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En juillet, la presse ne prend pas de vacances... revue!
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haydn
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MessagePosté le: Mer Juil 05, 2006 1:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cela devrait intéresser notre ami Pierre Wink , la revue Art & Décoration de juillet publie un dossier de dix-sept pages abondamment illustrées sur le Palais Garnier. Il y a notamment beaucoup de clichés montrant les détails des mosaïques du Grand foyer, ainsi que la salle des cabestans, au sous-sol du bâtiment.




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sophia



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MessagePosté le: Mer Juil 05, 2006 4:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Comme il a aussi beaucoup d'admirateurs en France, je le signale: Carlos Acosta est en couverture du dernier numéro de Dancing Times, revue dans laquelle il est interviewé en même temps que le chorégraphe danois Kim Brandstrup.



Ajoutons que Carlos Acosta donne ce mois-ci une série de représentations au Sadler's Wells de Londres en compagnie d'autres danseurs du Royal Ballet:

Citation:

Carlos Acosta and Guest Artists from The Royal Ballet

Sadler’s Wells Theatre 18 - 23 July 2006

Carlos is delighted to announce his one week show at Sadler’s Wells Theatre this July. He is joined by renowned guest artists from The Royal Ballet; Zenaida Yanowsky, Sara Lamb, Rupert Pennefather, Marianela Nuñez, Yuhui Choe, José Martin, Mara Galeazzi and Thiago Soares.

For this unique show, Carlos Acosta has chosen some of his favourite moments in classical ballet, including extracts from Balanchine's Agon, Bournoville's La Sylphide and Fokin's Dying Swan. These are performed alongside contemporary works, including three UK premiere's by Ben Van Cauwenbergh and Jose Garcia.

The Royal Ballet Sinfonia under conductor Paul Murphy, will accompany the performances*.

* A Buenos Aires, Je ne regrette rien, Les Bourgeois and Nisi Dominus will be performed to recorded music.

Part One includes:
George Balanchine’s Agon pas de deux (danced by Zenaida Yanowsky & Carlos Acosta)
Augstin Bournonville’s La Sylphide - Act II pas de deux (Sara Lamb & Rupert Pennefather)
Michel Fokin’s Dying Swan (Zenaida Yanowsky)
Agrippina Vaganova’s Diana & Acteon pas de deux (Marianela Nuñez & Carlos Acosta)
Farewell pas de deux from Winter Dreams (Choreography by Kenneth MacMillan, Music by Tchaaikovsky, Performed by Mara Galeazzi and Thiago Soares)

Part Two includes:
Ben Stevenson’s End of Time (Yuhui Choe & José Martin) - London premiere
Gustavo Mollajolli’s A Buenos Aires performed to the music of Astor Piazzolla (Marianela Nuñez & Thiago Soares)
Ben Van Cauwenbergh‘s Je ne regrette rien (Sarah Lamb) – UK premiere
Ben Van Cauwenbergh‘s Les Bourgeois (Carlos Acosta) – UK premiere
William Tuckett’s Nisi Dominus set to Monteverdi’s Vespers (Zenaida Yanowsky)
Jose Garcia’s Majisimo, set to music from Jules Massenet’s ballet Le Cid (Carlos Acosta, Yuhui Choe, Mara Galeazzi, Sarah
Lamb, José Martin, Marianela Nuñez, Rupert Pennefather & Thiago Soares) - UK premiere

Programme and casting may be subject to change.

Performances
Tue 18 - Sat 22 July at 7.30pm
Sun 23 at 5pm
Sat matinee at 2.30pm

Booking
Sadler’s Wells box office online
www.sadlerswells.com/whats_on/2005_2006/carlos.asp

By Telephone
Call the Ticket Office on 0870 737 7737;
Monday to Saturday, 9am - 8.30pm.

Source: http://www.carlosacosta.com/



Je précise enfin qu'on trouvera notamment dans ce numéro une critique du Spectacle Jeunes Danseurs donné à l'Opéra de Paris.


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FeeClochette



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MessagePosté le: Jeu Juil 06, 2006 1:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,

C'est sur que ca nous change du classique : "tout le monde il est beau, il est gentil" de "Danse" ou "Danse Light"... "Danser" a l'avantage d'employer de "vrais" journalistes qui ont souvent un point de vue différent du ballétomane fan (et du votre peut etre Haydn? Smile). Concernant le spectacle jeune danseur, j'ai moi-meme été tres déçue, même si j'ai apprécié "diamants" (à part les courses de cabri de Laura!). Paquita plat, L'oiseau bleu et le cygne noir, c'est à peine si la danseuse tendait ses pointes et tenait sur ses jambes... Si on ne leur demande pas à 18 ans d'être de grands interprètes, que la technique soit là!


