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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26659
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Posté le: Sam Déc 08, 2012 10:39 am Sujet du message: |
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Article dithyrambique de Rosita Boisseau (mais curieusement, il n'est question ici que de des œuvres présentées, il n'y a pas un seul mot sur les interprètes...) dans Le Monde (accessible librement) :
Citation: |
Ce programme, mis au point par Brigitte Lefèvre, directrice de la danse à l'Opéra de Paris, couvre dix-sept ans de création. Il fait cousiner deux Américains, deux maîtres en écriture, qui se confrontent à la danse classique. De In the Middle, Somewhat Elevated (1987) à Pas./Parts (1999) en passant par Woundwork 1 (1999), William Forsythe en est l'héritier ; Trisha Brown l'a redécouverte grâce à cette commande - sa première pour une troupe de ballet -, conçue en 2004, et intitulée O Zlozony/O Composite. Leur combinaison, tant du point de vue des atmosphères musicales électroniques que de la palette de couleurs - vert turquoise, jaune miel, violet profond -, est une fabuleuse rêverie autour de la technique académique et ses possibilités, une vitrine féerique dédiée à la beauté de la danse pure. |
Les ballets décapants de William Forsythe et Trisha Brown, par Rosita Boisseau (Le Monde) |
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Florestiano
Inscrit le: 28 Mai 2010 Messages: 1802
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Posté le: Sam Déc 08, 2012 11:44 am Sujet du message: |
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haydn a écrit: |
(mais curieusement, il n'est question ici que de des œuvres présentées, il n'y a pas un seul mot sur les interprètes...) |
C'est toujours la même chose avec elle. Et encore, bizarre qu'elle n'ait pas publié son article avant la première, comme c'est souvent le cas.
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Joël
Inscrit le: 11 Avr 2010 Messages: 112
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Posté le: Dim Déc 09, 2012 1:53 pm Sujet du message: |
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paco a écrit: |
Ah oui LucyOnTheMoon souligne un point important pour cette soirée (qui vaut le déplacement) : privilégiez les places côté PAIR, car les danseurs évoluent souvent à l'extrême côté gauche de la scène, des loges 1 à au moins loge 15 on loupe une bonne partie du spectacle... |
Quand on voit le spectacle depuis une loge côté pair, on constate que les danseurs sont aussi très souvent dans l'angle mort...
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005 Messages: 1881
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frederic
Inscrit le: 23 Jan 2007 Messages: 976
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Posté le: Mer Déc 12, 2012 3:02 am Sujet du message: |
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Oui, au moins, il y a quelque chose de rassurant à voir que nous ne sommes pas ici bien différents du public lambda : comme l'a constaté haydn, ce fil ne passionne guère les balletomanes, tous à Don Quichotte. Du coup, autant de places que l'on souhaite à Garnier, c'est une consolation.
Car, pour tout dire, je ne comprends pas. Je suis Sophia à 100% pour me dispenser de la version Noureev de Don Quichotte, dépouillée de surcroît de ce qui était le plus intéressant, à savoir le travail de Monsieur Nicholas Georgiadis, artiste majeur jeté aux oubliettes au profit de vilains tabliers "hispanisants". C'est ainsi que l'on ripoline Petipa à l'Opéra de Paris où l'on croit aussi faire genre en invitant - encore! - Svetlana Zakharova, qui a beaucoup de talents et de cordes à son arc, mais hélas pour nous, Kitri ne fait pas partie du nombre.
Je cesse mes récriminations amères pour dire cette fois que je suis en désaccord à 100% avec sophia. Je rentre de Garnier ce mardi 11 décembre et voilà ce que je dis : que débuter une soirée Forsythe avec "In the Middle...", ce serait comme commencer un programme Béjart avec "Boléro". Bien sûr, on ne retrouvera pas les interprètes géniaux de la création il y a 25 ans qui ont eu le privilège d'écrire cette œuvre avec son créateur. Mais tout de même... Pour je ne sais quelle raison, ce ballet, peut être parce qu'il est né sur cette scène de Garnier, n'est jamais aussi bien dansé que par cette compagnie ; peut être aussi parce que Forsythe l'a écrit en se servant des points forts de l'école de l'Opéra de Paris. Pas de stars dans la distribution de ce soir, mais quel ensemble parfait. Je n'ai vu nulle part les dérèglements qui, je veux bien le croire, ont émaillé la/les première(s). Triomphe mérité.
Mais on n'a guère le temps de goûter son émotion car on enchaîne avec Trisha Brown. Je ne souhaite pas dire du mal d'une chorégraphe que j'apprécie, mais présenter sa création pour l'Opéra de Paris après "In the Middle...", c'est vouloir tuer cette pièce qui, entourée autrement, pourrait séduire. Mais après le chef d'œuvre de Forsythe, on n'attend plus que l'entracte pour le revoir.
