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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22166
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Posté le: Dim Oct 23, 2011 6:18 pm Sujet du message: |
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Ailey a écrit: |
Mais il me semble que les beaux costumes de Lacroix et les pierreries ne sont supportables que parce que la lumière est douce et le décor sans éclat (mais pas banal). Cela permet à l'impression de mystère de ne jamais faiblir et quant à l'exotisme et au pittoresque, Lacroix y a pourvu! Pour ma part je l'en félicite mais plus ce serait trop! |
Oui, pourquoi pas? C'est une belle explication que vous proposez là...
Pas une "féerie pour une autre fois", genre relecture à la Bart (Patrice), mais une féerie en clair-obscur, une féerie intimiste, une féerie du XXIe siècle, qui garde toutefois l'essentiel de ses racines. Mais je me méfie toujours quand les Français ne veulent surtout pas passer pour "réacs" et premier degré...
Il n'empêche, il y a certains moments, comme à la toute fin, où l'on se dit que la danse ne remplit pas comme les mots, et que l'esthétique "Comédie Française" oublie peut-être certaines nécessités propres au ballet.
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NEOPHYTE
Inscrit le: 25 Sep 2011 Messages: 1067 Localisation: PARIS
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Posté le: Dim Oct 23, 2011 6:59 pm Sujet du message: |
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Le ballet classique "romantique" permet aux héroïnes de mourir au 1er acte (Gisèle...), ou au 2ème (la Bayadère...) et de revenir ensuite dans de jolis tutus vaporeux qui me font complètement oublier qu'elles sont mortes !
Juliette, elle, meurt à la fin, c'est donc une tragédie, et dans la Source, Naila, elle, se sacrifie volontairement.
Peut-être que du coup, les cordages m'évoquent une mort très concrète, beaucoup moins romantique.
Peut-être que si les cordages avaient été colorés, ils auraient un peu plus évoqué les rideaux.
Il aurait fallu se faire sponsoriser par "modes et travaux", les gros pompons coutent cher....!
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Joël
Inscrit le: 11 Avr 2010 Messages: 112
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Posté le: Dim Oct 23, 2011 7:06 pm Sujet du message: |
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NEOPHYTE a écrit: |
J'aimerais bien qu'Eric Ruf explique lui-même pourquoi il a choisi les cordages comme thème de ses décors, je n'ai peut-être vraiment rien compris. |
Et après avoir précisé que vous n'avez pas vu le spectacle, vous lui direz vous-même que son travail est « affreux » et « hors-jeu » ?
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NEOPHYTE
Inscrit le: 25 Sep 2011 Messages: 1067 Localisation: PARIS
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Posté le: Dim Oct 23, 2011 7:56 pm Sujet du message: |
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Je dois préciser que grâce au forum et aux commentaires enthousiastes je suis allée voir "Flammes de Paris" et j'ai adoré!
J'utilise le forum pour essayer d'aller voir des spectacles qui pourraient me plaire et je croyais que "La Source" en ferait partie!
Mes commentaires sont basés sur les photos mises en lignes sur ce post et a priori les cordages sont bien là en guise de décors.
Je n'y connais pas grand chose en matière de cordage mais en général cela n'est pas très joyeux!
J'ai juste essayé de comprendre ce que faisait les cordages dans le décor.
La réponse de Jean-Guillaume Bart semble être l'évocation des rideaux.
Je pense qu'Eric Ruf n'en a rien à faire de ce que je peux penser!
Et jamais je n'irai importuner quelqu'un que je ne connais pas.
J'ai du mal avec l'art conceptuel et je suis certaine qu'Eric Ruf préfère ne pas plaire à tout le monde.
