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Annamk
Inscrit le: 03 Déc 2010 Messages: 4 Localisation: Londres
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keriluamox
Inscrit le: 24 Aoû 2017 Messages: 243
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26659
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Posté le: Ven Juin 22, 2018 3:50 pm Sujet du message: |
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Bienvenue keriluamox  |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Annamk
Inscrit le: 03 Déc 2010 Messages: 4 Localisation: Londres
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Sam Juin 23, 2018 8:34 am Sujet du message: |
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Une interview d'Alekseï Mirochnitchenko, directeur du ballet de Perm (qui dansera Four Seasons), dans RBTH.
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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hilda
Inscrit le: 12 Juin 2018 Messages: 10
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Posté le: Mer Juin 27, 2018 12:21 am Sujet du message: |
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haydn a écrit: |
Cinq compagnies invitées... ça doit coûter une fortune. Là, ça passera ou ça cassera... à moins qu'ils ne soient sponsorisés par Bill Gates. |
J'espère pour eux! C'est très ambitieux en tout cas!_________________ Hilda
Enjoy dance and don't forget to live
Enjoy life and don't forget to dance
site: http://hilda.fr
insta: @whyhildadance |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Mer Juin 27, 2018 7:14 am Sujet du message: |
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Vu les ballets programmés, je ne suis pas sûre que les compagnies se déplacent avec la totalité de leurs effectifs (peut-être le Joffrey?). De plus, il n'y a qu'un tout petit nombre de représentations - sur un temps limité. Cinq compagnies invitées dans cette configuration ne coûtent pas forcément plus cher que trois semaines de NYCB, de ballet de Vienne ou de Novossibirsk... C'est peut-être plus compliqué à gérer sur le plan logistique, mais je trouve que ça sent plutôt la restriction de moyens.
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3625
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Posté le: Mer Juin 27, 2018 10:47 am Sujet du message: |
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sophia a écrit: |
Vu les ballets programmés, je ne suis pas sûre que les compagnies se déplacent avec la totalité de leurs effectifs (peut-être le Joffrey?). De plus, il n'y a qu'un tout petit nombre de représentations - sur un temps limité. Cinq compagnies invitées dans cette configuration ne coûtent pas forcément plus cher que trois semaines de NYCB, de ballet de Vienne ou de Novossibirsk... C'est peut-être plus compliqué à gérer sur le plan logistique, mais je trouve que ça sent plutôt la restriction de moyens. |
Egalement, les ballets programmés nécessitent moins de déplacements de décors volumineux, comparé à une semaine de Lac et Bayadère...
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22163
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Posté le: Mer Juin 27, 2018 11:55 pm Sujet du message: |
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Citation: |
Je tente l'expédition demain!  |
Quelques mots de l'expédition à la Seine Musicale et du programme 1 de l'hommage à Robbins.
Je découvrais donc aujourd'hui ce lieu et cette salle dont on nous dit pis que pendre depuis des mois. Lorsqu'on arrive par le métro "Pont de Sèvres", pas d'inquiétude, la sortie "Seine Musicale" est bien indiquée et l'on rejoint sans trop d'encombres l'île Seguin, dès lors qu'on a pris garde d'emprunter le passage piéton. Il faut tout de même compter dix bonnes minutes à partir de là pour accéder à la salle. Le cadre de la "soucoupe volante", pas très glamour, rappelle par ses constructions, pour ceux qui connaissent Londres, le quartier - des anciens docks - de Canary Wharf. Sachez aussi que la salle où ont lieu les représentations des Étés de la danse n'est pas la salle principale, mais une salle annexe, passablement sinistre, qui ressemble à un hall de gare, avec gradins démontables et fauteuils de salle de conférence (il ne manque que les tablettes vissées aux accoudoirs...). Les parties latérales, ainsi que les gradins, semblent avoir été condamnés par des rideaux, faute de spectateurs, donnant ainsi l'illusion d'une salle à peu près honnêtement remplie. Pour cette matinée, le public scolaire était venu en masse - mettant ainsi un peu d'ambiance au moment des saluts. Les espaces publics, immenses, impersonnels, ont un air d'inachevé. Un point positif tout de même : il semble que des aménagements aient été faits et la visibilité, tant décriée, est optimale, au moins dans la partie dite "tribune" (il est du reste très facile de se replacer vu le faible taux de remplissage). Attention, la zone "parterre", séparée de la "tribune" par une simple allée, ne comporte pas de dénivelé.
Cette configuration n'en est pas moins triste pour accueillir la programmation des jadis si courus Étés de la danse (l'occasion de se souvenir des bonheurs passés vécus sous le soleil de juillet grâce à ce festival...), programmation offerte de surcroît par des compagnies rares en nos contrées. Si Dances At A Gathering - 63 minutes de badinages chopinesques - est souvent appréhendé à Paris, au choix, comme un pavé interminable, voire un peu désuet, et/ou un monument d'ennui et de vanité chichiteuse, le NYCB, lui, nous le fait (re)découvrir dans tout son naturel, dans toute sa vivacité et ses possibles théâtraux. Le ballet, emblématique du style de Jerome Robbins, est servi par un cast en or, d'une harmonie admirable dans la diversité même de ses personnalités. Tous, sans exception, ont quelque chose à dire et, surtout, à se dire, dans les rencontres impromptues - les ébauches d'idylles - qu'il met en scène : des garçons impeccables, parmi lesquels l'élégant Tyler Angle ou le virtuose Joaquin de Luz, toujours aussi bondissant et affûté (il est en fin de carrière, ah bon?), Tiler Peck, un concentré de bonheur en rose, Lauren Lovette, si vive, si piquante en abricot... Une distribution de référence sans nul doute, qu'on aimerait garder en soi comme un trésor. C'est beau une compagnie qui a un chorégraphe ou une œuvre dans le sang.
A vrai dire, après cette (longue) acmé, sans presque aucun moment de relâchement ou d'ennui, on est un peu redescendu. Interplay est un Robbins qui rappelle grandement West Side Story, conjuguant virtuosité classique et style Broadway. Les danseurs du Joffrey Ballet, très boys & girls next door, sont d'une énergie brute qui tranche avec la dynamique plus altière de ceux du NYCB. C'est coloré, plaisant, enjoué, sans être vraiment mémorable.
A Suite of Dances est un solo fameux, créé pour Mikhaïl Barychnikov, sur des suites pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach. Ayant vu cette pièce avec différents interprètes, parmi lesquels Benjamin Millepied, la danseur robbinsien par excellence, j'avoue que j'ai été un peu déçue par l'élégant Anthony Huxley, qui manque un peu de "relâché" et dont le mouvement reste encore trop mécanique ou guindé pour pleinement convaincre dans ce registre.
Ai dû partir avant Glass Pieces. 
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hilda
Inscrit le: 12 Juin 2018 Messages: 10
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Posté le: Jeu Juin 28, 2018 10:37 am Sujet du message: |
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Merci beaucoup de ce retour détaillé!_________________ Hilda
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3625
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Posté le: Jeu Juin 28, 2018 11:02 am Sujet du message: |
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Info logistique pour ceux qui habitent dans le sud de Paris ou du côté de Puteaux : la Seine Musicale communique peu sur ce mode d'arrivée, mais j'ai découvert par hasard que le tramway T2 (La Défense - Porte de Versailles) desservait un arrêt (Brimborion) situé à juste 5 minutes à pied de la Seine Musicale, bien plus pratique que le terminus Pont de Sèvres de la ligne 9 !
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