Béjart Ballet Lausanne - Actualités

[haydn]

Dancing Beethoven, nominé aux Goyas ["Césars" espagnols]
Lausanne, le 22 janvier 2018
Le Béjart Ballet Lausanne a le plaisir de vous annoncer que le film de la réalisatrice Arantxa Aguirre a été nominé aux Goyas dans la catégorie « Meilleur documentaire ». En collaboration avec le Tokyo Ballet et l’Orchestre Philharmonique d’Israël dirigé par Zubin Mehta, Gil Roman a repris avec le Béjart Ballet Lausanne, en 2014, l’une des œuvres dansantes les plus époustouflantes du XXe siècle : La IXe Symphonie de Beethoven, chorégraphiée par Maurice Béjart. Le film dancing Beethoven retrace, au gré d’images fascinantes, neuf mois de répétitions intenses et passionnantes, depuis le début du travail chorégraphique sur ce chef-d’oeuvre jusqu’à la première représentation au NHK Hall de Tokyo, le 8 novembre 2014. Il propose de découvrir le travail quotidien de 250 artistes, danseurs, chanteurs et musiciens du monde entier, réunis autour d’une oeuvre commune, célébrant la fraternité humaine.

Les prix Goya (Premios Goya), sont des récompenses du cinéma espagnol, décernées par l’Academie des arts et des sciences cinématographiques d’Espagne. La 32e édition des Goyas aura lieu le 3 février 2018, au Marriott Auditórium Hotel, Madrid.

Produit par le Béjart Ballet Lausanne, dancing Beethoven a notamment été récompensé par L’Épi d’Argent – deuxième prix de la catégorie “Temps d’Histoire” – au Festival International du Film de Valladolid de 2016.


Bande-annonce : https://youtu.be/5VuE3OYTfe0
DVD: https://www.bejart.ch/produit/dancing-beethoven

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[haydn]

Le film d'Arantxa Aguirre, Dancing Beethoven, sera, d'ici à la fin de l'année 2018, projeté dans différents lieux et festivals en Europe, au Maroc et aux USA :


27 Septembre : Festival Goyescas (Genève, Suisse)
http://www.festivalgoyescas.com/programmation

17 Octobre : Institut Cervantes (Milan, Italie)
https://cultura.cervantes.es/milan/it/dancing-beethoven/122043

22 Octobre : Institut Cervantes (Paris, France)
https://cultura.cervantes.es/paris/fr/dancing-beethoven/122150

10-21 Octobre : Chicago International Film Festival (Chicago, USA)
https://www.chicagofilmfestival.com/

04 Novembre : Institut Cervantes (Utrecht, Pays-Bas)
https://utrecht.cervantes.es/imagenes/File/agenda_utrecht_ago_dic_instituto_cervantes_2018_web.pdf

6 Novembre : Washington D.C. Afi Silver. Theater And Cultural Center In Silver Spring (Washington, USA)
https://www.american.edu/soc/Films-Across-Borders/

10 Novembre : Institut Cervantes (Sofia, Bulgarie)
https://cultura.cervantes.es/sofia/bg/dancing-beethoven/121907

15 Novembre : Centro Sperimentale Cinematografia di Palermo (Palerme, Italie)
https://cultura.cervantes.es/palermo/it/dancing-beethoven/122140

17 Décembre : Institut Cervantes (Tétouan, Maroc)
https://cultura.cervantes.es/tetuan/es/dancing-beethoven/121617


D’autres diffusions seront prévues entre les mois d’octobre et décembre, notamment à Rome, Athènes, Nicosie, Le Caire, Alexandrie, Bucarest, Albuquerque et Tanger.


Par ailleurs, le film sera également projeté à bord des avions de la compagnie aérienne espagnole Iberia.

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[sophia]

Le jeune danseur sud-africain Leroy Mokgatle, prix du public à Lausanne en 2016, a rejoint cette année le Béjart Ballet.
https://www.bejart.ch/danseur-euse/leroy-mokgatle/

[chien en peluche]

Le NBS a publié il y a quelque temps sur leur site officiel que le Béjart Ballet Lausanne reviendrait en mai 2020 au Japon et que l'on donnerait deux spectacles, soit Ballet for life (de Béjart) et la soirée mixte, ctdr., Tous les hommes presque toujours s'imaginent (Gil Roman), Brel et Barbara (le spectacle entier) et Boléro. Le premier aura lieu les 13 et 14 (la matinée et la soirée) mai et le "triple bill" les 16 et 17. Les spectacles de Tokyo sont programmés au Tokyo Bounka Kaïkan. D'après le site du NBS, il y aura des représentations dans d'autres villes qu'à Tokyo, mais on n'en sait pas encore les détails.

