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haydn Site Admin
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Monica
Inscrit le: 17 Jan 2006 Messages: 327 Localisation: Madrid
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Mer Juin 27, 2007 4:06 pm Sujet du message: |
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Dans le cadre des Etés de la Danse et de la venue du Ballet National de Cuba à Paris et en collaboration avec la Cinémathèque de la Danse, le Cinéma Le Racine (Paris 6ème) diffusera, le dimanche 22 juillet à 11h, Giselle dans la version d'Alicia Alonso, avec Alicia Alonso dans le rôle-titre, et en présence (sous réserve) d'Alicia Alonso.
Citation: |
Giselle o Las Willis
(Enrique Pineda, 1964, 80')
Version donnée par le Ballet national de Cuba d’un des ballets les plus fameux du répertoire, basé sur un argument de Théophile Gautier. Chorégraphié par Alicia Alonso, « Prima Ballerina Assoluta » qui interprète également le rôle titre. Un des sommets du ballet romantique.
Séance présentée par Alicia Alonso (sous réserve)
Dans le cadre des Etés de la danse à Paris
Cinéma Le Racine (Paris 6e)
11 h
8 euros (T.R. : 6,50 euros) |
http://www.lacinemathequedeladanse.com/
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Mer Juin 27, 2007 10:56 pm Sujet du message: |
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Les distributions sont sur le site des Etés de la Danse.
http://www.lesetesdeladanse.com/edition2007/index.php
Giselle
Giselle
Anette Delgado (16, 17 et 28 juillet)
Viengsay Valdes (18 et 29 juillet)
Hayna Gutierrez (19 et 26 juillet)
Yolanda Correa (20 juillet)
Sadaise Arencibia (27 juillet)
Albrecht
Joel Carreno (16, 17 et 28 juillet)
Romel Frometa (18 et 29 juillet)
Eliar Bourzac (19 et 26 juillet)
Javier Torres (20 juillet)
Miguelangelo Blanco (27 juillet)
Hilarion
Javier Torres (16, 17, 27 et 28 juillet)
Michelangelo Blanco (18, 20 et 29 juillet)
Joel Carreno (19 et 26 juillet)
Reine des Wilis
Sadaise Arencibia (16, 17 et 19 juillet)
Yanela Pinera (18, 20, 27 et 29 juillet)
Yolanda Correa (26 et 28 juillet)
Don Quichotte
Kitri
Viengsay Valdes (21, 24 juillet et 3 août)
Hayna Gutierrez (22 juillet)
Anette Delgado (25 juillet et 2 août)
Sadaise Arencibia (31 juillet)
Yolanda Correa (1 août)
Basilio
Romel Frometa (21, 24 juillet et 3 août)
Eliar Bourzac (22 juillet)
Joel Carreno (25 juillet et 2 août)
Miguelangelo Blanco (31 juillet)
Tarras Domitro (1 août)
Reine des Driades
Yanela Pinera (21, 24 juillet et 3 août)
Sadaise Arencibia (22, 25 juillet, 1 et 2 août)
Yolanda Correa (31 juillet)
Si quelqu'un peut nous en dire plus sur les danseurs... 
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Monica
Inscrit le: 17 Jan 2006 Messages: 327 Localisation: Madrid
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Posté le: Jeu Juin 28, 2007 12:35 am Sujet du message: |
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Une des meilleures Giselles cubaines, du point de vue de l'interprétation, est Babara García, mais elle ne figure pas dans les distributions.
Je ne connais pas tous les danseurs mais je peux vous parler, par example de Yolanda Correa que j'ai vue danser l'an dernier et je l'ai trouvée adorable au premier acte (très forte technique aussi) et très émouvante au deuxième. Le problème c'est qu'elle danse avec Javier Torres Peut-être le couple Annette Delgado/Yoel Carreño le 28 soit une meilleure option pour Giselle (avec Yolanda Correa comme Myrtha) Annette a une élévation incroyable En plus, en ce qui concerne le reste des garçons, je ne crois pas qu'il soient préparés pour danser Albrecht...
Pour Don Quixote, sans doute le couple Viengsay Valdés /Romel Frómeta. Viengsay campe une Kitri très latine, pleine de feu, de beauté et d'équilibres... Elle n'a pas les extensions si à la mode, mais elle danse!
