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Nouvelles du Mariinsky [et du Bolchoï]
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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22163

MessagePosté le: Jeu Mar 12, 2009 5:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les premières images de Coppélia avec Maria Alexandrova (Swanilda), Ruslan Skvortsov (Franz) et Guennadi Yanin (Coppélius), diffusées sur des chaînes de télévision russes. La première a lieu ce soir!

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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22163

MessagePosté le: Sam Mar 14, 2009 2:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Des photos de Coppélia sur le site du Bolchoï, avec Maria Alexandrova/Ruslan Skvortsov ou Natalia Osipova/Viacheslav Lopatin: http://www.bolshoi.ru/en/season/press-office/photos/



Scène de l'acte I
Photo: Damir Yusupov/Théâtre Bolchoï



Maria Alexandrova (Swanilda)
Photo: Damir Yusupov/Théâtre Bolchoï



Maria Alexandrova (Swanilda) - Ruslan Skvortsov (Frantz)
Photo: Damir Yusupov/Théâtre Bolchoï



Scène de l'acte II - Maria Alexandrova (Swanilda)
Photo: Damir Yusupov/Théâtre Bolchoï



Natalia Osipova (Swanilda) - Viacheslav Lopatin (Frantz)
Photo: Damir Yusupov/Théâtre Bolchoï



Natalia Osipova (Swanilda)
Photo: Damir Yusupov/Théâtre Bolchoï


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laurence



Inscrit le: 16 Juin 2006
Messages: 430
Localisation: Paris

MessagePosté le: Sam Mar 14, 2009 4:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Faire un travail sur la position du regard... cela semble évident sur les différentes images...


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22163

MessagePosté le: Dim Mar 15, 2009 8:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Encore de très belles photos de Coppélia, par Marc Haegeman: http://www.for-ballet-lovers-only.com/bolshoi-coppelia2009.html


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frederic



Inscrit le: 23 Jan 2007
Messages: 976

MessagePosté le: Lun Mar 16, 2009 4:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Fallait il vraiment faire entrer au répertoire cette Coppelia "restaurée" qui d'ailleurs n'est pas vraiment nouvelle puisque Sergueï Vikhariev l'avait produite à Novossibirsk il y a 7 ans. Quel que soit le talent de Vikhariev, on atteint là les limites du genre " restauration": les costumes sont ridicules, à peine regardables pour un public d'aujourd'hui: le 1er acte est trop long, trop de danseurs sur scène et le spectateur est perdu. Seul e second acte, chez Coppelius est quelque peu distrayant. La "restauration" est un gageure qui me semble sans grand avenir pour le ballet classique. Le Marinsky a d'ailleurs enlevé du répertoire "labelle " et " la bayadère" restaurées pour ne garder que les versions anciennnes/nouvelles. Il peut y avoir des réussites dans le genre comme le Corsaire de Ratmansky. Mais Coppélia est un spectacle fort moyen, accueilli tièdement par le public, sans compter que les danseuses/danseurs ne sont pas vraiment outillés pour danser ce ballet: fort peu de nuances avec les pieds et une danse pas forcément très propre. J'ai cela dit préféré Natalia Ossipova, plus vivante que Maria Alexandrova.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22163

MessagePosté le: Jeu Mar 19, 2009 5:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Clement Crisp a fait le voyage à Moscou...
L'article de Clement Crisp paru dans le Financial Times (17 mars 2009): Travel back and be bewitched

Un bref reportage diffusé sur CCTV (version anglaise): http://www.youtube.com/watch?v=w2HPTEexdZQ
Version française sur Euronews: http://fr.euronews.net/2009/03/16/bolshoi-theatre-presents-coppelia/


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Malixia



Inscrit le: 28 Jan 2008
Messages: 375

MessagePosté le: Jeu Mar 19, 2009 5:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Deux extraits de la première (acte III), avec Maria Alexandrova et Ruslan Skvortsov, ont été mis en ligne sur YouTube.

http://www.youtube.com/watch?v=eR3BjN4-8Uc
http://www.youtube.com/watch?v=_3-1Ajv3dqc


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laurence



Inscrit le: 16 Juin 2006
Messages: 430
Localisation: Paris

MessagePosté le: Jeu Mar 19, 2009 10:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Restauration... repentir... en peinture masquer ... la danse est en contradiction complète avec ce terme et toute tentative est vouée à l'échec ... ou reprendre ou refaire... pas de demie mesure...Ratmansky l'avait compris lui... qu'en pensez vous?


