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Adagio
Inscrit le: 21 Fév 2019 Messages: 172
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 9:12 am Sujet du message: |
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Au-delà de la programmation qui fait (pour une fois) la part belle au classique et du bon ressenti que j'ai eu avec le discours de José Martinez qui semble avoir une vraie vision pour la compagnie, je dois bien admettre que cette nouvelle politique tarifaire me laisse pantoise.
Je me souviens d'une époque pas si lointaine où les places en cat4 étaient aux alentours de 50-60€. Les prix 2023-2024 frôlent le délire.
Et ces places ont été plus que grignotées par les Optima et catégorie 1. Le parterre devient quasiment inaccessible.
Or, si ça ne me dérange en rien d'être loin et décentrée pour une œuvre lyrique, il n'en va pas du tout de même pour les ballets.
Et surtout, je suis profondément agacée par l'hypocrisie de la politique des abonnements. "Tous les spectacles auront droit à une réduction" ? Oui... mais la plupart des ballets classiques seront limités à une réduction de 5% De qui se moque-t-on ?
Le public des ballets classiques est, une fois de plus, considéré comme la vache à lait de l'ONP. Je vais faire des choix drastiques pour cette nouvelle Saison, à la fois par nécessité mais aussi par principe, car je suis excédée par cette escalade sans fin. L'ONP finira par ne plus réussir à faire le plein, ils devraient y réfléchir à deux fois.
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26569
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 9:34 am Sujet du message: |
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Que le ballet serve à renflouer les caisses, rien de nouveau. Le lyrique coûte, la danse rapporte, et déjà il y à 50 ou 60 ans, lorsque les subventions publiques se faisaient rares, on multipliait les reprises de productions chorégraphiques largement amorties pour faire rentrer de l'argent. Rien de vraiment pendable. Les choix artistiques de José Martinez - qui n'a pas son mot à dire pour les tarifs - sont louables. Il programme ce que le public demande, et sans doute aussi ce qui correspond à ses propres goûts. Il a été un grand danseur classique, il ne faut pas l'oublier. Ce qui, en revanche, pose problème, c'est que l'Opéra de Paris est une compagnie nationale, financée en large partie (et en sus de la dotation de fonctionnement, il faudrait aussi prendre en compte les travaux lourds de rénovation des bâtiments, eux aussi pris sur le budget de l’État) par de l'argent public, et dont les spectacles devraient être, en contrepartie, accessibles au plus grand nombre et non pas à quelques touristes au portefeuille bien garni. Et ce ne sont pas eux, qui, durant la crise sanitaire, ont permis à l'institution de subsister, mais bien le contribuable français. |
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Prisca
Inscrit le: 29 Oct 2021 Messages: 150
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 10:54 am Sujet du message: |
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Il est tout à fait faux d'écrire comme le fait Ariane Bavelier, que les prix restent stables dans les catégories inférieures à 3. Enorme augmentation en 4ème catégorie, en particulier !
Effectivement, comme le dit Haydn, le contribuable subventionne les loisirs des riches et c'est déplorable.
Quelqu'un sait-il à quelle hauteur l'Opéra reste actuellement subventionné ?
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JulietteA
Inscrit le: 07 Fév 2016 Messages: 271
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 11:08 am Sujet du message: |
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L'opéra publie chaque année un bilan, je crois que l'origine des fonds y est indiquée.
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Prisca
Inscrit le: 29 Oct 2021 Messages: 150
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 12:01 pm Sujet du message: |
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Mais où trouver ce bilan ?
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CatherineS
Inscrit le: 09 Mai 2015 Messages: 1497
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 12:49 pm Sujet du message: |
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sophia a écrit: |
paco a écrit: |
Au total cela fait donc 5 classiques : Casse-Noisette, Giselle, DQ, Le Lac des Cygnes et la Fille mal gardée.
Il y a donc clairement un tournant opéra par José Martinez :cela fait une éternité que l'ONP n'a pas affiché en une seule saison des titres aussi emblématiques que le Lac + Giselle + DQ + Casse-Noisette : jusqu'ici on aurait eu droit à l'un de ces titres à Noël et un autre au printemps.
Un grand bravo pour ce signal fort !
Reste maintenant à rehausser le niveau de la compagnie dans le classique, à lui redonner ce feu et ce lustre qu'elle y avait jusqu'au tournant des années 2000. Il faudra plusieurs saisons pour y arriver mais on est clairement sur la bonne voie ! |
C'est une saison Dupont, à un changement près (l'ajout de quelques représentations du Lac, je crois, au retour d'une tournée au Japon, à la place d'une soirée mixte).
C'est aussi une saison sur le modèle anglo-saxon. Neef fait le pari de remplir les caisses avec des blockbusters, mais aussi, ce dont curieusement personne ne parle ici, en triplant parfois le prix des places (il n'y aurait plus grand-chose en-dessous de 100€ au parterre de Bastille). Ariane Bavelier semble assez pudique sur le sujet, au regard de ce qui se dit ailleurs.
