 Messages: 147 Localisation: Paris
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Posté le: Dim Déc 23, 2012 9:42 pm Sujet du message: |
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J'aime énormément la musique de Willems et particulièrement sa capacité de se renouveler.
Woundwork, avec cette série de choeurs discrètement retravaillés électroniquement, m'a beaucoup plu et la chorégraphie qui s'éloigne de la furie de In the Middle, idem.
Pas./Parts, "musique molle"? Peut-être après tout. Elle m'a paru très énergique, sans les accents il est vrai du premier. Mais quelle joie de danser, d'effervescence, chez tous.
Il y a eu beaucoup plus d'applaudissements et de rappel d'ailleurs pour ce dernier ballet. Peut-être le public aime-t-il reconnaitre des danseurs connus.
Mais, encore une fois, quelle splendide soirée!
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Sam Déc 29, 2012 12:06 am Sujet du message: |
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Article purement descriptif signé de Roslyn Sulcas dans le New York Times. Seuls les interprètes de Woundwork sont cités, et seule la prestation d'Eléonore Abbagnato ("Superb") fait l'objet d'une appréciation...
Watching Dancers Grow, as Cultivated by a Daredevil, par Roslyn Sulcas (The New York Times)
Citation: |
“Woundwork” offers no such games. The four dancers (Emilie Cozette, Benjamin Pech, Laëtitia Pujol and Nicholas Le Riche on Dec. 8; the superb Eleonora Abbagnato replaced Ms. Pujol on Dec. 9) are entirely sure of their places. We see them first standing with their backs to us, on a glowing stage framed by high white walls at the sides and back. |
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vertiginous
Inscrit le: 22 Déc 2012 Messages: 13
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Posté le: Dim Déc 30, 2012 11:29 pm Sujet du message: |
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Premier compte rendu pour moi, motivé par le peu d'interêt bien désolant pour ce spectacle en comparaison avec la "purge" don Q et par mon désaccord assez total avec ce que j'ai pu lire...
Pour info je suis ancien danseur pro et j'ai moi-même dansé du Forsythe à plusieurs reprises. J'ai vu la représentation du 21 décembre avec la distribution dite "junior" de In the middle.
Quelle déception!! Avant toute chose il me semble que lors des précédentes reprises la lumière était tamisée et non aussi blanche que cette année peut-être Haydn peut il "m'eclairer" à ce sujet...
Ok junior, j'ai toujours été pour le fait de laisser la place aux jeunes, encore faut il les préparer correctement... Mr Hilaire me semble un digne dépositaire du style Forsythe et de ballet en particulier... Manque totale de prise de risques qui caractérise le style de ce chorégraphe, aucune utilisation des multiples possibilités de mouvement qu'offre le corps humain (les levers de jambe ne sont pas tout), aucun relâchement (toutes ces épaules en l'air pour prendre la force ou peut-être pour "faire contemporain") c'était bien dommage...
Déception pour la nouvelle première danseuse particulièrement visée par ces critiques, j'en suis désolé (notamment dans la variation TRES décevante), que j'ai trouvé pleine de bonne volonté mais lourde et terriblement à contre emploi, tout comme Fabien Revillion que j'apprécie beaucoup dans le classique, mais vraiment pas à son avantage dans ce répertoire, qui traverse ce ballet gentiment mais sans jamais y marquer son territoire. Heureusement il y avait Maxime Thomas dont le passage chez McGregor lui permet d'aborder ce répertoire 3 têtes au-dessus des autres. Plutôt bien aussi Lydie Vareilhes, le pas de 2 avec Mr Thomas est un des rares moments forsythiens, et Marc Moreau dont les capacités en contemporain pour un danseur de l'Opéra sont indéniables.
Bref un début difficile malgré la beauté de ce ballet...
Le Trisha Brown est moins ma tasse de thé mais on ne peut nier, même si Melle Dupont est loin d'être ma préférée, que ces 3 artistes ont un charisme incroyable. Pour moi point de froideur mais juste ce détachement qui à mon sens sert parfaitement cette chorégraphie envoûtante qui réclame une interprétation assez "aride" pour pouvoir exister à travers la recherche de qualité du mouvement...