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haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26657

MessagePosté le: Jeu Mar 19, 2009 11:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

En ce qui me concerne, je trouve que les travaux entrepris aussi bien par Vikharev au Mariinsky que par Ratmansky au Bolchoi sont du plus grand intérêt ; ces deux compagnies, tout comme l'Opéra de Paris, ont une histoire à perpétuer et un patrimoine à préserver. J'ai eu la chance de pouvoir regarder la Belle au bois dormant reconstruite par Vikharev dans son intégralité, et vraiment, c'est une réussite. De la même façon, le Corsaire, Le Boulon ou encore Le Clair Ruisseau restent pour moi de très grands souvenirs.

Une reconstitution d'une fidélité absolue est bien évidemment une illusion, et un certain nombre de concessions à l'air du temps sont inévitables, d'autant qu'on ne dispose que très rarement de toute la documentation nécessaire. Et même une chorégraphie notée avec le plus grand soin ne peut plus être restituée avec un degré de fidélité raisonnable si la transmission orale, de maître de ballet à maître de ballet s'est perdue. N'empêche, il reste de belles redécouvertes à faire.

Il y a aussi des ratages, comme l'est à mon sens le Sacre du Printemps reconstitué par Millicent Hodson et Kenneth Archer pour le Joffrey Ballet en 1987, et rentré récemment au répertoire du Mariinsky avec un succès très relatif.

Je n'en n'espère pas moins que des chorégraphes doués d'une certaine curiosité historique s'attachent à faire revire une partie de l'immense patrimoine que nous a légué, en matière de danse, le premier Empire. Si la période napoléonienne a pu s'avérer assez stérile dans certains domaines de l'art, cette époque pour le moins agitée de l'histoire de France a certainement été l'une des plus riches en ce qui concerne le ballet.


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nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Ven Mar 20, 2009 11:17 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je partage l'avis de Haydn sur l'intérêt des démarches de reconstitution (et sur l'échec artistique de celle du Sacre, d'ailleurs). Si la restauration n'est qu'une recherche d'identité, évidemment, on court à la catastrophe; mais si restaurer, cela veut dire aller à la recherche d'une émotion oubliée, réfléchir à ce qui a fait pendant si longtemps le succès d'une pièce qu'on croit souvent trop connaître, bref remettre en cause ses a priori sur un répertoire, c'est une démarche passionnante, et même indispensable (quand par contre on persiste à donner le Lac des Cygnes "dans sa chorégraphie originale" simplement rafraîchie en 1950, par contre...).
Ce qui est intéressant en archéologie, ce n'est pas la vision quelque peu austère de trous de poteaux et de morceaux de squelette, c'est tout ce qu'on peut comprendre de la vie de mondes disparus. En danse c'est pareil: la reconstitution demande certes une bonne connaissance des systèmes de notation et des contextes de production, mais ça demande surtout un sens aigu de la scène, la capacité à donner la vie à tout cela.
Ce qui est mortifère, c'est la répétition, pas la reconstitution, qui au contraire sert à donner la vie!


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Lacdescygnes



Inscrit le: 10 Mar 2006
Messages: 118

MessagePosté le: Ven Mar 20, 2009 12:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis tout à fait d'accord avec vous Haydn. D'ailleurs pourquoi un ballet oublié et remonté serait-il ennuyeux ? Trouve-t-on La Sylphide ennuyeuse ???
Pourriez-vous nous dire quels genres de ballets ont été montés sous Napoléon Ier ? Etaient-ils à caractère historique, ou bien entrait-on déjà dans le romantisme ?


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Azulynn



Inscrit le: 13 Nov 2004
Messages: 659

MessagePosté le: Ven Mar 20, 2009 12:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quelques annonces préliminaires sur le site du Mariinsky au sujet du Festival annuel des Nuits Blanches (Stars of the White Nights Festival) :

Le Mariinsky remontera en juin Shurale, un ballet chorégraphié par Leonid Yakobson en 1955.