Je vous mets l'extrait de l'article du Figaro consacré au ballet.
https://www.lefigaro.fr/musique/opera-de-paris-y-a-t-il-une-marque-neef-20230329
Citation: |
Côté ballet, la troupe a enfin trouvé son maître en la personne de José Martinez. Qui n'a guère mis sa patte dans la programmation de onze spectacles signée par Aurélie Dupont, pressée d' « assurer » des salles combles. Giselle où Myriam Ould-Braham fera ses adieux et où Marianela Nuñez, star du Royal Ballet dansera en invitée, Casse-Noisette pour les fêtes, Le Lac des cygnes , Don Quichotte , La Fille mal gardée , une belle soirée Robbins : autant d'occasions pour la maison de faire parader son ballet et ses belles étoiles. Côté créations, aucune prise de risques : celles de Marion Motin et Xie Xin seront données dans la même soirée que The Seasons' Canon de Crystal Pite pour lequel le public est prêt à se damner. À signaler également trois entrées au répertoire de maîtres très courtisés de la chorégraphie : Sadeh21 d'Ohad Naharin, Barbe-Bleue de Pina Bausch, et dans le programme Kylian, autour de la reprise de Stepping Stones , l'entrée de Gods and Dogs, Petite Mort et Sechs Tanze déjà beaucoup vus à Paris.
Les tarifs qui connaîtront une hausse (5 à 10 euros supplémentaires en moyenne) pour les premières catégories (de la 3 à l'optimum), mais restent stables pour les catégories les moins élevées, avec plus d'un tiers des places mises en vente à moins de 50 euros et la mise en place de nouvelles formules d'abonnement ainsi que de spectacles proposés à « prix doux » (43 euros le prix moyen pour la reprise de Cendrillon et le doublé Ravel Ma mère l'Oye et L'Enfant et les Sortilèges avec les élèves de l'école de danse et les chanteurs de l'académie). Ou comment faire face à la crise tout en ménageant les questions d'accessibilité... Toujours ce fameux souci d' « en même temps » qui caractérise la touche Neef.
Alexander Neef mise sur l'augmentation du prix des places et sur un taux de remplissage massif du ballet, qui met à l'affiche un maximum de hits et de classiques |
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Il a aussi ajouté Casse-Noisette et programmé Don QUichotte à la place de Roméo et Juliette, ce qui pour le coup me semble une erreur car la saison manque d'un ballet narratif. Cela manque d'une soirée de ballets quelque part, en plus est-ce que c''était une soirée Etudes Ashton dont les portraits figuraient sur la plaquette qui avait fuité.
La saison paraît quand même déséquilibrée dans sa construction. Un début de saison plat avec une soirée d'ouverture typique de Dupont, et une fin sans doute beaucoup mais beaucoup trop classique (même s'il y a Barbe bleue de Bausch). |
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Ballerina
Inscrit le: 01 Juin 2016 Messages: 1608
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 1:09 pm Sujet du message: |
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Dupont a dit qu'elle avait planifié plusieurs saisons avant de partir, jusqu'à quel point ces futures saisons sont elles définies ? À quel moment José Martinez pourra réellement mettre sa patte?
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26569
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 1:32 pm Sujet du message: |
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Une saison de ballet peut se modifier relativement facilement, même à la dernière minute (ça arrivait tout le temps à l'époque de Noureev), sauf pour certaines créations où les contrats ont été signés plusieurs années à l'avance. Pour le lyrique, c'est différent, car les stars du chant et de la mise en scène ont leur agenda bouclé parfois jusque pour les dix années à venir. Le covid et la guerre en Ukraine ont toutefois un peu modifié la donne, et le système de troupe, qu'Alexander Neef a annoncé vouloir rétablir - pour le moment, ce ne s'est pas concrétisé vraiment - permet aussi un peu de limiter cette contrainte.
Pour les rapports, apparemment, le derner en ligne est celui de la saison 2019/2020 :
https://www.operadeparis.fr/lopera-de-paris/rapport-annuel
En temps normal, la subvention annuelle perçue par l'Opéra tourne autour de 90 millions d'euros. Avec les grèves de 2019 suivies du covid, il y a eu d'énormes rallonges budgétaires, et sauf erreur de ma part, la subvention a quasiment été doublée, au moins temporairement.
Avec cet argent, plus celui du mécénat et des recettes propres (billetterie, produits dérivés, droits de diffusion...), l'Opéra est censé financer les dépenses de fonctionnement (salaires, énergie, petit entretien, productions chorégraphiques et lyriques...). En revanche, les gros travaux, comme ceux en cours sur les façades, font partie d'une dotation spécifique.