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22166
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Posté le: Dim Oct 23, 2011 8:34 pm Sujet du message: |
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Je crois qu'on aurait tort de se focaliser sur les seuls décors. Ils sont certes un peu déroutants, mais tout de même, on s'y fait, et ils sont très poétiques. Par ailleurs, ce ballet ne me semble pas spécialement photogénique - ni cinégénique d'ailleurs. So what? Ce n'est certes pas une reconstruction littérale et flamboyante du type Corsaire, mais moi qui adore les restaurations intelligentes à la Vikharev, j'ai aussi trouvé le travail de Bart & co très appréciable et neuf. Alors plutôt que de nous "abreuver" de commentaires sur des photos, qui valent ce qu'elles valent, allez voir le spectacle, et on en reparlera... 
Dernière édition par sophia le Dim Oct 23, 2011 11:50 pm; édité 1 fois |
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NEOPHYTE
Inscrit le: 25 Sep 2011 Messages: 1067 Localisation: PARIS
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Posté le: Dim Oct 23, 2011 8:52 pm Sujet du message: |
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Sophia, vous qui semblez maitriser la symbolique du ballet, que symbolisent les cordages pour vous?
Ils semblent sur les photos omniprésents et j'ai juste cherché une réponse "conceptuelle", presque intellectuelle.
Par exemple, dans Roméo et Juliette, les personnages inquiétants qui jouent aux dés indiquent que "les dés sont jetés" et la fin tragique est écrite dès le début et je trouve que c'est intéressant de le savoir.
Je reconnais que je n'ai jamais imaginé la symbolique des rideaux.
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petitflo
Inscrit le: 30 Sep 2009 Messages: 33
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Posté le: Dim Oct 23, 2011 11:41 pm Sujet du message: |
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J'ai pour ma part été vraiment séduit par la chorégraphie, par la scénographie, par les décors, par ce traitement d'un livret ancien. Je n'ai pu voir pour l'instant qu'une seule représentation, et tout cela est encore très frais... Je n'ai pas pu entendre ou lire M. Bart s'exprimant sur le sens de son travail, et peut-être vais-je énoncer quelques énormités ou faux-sens. Néanmoins, une fois ces réserves et précautions énoncées, j'ai perçu beaucoup d'intelligence et de beauté dans ce qui peut nous être donné à voir, et ce fut là pour moi une très grande réjouissance !
Exit les décors figuratifs enchanteurs : c'est peut-être là, après tout, rendre service au ballet. Un arrière-plan verdoyant et rocailleux n'aurait-il pas fait du premier acte une réalisation étrange, faussement authentique, très chargée, surtout datée... ? voire même une visite à l'avance ratée de ce texte ancien ? De la même façon, exit Mograb, ses mauvaises intentions, sa marmite et ses sortilèges. Et Naïla nous apparaît assez humaine, parcourant le même territoire que Nouredda.
Un fond noir, profond, des arbres figurés par des cordes, puis un palais toujours représentés en cordages... Ces espaces deviennent soudains imaginaires et infinis. Le tableau figurant l'abandon de Nouredda (lorsque même ces résidus d'un décor déjà tombé en viennent à disparaître) nous plonge littéralement dans la psyché de la jeune femme esseulée. Du moins, c'était là mon impression. En "laissant tomber" (c'est ainsi que j'ai perçu la démarche), naturellement presque, des décors banals, sont mis en lumière les costumes éclatants et merveilleux de Lacroix ainsi que la chorégraphie : les protagonistes interviennent dans un espace plus large, plus grand.
Les cordes, j'imagine qu'il y a quinze ou cinquante façon d'interpréter leur symbolique, et que chacune est un peu valable. J'ai eu l'impression, vers la fin du premier acte, en observant Djemil, qu'il y avait sans doute dans tout cela quelque chose de l'ordre du conte de fée. Le jeune chasseur déboule de nulle part dans une forêt inconnue, puis il est pris par le charme de Nouredda, les causasiens l'encerclent et le punissent de son attitude de peu de retenue, avant que ce soit les Nymphes des bois qui l'apprivoisent, l'encerclent à leur tour puis le propulsent vers l'acte qui suit... Il y a dans tout cela un jeu de captures et une trame obligée, une trajectoire très théâtrale que l'intervention de ces cordages ont pu mettre en exergue.