Christopher Wheeldon fait ses débuts à Saint-Pétersbourg avec la création le 10 juin d'une pièce en un acte pour la troupe.

Par ailleurs, Zakharova et Vishneva seront toutes les deux au programme, la première dans Giselle, la seconde avec le retour de Beauty in Motion.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22163

MessagePosté le: Ven Mar 20, 2009 12:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, merci Azulynn!

Festival des Nuits Blanches:

http://www.mariinsky.ru/en/news1/pressa/xviiwnf_programme/

Création de Wheeldon: 10 juin
Recréation de Shurale de Léonid Jakobson: 29-30 juin


Pour en revenir au débat entamé plus haut:

Pourquoi opposer Ratmansky et Vikharev ? Ce sont deux démarches différentes, légitimes l’une et l’autre, deux approches particulières du répertoire russe et deux manières fascinantes de se réapproprier une histoire et des traditions qui font partie intégrante de l'art de la danse (concernant Ratmansky, dans le cas des ballets soviétiques, il faut préciser qu'il s'est aussi retrouvé face à un "vide" en termes de notations chorégraphiques qui l'a contraint à tout refaire, pour les ballets impériaux, la tâche était d'un autre ordre). Ce débat, passionnant du reste, sur les "reconstructions" se doit toutefois d’être replacé dans le contexte précis de l’histoire du ballet russe et plus largement de l’histoire russe récente. Il y a – ou il y a eu à un moment donné - une dimension politique évidente, au sein d’institutions comme le Mariinsky et le Bolchoï, dans ce travail d’"archéologie" mené sur le répertoire, partant de la volonté de revenir aux sources et de réconcilier les Russes avec leur passé, qu’il soit impérial ou soviétique. Maintenant, on ne peut pas non plus – fort heureusement - les réduire à ce seul aspect "identitaire" qui en ferait dès lors des ouvrages purement anecdotiques, aptes à n'intéresser que des historiens ou des balletomanes tournés vers le passé.

Bien sûr, les "reconstructions" actuelles, comme celles de Vikharev ou de Ratmansky, sont, par nature, discutables, non pas tant dans leur principe que dans leur réalisation, mais comme le sont du reste toutes les "versions" des ballets classiques qui sont apparues au XXème siècle. Les ballets de Vikharev, notamment La Bayadère et La Belle, ont par exemple donné lieu à d’intenses débats en Russie au moment de leur création (il existe un ouvrage très intéressant qui en fait état).

Concernant précisément la démarche de Vikharev, qui ne fait justement pas dans la demi-mesure, il le dit et l’explique très bien : il cherche à restaurer pour le public une image (au sens presque pictural) de ce que pouvait être dans sa forme le ballet impérial, celui que nous croyons admirer, mais dont l’image a été brouillée, effacée par des décennies de ballet soviétique - et d’adaptations occidentales - qui ont pu contribuer à dénaturer, aussi bien chorégraphiquement que musicalement, les "œuvres d’origine" (sachant que l’origine est elle-même un concept problématique dans le domaine du ballet, forme mouvante par nature). En soi, il y a une grande part d’illusion et de spéculation – conscientes bien entendu - dans le désir de restaurer des ballets dans leur état "originel". Les notations chorégraphiques, qui existent effectivement pour certains des ballets impériaux, demeurent d’une part toujours soumises à une interprétation (et là, les archéologues de la danse n’ont pas tous la même compétence ni le même sérieux...), du moins lorsqu’elles ne sont pas lacunaires, et d’autre part, le style "d’époque" ne peut être que quelque chose d’irrémédiablement perdu.

