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Mayerling (22 octobre-12 novembre 2022)
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Kao



Inscrit le: 13 Juil 2017
Messages: 45

MessagePosté le: Ven Oct 21, 2022 3:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Katsu a écrit:
Ça créé des emplois Laughing
Si on le fait pour Mayerling, pourquoi pas pour tous les autres ballet à technique classique...


Je n'ai pas vu encore Mayerling, mais il y a très peu de viols, nudité ou scène crues dans les ballets que j'ai vu.
Si ça met à l'aise les danseurs pour aborder des scènes qu'ils n'ont jamais connues, tant mieux.
Il y en a de plus en plus dans le cinéma et les retours des acteurs sont supers car ils peuvent mieux mettre des limites et être respecté. Ce n'est pas parce qu'on est artiste qu'on doit tout accepter.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Ven Oct 21, 2022 3:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quand on voit que certaines idéologues (pseudo-)féministes font tout un plat ("questionnent", n'est-ce pas) du baiser sans consentement du Prince dans La Belle... C'est sans doute à ce genre de choses que faisait allusion Katsu.




Dernière édition par sophia le Ven Oct 21, 2022 3:36 pm; édité 2 fois
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Ballerina



Inscrit le: 01 Juin 2016
Messages: 1586

MessagePosté le: Ven Oct 21, 2022 3:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Comme dit ci dessus, c'est extrêmement utile dans le cinéma donc je ne vois pas pourquoi ça ne servirait pas le ballet ( et l'opéra).
De toutes manières, rien n'oblige les danseurs à participer.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Ven Oct 21, 2022 3:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

L'article du Monde (plus intéressant que son amorce publique ne le laissait supposer) précise que la "coordinatrice d'intimité" (peut-on trouver appellation plus ridicule?) est "intervenue pendant deux semaines, à la demande d’Aurélie Dupont, pour dialoguer avec les interprètes". On n'a pas le retour des danseurs en revanche.


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tuano



Inscrit le: 27 Mar 2008
Messages: 1151
Localisation: Paris

MessagePosté le: Ven Oct 21, 2022 4:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est pour éviter ce type de situation.

https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/opera/la-plainte-de-la-soprano-chloe-briot-pour-agressions-sexuelles-classee-sans-suite_5372848.html

Citation:
Cette procédure "laisse l'impression d'un grand gâchis compte tenu de la souffrance ressentie par madame Briot", qui a reçu trois jours d'interruption temporaire de travail pour des symptômes post-traumatiques, et "l'incompréhension de monsieur, qui a vu sa carrière de 20 ans de scène compromise suite à cette affaire", constate le procureur.

Le chanteur s'est depuis reconverti pour devenir aide-soignant en Ehpad.


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Entrechat 4



Inscrit le: 05 Mai 2009
Messages: 176

MessagePosté le: Dim Oct 23, 2022 12:44 am    Sujet du message: Répondre en citant

sophia a écrit:
Quand on voit que certaines idéologues (pseudo-)féministes font tout un plat ("questionnent", n'est-ce pas) du baiser sans consentement du Prince dans La Belle... C'est sans doute à ce genre de choses que faisait allusion Katsu.

D’accord, certaines féministes « exagèrent » mais le féminisme n’a jamais tué personne et si « agressions par les féministes » il y a eu, elles restent minimes et n’ont rien à voir avec les crimes  du patriarcat, dont sont d’ailleurs victimes des enfants et aussi certains hommes.
Je suis fan du ballet la Belle au bois dormant et aussi des contes de fées en général mais ça ne m’empêche pas de m’interroger sur les stéréotypes genrés qu’ils véhiculent. Je ne souhaite surtout pas que ces oeuvres soient interdites de représentation ou de lecture, mais on a le droit de critiquer et d’analyser ce qui est sexiste ou raciste etc.
A propos de la coordinatrice d’intimité, je trouve que c’est bien de protéger les artistes , c’est un travail de prévention, d’aide pour aborder des rôles difficiles.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Dim Oct 23, 2022 8:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