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eurydice



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Messages: 227

MessagePosté le: Jeu Juil 06, 2006 8:04 am    Sujet du message: Répondre en citant

Fée clochette : en ce qui me concerne, je ne peux accepter que l'on qualifie de ""vrais" journalistes" des gens qui parlent de choses qu'ils n'ont pas vues ou qui carricaturent les choses parce qu'ils sont de pari pris.
Le vrai journaliste est un témoin qui vérifie ses assertions avant de les publier.
Je ne dis pas que pour la soirée jeune danseur, le journaliste ne l'a pas vu. Qu'il ne soit pas de parti pris, permettez-moi d'en douter. Mais partir du principe que dans "danser" il y n'y a que de "vrais journalistes", permettez moi de penser que ça doit faire mal à plus d'un (journaliste qui fait travail dans les régles...)

Attention, je ne dis pas que c'est mieux dans les autres magazines spécialisés...


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haydn
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Messages: 26657

MessagePosté le: Jeu Juil 06, 2006 8:21 am    Sujet du message: Répondre en citant

En ce qui concerne Danser, vous avez raison, Fee Clochette, c'est le seul magazine de danse français qui est réalisé - du point de vu formel - de manière professionnelle. Danse et DanseLight relèvent peu ou prou de l'artisanat et sont fabriqués avec des moyens financiers réduits et par des gens dont le journalisme n'est pas l'activité habituelle.

Ce que je trouve contestable chez Danser, c'est leur parti-pris systématique contre la danse "classique" ; ils récidivent dans ce sens pratiquement dans chaque numéro, et la ligne éditoriale imposée par la rédactrice en chef, Agnès Izrine, qui consiste à considérer tout ballet en tutu comme une distraction pour vielles ganaches présumées fascisantes est assez lassante.

Mais, si je me montre fort critique envers cette attitude, destinée à flatter de manière un peu trop voyante un lectorat tendance gauche-caviar-cultureux-branchouille, reconnaissez que je signale aussi à chaque fois les bons articles (notamment les essais historiques) qui paraissent dans ce journal.

En ce qui concerne la critique du spectacle "Jeunes danseurs", elle m'a choqué parce que le journaliste (je ne le connais pas, et je ne suis pas certain qu'il soit un professionnel de la danse, même si, encore une fois, question forme, les papiers de Danser sont rédigés de manière plus sérieuse que ceux des publications concurrentes, avec une orthographe et une grammaire décentes), se livrait à une charge sans nuance, en omettant sciemment de parler de la prestation objectivement la moins contestable de toutes, celle de Laura Hecquet et d'Audric Bezard.

Vous remarquerez également que par ailleurs, je ne me prive pas non plus de contester certaines critiques exagérément laudatives, telles celles de Gérard Mannoni, bien trop souvent flagorneuses pour demeurer un tant soit peu crédibles.

En ce qui concerne votre propre appéciation sur le spectacle, je me bornerai à vous trouver bien sévère au sujet de l'Oiseau bleu, que j'ai, en dépit de petites imperfections que j'avais signalées, fort apprécié. Mais là, c'est un débat qui concerne un autre fil de discussion!

Sur la forme, moi non plus, je ne suis évidemment pas un journaliste professionnel. Je reconnais volontiers que le ton que j'emploie sur Dansomanie est rarement très virulent envers les danseurs du Ballet de l'Opéra de Paris. C'est un choix délibéré et assumé. Le ballet classique est, soyons clairs, assez mal en point en France, et j'essaye, dans la mesure de mes moyens eux aussi très artisanaux, de le défendre autant que possible, et de faire connaître ceux qui pratiquent cet art, notamment au travers des interviews. Alors, si ici ou là le fan que je suis effectivement peut se rendre coupable d'une complaisance que vous trouverez excessive, soit. Mais c'est le prix à payer pour que Dansomanie garde sa raison d'être.




Dernière édition par haydn le Jeu Juil 06, 2006 12:16 pm; édité 1 fois
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FeeClochette



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Messages: 17

MessagePosté le: Jeu Juil 06, 2006 8:52 am    Sujet du message: Répondre en citant

Tout à fait d'accord Haydn!
En revanche concernant "Danser", j'ai remarqué une plus grande ouverture récemment concernant le classique (dans le numéro précédent il y avait 2 critiques (à mon gout trop) positives sur la danse classique (La Bayadère, Don Quichottte à Bordeaux) et autres articles de fond (peut etre encore trop rare (mais on a "Danse" pour savoir que X aime aller au cinéma le dimanche après-midi Smile ). Donc que quelqu'un donne son avis (même très négatif) sans langue de bois (cequi n'est pas à mon avis "sans nuance") sur le classique (et ça leur arrive autant sur le contemporain!), ça fait du bien... (je regrette également qu'il est omis de parler de "diamants", même si ce dernier n'a pas fait non plus l'unanimité et que dans une petite critique on ne peut pas faire une énumération exhaustive... il donne une impression à chaud)