Woundwork, quelle beauté!!! Cela pourrait durer 3 heures!! Entre la présence presque inquiétante de Melle Letestu (impressionnante dans ce costume) avec ce quelque chose de glacial et les lignes et la fluidité de Melle Ciaravola on ne sait où regarder! Le mouvement forsythien est d'une grande beauté, pur et efficace, et il m'est venu à l'idée de l'eau qui coule en permanence glaciale et fascinante donc d'un coté, chaude et envoûtante de l'autre, vraiment un grand moment!!!
Tout à fait d'accord avec l'idée d'un "Etudes" forsythien avec ce "Pas Parts", très réussi. Beaucoup de bonnes surprises à commencer par la liane Laurène Lévy, enfin une jeune qui bouge, qui utilise son corps pour DANSER et s'amuser de ces multiples possibilités. Elle ondule, accélère, ralentit, se plie ET lève les jambes (comme quoi on peut tout faire
Emilie Hasboun est une parfaite acolyte, quel plaisir de danser, quel physique, quelle lumière et la aussi un beau vocabulaire du corps.
Peu de déceptions dans ce ballet, des confirmations... Jeremy Belingard est un chat, impressionnant dans ce solo qu'il a crée, Eleonora est superbe, féminine, très à son aise dans ce répertoire, Sébastien Bertaud comme d'habitude plein d'énergie et de charisme (quel gâchis!! penser qu'il est de la même année que Mr Bezard et que celui-ci est Premier Danseur, exemple type du problème de politique Opéra de Paris!), Mr Bezard donc qui gagnera à être regardé lorsqu'il arrêtera de penser qu'il doit avoir l'air beau en scène, oui Mr Bezard, vous êtes beau maintenant dansez par pitié et souriez, on est beau aussi en souriant!!
En gros une distribution très homogène qui respirait la joie de danser (enfin presque tous ) et qui vous fait sortir de là avec la pêche et le plein d'énergie positive et vous fait vous rappeler pourquoi vous faites ou avez fait ce métier et pourquoi vous aimez cet art magnifique
Voila Haydn j'ai essayé d'éviter d'être trop direct dans mes critiques (vous savez comme peuvent être les danseurs...) j'espère y être arrivé et n'avoir froissé personne!
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Dim Déc 30, 2012 11:40 pm Sujet du message: |
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Bienvenue vertiginous
Je sais, je suis parfois tatillon, mais bon, je veille à éviter des propos blessants ou qui peuvent être dictés par des inimitiés personnelles. Si vous êtes un ancien danseur, vous me comprendrez également, et je présume que dans votre vie d'artiste, vous deviez aussi préférer lire des compliments plutôt que des récriminations au sujet de vos prestations publiques.
Quand vous parlez de "désaccord assez total" avec ce que vous avez pu lire, s'agit-il des commentaires concernant Don Quichotte ou de la soirée Brown-Forsythe? Car là, vos propos rejoignent tout de même en partie ce qui a pu être dit par ailleurs, même s'il ne s'agissait pas du regard d'un professionnel (encore que je ne connaisse pas, loin s'en faut, l'identité réelle de tous les intervenants ici et qu'il peut très bien y avoir d'autres danseurs de métier parmi eux).
Dernière édition par haydn le Dim Déc 30, 2012 11:55 pm; édité 1 fois |
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vertiginous
Inscrit le: 22 Déc 2012 Messages: 13
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Dim Déc 30, 2012 11:48 pm Sujet du message: |
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Citation: |
J'ai vu la représentation du 21 décembre avec la distribution dite "junior" de in the middle.
Quelle déception!! Avant toute chose il me semble que lors des précédentes reprises la lumière était tamisée et non aussi blanche que cette année peut etre Haydn peut il "m'eclairer" à ce sujet...
Ok junior, j'ai toujours été pour le fait de laisser la place aux jeunes, encore faut il les préparer correctement... |
Merci vertiginous pour ce compte-rendu. Pour ma part, je me retrouve complètement dans ce que vous écrivez, notamment sur In the Middle, et et pas besoin d'avoir vu la création avec Guillem et Hilaire pour se rendre compte qu'il y a un problème d'interprétation (et parfois même d'exécution). Moi je n'ai vu que la première mais je crois que toutes les distributions étaient plus ou moins "junior". Après, je ne sais pas, peut-être que le génie de Forsythe fait quand même son effet lorsqu'on le découvre pour la première fois.
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