Le décor lui-même évolue, unique et multiple à la fois, comme si lui-même était un écrin spécial, prenant la parole et nous présentant pour ainsi dire l'histoire, ou alors laissant par moment s'exprimer les comédiens (j'emploie volontairement ce terme), notamment dans ce moment crucial, très théâtral voire cinématographique, où Nouredda et Djémil sont sauvés par l'intervention surnaturelle de Naïla. D'ailleurs, dans cette "séquence", le livret est largement modifié, me semble-t-il, avec l'intervention de Mozdock ajoutée.
On parle d'Eric Ruf, mais il faut également saluer le travail de Clément Hervieu-Léger, me semble-t-il. En modifiant et spacialisant ainsi le récit, en le déplaçant (au risque d'ajouter de nouvelles confusions, ainsi que le notait Haydn, notamment sur la distinction trop effacée entre les deux figures féminines), on accède autrement à ce ballet. Il n'est ni poussiéreux, ni dénaturé. Il brille autrement, notamment encore grâce aux merveilleux costumes et par la brillante chorégraphie, elle-même faisant écho à beaucoup d'autres chorégraphies.
Vers la fin, le livret est franchement abandonné, d'une certaine manière... Adieu le marais peuplé de mille créatures spéciales et la source tarie... Ne restent plus que les personnages, la danse et la musique si belle (surtout ces thèmes magnifiques, vers la fin...) de Delibes/Minkus. Et cela plus que tout m'a réjoui : en effet, j'ai beau me questionner sur le sens de la chorégraphie, de la dramaturgie, pour ce qui est de revisiter une pièce du passé, je ne peux m'empêcher de me dire que le poète à tous les droits. Et cette fin m'a paru si belle, si émouvante et si admirablement rythmée, que, qui plus est, je remercie M. Lacroix, M. Ruf, M. Hervieu-Léger et M. Bart !
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Joël
Inscrit le: 11 Avr 2010 Messages: 112
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Posté le: Lun Oct 24, 2011 12:14 am Sujet du message: |
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petitflo a écrit: |
D'ailleurs, dans cette "séquence", le livret est largement modifié, me semble-t-il, avec l'intervention de Mozdock ajoutée. |
Si vous parlez de l'« arrêt sur image », il est dans le livret d'origine (fin du premier tableau de l'acte III) que haydn a posté quelques pages plus haut.
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nabucco
Inscrit le: 14 Mar 2007 Messages: 1462
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Posté le: Lun Oct 24, 2011 10:08 am Sujet du message: |
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Très rapidement, quelques remarques peu originales puisque recoupant largement ce qui a déjà été dit dans ce fil...
Oui, ce ballet a des défauts considérables, du point de vue de la narration notamment (on a l'impression que Clément Hervieu-Léger ne comprend pas l'histoire lui non plus) ; oui le décor paresseux d'Eric Ruf ne dit rien et pèse sur l'ensemble ;
MAIS la chorégraphie de Jean-Guillaume Bart fait oublier tout, et c'est pour moi plutôt une qualité qu'elle n'ait pas cherché à rivaliser de virtuosité avec le cirque sans âme façon Flammes de Paris.
Côté interprétation, je me joins aux louanges pour Mathias Heymann, qui ne sait certes faire que ça, mais le fait de façon sublime ici ; heureux que Mlle Pagliero n'ait pas été nommée sur ce rôle, parce qu'à part une technique de qualité comme celle que possèdent des centaines de danseurs dans le monde et sinon des dizaines, du moins un certain nombre à l'Opéra, il n'y a rien, pas de charisme, pas d'émotion, pas d'effort stylistique particulier ; Karl Paquette à la peine, y compris dans les partenariats ; plus surprenant, une Isabelle Ciaravola transparente, presque invisible.