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sophia



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MessagePosté le: Mar Juil 11, 2006 10:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Un long portrait de Carlos Acosta dans le Times du 10/07 signé Debra Craine en introduction à deux spectacles: "Carlos Acosta and Guest Artists at Sadler’s Well" du 18 au 23 juillet et "Tocororo at the Coliseum" du 2 au 5 août:
Bounds for greatness - He grew up poor in Havana, now Carlos Acosta is changing the face of ballet


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haydn
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Messages: 26657

MessagePosté le: Sam Juil 15, 2006 11:02 am    Sujet du message: Répondre en citant

Dance Europe vient de franchir le Channel pour nous apporter sa livraison de l'été, avec en couverture Natalia Horecna et Mélanie Oger, du Scapino Ballet de Rotterdam :





Le Ballet de l'Opéra de Paris n'a droit qu'à une colonne et demie dans ce numéro, avec le compte-rendu - assez surprenant - de François Fargue à propos du spectacle "Jeunes danseurs" de mai dernier au Palais Garnier.

Si l'on conçoit fort bien qu'il ait apprécié Yong Geol Kim dans le Grand Pas (M. Fargue loue ses tours en l'air "diaboliques") tout comme Sophie Parczen, on est plus étonné de voir cité, au nombre des personnalités marquantes de ce même ouvrage, Jean-Philippe Dury, qui n'y était pas distribué (il dansait Coppélia avec Christelle Granier et Samuel Murez)...

François Fargue a par ailleurs été impressionné par Cyril Chokroun et Grégory Dominiak qui ont "triomphalement porté" la chorégraphie de Mallory Gaudion, Abel était....


Autres grands moments de la soirée, selon François Fargue, le Pas de deux de l'Oiseau bleu, interprété par Aubane Philbert, "au charme et à la vivacité irrésistibles" et par Mathias Heymann, à la saltation "sans efforts" et à la "batterie cinglante", ainsi que le Pas de trois du Cygne noir, avec une Alice Renavand "incandescente", un Sébastien Bertaud "grandiose" et un Vincent Chaillet "somptueux". Fermez le ban. Ou plutôt, entrouvrez-le à nouveau pour quelques mots gentils à l'endroit de Mathilde Froustey et de Laura Hecquet, "a brilliant and super-classy ballerina", en anglais dans le texte.


En marge des critiques de spectacles, l'annonce de la parution en Grande-Bretagne du DVD de Joyaux, avec, dans "Emeraudes", Emmanuel Thibault, "l'un des danseurs les plus magnifiquement racés (et hélas sous-employé) de la compagnie". Nous n'aurions pu dire mieux.

Mauvais coup des Anglais quand même, puisqu'ils nous nationalisent perfidement "Emily" Cozette, interpète de Diamands aux côtés d'Agnès Letestu, Isabelle Ciaravola et Jean-Guillaume Bart...

Pour le reste, on trouvera un dossier consacré au Rambert Ballet, qui célèbre cet année son 80ème anniversaure, une interview très people du danseur Australien (mercenaire du Royal Ballet!) Steven McRae, un reportage sur la danse classique à Singapour, et évidemment beaucoup de compte-rendus des spectacles de Covent Garden, avec en vedette Sarah Lamb, qui vient d'être nommée "Principal" (Etoile) sur la Belle au bois dormant.

Enfin, on signalera une longue lettre adressée au journal par Paulo Ribeiro, l'ex-directeur du Ballet Gulbenkian de Lisbonne. La compagnie portugaise vient d'être liquidée suite à la défaillance de son sponsor (tiens, tiens...), et Ribeiro ne mâche pas ses mots :

Citation:
[La situation] a été gérée sans aucun respect pour les personnes impliquées, en occasionant d'énormes blessures psychologiques. [...] Il semble tout à fait clair que la danse a été exterminée de la Fondation Calouste Gulbenkian, et que cela a été fait dans une totale absence de réflexion.


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doudou



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MessagePosté le: Sam Juil 22, 2006 2:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dans le supplément week end du Monde daté samedi 22 juillet deux pages consacrées à Mathieu Ganio


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haydn
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MessagePosté le: Dim Juil 23, 2006 6:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Grâce à l'ami Doudou, j'ai contribué à la prospérité de la maison Colombani, et j'ai investi les 6€95 que coûte le Monde 2, accompagné il est vrai d'un CD comprenant trois symphonies de Mozart...

