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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22091
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Enya
Inscrit le: 26 Aoû 2005 Messages: 1061
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22091
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26532
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Posté le: Jeu Oct 08, 2020 10:02 pm Sujet du message: |
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Olivia N'Ganga a réalisé pour France3 Val de Loire un court-métrage autour - Covid-19 oblige - autour d'Abderzak Houmi, danseur qui avait entamé des études scientifiques rapidement abandonnées au profit d'un contrat dans la compagnie "Käfig", dirigée par le chorégraphe Mourad Merzouki.
• Danseur interprète autodidacte, chorégraphe, metteur en scène de la compagnie Jocondiennes Xpress
• Études de science à la faculté de Tours
• Il commence la danse en autodidacte à l’âge de 20 ans et met fin à ses études de sciences
• À 21 ans, il a sa 1ère expérience en tant que danseur interprète professionnel au sein de la
compagnie « Käfig » (dirigée par Mourad Merzouki, aujourd’hui l’un des seuls chorégraphes hip-hop à
diriger une scène de danse nationale). Il a aussi travaillé avec Marie-Claude Pietragalla (Marco Polo),
Maguy Marin et d’autres personnalités importantes du milieu de la danse HIP HOP et contemporaine.
Diffusion du court métrage
Le film « électron libre » sera diffusé dans le cadre de l’émission « Renversant » le 21 octobre 2020
vers 23h sur France 3 Centre Val de Loire, puis sur TVTours et BIPTV.
Une projection au cinéma est en cours de programmation.
Réalisateurs : Olivia N’GANGA et Mikaël DINIC
Scénario : Olivia N’GANGA
Chef opérateur : Mikaël DINIC
Monteur : Mikaël DINIC
Comédiens : Nathalie Jayet – Nicolas Thomas – Abderzak Houmi
Musiques : Orange Blossom
Durée du film : 4 minutes 35
Les réalisateurs du film
Olivia N'Ganga est née à Tours et c’est dans cette ville qu’elle a suivi la grande majorité de sa scolarité. Son parcours est un peu inhabituel car entre 7 et 15 ans elle suit une formation au Conservatoire National de Région de Tours en horaires aménagés (trois demi journées par semaine consacrées à des activités artistiques (CEC Danse classique, musique, chant et théâtre). Après une école de commerce (Escem), une licence en cinéma (Université Paris Est Marne-la-Vallée), un master dans le domaine de l’audiovisuel (CFJ), Un certificat d’études chorégraphiques au Conservatoire National de Région d’Angers en danse contemporaine, elle se fera une place à la radio en tant que chroniqueuse, puis à la télévision en tant que journaliste reporter et présentatrice. Finalement, c’est en 2014 qu’elle se fera rattraper par sa vocation en se spécialisant dans la danse en 2014 tout en alliant ses deux spécialités la danse et l’image et en réalisant son premier film documentaire « Son rêve à lui ». Depuis, elle écrit, met en scène et réalise des courts métrages, des clips, des campagnes de sensibilisation et des documentaires toujours liés à des faits de société et à la danse.
Mikaël Dinic est originaire de Loire Atlantique, c’est là qu’il a fait une grande partie de sa scolarité. Très vite il se passionne pour les arts du spectacle, notamment la musique et la danse. Il a donc exercé ces deux disciplines en parallèle de ses études. Plus tard, il s’investit dans une carrière de musicien (Il sortira deux albums (Carcrash, BANDIT112). Cependant, la difficulté de percer dans ce métier l’a amené à réfléchir à une reconversion qui associe la culture et l’image, car il est également un inconditionnel du grand et du petit écran. C’est alors, qu’il a décidé de suivre une formation de cadreur monteur réalisateur à L’ESRA. A la fin de sa formation, il a intégré un poste en télévision. Il a appris à réaliser de manière autonome des projets audiovisuels, comme des émissions, des reportages, des magazines et des documentaires. Aujourd’hui, il est réalisateur indépendant pour différentes productions. Il a toujours gardé la passion des arts, de la danse et de la musique, si bien que l’essentiel de son travail se fait en collaboration avec différents artistes de ces deux milieux. Il est spécialisé dans la création de clips musicaux, de captations de spectacle et d’émissions culturelles pour la télévision. Il écrit, met en scène et réalise des courts métrages et des campagnes de sensibilisation toujours liés à des faits de société à la danse et à la musique.