Néanmoins, c’est autre chose qu’il faut retenir de cette entreprise "impossible" de reconstruction. Les visions de Vikharev - car ses ballets restent des visions merveilleuses, de peintre et d’architecte, des fantasmes chorégraphiques empreints d’une nostalgie créatrice – sont fascinantes en ce qu’elles cherchent non seulement à ressaisir quelque chose d’une splendeur lointaine et oubliée mais aussi et surtout à renouveler notre regard de spectateur sur les "grands classiques" soviétisés ou disneylandisés. C’est un peu, je crois, comme la redécouverte du répertoire baroque dans les années 60-70. Pour certains, c’était "inaudible", mais maintenant plus personne ne considère ce mouvement comme une curiosité réservée aux mélomanes avertis (ce qui ne signifie pas qu’il faille tout applaudir béatement!). De même, Vikharev devient "irregardable" pour certains spectateurs russes ou occidentaux attachés par conformisme à telle ou telle version locale et dès lors comme empêchés de voir et d'accepter autre chose. Pourtant, si on parvient à dépasser le choc visuel et culturel (qui prouve à quel point notre regard a été brouillé par des versions ultra-lisses) provoqué par Le Réveil de Flore et La Belle (qui sont les deux Vikharev que j'ai vus), c'est un enchantement, en même temps qu'une manière radicalement nouvelle d'appréhender le répertoire (maintenant, je ne vois pas non plus ce type de productions dansé ailleurs qu'au Mariinsky).

Au Mariinsky, Gergiev a récemment décrété que c’en était fini des reconstructions... Résultat, Coppélia est remonté au Bolchoï et on ne donne plus que La Bayadère de Ponomarev/Chabukiani (1941) et La Belle de Sergeev (1952), qui a semble-t-il les faveurs du public et des danseurs, alors que les deux versions pouvaient raisonnablement coexister au sein du répertoire. C'est un peu dommage, je trouve.


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Katharine Kanter



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Messages: 1476
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MessagePosté le: Ven Mar 20, 2009 4:07 pm    Sujet du message: Serguei Vikharev Répondre en citant

Personnellement, je n'ai vu que La Bayadère remonté par Vikharev. J'ai trouvé cela excellent.

Le seul hic reste la danse elle-même - la gymnastique qui passe pour danse "classique" de nos jours n'y a pas sa place.

Cependant Vikharev ne contrôle pas l'apprentissage à l'école. Peut-être devrait-il devenir chef de l'école?


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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26657

MessagePosté le: Ven Mar 20, 2009 4:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Lacdescygnes a écrit:
Pourriez-vous nous dire quels genres de ballets ont été montés sous Napoléon Ier ? Etaient-ils à caractère historique, ou bien entrait-on déjà dans le romantisme ?


Sur le plan de la chronologie, le Premier Empire correspond aux débuts du romantisme en France, avec par exemple des peintres tels Géricault ou, en matière littéraire, Chateaubriand.

Les ballets écrits durant cette période peuvent être considérés comme des ouvrages "romantiques", même si cela n'a rien à voir avec ce qu'on appellera (abusivement?) par la suite le "ballet romantique" : La Sylphide, Giselle..., avec ces fameux "actes blancs" dont le prototype est la Scène des Nonnes, insérée par Philippe Taglioni dans l'opéra Robert le Diable, de Meyerbeer.

Sous l'Empire, on privilégiait des sujets à caractère mythologique, ou héroïques : Achille à Scyros (Gardel), Les Amours d'Antoine et Cléopâtre (Aumer), Alexandre chez les Apelles (Gardel), L'Enlèvement des Sabines (Milon)... avec, pour accorder au public de temps à autre un peu de "détente", des sujets moins martiaux :Paul et Virginie (Gardel), Lucas et Laurette (Milon), Les Sauvages de la mer du Sud..., derniers avatars des errements moralisateurs d'un Jean-Jacques Rousseau.

Les pointes n'étaient pas encore d'usage à cette époque, et les costumes étaient, du moins pour ce qui est des ballets mythologiques, souvent constitués de tuniques blanches à la grecque ou à la romaine. Cela a son importance, car les habits très lourds en usage au XVIIIème siècle limitaient les évolutions des danseurs, notamment dans le domaine des sauts, qui vont se développer notamment sous l'impulsion d'artistes d'origine italienne, tels Blasis.

On retrouve un peu cet esprit au XXème siècle, dans les ballets académiques de Lifar ou de Balanchine, eux aussi fréquemment inspirés par la mythologie gréco-romaine.


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