Rien à dire de plus sur la seconde partie. Le remplacement ce soir à la dernière minute d'Isabelle Ciaravola par Eleonora Abbagnato a entraîné quelques imprécisions dans Woundwork, mais rien de grave avant de retrouver la compagnie pour l'éblouissant Pas./Parts. qui évidemment fait écho à "In the Middle...".
Ce qui me semble évident, c'est que ce répertoire, c'est l'Opéra de Paris à son meilleur, bien plus que ce poussif Don Quichotte, dont on pourrait tellement se dispenser puisque nous avons eu - 2 fois non?... - le Bolchoï, inégalable dans cette œuvre.
Il reste des places dans toutes les catégories à toutes dates. Je vais donc y retourner.
Ah! j'oubliais : c'était mon premier spectacle de cette saison de ballet. Je deviens paresseux et Balanchine ou Cunningham par l'Opéra de Paris - enfin ces Balanchine et ce Cunningham - me semblaient d'avance ennuyeux et j'ai préféré voir Pierre Rigal au Théâtre du Rond Point dont on n'a pas dit un mot ici (ma très grande faute).
Bref! ( je plaisante!), c'est selon moi et seulement moi, la meilleure soirée de cette saison bien qu'elle soit construite en dehors de toute logique artistique. Ce serait dommage de la louper.
Bonne fin d'année à tous.
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Swann
Inscrit le: 24 Mar 2007 Messages: 193
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Posté le: Mer Déc 12, 2012 10:54 am Sujet du message: |
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Et bien il ne reste plus qu'à retourner voir In The Middle ! Qui a dû se régler au fil des représentations et peut-être des distributions.
Qui dansait le rôle de la Reine Sylvie ? Amandine Albisson ou Sabrina Mallem ?
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26659
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Posté le: Mer Déc 12, 2012 12:02 pm Sujet du message: |
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Merci Frederic pour ce compte rendu, nous n'avions plus eu l'occasion de vous lire ici depuis quelque temps  |
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chien en peluche
Inscrit le: 29 Oct 2011 Messages: 1977
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Posté le: Mer Déc 12, 2012 6:48 pm Sujet du message: |
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J'aimerais aussi remrecier à frederic de son compte-rendu sur La Soirée Forsythe/Trisha Brown. Certes, Don Quichotte est un spectacle agréable à voir. Mais pour moi, ce programme Forsythe/Brown est dès le début très alléchant, en plus, on me propose 20 % de réduction. Si j'étais à Paris...
Tant mieux, je peux du moins lire vos commentaires dans ce forum, ce qui me console beaucoup.
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Aurea
Inscrit le: 28 Avr 2012 Messages: 23 Localisation: Paris
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Posté le: Mer Déc 12, 2012 11:29 pm Sujet du message: |
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De mon côté, j'y vais samedi, et tous ces commentaires élogieux commencent à me rendre impatiente !! J'espère qu'à force de lire tant de positif, je ne vais pas être déçue !
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Perle
Inscrit le: 20 Juil 2010 Messages: 156
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Posté le: Mer Déc 12, 2012 11:40 pm Sujet du message: |
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frederic a écrit: |
je suis Sophia à 100% pour me dispenser de la version Noureev de Don Quichotte, dépouillée de surcroît de ce qui était le plus intéressant, à savoir le travail de Monsieur Nicholas Georgiadis, artiste majeur jeté aux oubliettes au profit de vilains tabliers "hispanisants". C'est ainsi que l'on ripoline Petipa à l'Opéra de Paris ... |
Enfin dit, merci Frédéric !
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marc
Inscrit le: 16 Fév 2009 Messages: 1157
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Posté le: Jeu Déc 13, 2012 12:20 pm Sujet du message: |
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Merci Frederic, vous me dispensez de commentaires car vous avez écrit ce que j'aurais aimé écrire à propos de ma soirée d'hier soir : Oui, Forsythe est un chorégraphe d'un très grand talent qui crée des mouvements d'une fluidité et d'une complexité admirables qui se glissent avec perfection dans les accents obsédants, métalliques et minéraux de la musique de Thom Willems (et cela pour les 3 ballets vus hier soir). La musique génère-t-elle la danse, la danse génère-t-elle la musique ? En fait, l'une et l'autre sont en osmose complète, l'une n'ayant de sens que parce que l'autre est là, toutes deux s'additionnant de façon indispensable pour faire l'oeuvre. C'est remarquable !
Et dans ces oeuvres créés pour elle, parce que c'était elle, la compagnie de l'Opéra de Paris, tous statuts confondus, a été tout simplement fantastique hier soir ! Les danseurs ne dansaient pas, ils étaient la danse comme si tous ces mouvements, tous ces gestes étaient indispensables à l'accomplissement des êtres qu'ils sont. C'était encore remarquable !