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26659
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Posté le: Dim Juil 01, 2007 1:24 pm Sujet du message: |
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En prélude à la tournée française du Ballet National de Cuba, cette présentation, assez lyrique et dithyrambique, de la Giselle telle qu'elle est interprétée dans la tradition locale, de l'époque coloniale jusqu'à la version Alonso, qui est toujours celle qui figure au répertoire de la compagnie :
Citation: |
Giselle has marked the history of Cuban ballet dance, from those distant days in which corseted European dancers danced to the light of footlights in Tacon Theater crowded of ladies with hand fans and gentlemen with cigars. Until today, in that same theater (with less fans, but equally crowded) when performed, with all the skill of whom knows what it’s danced, our National Ballet.
We have made of Giselle a presentation work. Alicia Alonso's version is beyond doubt among the best in the last century: it has been danced in Havana and the main theaters of the world, and always leaves a genuine trail of admiration and enchantment. Even the distinguished Ballet of the Opera of Paris (in France, the very cradle of the dance) gave in to its strength and ended up including it in its repertoire. |
L'article de l'agence Cuba Headlines est ICI
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Poplulu
Inscrit le: 29 Mar 2007 Messages: 24
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Posté le: Dim Juil 01, 2007 9:56 pm Sujet du message: |
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Merci Monica pour ces conseils, car j'avoue que si je suis très tentée, je ne connais pas du tout ces danseurs...
Si d'autres connaissent ces danseurs, merci d'avance de leurs avis!
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Jeu Juil 05, 2007 10:46 am Sujet du message: |
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L'agence de presse cubaine ACN annonce la tournée du Ballet National de Cuba en France, tournée qui passera par Perpignan, puis par Paris. Quelques détails sont donnés sur le contenu des classes qui seront ouvertes au public.
Citation: |
During the Festival Professors Maria Elena Llorente, Felix Rodriguez and Javier Sanchez are scheduled to give four lessons to pass on their experience on the teaching of Coppelia, Swan Lake and The Flames of Paris. |
L'intégralité de la dépêche
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Lanou
Inscrit le: 12 Déc 2004 Messages: 352 Localisation: Paris
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Posté le: Sam Juil 07, 2007 11:09 pm Sujet du message: |
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dimanche 22 juillet 2007
Giselle o Las Willis
(Enrique Pineda, 1964, 80')
Version donnée par le Ballet national de Cuba d’un des ballets les plus fameux du répertoire, basé sur un argument de Théophile Gautier. Chorégraphié par Alicia Alonso, « Prima Ballerina Assoluta » qui interprète également le rôle titre. Un des sommets du ballet romantique.
Séance présentée par Alicia Alonso (sous réserve)
Dans le cadre des Etés de la danse à Paris
Cinéma Le Racine (Paris 6e)
11 h
Source http://www.lacinemathequedeladanse.com/programmes/
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26659
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Posté le: Mar Juil 17, 2007 3:47 pm Sujet du message: |
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Le journaliste de l'AFP, qui a fait partie des happy few conviés à l'avant-première de Giselle, hier soir, se fend d'une critique dithyrambique sur la prestation de la compagnie cubaine :
Citation: |
A 86 ans, [Alicia Alonso] a fait le déplacement en France et lundi soir elle a été ovationnée au milieu de ses danseurs à l'issue de la représentation par quelque 3000 personnes dont bon nombre de danseurs.
Le Ballet national de Cuba qui fait avec brio la démonstration qu'il demeure le compagnie de danse classique techniquement la plus accomplie et rigoureuse du Nouveau monde, ne s'est pas produite depuis 1998 à Paris.
Il s'y est installé jusqu'au 3 août pour 17 représentations avec deux titres: outre la romantique "Giselle" (jusqu'au 29 juillet), le virtuose "Don Quichotte" (à partir du 21 juillet), réglés par Alicia Alonso d'après les chorégraphies originales, après avoir participé à deux festivals en région, à Perpignan et Vaison-la-Romaine. |
La dépêche AFP reprise par Voila est ICI
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Mer Juil 18, 2007 11:33 am Sujet du message: |
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J'ai assisté hier à la première de Giselle par le Ballet National de Cuba, qui avait lieu dans le cadre inédit de la verrière du Grand Palais. L'endroit est monumental et dispose d'une installation gigantesque - beaucoup plus vaste, mais certainement pas plus confortable, qu'à l'Hotel de Rohan-Soubise où les Etés de la danse étaient précédemment établis - permettant d'accueillir 3000 personnes. Le changement de décor fait certainement perdre en romantisme ce que l'on gagne en espace, quitte à donner l'impression de se retrouver dans un hall de gare... Avis aux claustrophobes, l'air que l'on respire sous la verrière encore ensoleillée est, lorsque débute le spectacle, "muy caliente"...
