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haydn
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 Posté le: Ven Mar 03, 2006 9:05 am Sujet du message: Josef Nadj en Avignon (Festival 2006) |
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Après Jan Fabre en 2005, c'est le chorégraphe hongrois Josef Nadj qui sera le maître d'oeuvre de la programmation du festival d'Avignon 2006. Le contenu de la 60ème édition de la manifestation a été dévoilé à la presse hier :
| Citation: |
| Dans la cour d'honneur, Nadj doit créer, du 7 au 13 juillet, Asobu, «hommage à Henri Michaux», pour lequel il a invité des danseurs japonais à rejoindre sa compagnie. Et, avec Barceló, il présentera aux Célestins, du 16 au 27 juillet, un Paso doble, tableau vivant pétri de corps et d'argile. Un tour du monde avec, à la Carrière Boulbon et en russe, deux spectacles d'Anatoly Vassiliev, l'un tiré de l'Iliade, l'autre de Pouchkine, et une soixantaine d'interprètes, musiciens ou jeunes acteurs de l'Ecole d'art dramatique de Moscou. Russie encore, mais en français, avec la mise en scène dans la cour d'honneur par Eric Lacascade des Barbares, de Maxime Gorki. |
L'article de René Solis, dans Libération, est ICI
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Les organisateurs du Festival d'Avignon ont dévoilé jeudi les grandes lignes de la programmation de sa 60e édition du 6 au 27 juillet, conçue comme un "voyage" avec le chorégraphe d'origine hongroise Josef Nadj, dans le "prolongement" de l'édition 2005 qui avait suscité la polémique.
Pour leur troisième année d'exercice, les deux jeunes co-directeurs, Hortense Archambault et Vincent Baudriller, ont à nouveau choisi d'ouvrir largement le théâtre sur d'autres expressions artistiques, scéniques (danse, cirque, musique, performances, etc.) ou non (vidéo, peinture...).
"Pour nous, ce festival est vraiment le prolongement de celui de 2005, dans le rapport aux arts visuels notamment", a déclaré Vincent Baudriller lors d'une conférence de presse à Avignon.
Après l'Allemand Thomas Ostermeier en 2004, millésime social et politique, et le Flamand Jan Fabre (2005), dont le travail provocateur sur le corps a été vivement contesté, le duo directorial a choisi un nouvel "artiste associé" en la personne de Josef Nadj, né en 1957 en Voïvodine et directeur du Centre chorégraphique national (CCN) d'Orléans. |
La dépêche de l'Agence France Presse, reprise par Yahoo, est ICI
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haydn
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| Posté le: Mer Mar 08, 2006 9:05 am Sujet du message: |
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L'Humanité commente également l'arrive de Josef Nadj au Festival d'Avignon 2006 :
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| Nadj sera de la partie et quand il ne dansera pas dans la cour, il sera ailleurs, dans l’église des Célestins, du 16 au 27 juillet, pour Paso-Doble. Cette seconde création est une invitation à son ami le peintre Miquel Barcelo. L’idée ? Réaliser à deux, en seulement une heure, une oeuvre plastique. Il paraît que ce sera en argile sculpté. « C’est, dit Nadj, une expérience insolite où le peintre sort de l’atelier pour réaliser un tableau devant public. Miquel Barcelo devra parvenir à condenser la création d’une forme en une heure. Pour ma part, je vais devenir l’élément vivant de l’oeuvre. » Un autre aspect du travail de Nadj, plus secret celui-là, la photographie, sera présenté du 6 au 27 juillet à l’entrée de la Maison Jean-Vilar ainsi que la projection de Last Landscape. |
L'article de Muriel Steinmetz est ICI
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haydn
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| Posté le: Mer Mar 08, 2006 3:58 pm Sujet du message: |
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Au tour de la presse de droite de s'intéresser à Josef Nadj, avec une interview du chorégraphe qui paraît ce mercredi dans le Figaroscope :
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Vous êtes maître d’oeuvre de la toute prochaine 60e édition du Festival d’Avignon. Quelles pièces lui destinez-vous ?
Une création, Asobu, qui signifie « Jeu » en japonais, inspirée d’Henri Michaux pour la Cour d’Honneur. Je me sens comme Michaux, voyageur qui traverse l’Orient jusqu’au Japon, « barbare en Asie », saisi par ce monde raffiné, tissé de codes inconnus, même si, pour avoir tourné et donné des cours au Japon et m’être intéressé à ses formes de spectacle no, kabuki et bunraku, je me sens un barbare averti. Dans ce pays, le mélange de tradition et de modernité rejoint mes préoccupations. J’écris Asobu pour des danseurs hongrois, français et japonais, pour traiter de la fusion impossible, comme Michaux dans son Voyage en Grande Garabagne. |
L'article du Figaroscope est ICI
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haydn
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| Posté le: Ven Mai 12, 2006 7:47 am Sujet du message: |
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Le programme du 60ème Festival d'Avignon a été présenté à la presse par Josef Nadj, le chorégraphe hongrois qui en assure la direction :
| Citation: |
| Le chorégraphe d'origine hongroise formé aux arts plastiques, grand amateur de littérature et de musique, donne le ton d'une programmation qui, selon Vincent Baudriller, "se décline comme un voyage". Il présentera dans la Cour d'honneur Asobu, une création inspirée par Henri Michaux, ainsi qu'une exposition de photos et un film inspirés par son village natal, Kanizsa, en Voïvodine (ex-Yougoslavie). Par ailleurs, il a demandé au peintre Barcelo d'imaginer une installation. |
L'article de Brigitte Salino, dans Le Monde, est ICI
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