Et puis, comme vous encore Frederic, j'ai pensé : "Pauvre Trisha Brown perdu là dedans..."
Enfin, autre point d'accord entre vous et moi, autant ma soirée "Don Quichotte" d'il y a quelques semaines m'a gentiment fait plaisir, sans plus, autant celle-ci m'a enthousiasmé.
Et pourtant, le Palais Garnier n'était pas plein...
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Celi
Inscrit le: 07 Avr 2008 Messages: 84 Localisation: Paris 11
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Posté le: Jeu Déc 13, 2012 12:56 pm Sujet du message: |
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Samedi et dimanche dernier non plus ce n’était pas plein malheureusement, car c’est un spectacle exceptionnel. Bon, je ne suis pas très objective, j’adore Forsythe (de l’époque in the middle etc.)… Mlles Bellet, Colasante et Mr Chaillet m’ont fait très bonne impression ; j’ai (bizarrement peut-être) été moins emballée par la prestation de Mlle Renavand, qui m’a semblée un peu lente dans l’exécution des mouvements et moins précise que ses partenaires.
Mais ce que j’apprécie tout particulièrement dans ce type de soirée, c’est que l’on peut apprécier les solos ou duos des membres du corps de ballet, très à l’aise dans ces styles contemporains (en tout cas beaucoup beaucoup plus que leurs ainés et solistes, ce que l’on avait déjà constaté sur le Keersmaeker). J’ai particulièrement apprécié la très belle prestation de Mlle Guérineau, ainsi que celles de Mr Valastro et Couvez. Ce-dernier est vraiment impressionnant dans ce registre et son duo avec Mme Letestu est à ravir !
Enfin, si je ne suis pas particulièrement fan de la pièce de Trisha Brown, le duo Leriche/Bélingard est captivant.
J’y retournerai à toutes les dates si je pouvais !
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maraou
Inscrit le: 08 Oct 2009 Messages: 59
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Posté le: Sam Déc 15, 2012 5:26 am Sujet du message: Tout n'est pas perdu ! |
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Je rentre de Paris ...
Compte-rendu de la soirée du 14 décembre, Opéra Garnier :
La soirée du spectateur commence avec une touche locale, exotisme parisien des rapports humains. Les grilles de Garnier se ferment pour canaliser la foule de spectateurs en un seul flux, façon "compression dirigée" de César. Un gardien aboie sur les récalcitrantes qui ne dévoilent pas complètement le contenu de leurs sacs. A l'intérieur, on presse les spectateurs d'un virulent "allez, dépêchez-vous !".
On s'installe, on a peur de se faire rouspéter encore ... Puis les lumières s'éteignent et le spectacle commence.
In the middle, la pièce qui a incité mon déplacement. La musique me plaît toujours autant. Elle n'est pas destructurée, c'est une vraie mélodie que l'on peut solliciter en esprit longtemps après l'avoir écoutée. Elle fait partie intégrante de la chorégraphie, elle est mouvement, elle est chorégraphe.
Bien sûr, des images hantent l'esprit, la Reine Guillem, sa force, sa facilité insolente et le duo inoubliable avec Hilaire. Les danseurs d'aujourd'hui sont dans un autre registre, plus scolaire, moins violent. C'est dommage mais c'est normal, la création est encore trop présente. Il faudra encore quelques années et des interprètes à forte personnalité pour s'en libérer. Je ne reconnais pas bien les interprètes, les garçons me semblent plus justes dans l'intention des mouvements. Le groupe est assez hétérogène au niveau des physiques, c'est détonnant au premier abord puis plaisant.
Arrive ensuite O Zlozony, la partition est atroce mais la voix envoûtante. Je ne connaissais pas la distribution du soir. Trois silhouettes en scène, je distingue des pieds renversants, un en-dehors exquis ... C'est la divine Ciaravola ! Quelle joie de la retrouver ! J'accorde alors un intérêt particulier à la pièce. Le Riche est très technique, hyper régulier sur les directions mais pas de surprise sur sa danse. Bélingard est parfait pour ce type d'exercice, félin à souhait même si l'on ne peut s'empêcher de penser qu'il aurait pu nous accorder un Basilio. Ciaravola concentre vraiment toute la lumière de la chorégraphie, son regard si intense, ses lignes parfaites. Bien sûr, il manque un peu de relâchement au niveau des épaules, une souplesse du dos. Qu'importe. Elle est la poésie même.