La Giselle d'Alicia Alonso, créé en 1948 avec les décors et costumes de Salvator Fernandez, reste encore aujourd'hui l'oeuvre chorégraphique emblématique du Ballet National de Cuba, tant sa créatrice, figure incontournable et vénérée de la compagnie cubaine, lui demeure associée aussi bien en tant qu'interprète qu'en tant que chorégraphe. Cette version a été dansée à l'Opéra de Paris de 1972 à 1985 (date de l'entrée au répertoire de la chorégraphie de Mary Skeaping), mais pour ceux qui, comme moi, ne l'avaient jamais vue, il faut préciser qu'elle est assez différente des versions que l'on a peut-être davantage l'habitude de connaître de ce côté-ci de l'Atlantique, celle de Petipa dansée au Mariinsky, ou celle de Patrice Bart, dansée actuellement à l'Opéra de Paris, influencée, qu'on le veuille ou non, par les versions russes. Ainsi le Pas de deux des paysans est remplacé par un Pas de dix dansé par les amis de Giselle (six danseuses et quatre danseurs). Dans l'acte I, on voit un spectre apparaître au fond de la scène durant la pantomime de la mère de Giselle et dans l'acte II, on constate également des différences chorégraphiques, que ce soit dans la variation de Myrtha, dans le grand Pas de deux, lors de la mort d'Hilarion, ou dans les alignements des Willis. Certains passages musicaux, qui m'étaient inconnus, sont interpolés, notamment au tout début de l'acte II, lorsqu'apparaît Hilarion. De manière générale, la chorégraphie paraît plus simple, parfois même un peu répétitive et poussive (notamment dans le pas de dix), en ce qui concerne les pas (pour ce qui est des ports de bras, je n'en suis pas sûre en revanche), que ce à quoi nous pouvons être habitués. Par ailleurs, et indépendamment de la chorégraphie, le style est à la fois éloigné de la simplicité française et du lyrisme russe. Les ports de bras des danseuses sont ronds, placés assez hauts, les bustes toujours légèrement inclinés. Tout ceci apporte une grande richesse aux ensembles et donne une coloration très romantique à la danse, si l'on a à l'esprit les gravures de Grisi ou des danseuses du XIXème siècle; on pense aussi, et la référence est peut-être plus appropriée, à l'esprit romantique tel qu'a pu le revisiter Fokine dans Les Sylphides.
Anette Delgado interprétait le rôle-titre pour cette première (d'ailleurs, qui peut m'expliquer, puisque la veille avait lieu une "avant-première" avec la même distribution, ce que signifie donc dans ce cas une "avant-première", qui n'est pas une générale, mais qui est ouverte au public?). J'ai trouvé sa Giselle absolument magnifique et très convaincante de bout en bout. Elle réussit notamment le tour de force (et c'est bien là l'enjeu de l'interprétation de ce ballet) d'être aussi crédible en paysanne qu'en créature surnaturelle. Au premier acte, sa Giselle est simple, humble et naïve, mais l'on sent déjà en elle une âme différente, un idéalisme qui la place à part des autres paysannes. Son mime, extrêmement précis, travaillé, théâtral, s'adresse de manière vraiment lisible et ouverte à ses différents partenaires. On aura apprécié sa danse très puissante au niveau du bas de jambe, d'une grande propreté technique, ses équilibres parfaits, sans jamais un tremblement, alliés à la grâce, à la douceur un peu sentimentale du haut du corps et des ports de bras - ce, jusqu'aux mains -, très travaillés eux aussi, et surtout très justes (bien plus qu'à Paris, cela est certain). La fameuse variation de Giselle, celle comportant la diagonale de ronds de jambe en l'air, était superbement exécutée, autant sur le plan de la virtuosité du bas de jambe que dans la beauté des ports de bras et le travail du buste, et l'on aura particulièrement regretté à ce moment-là la froideur du public qui n'aura pas laissé échapper un seul "bravo" avant les saluts finaux. Dans l'acte II, elle se transforme littéralement, et l'on peine vraiment à reconnaître en cette créature éthérée la paysanne du premier acte. Anette Delgado, superbe de légèreté et de grâce, a pu alors faire admirer une très belle batterie, véloce et précise, des sauts puissants, un ballon impressionnant et de magnifiques équilibres. Sa prestation ne donne lieu en tout cas à aucune démonstration de force, comme on aurait pu le craindre, et sa puissance ne se départit jamais d'un moelleux bienvenu, et très romantique, dans les mouvements, ceux-ci jouant beaucoup sur l'effet de ralenti, qui crée une impression d'apesanteur, un effet permis aussi par la puissance des ballerines cubaines. On pourra toujours déplorer une arabesque penchée finale à 180°, totalement hors-sujet, d'étranges battements seconde (dans la variation de Myrtha aussi) qui doivent, cela étant dit, figurer dans la chorégraphie, pas très romantiques pour le coup et stylistiquement très contestables, comme d'autres petits détails ici ou là, mais à part ça, dans la lettre et dans l'esprit, cette Giselle-là est de très haute tenue.