DONC pour ceux qui hésitent encore : courez-y, la pièce est vraiment formidable... mais évitez cette distribution !
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3628
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Posté le: Lun Oct 24, 2011 10:43 am Sujet du message: |
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nabucco a écrit: |
DONC pour ceux qui hésitent encore : courez-y, la pièce est vraiment formidable... mais évitez cette distribution ! |
je trouve que cette phrase résume tout. Ce qui est dommage en revanche c'est que Mathias Heymann ne danse que dans cette distribution, quant au DVD je crains qu'il ne soit lui aussi avec cette distribution...
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Lulu
Inscrit le: 13 Déc 2010 Messages: 212
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Posté le: Lun Oct 24, 2011 1:54 pm Sujet du message: |
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J’ai trouvé cette nouvelle production de La Source assez jolie dans l’ensemble, même si ce ballet reste conventionnel chorégraphiquement. La mise en scène et la chorégraphie n’ont rien d’original. (Pourquoi reprendre des œuvres anciennes si l’on ne fait pas évoluer les pas et l’énergie afin d’enrichir la danse?) Il y a beaucoup de pas empruntés à de nombreux chorégraphes, Balanchine (bien sur), mais aussi Ashton (beaucoup de références à son ballet : the Dream!), Neumeier etc.… Mais c’est marrant dans ce genre de spectacle vous pouvez toujours jouer au jeu: de celui qui reconnaitra le ballet dans lequel il aura vu ce pas ci ou ce pas la!
La mise en scène chorégraphique (toutefois épurée de sa pantomime) n’était pas vraiment moderne et manquait de risque. Elle collait au schéma du ballet classique du XIXème siècle, lignes, corps de ballet bien rangé, danses de caractères, variations, pas de deux…mais rien de vraiment nouveau.
J’ai eu le sentiment d’un ballet d’école bien monté, mais assez scolaire dans sa construction et dans l’exécution du corps de ballet. Dans les Nymphes spécialement, on a l’impression que le chorégraphe est largement inspiré par Balanchine, mais qu’il n’est pas suivi dans le style par les danseuses du corps de ballet, qui m’ont paru un peu rigides et bien scolaires.
Au premier acte les danses de caractères sont plutôt bien montées, mais manquaient un peu de piquant et de fougue.
Le deuxième acte est moins réussi que le premier, la danse des voiles est assez spéciale et manque de finesse. La dernière scène sans décor, dans cette boite noir est pour le moins déroutante. Le dernier pas de deux de Nourreda et Djemil n’est pas fameux (les pas ne collant pas toujours à la mélodie...), la montée par la trappe de Naïla est un peu kitsch et la fin du ballet avec la mort de cette dernière est bâclé. Du coup on perd de l’émotion dramatique et on reste un peu sur notre fin.
Dans l’ensemble j’ai eu du mal à comprendre l’histoire, qui pourtant simplifiée (à tort, je pense), m’a paru confuse.
Les décors ne sont pas une réussite, ils manquent de magie et de chaleur. Les cordes au deuxième acte avaient des airs de torchons sales et ne sont pas très heureux.
Il y avait un décalage flagrant entre ces décors et les costumes chargés de Christian Lacroix et Svarovsky. Certains sont somptueux et élégants et d’autres sont moins réussis, comme ceux de Dadje, sa suite et la danse des voiles. Ils m’ont paru lourds et ces pyjamas/pantalon pas très élégant pour la danse. J’aurais aussi plus aimé que Naïla esprit de la source ait une robe moins princesse et plus aquatique. Le costume de Djémil est lui très épuré, assez moderne et dénote un peu avec ses partenaires.
J’ai trouvé dommage que le chorégraphe n’utilise pas toute la partition originale de La Source. La musique m’a paru monotone à quelques moments et le rajout du morceau emprunté à l’opéra Lakmé pas vraiment justifié.