C'est une interprétation parmi bien d'autres et les contes ne cessent par définition d'en susciter, plus ou moins pertinentes, plus ou moins ouvertes et universelles. Le problème de l'idéologie est de faire d'une lecture particulière - discutable - une vérité objective sur l’œuvre, comme si "ça" allait de soi.
Peu de gens avoueront jamais être pour l'interdiction, la censure ouverte. Ils vous parleront, sincèrement ou par opportunisme, de relecture, de mise à jour, etc.., des mots acceptables car ils renvoient à un processus naturel dans la création et la représentation des œuvres.
Mais au prétexte de questionnement, l'actualité montre aussi qu'on intériorise très facilement la censure, en s'abstenant de mettre à l'affiche certaines œuvres "sensibles" ou, "mieux", en les vidant partiellement ou complètement de leur substance (par une relecture infantilisante ou politiquement correcte). Les "progressistes" s'avèrent souvent les gens les plus intolérants.
https://www.rts.ch/info/culture/spectacles/13463893-certains-comediens-refusent-de-jouer-des-roles-du-theatre-classique.html




Dernière édition par sophia le Dim Oct 23, 2022 2:28 pm; édité 1 fois
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Entrechat 4



Inscrit le: 05 Mai 2009
Messages: 176

MessagePosté le: Dim Oct 23, 2022 1:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci pour cet article. Au contraire, je pense que représenter ces pièces est important car cela permet de connaître la vision du monde de ceux qui nous ont précédés.


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tuano



Inscrit le: 27 Mar 2008
Messages: 1151
Localisation: Paris

MessagePosté le: Dim Oct 23, 2022 1:27 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Entrechat 4 a écrit:
sophia a écrit:
Quand on voit que certaines idéologues (pseudo-)féministes font tout un plat ("questionnent", n'est-ce pas) du baiser sans consentement du Prince dans La Belle... C'est sans doute à ce genre de choses que faisait allusion Katsu.

D’accord, certaines féministes « exagèrent » mais le féminisme n’a jamais tué personne

Malheureusement si, même si le bilan du féminisme demeure largement positif.

https://www.smh.com.au/entertainment/music/swedish-opera-singer-anne-sofie-von-otter-blames-metoo-for-her-husbands-suicide-20180731-h13de0.html


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haydn
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Messages: 26517

MessagePosté le: Dim Oct 23, 2022 2:30 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est une maintenant "vieille" affaire, mais malheureusement, la directrice de l'Aftonbladet, le torchon qui avait publié des témoignages (anonymes, évidemment) de femmes accusant le mari d'Anne Sofie von Otter, Benny Holger Fredriksson, alors directeur du théâtre municipal de Stockholm (ne pas se fier au nom, c'est le théâtre dramatique le plus prestigieux de Suède, l'équivalent local de la Comédie française) d'agressions et de harcèlement sexuels, n'a jamais dû rendre de comptes devant la justice. Il s'agissait pourtant d'une campagne de diffamation en bonne et due forme, reposant sur des allégations totalement bidonnées.



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Sarra



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Messages: 263

MessagePosté le: Dim Oct 23, 2022 5:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

sophia a écrit:
Le problème de l'idéologie est de faire d'une lecture particulière une vérité objective sur l’œuvre, comme si "ça" allait de soi.

C'est exactement ça !
Si l'on peut se permettre à ce propos une très brève incursion du côté d'un art autre que le ballet, Bénédicte Bonnet Saint-Georges, de La Tribune de l'Art, à la longue plus qu'agacée : un peu exaspérée, exprime dans cet article récent sur l'exposition Miroir du Monde exactement la même idée.

Le relatif : l'interprétation liée à des courants de pensée de notre époque*, les préoccupations propres à notre temps, devient -négligés tant l'anachronisme que parfois l'erreur manifeste- l'absolu, la « vérité » de l'œuvre, et conduit à des prudences, des réticences, des censures...
« L’intérêt intrinsèque de ces objets – que celui-ci soit historique, technique, scientifique, artistique – pèse moins que le symbole qu’on voit en eux, et qui change selon les préoccupations d’une époque et les évolutions d’une société. Il n’est plus question de préserver et de transmettre un patrimoine aux générations futures, mais de l’adapter et de faire le tri pour la génération présente. »

Et Didier Rykner (autre article) démontre à ce sujet combien la légèreté désinvolte** permise par le rien d'arrogance de qui se sait porté par l'air du temps et la faveur politique fait néanmoins parler avec assurance et tenir le haut du pavé idéologique.
(C'est sur l' « indignation » -un peu ancienne : 2017, mais l'esprit en demeure actif- de Mme B. Savoy devant la statue de Champollion par Bartholdi. -De là, on pourrait passer à bien des ballets susceptibles d'être évoqués par certains avec les mêmes « mimiques scandalisées » que celles de Mme Savoy devant la statue.)