A ses côtés, Joel Carreno paraît légèrement en retrait dans le jeu, tant la personnalité d'Anette Delgado s'impose, de manière écrasante et sans jamais un temps mort, tout au long du ballet. Il faut dire aussi qu'Albrecht n'est pas tellement mis en avant dans cette version et danse finalement assez peu. Joel Carreno est un danseur fin, souple, à la danse propre et élégante, à la saltation virtuose et spectaculaire, mais on déplorera, comme c'est le cas chez beaucoup de danseurs actuels, une certaine langueur du haut du corps, qui fait que tout se passe uniquement dans les jambes, longues et flexibles... On perd là en force, en puissance et en expressivité, et c'est bien dommage... Ceux qui attendaient des danseurs cubains athlétiques à la Acosta seront déçus, car il m'a semblé que les autres garçons, Hilarion ou les paysans, étaient un peu taillés sur le même modèle: très bons sauteurs, mais un peu indisciplinés dans les ensembles et dans le placement du corps. Hilarion justement, interprété par Javier Torres, déçoit par un manque de puissance et de force dans un jeu on ne peut plus naturaliste, qui ferait presque passer Wilfried Romoli pour cabotin: de ce point de vue, ses apparitions au tout début de l'acte I et de l'acte II ne parviennent pas à emporter l'adhésion. Certes il est agréable de voir que la différence entre le noble et le paysan est immédiatement lisible, mais tout de même, les hommes paraissent un peu fades dans cette histoire... En contrepoint, on louera en effet Sadaise Arencibia dans le rôle de Myrtha, figure pleine de superbe, imposante, autoritaire et implacable (un peu trop militaire?). Sa danse, très puissante également, est impeccable - même si personnellement je préfère une interprétation plus contrastée du rôle - tout comme celle de Moyna (Yanela Pinera) et Zulma (Karelia Sanchez), les deux Willis, qui savent allier grâce éthérée et sûreté technique avec des équilibres absolument parfaits. De ce point de vue en tout cas, on est très loin des approximations et même des imperfections, y compris stylistiques, vues à Paris en décembre dernier...
Si le corps de ballet est parfois un peu brouillon - je veux surtout parler des garçons au premier acte -, avec ensembles approximatifs, festival de levers de jambe à tous les étages, batterie faible, placement du haut du corps peu solide..., dans le second acte, on n'aura pu qu'être favorablement impressionnés par la grâce des ensembles en même temps que par l'admirable discipline et la superbe harmonie qui régnaient parmi les Willis. Là encore, l'écart de niveau avec les garçons se fait nettement sentir.
Malgré un public très froid et qui se contentait d'applaudir poliment durant le ballet (je pense que cela doit changer pour les danseurs de l'ambiance cubaine), le spectacle s'est conclu par une ovation, particulièrement marquée à l'endroit d'Alicia Alonso, accompagnée sur scène par Anette Delgado et Joel Carreno.
Pour ma part, si je compte revoir une fois encore Giselle et sans doute aussi Don Quichotte, j'avoue que le prix des places est parfaitement prohibitif, pour ne pas dire scandaleux (comptez 10euros en plus pour le programme farci de pubs). Si de tels tarifs peuvent se conçevoir à l'Opéra ou dans un vrai théâtre avec orchestre, ici, avec une bande enregistrée et une installation somme toute artisanale, on reste franchement très amère sur la politique qui préside à tout cela. Que cherche-t-on d'ailleurs en programmant un spectacle à 21h30 - précédant une soirée intitulée "Habana Noche" (le ballet serait-il le prétexte?...), gratuite pour les spectateurs du ballet -, sinon à attirer le plus de touristes de passage possible, qui ne regarderaient pas trop aux tarifs?... D'ailleurs, la salle n'était pas pleine hier et l'on pouvait se replacer... Bref, cela n'a évidemment rien à voir avec les danseurs du Ballet de Cuba, qui méritent vraiment le déplacement...
Dernière édition par sophia le Mer Juil 18, 2007 5:52 pm; édité 9 fois |
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3628
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Posté le: Mer Juil 18, 2007 12:19 pm Sujet du message: |
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je suis en train de réserver pour Don Quichotte, mais reste perplexe devant le "plan de salle" sans véritable information quant à la répartition des catégories de places.
Un Dansomanien a-t-il testé les places de 2e catégorie ? sont-elles très éloignées de la scène ?
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