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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Mer Juin 01, 2005 3:03 pm Sujet du message: Anne Teresa de Keersmaeker au Théatre de la Ville |
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En prélude à la venue d'Anne Teresa de Keersmaeker au Théatre de la Ville, à Paris, du 7 au 18 juin prochain, Ariane Bavelier a réalisé pour le Figaroscope une mini-interview de la chorégraphe belge :
Citation: |
On retient son souffle : Anne Teresa de Keersmaeker est à Paris avec deux programmes qui mettent en regard musique indienne et pièces de Coltrane. La première soirée s’ouvre par Raga For The Rainy Season, suivie de A Love Supreme. La seconde, Desh, se divise en cinq parties successives qui alternent musique indienne et India de Coltrane. |
L'article d'Ariane Bavelier est ICI
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Ven Juin 10, 2005 3:26 pm Sujet du message: |
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Le Monde de ce 10 juin publie une critique du spectacle de la chorégraphe belge au Théatre de la Ville :
Citation: |
La soirée "monochrome blanc" de la chorégraphe Anne Teresa de Keersmaeker au Théâtre de la Ville à Paris, mardi 7 juin, a rassemblé dans un seul geste, une seule ferveur, deux pièces contrastées portées par des musiques très différentes. A main droite, Raga for the Rainy Season sur des mélodies traditionnelles indiennes, dansée par huit femmes et un homme ; à main gauche, A Love Supreme, chorégraphiée avec Salva Sanchis sur des titres du saxophoniste et compositeur de jazz John Coltrane, interprétée par quatre danseurs. |
L'article de Rosita Boisseau est ICI
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Ven Juin 17, 2005 9:38 am Sujet du message: |
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Libération, pourtant d'ordinaire très favorable à Anne-Teresa de Keersmaeker, n'a manifestement pas été convaincu par le spectacle qu'elle a donné au Théâtre de la Ville :
Citation: |
A force de produire, d'entrer en résonance avec des répertoires musicaux divers, de Miles Davis aux dévotionnels classiques indiens, Anne Teresa De Keersmaeker met à rude épreuve la capacité d'émerveillement du spectateur qui suit avec passion son travail. Desh expose juste une belle logique mathématique. Pas de quoi tenir salon. |
La critique de Marie-Christine Vernay est ICI
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