******* Entracte *******
Woundwork 1 : je m'attends à ce que le programme faiblisse ... Quelle erreur c'est l'acmé de la soirée. Trop court, un rêve qui finit trop tôt ! 4 danseurs dont la frêle Eleonora Abbagnato que l'on aimerait voir plus souvent. La scène est cependant entièrement occupée par la présence de Marie-Agnès Gillot. Elle éclipse tout le monde ! Ce ne doit pas être évident pour ses partenaires ! Elle est littéralement parfaite : une danseuse intelligente qui donne sens au mouvement et des bras qui n'en finissent pas, une énergie jusqu'au bout des doigts. Un régal, je l'ai applaudie de toute mon âme les larmes aux yeux.
On termine avec Pas./Parts, là encore je ne distingue pas tous les interprètes mais quel bel ensemble ! Un vrai plaisir de voir ces danseurs qui offrent le meilleur d'eux-mêmes, heureux de danser, complices ... C'est frais, pas ringard du tout. C'est pétillant, l'idéal pour clore cette si belle soirée.
Si vous aimez la danse, si vous voulez voir des danseurs éveillés, demandez au Père Noel de vous offrir Don Quichotte en dvd et allez à Garnier pour un spectacle vivant !
Bonus de cette soirée : Parmi le public, présence de Mlle Platel, hiératique, une étole posée sur les épaules ...
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Aurea
Inscrit le: 28 Avr 2012 Messages: 23 Localisation: Paris
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Posté le: Mar Déc 18, 2012 12:49 am Sujet du message: |
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Est-ce le fait d’avoir lu tant de critiques si positives ? J'ai passé une belle soirée le 15 décembre, mais j'avoue, un tout petit déçue par rapport à tout cet enthousiasme lu sur ce site.
Ma pièce préférée a été In the Middle. Je ne l’avais jamais vu et donc pas de comparaison. Du rythme, une belle chorégraphie avec des ensembles qui se différencient et qui se répondent, une musique qui reste en tête. Des tours sur pointes et des réceptions de saut pas toujours nickels, mais tout s’enchaine bien. Certains danseurs m’ont fait plus d’impression, notamment Fabien Révillon je crois mais j’ai eu du mal à reconnaitre les danseurs (globalement sur la soirée, l’éclairage ne s’y prête pas trop quand on ne les connait pas bien je trouve),
Ensuite, j’ai beaucoup apprécié le lyrisme de O Zlozony. Les danseurs m’ont emballé, surtout Isabelle CIaravola, qui a fait preuve d’une grande délicatesse dans son interprétation. Les passages à 3 sont magnifiques avec de beaux portés. Jérémie Belingard étant souffrant, il a été remplacé par Marc Moreau (aux cotés de Nicolas Le Riche).
Concernant la 2e partie, j’ai été beaucoup moins emballée.
Woundwork I ne m’a laissé aucun souvenir (allez si, je me rappelle des jupes des filles, qui m’a fait me poser quelques questions de couture…). Est-ce que j’ai été hermétique à l’interprétation (Cozette/Pujol/Duquenne/Pech) ? Est-ce que, étant en catégorie 3 loge de côté impair, j’étais fatiguée d’avoir un gros angle mort ? Je ne saurais pas le dire.
J’ai apprécié Pas./Parts, mais sans tout l’enthousiasme que j’avais lu ici. Il y a de forts échos à In the middle. Là, c’est sans doute la fatigue qui a eu raison de moi.
J’avais presque envie d’y retourner, avec une place « à vision complète » de la scène, et pour surmonter cette frustration de n’avoir pas été gagné par l’enthousiasme « général », mais le calendrier des fêtes ne va pas me le permettre je pense. Dommage.
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PetitCygne
Inscrit le: 07 Mar 2011 Messages: 391
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Posté le: Mar Déc 18, 2012 12:34 pm Sujet du message: |
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J'y suis allée hier soir, et idem très envie d'y retourner.
Le ballet de Trisha Brown n'est pas celui qui me laissera le souvenir le plus impérissable de la soirée, mais heureusement qu'on pouvait y admirer les belles lignes d'Isabelle Ciaravola. Elle et Nicolas Le Riche (contrairement à ce qu'indique le site, c'est bien lui qui dansait et non Aurélien Houette) forment un beau partenariat.
Woundwork n'est pas non plus celui qui m'aura le plus marqué mais j'ai tout de même bien apprécié, il faut dire que la distribution aidait beaucoup : M.A. Gillot, I. Ciaravola, N. LeRiche, Bejamin Pech. On aurait envie d'en voir plus de leur part dans du Forsythe !
Impossible pour moi également de reconnaître les danseurs car je ne connais pas leurs visages mais les jeunes se sont bien donnés pour In the middle et Pas./Part.
Le petit plus pour rendre la soirée mémorable : prendre une place de fond de 3e loge de face et se retrouver en catégorie 1, premier rang de la loge, dès le début du spectacle ! Merci les absents vous avez fait des heureuses ! 
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