L'interview, qui semble plus ou moins codée à destination d'initiés, nous apprend que Mathieu Ganio se plonge actuellement dans la lecture des Souffrances du jeune Werther, de Goethe - déjà que Nicolas Le Riche est devenu un spécialiste de Suétone, là, on ne pourra plus dire que les Etoiles de l'Opéra de Paris ne se cultivent pas -, que les "histoires de danse" le "saoûlent", et qu'une fois en "civil", il ne discute "ni technique, ni dureté disciplinaire".

Par ailleurs, sa glorieuse ascendance ne le complexe pas trop :

Citation:
Je n'ai jamais voulu m'angoisser de tout cet héritage, ni faire "comme papa et maman". J'ai suivi mon chemin.


Sinon, la Dame aux camélias, Mathieu Ganio voudrait bien que ce soit pareil dans la vraie vie, où il se verrait bien encore dans la peau d'Armand Duval :

Citation:
Je voudrais tellement aimer et être aimé avec cette intensité-là.


Et pour que les choses soient bien claires :

Citation:
Je m'en fous d'être un beau jeune homme. Je ne me sens pas un jeune premier, encore moins prince. Je veux l'exaltation des sens. Je veux danser l'amour de Des Grieux qui suit Manon jusque dans la mort. Chez moi, je mets la musique du ballet, et quand arrive le pas de deux final, je frissonne.



Enfonçant le clou, Mathieu Ganio livre incidemment les raisons qui ont pu le pousser à accepter des rôles tels Caligula : "Il se damnerait pour un contre-emploi. Et n'envisage pas d'interpréter des princes, encore des princes, toujours des princes jusqu'à 45 [sic] ans, âge légal de la retraite pour un danseur de l'Opéra de Paris", rapporte le journaliste du Monde, Dominique Frétard.

Prenant l'exemple de Sylvie Guillem, il s'interroge : "ne s'est elle pas forgée quand Noureïev dirigeait le Ballet de l'Opéra de Paris, puis en s'opposant à lui"? Mais chut, "je me tairai, car je vais me faire déchirer, interdire d'interviews à vie". Brigitte Lefèvre est prévenue, des fois que l'envie lui prendrait de jouer les statues du Commandeur!

Et de conclure :

Citation:
Ce qui me manque [...], ce serait une personne [...] avec qui je pourrais avoir un échange personnel et qui, par ses conseils, me pousserait dans mes derniers retranchements. Quelqu'un derrière moi.


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Lanou



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MessagePosté le: Dim Juil 23, 2006 9:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cela a le mérite, pour une fois, de ne pas user de la langue de bois à outrance...

Dans le numéro numéro 9 de Vasco, magazine trimestriel cette fois-ci consacré à Rome, il y a un article sur Marie-Claude Pietragalla (seulement deux petites pages).


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haydn
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MessagePosté le: Dim Juil 23, 2006 9:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

L'article de Mathieu Ganio (il s'agit n'ont pas d'une interview au sens strict mais d'un texte rédigé par Dominique Frétard entrecoupé de citations) à le mérite d'une certaine franchise, et est même assez touchant par son style direct, sans détours.


En ce qui concerne l'interview de Pietragalla dans Vasco n°9, c'était à l'origine Cecila Bartoli qui devait figurer au sommaire de ce magazine, ce qui était plus logique pour un numéro consacré à Rome. Apparement, il y a eu un contretemps, et on présume que c'est dans le numéro sur Ajaccio qu'on pourra lire les commentaires de la diva Italienne... Rolling Eyes


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Lanou



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MessagePosté le: Dim Juil 23, 2006 10:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mon cher Haydn, moi qui suis balletomane et lyricophile, je suis comblé avec ce numéro, puisqu'il y a bien l'interview avec C. B. (non, la perfidie ne vous aura pas fait reconnaître l'habituel sigle d'une carte délivrant de l'argent, mais bien la célèbre mezzo-soprano italienne), qui est d'une consensualité folle, je soupçonne même que la grande chanteuse italienne ne soit pas au courant de cet article, tant il est d'une vacuité entière. En tout cas, on sait maintenant que Mlle Bartoli aime Rome (des fois que le fait d'y avoir passé son enfance, et que sa famille soit là-bas puissent la dégoûter de la cité éternelle...).
L'article sur Pietragalla n'est pas très intéressant: souvenirs de Noureev, des tournées à l'étranger; et puis, chose étrange pour un artiste
Citation:
"Je veux amener la danse là où elle n'est pas, là où elle reste à découvrir"
cela est un peu beaucoup démagogique, mais acceptable pour une revue sur la plage.


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eurydice



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MessagePosté le: Mar Juil 25, 2006 2:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Elle du 24 juillet : une brève avec photo sur la prochaine création du Ballet d'Europe


aussi sur le web : http://www.elle.fr/?page=loisirs_spectacles_articles


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