Bande-annonce
https://www.dailymotion.com/video/x7wmse6 |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22091
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blaesm
Inscrit le: 11 Oct 2006 Messages: 181
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Posté le: Ven Oct 16, 2020 12:30 am Sujet du message: |
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Pour les insomniaques, France 3 annonce la diffusion dans la nuit de samedi à dimanche (entre 0h25 et 2h05) de la captation de 2018 de la Coppelia de Vikharev avec Margarita Shrainer et Artem Ovcharenko.
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Adagio
Inscrit le: 21 Fév 2019 Messages: 166
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Ballerina
Inscrit le: 01 Juin 2016 Messages: 1596
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Posté le: Ven Oct 16, 2020 10:01 am Sujet du message: |
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On n'entend que ce qu'on souhaite.
Donc ceux qui demandent du classique n'ont pas voix au chapitre.
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Adagio
Inscrit le: 21 Fév 2019 Messages: 166
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Posté le: Ven Oct 16, 2020 10:15 am Sujet du message: |
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Ballerina a écrit: |
On n'entend que ce qu'on souhaite.
Donc ceux qui demandent du classique n'ont pas voix au chapitre . |
En effet, c'est assez symptomatique à l'ONP, qui devrait quand même être le gardien du temple tout en laissant de la place pour la création contemporaine...
Il me semble que pour préserver la fameuse Ecole française dont Aurélie Dupont et consorts sont si fiers (et dont les balletomanes sont friands aussi), il faudrait programmer un peu plus de classique. Surtout quand on voit le décalage entre la formation ultra-classique et académique à l'Ecole de Danse et la programmation qu'ils doivent danser à leur entrée dans la compagnie.
Bref. Un vieux débat...
Mais visiblement même en ces heures de disette économique où l'on se dit qu'il serait temps de faire marcher la machine à cash, à savoir les ballets classiques déjà au répertoire, et limiter les créations contemporaines forcément un peu coûteuses, eh bien non. Même pour les petits programmes donnés en ce moment, Aurélie Dupont a trouvé le moyen de commander 3 créations. Petites certes, avec peu de moyens scéniques, mais enfin il me semble que vu l'état actuel des comptes de l'ONP et les mois encore difficiles à venir, ces fonds auraient sans doute été plus utiles ailleurs. Les bras m'en tombent.
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Gimi
Inscrit le: 09 Mar 2014 Messages: 1947
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22091
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Katsu
Inscrit le: 21 Déc 2019 Messages: 1344
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22091
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Posté le: Ven Oct 16, 2020 1:01 pm Sujet du message: |
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Cette opposition entre Giselle - classique - et Forsythe - contemporain - n'est à mon sens pas du tout pertinente - en tout cas, elle est très datée. Le débat n'est plus là, s'il l'a jamais été.
Un autre problème est qu'il n'y a pas UN public à l'Opéra - de moins en moins en tout cas -, en l'occurrence, celui qu'on voudrait qu'il soit. En France, le "patrimonial" est toujours plus ou moins entaché de soupçon : il faut toujours être de son temps, voire en avance sur celui-ci, et l'Opéra n'échappe pas à cette mentalité du "moderne à tout prix". J'imagine bien que dans une troupe de 154 danseurs, il y a des divergences et des aspirations différentes, mais la manière dont certains parlent du répertoire classique est quand même parfois pour le moins surprenante.
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Marie-Ange
Inscrit le: 12 Déc 2010 Messages: 307 Localisation: Paris
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Posté le: Sam Oct 17, 2020 11:22 am Sujet du message: |
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Encore une fois, n’oubliez pas que Giselle fut le contemporain de son temps...
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22091
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Posté le: Sam Oct 17, 2020 11:43 am Sujet du message: |
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Ce qui implique déjà de comprendre ce que ces ballets représentaient en leur temps, comment ils ont pu évoluer, et de ne pas faire de contre-sens à leur sujet. Il y a une forme de "présentisme" un peu borné qui ne mène pas à grand-chose selon moi. Au XIXe siècle, la notion de répertoire que l'on conserve ou de patrimoine était peu présente de toute façon dans le monde chorégraphique, les choses ont par la suite évolué et l'on ne va quand même pas s'en plaindre.
La notion de "classique" existe-t-elle en danse comme elle existe naturellement dans d'autres arts, franchement, à l'aune de l'exemple français, on se pose parfois la question.
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