* Soit par projection psychologique faisant attribuer aux artistes du passé des intentions reconstituées d'après l'aujourd'hui, soit par falsification plus ou moins inconsciente. (Cf l'affaire des tapisseries de la Villa Médicis. La « vision du monde » prêtée par certains aux peintres et à leur commanditaire est davantage celle propre à ce que notre temps peut pousser les iconoclastes à supposer qu'elle est, que celle des artistes en leur temps.)

**« Ce qu'a voulu dire Bartholdi, je l'ignore ». Et je ne me suis pas donné la peine de le chercher. Peu importe, du haut de ma chaire je disserte. Un(e) étudiant(e) en histoire de l'art l'aurait trouvé en quelques heures de bibliothèque et aurait cité le sculpteur lui-même (il est vrai que l'intention de celui-ci -et l'iconographie qui s'ensuit- contredit totalement Mme Savoy, et qu'alors il aurait été gênant de ne pas l'ignorer...).


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Jonquille



Inscrit le: 22 Avr 2005
Messages: 1796

MessagePosté le: Dim Oct 23, 2022 8:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci pour cet article, Sarra. Je me suis fait les mêmes réflexions en visitant cette exposition...


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Adagio



Inscrit le: 21 Fév 2019
Messages: 158

MessagePosté le: Mer Oct 26, 2022 11:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai assisté hier soir à la Première de Mayerling. C'est un ballet que j'affectionne beaucoup quand il est dansé par le Royal Ballet, même s'il très - trop - dense, et il faut s'accrocher pour tout comprendre. Je suis fascinée par l'histoire des Habsbourg, donc je m'y repère bien, mais quel défi pour une grande partie des spectateurs de s'y retrouver dans cette immense galerie de personnages ! Idem pour les velléités d'indépendance des officiers hongrois, comprenne qui pourra !

Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'ONP livre une prestation assez différente de celle du Royal Ballet. J'ai eu un peu le même ressenti qu'avec l'Histoire de Manon, notamment dans la scène de la taverne, malgré l'engagement et l'enthousiasme marqué du corps de ballet, l'ensemble reste assez "sage". Fort heureusement la grande majorité de l'action se situe dans les salons de la Hofburg.On regrette certains passages trop longs et trop lents... La scène des cartes, l'intermède chanté et le solo de Bratfisch ne sont vraiment pas indispensables.

Mayerling repose en majeure partie sur son Rodolphe. Hugo Marchand a été impressionnant. Je ne parlerai même pas de sa technique. A ce niveau, elle est incontestable. Son engagement dans le rôle est total, on le devine exsangue à la fin du 3e acte. Et on ne peut que saluer l'excellent partenaire qu'il est. Avec pas moins de cinq danseuses différentes, il a offert des pas de deux très bien réglés, fluides, intenses, riches en émotions.

En fil rouge tout au long du ballet, il a campé un Rodolphe bien différent de celui de Steven McRae (ma référence absolue pour ce rôle). McRae offrait un personnage torturé, schizophrène, ouvertement lubrique avec Mary Vetsera, désespéré avec l'impératrice Sissi, dominateur violent avec Stéphanie, comme s'il voulait la punir de son mal-être... En le voyant, on sait dès la première scène que la folie est là, qu'il ne lutte même pas contre. En un mot : que les Habsbourg auraient dû arrêter les mariages consanguins bien plus tôt et se tenir loin de la lignée notoirement instable des Wittelsbach.

Tout est très différent avec Hugo Marchand. Son Rodolphe est un prince plus incompris et tiraillé que torturé. On le devine perdu dans sa solitude, dans sa quête d'amour maternel (sublimes confrontations avec Laura Hecquet !!), presque las de toutes les attentions féminines dont il est l'objet. Avec Stéphanie, on le sent surtout aigri d'être prisonnier d'un mariage de convenances et la scène du crâne résonne plus comme une provocation que comme une tentative de terrifier sa jeune épousée. Et quand il rencontre Mary Vetsera, c'est plus un soulagement d'être enfin "compris" qu'une pulsion sexuelle et morbide telle que l'avaient jouée McRae et Lamb à Londres. Avec Marchand et Gilbert, on voit davantage des amants maudits, incompris, qu'un couple totalement dysfonctionnel.