[chien en peluche]

J'ai reçu aujourd'hui par courrier un paquet de tracts de la part du Hyogo Performing Arts Center (Hyogo Kenritsu Bounka Center) de Nishinomiya, ville située entre Osaka et Kobe. J'y ai trouvé un tract sur le spectalce du Ballet Béjart Lausanne en mai 2020. On y donnera une représentation du "Ballet for Life" le samedi 23 mai 2020 (la matinée).
Si je m'en souviens bien, la même salle a assumé deux programmes lors de la dernière tournée de la compagnie. Mais si ma mémoire est toujours bonne, tous les deux spectacles n'étaient alors pas très bien loués. Peut-être que ça doit être pour cette raison que l'on n'y donnera qu'un programme cette fois-ci. Pour moi qui préfère le "triple bill"---Je préfère les chansons de Brel et de Barbara plutôt que la musique de Queen (oui, oui, il y a aussi un peu de Mozart, mais...), et pourquoi pas Le Boléro? D'ailleurs, la date de Nishinomiya me convient mieux que celles de Tokyo. C'est donc vraiment dommage...
Ajoutons que mon goût est exceptionnel, car au Japon, j'en suis sûre, Queen est beaucoup plus populaire que Brel et Barbara. Désolée aux lecteurs francophones...

[chien en peluche]

D'après le site officiel du NBS, le Ballet Béjart Lausanne fera pour ainsi dire une "véritable" tournée au Japon. La compagnie donnera cinq autre le Ballet for Life : Nagoya, Nishinomiya (dont j'ai déjà parlé dans mon dernier message), Sapporo, Takasaki (une des grandes villes dans le département de Gounma) et Kawagouti (une des villes dans le département de Saïtama, située pas très loin de la capitale). C'est sympathique de leur part, mais pas toujours de "triple bill".

[sophia]

Le Béjart Ballet sera à Paris du 26 au 29 février, avec la participation exceptionnelle de Diana Vichneva dans le Boléro le 28.

https://www.bejart.ch/bejart-fete-maurice-a-paris-diana-vishneva/

[Celi]

Quelqu'un connait-il les distrib de vendredi (hormis D. Vishneva)? Sait-on si E. Ros et J. Favreau danseront? Merci,

[sophia]

Je ne vois rien.

[haydn]

J'ai contacté le service de presse du Béjart Ballet Lausanne, qui m'a répondu que les distributions ne seraient communiquées que le jour même des représentations.

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[Celi]

Merci Haydn, on patiente alors.

[haydn]

Pas de feuille de distribution même le soir du spectacle. Si vous voulez savoir qui danse quoi, faut acheter le programme. Business is business.

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[Dimago]

Cher Haydn,

Vous avez mal regardé.
Sur les comptoirs où étaient vendus les programmes, il y avait des piles de la feuille (un simple recto A4) de distribution que nous pouvions prendre sans acheter le programme. La feuille était également mise dans les programmes.
Je peux vous la scanner, si vous voulez, mais comment vous l'envoyer ensuite ?


Par contre, Diana Vichneva, annoncée, a brillé par son absence.
Aucun regret car le Boléro de Julien Favreau m'a procuré beaucoup d'émotions.
Sans doute étais-je près de la scène, mais j'ai trouvé dans ce Boléro un investissement de la compagnie et une émotion que je n'avais jamais eue pour l'ensemble. Car je reste à jamais marqué par les différents Boléro que j'ai vus avec Nicolas Leriche, qui reste pour moi insurpassable.

t'M et variations... montre une belle énergie de la compagnie avec des personnalités intéressantes, mais j'ai eu un peu de difficultés avec le son, tout en passant un moment agréable.