Au final j’ai trouvé que les solistes ont extraordinairement bien défendu cette création. Avec un bémol en ce qui concerne Karl Paquette, que j’ai trouvé en dessous de ces collègues. Les danseurs ont été le point fort de cette première.
Mathias Heymann est époustouflant dans son rôle d’Elfe/Puck. Il vole littéralement, bondit, tournoie, avec une énergie captivante. Il est entouré de quatres Elfes qui sont aussi excellents.
Ludmila Pagliero est sublime dans le rôle de Naïla. Elle est irréelle et aérienne et son travail est un bonheur pour les yeux. Qui a son travail de pied, aujourd’hui à l’Opéra de Paris? Elle donne au personnage toute sa profondeur et se donne à corps perdu dans la chorégraphie de Jean-Guillaume Bart (ses adages sont une pure merveille). Je suis ravie que le chorégraphe l’ait d’ailleurs choisie pour la captation DVD de son ballet, cela va permettre à un plus large public de connaître cette danseuse, au futur prometteur.
Isabelle Ciaravola est toujours aussi belle et envoutante, même si techniquement ce soir là, elle n’était pas au mieux de sa forme.
Nolwenn Daniel est craquante et piquante à souhait. Elle se déjoue avec brio de toutes les difficultés technique.
Vincent Chaillet est charismatique et puissant dans son rôle de caractère et sa technique est sans faille.
Christophe Duquenne campe un Khan parfait et plein de force.
Bref, ce ballet n’est pas un chef-d’œuvre, mais il vaut le coup d’être vu pour tous ces interprètes qui défendent avec grand talent leurs personnages, bravo!
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marc
Inscrit le: 16 Fév 2009 Messages: 1157
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Posté le: Lun Oct 24, 2011 3:01 pm Sujet du message: |
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Ça a l'air très séduisant ! Le décor de cordes sur les photos me plait beaucoup et les costumes ont l'air flamboyants à souhait. Je verrai ça le 4 novembre prochain, le jour où ce spectacle sera retransmis en direct au cinéma, aussi j'espère qu'à cette occasion l'ONP me sortira sa plus belle distribution !
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marc
Inscrit le: 16 Fév 2009 Messages: 1157
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Posté le: Lun Oct 24, 2011 3:07 pm Sujet du message: |
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Aurélie a écrit: |
j'attends désormais les commentaires avant de prendre des places, surtout que maintenant il faut faire la queue au guichet... Et comme je trouve que les commentaires pour ce ballet ne débordent pas d'enthousiasme, je vais attendre 2012 pour retourner à Garnier... |
Aurelie, laissez-vous aller... C'est une création après tout, ce n'est pas tous les jours qu'on en voit, en plus par un chorégraphe qui se lance pour la première fois dans ce genre de grand spectacle. Pour ma part, c'est un motif suffisamment excitant pour faire le déplacement, d'autant plus que je m'en veux beaucoup de ne pas être allé à la création d'Alice au pays des merveilles cette année à Covent Garden...
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marc
Inscrit le: 16 Fév 2009 Messages: 1157
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Aurélie
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 1324 Localisation: Paris
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Posté le: Lun Oct 24, 2011 3:37 pm Sujet du message: |
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marc a écrit: |
Aurelie, laissez-vous aller... C'est une création après tout, ce n'est pas tous les jours qu'on en voit, en plus par un chorégraphe qui se lance pour la première fois dans ce genre de grand spectacle. Pour ma part, c'est un motif suffisamment excitant pour faire le déplacement, d'autant plus que je m'en veux beaucoup de ne pas être allé à la création d'Alice au pays des merveilles cette année à Covent Garden... |
C'est gentil de vous intéresser à mon cas! Des créations, j'en ai vu suffisamment de ratées pour être devenue très réticente (limite phobique), et j'avais trouvé Péchés de jeunesse sans intérêt, alors si en plus, ici, l'histoire ne tient pas la route et la musique est oubliable... Je crois que j'attendrai la diffusion télé... 
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