L'un des principaux postes de dépenses était celui de l'électricité. La consommation d'un théâtre est considérable, et c'était déjà avant les crises récentes, le deuxième poste budgétaire de l'Opéra, après les salaires du personnel. L'augmentation massive du prix de ladite électricité, consécutive à la guerre en Ukraine, aura certainement des répercussions. Certains établissements comme l'Opéra du Rhin et l'Opéra de Lyon ont d'ores et déjà invoqué cette raison pour sabrer dans la programmation... |
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3594
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 1:56 pm Sujet du message: |
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haydn a écrit: |
L'un des principaux postes de dépenses était celui de l'électricité. La consommation d'un théâtre est considérable, et c'était déjà avant les crises récentes, le deuxième poste budgétaire de l'Opéra, après les salaires du personnel. L'augmentation massive du prix de ladite électricité, consécutive à la guerre en Ukraine, aura certainement des répercussions. Certains établissements comme l'Opéra du Rhin et l'Opéra de Lyon on d'ores et déjà invoqué cette raison pour sabrer dans la programmation... |
Oui c'est pour cela que je suis indulgent face à l'explosion des prix au Royal Ballet, car au Royaume-Uni le prix de l'électricité a augmenté dans des proportions dont nous n'avons pas idée en France (même un cadre de la City le sent passer à la fin du mois, c'est dire !).
Pour le lyrique, chaque année j'aime bien aller voir un spectacle en week-end dans un manoir britannique - le pays propose une dizaine de festivals de très haut niveau, dans des parcs et châteaux bucoliques, financés entièrement par mécénat et billetterie-. Cette année, leurs prix des places ont atteint des niveaux extra-galactiques en raison justement du coût de l'électricité, qu'ils sont obligés de répercuter dans la billetterie sinon ils n'ont plus qu'à fermer.
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rail45
Inscrit le: 02 Déc 2016 Messages: 321
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 3:48 pm Sujet du message: |
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Bonjour
En ce qui me concerne, la programmation me convient tout à fait (les prix un peu moins...).
- la représentation de Don Quichotte à laquelle je devais assister fin 2021 avait été annulée à la dernière minute à cause de la COVID qui avait fait des ravages parmi les danseurs et l'orchestre
- pour Giselle, c'est moi qui avait attrapé la COVID au dernier moment
- je n'ai jamais vu Casse Noisette sauf au cinéma
- Je reverrai bien La Fille mal gardée qui avait été le premier spectacle auquel j'avais assisté en 2018.
Résultat des courses : 3 ballets que je n'ai jamais vu et un que j'aimerai bien revoir.
Du coup l'abonnement risque d'être intéressant.
Je possède déjà un avoir de 320 € suite à la représentation de Giselle à laquelle je n'avais donc pas pu assister.
SI je peux utiliser cet avoir et payer le solde en plusieurs fois, cela pourrait être jouable, même si cela fera quand-même très mal au porte-monnaie.
A étudier
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Ballerina
Inscrit le: 01 Juin 2016 Messages: 1608
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 4:10 pm Sujet du message: |
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C'est vrai que la saison me fait repenser à prendre un abonnement. Je vais attendre de recevoir la brochure pour m'y plonger plus sérieusement.
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tuano
Inscrit le: 27 Mar 2008 Messages: 1171 Localisation: Paris
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 4:51 pm Sujet du message: |
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J'ai reçu la brochure.
Avec les nouvelles réductions pour les abonnés, les tarifs des ballets commencent très bas : 14€ pour Don Quichotte, 18€ pour Barbe-Bleue, 19€ pour Le Lac des cygnes et pour Casse-Noisette...
Je trouve que ça vaut le coup d'assurer sa saison en prenant des places pas chères dès maintenant, quitte à les revendre pour un meilleur placement et une distribution qui nous convient davantage par la suite.
Ballerina a écrit: |
Dupont a dit qu'elle avait planifié plusieurs saisons avant de partir, jusqu'à quel point ces futures saisons sont elles définies ? À quel moment José Martinez pourra réellement mettre sa patte? |
A mon avis dès la suivante, je ne vois pas pourquoi 2025 serait déjà verrouillé alors que quasiment tous les spectacles sont avec la troupe maison.
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Gimi
Inscrit le: 09 Mar 2014 Messages: 2024
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005 Messages: 1832
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Posté le: Ven Mar 31, 2023 10:49 pm Sujet du message: |
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Lors de la présentation de la saison aux membres de l'AROP, José Martinez a annoncé que le gala comporterait en plus une chorégraphie de Nicolas Paul pour trois Etoiles : Hannah O'Neill, Valentine Colasante et Amandine Albisson.
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rothbart
Inscrit le: 09 Avr 2008 Messages: 417
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Posté le: Sam Avr 01, 2023 11:13 am Sujet du message: |
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Sinon ; concernant l'abonnement en ligne (pour les anciens abonnés), ça fonctionne comment? Il y a une queue à faire, à partir de quelle heure ? c'est où ? Rubrique mes offres? Je ne me souviens plus...
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