Béjart fête Maurice était un petit bijou.
La 1ère symphonie, avec ces costumes noirs et blancs nous mettait dans l'ambiance des merveilleuses créations de Béjart. On sentait une joie de danser de la part de tous ceux qui étaient sur scène. Les solistes Chiara Posca, Dorian Browne, Solène Burel, Hideo Kishimoto et Kwinten Guillaume ont rivalisé de fougue et d'entrain.
Après cela venait le duo d'Héliogabale, avec Alanna Archibald et Antoine Le Moal, qui ont fait preuve d'une grand maîtrise et d'une énergie débordante. En miroir, il y avait Carme Andres et Federico Matetich qui faisaient un bel écho au couple principal.
Alanna reste assise sur ses talons, alors qu'arrivent Valerija Frank et Paolo Randon pour Chambre séparée. Un très beau duo, dont l'humour n'était pas absent. J'ai beaucoup aimé le jeu de Paolo et l'abattage humoristique souvent de Valerija.
Puis ce fut le magnifique solo de Leroy Mokgatle, sur Und so weiter si je ne me trompe pas, sur une musique entraînante de Johann Strauss. Quelle vélocité, quelle légèreté. Un moment de bonheur plein de clins d’œil et d'humour, jusqu'au final allongé sur le sol.
J'ai découvert Dibouk, composé sur des musiques juives. Lisa Cano avec sa grande robe blanche et ses deux nattes, Javier Casado Suarez en costume sombre avec un gilet décoré et une kippa sur la tête. Un très beau duo où les protagonistes ne se touchent presque pas, si ce n'est lors du final, surprenant.
Pour clore, Kwinten Guilliams et Lawrence Rigg interprètent Rossiniana. Ils font preuve d'humour, de pétillant, c'est plein d'énergie et à la dernière note, Lawrence s'étonne du silence de la salle et provoque un tonnerre d'applaudissements.
Puis c'est la mise en place de la table rouge, grand moment d'émotion. Puis 36 danseurs torse nu entrent de chaque côté en portant une chaise.
L'obscurité se fait, le temps que Julien Favreau monte sur la table et le rythme du Boléro peut commencer. La transe musicale saisit tout le Palais des congrès et au final les applaudissements seront particulièrement nourris.
Un bien agréable soirée qui nous fait attendre avec impatience le retour de la compagnie sur Paris.

[sophia]

Diana Vichneva était programmée dans le Boléro la soirée du 28. Les deux parties - le BBL d'un côté, Diana de l'autre - y trouvent sans doute chacun leur intérêt - financier ou artistique -, mais je pense malheureusement qu'elle se fourvoie complètement dans cet ouvrage. J'étais loin de la scène certes, mais j'ai eu l'impression de beaucoup d'agitation pour pas grand chose. Son interprétation ne dégageait pour moi ni mystère ni sensualité ni force sauvage ni ambiguïté d'aucune sorte et l'on était loin de l'effet de transe. Je me suis surprise à plusieurs reprises à regarder la troupe - ce chœur qui bat au rythme de la Mélodie - et c'était très beau. J'ai regretté Julien Favreau, dont j'aime beaucoup l'interprétation.
La soirée valait en réalité pour tout le reste, les extraits de Béjart bien sûr, mais aussi la pièce de Gil Roman, qui m'a très agréablement surprise. Il s'agit d'une suite de variations - petits ensembles, duos ou trios -, sur une composition musicale accompagnée par des percussionnistes présents sur scène. Ce n'est en rien du "sous-Béjart" - la gestuelle est plus terrienne et contemporaine -, mais l'on y retrouve cette dimension à la fois grand public et ambitieuse qui continue à faire le succès du BBL, dont on a pu constater au passage la belle forme.

[haydn]

Ben, je devais être miro car je l'ai cherchée désespérément cette feuille, et je n'étais pas le seul!

Oui, si vous pouvez me la scanner, ce serait avec plaisir, j'ai réussi à reconstituer à peu près toute la liste des pièces qui composaient "Béjart fête Maurice" (deux pièces du "pot-pourri" originel avaient apparemment été retirées, Bhakti III et La IXème symphonie) mais pour les distributions c'est une autre affaire, même si Julien Favreau, Elisabet Ros et Leroy Mokgatle étaient aisément reconnaissables.

Vous pouvez m'envoyer le scan à dansomanie@netcourrier.com si cela ne vous donne pas trop de peine.

En revanche, je ne comprends pas votre remarque :