Et pourtant, au fil des actes, on voit le Rodolphe de Hugo Marchand glisser imperceptiblement vers la folie, s'abandonner à ses penchants. Le seul reproche que je ferais peut-être est que la bascule se fait de façon trop marquée au moment de l'accident de chasse qui semble être le catalyseur de la descente finale de Rodolphe vers la drogue et le double suicide, et non tous ses antécédents familiaux, psychiatriques, etc. Mais ce n'est que mon ressenti personnel et Hugo Marchand aura quelques autres soirées pour peaufiner son interprétation qui est déjà de haut vol.

Et que dire de ses partenaires féminines...!
La plus impressionnante pour moi aura été Laura Hecquet. Impériale Sissi, le rôle semble avoir été taillé pour elle. Ses confrontations avec Rodolphe sont bouleversantes, on sent parfaitement les non-dits, les rendez-vous manqués de la mère et du fils.

Valentine Colasante a été une Mizzi Caspar d'une grande technicité, chapeau bas pour tous ces portés tarabiscotés. J'admire toujours la très grande présence et la précision de cette danseuse.

Hannah O'Neill a joué une Comtesse Marie Larish tour à tour séductrice, manipulatrice mais aussi tendre voire maternelle par instants. Hormis Mary Vetsera qui entraîne Rodolphe sur la pente fatale, Marie Larisch semble finalement la seule à vraiment comprendre Rodolphe et vouloir l'aider. Hannah O'Neill a très bien su rendre cet état d'esprit.

Silvia Saint-Martin n'a eu qu'un seul PDD avec Hugo Marchand, mais quel PDD ! D'une fluidité extraordinaire. On a senti son désarroi, son anxiété puis sa terreur face à cet époux complètement déséquilibré. Leur confrontation était saisissante - si intense que Hugo Marchand en a perdu une partie de sa barbe postiche ! - et l'alchimie entre les deux danseurs excellente.

Et enfin Dorothée Gilbert en Mary Vetsera. J'ai eu un peu de mal à rentrer dans son personnage les premiers instants. Il faut dire que pendant une bonne partie du ballet, Mary Vetsera joue les fausses ingénues sans qu'on sache trop qui manipule qui entre Mary et Marie ! Mais dès le PDD de la séduction à la fin de l'Acte II, l'immense talent de Dorothée Gilbert éclate sur scène. Le rapport de forces s'inverse, c'est elle qui mène la danse, et c'est justement cela qui plait tant à Rodolphe, tout comme le fait d'avoir enfin trouvé une femme qui partage les mêmes penchants morbides que lui. Ce PDD était presque une transe. Et comme toujours, Dorothée Gilbert et Hugo Marchand se subliment l'un l'autre. Ils m'ont complètement transportée dans le PDD final et leurs regards fous lorsqu'ils se sont saisis du revolver resteront gravés dans mes souvenirs de balletomane.

En résumé, une très belle soirée. C'était un vrai plaisir de voir autant de monde sur scène, et cela semblait partagé par la compagnie, qui m'a parue sincèrement heureuse de faire entrer ce ballet au répertoire. J'aimerais essayer de trouver une place sur l'une des dates de Stéphane Bullion, j'ai le pressentiment - peut-être totalement erroné - que son Rodolphe sera plus rugueux que celui de Hugo, même si ce sont deux partis pris d'interprétations qui se défendent tout autant.


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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Jeu Oct 27, 2022 8:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Adagio d'avoir pris la peine de rédiger ce compte-rendu détaillé d'un ballet que vous connaissiez déjà apparemment.

Ariane Bavelier publie dans Le Figaro une critique mi-figue mi-raisin et se plaint d'une "chorégraphie trop simplifiée". Y aurait-il eu des bricolages intempestifs? Pour des histoires de "bienséance"?

https://www.lefigaro.fr/musique/mayerling-a-l-opera-de-paris-un-prince-vraiment-charmant-20221026



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Adagio



Inscrit le: 21 Fév 2019
Messages: 158

MessagePosté le: Ven Oct 28, 2022 10:15 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je n'ai pas eu cette impression mais pour être franche je me souvenais surtout des (nombreux) pas de deux. Je n'ai pas eu le sentiment qu'ils étaient édulcorés, notamment celui avec Stéphanie et celui de la fin de l'acte 2 avec Mary Vetsera.

Mais le ressenti que je partage peut-être un peu est que l'ONP propose une lecture un peu plus "sage" que le Royal Ballet. Ce qui est assez récurrent avec les œuvres de McMillan.

Je viens de réussir à trouver une place le 10 novembre avec Stéphane Bullion, je suis très curieuse de découvrir son interprétation.


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