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Le Songe d'une nuit d'été, ONP Bastille 9-29/03/2017
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haydn
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MessagePosté le: Sam Mar 18, 2017 12:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

frederic a écrit:
On peut de fait se demander pourquoi Benjamin Millepied a fait entrer ce ballet au répertoire de l'Opera de Paris. La comparaison avec le NYCB est cruelle. Le Songe est fréquemment dansé en toute fin de la saison de printemps et pourtant les danseurs y excellent. Il faut dire que l'on prend chaque représentation au sérieux au NYCB et A Midsummer Night' Dream met sur scène très souvent pas moins de 7 ou 8 Principals. Cela fait évidemment une énorme différence. Or on sent dans les distributions que la nouvelle direction a comme décidé de faire l'impasse sur ce ballet. Le Songe de Balanchine n'est pas un chef-d'œuvre mais il méritait un autre traitement.



Le NYCB, j'y étais il y a quelques semaines, d'accord, ce n'était pas du Balanchine, seulement du Peter Martins, mais cela ne m'a pas laissé un souvenir franchement impérissable...

http://www.forum-dansomanie.net/forum/viewtopic.php?t=2649&postdays=0&postorder=asc&start=570



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sophia



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MessagePosté le: Sam Mar 18, 2017 12:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Enfin, il est évident que la direction de l'Opéra a fait le choix de la tournée au Japon au détriment du spectacle parisien, qui, je pense aussi, ne correspond pas à la "culture" ONP (et comme, sans doute, mutatis mutandis, le NYCB est étranger à La Belle au bois dormant). Il serait malhonnête de ne pas dire que cela se ressent sur scène.


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frederic



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Messages: 976

MessagePosté le: Sam Mar 18, 2017 12:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Vous avez raison Haydn, même si parfois les danseurs du NYCB arrivent à transcender les chorégraphies ineptes de Peter Martins, ce qui est mission impossible dans sa Belle. Mais croyez moi: Sara Mearns et Andrew Veyette en tête d'affiche d'un casting 3 étoiles sont autrement convainquants que l'Opéra de Paris, ce qui est fort logique. C'est à mon sens un grave erreur de programmation d'autant que les productions de Balanchine ne sont pas réputées pour être bon marché...


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haydn
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Messages: 26514

MessagePosté le: Sam Mar 18, 2017 12:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je reviens maintenant comme promis sur la représentation d'hier, marqué par le retour au pays du "fils prodigue", Hugo Marchand.

Je partage en partie les jugements exprimés par Rothbart, mais pas sur tous les points abordés.

Tout d'abord donc, Hugo Marchand, nouvellement étoilé, qui a beaucoup d'allure et de prestance dans sa tenue de général romain de fantaisie. Le danseur est aussi un bon acteur - on avait déjà pu en juger lorsqu'il avait incarné Drosselmeyer - et il sait occuper l'espace scénique. Il a une belle batterie, en effet, il manque - du fait de sa grande taille - un petit peu d'élévation. Comme la chorégraphie de Balanchine ne ménage pas vraiment de "tours de force" genre manège de coupés-jetés où il aurait la possibilité de prendre l'élan et de déployer l'énergie nécessaire pour se propulser dans les airs, on le sent légèrement bridé dans ses mouvements.

Hannah O'Neill hérite du rôle de Titania, mais elle aussi est un peu contrainte par une chorégraphie qui ne lui donne guère de possibilités pour mettre en exergue son excellente technique classique. Pour Balanchine, Titania, c'est un peu "sois belle et tais toi".

Etrangement, Karl Paquette, son cavalier, d'ordinaire remarquable partenaire, a semblé fébrile, et les portés n'avaient pas la fermeté habituelle (qui était pourtant de mise quand il a dansé le divertissement, le soir de la Première, avec Sae-Eun Park).

Ida Viikinkoski a été une Amazone impressionnante, très énergique, avec des fouettés rapides et bien stables, avec en prime une belle présence scénique. En revanche, les qualités montrées par la finlandaise au premier acte sont devenus des défauts au second avec une danse excessivement "virile" pour un divertissement qui parodie le style galant de l'époque de Louis XV.

Antoine Kirscher possède des qualités physiques qui conviennent bien au rôle de Puck, le facétieux lutin qui sème la zizanie dans les couples au moyen de fleurs ensorcelées, mais la vivacité explosive d'un Hugo Vigliotti lui fait un peu défaut.

Là ou je m'écarterais sensiblement de l'opinion exprimée par Rothbart, c'est au sujet du couple formé par Sae-Eun Park (Helena) et Vincent Chaillet (Démétrius), que j'ai, au contraire, trouvé très théâtral et inventif.

On signalera encore le papillon charmant d'Alice Catonnet.

Le divertissement de l'acte II était confié à Marion Barbeau et Florian Magnenet. Là, je rejoins davantage Rothbart : c'était de la belle danse, parfaitement propre - et conforme à ce qu'on est en droit d'exiger de solistes d'une compagnie telle que l'Opéra de Paris -, mais qui manquait un peu du glamour, du brio que l'on trouvait chez Sae-Eun Park et Karl Paquette dans la première distribution. Mlle Barbeau affichait une certaine timidité, une certaine retenue - de peur de sombrer dans le mauvais goût? On en était loin! - ce qui entraînait Florian Magnenet à prendre davantage de place et à déséquilibrer légèrement le couple.


Les élèves de l'Ecole de danse, préparés par Muriel Hallé, ont été bien applaudis par le public de l'Opéra Bastille, public qui a par ailleurs été plutôt indulgent envers un orchestre et un chœur un peu mollassons hier soir. Mendelssohn - dont je ne me lasse pas, n'en déplaise à Debussy qui le haïssait -, c'est le musicien de la vitesse, de la fluidité, de la légèreté, de la virtuosité orchestrale - qu'il cultivait lui-même en tant que directeur du Gewandhaus de Leipzig - et là, ses élans étaient malheureusement entravés et provoquaient une certaine frustration chez l'auditeur.



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sophia



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MessagePosté le: Sam Mar 18, 2017 1:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
Pour Balanchine, Titania, c'est un peu "sois belle et tais toi".


Non, je ne crois pas du tout, disons que c'est un peu ce qu'on a tendance à dire de Balanchine quand on ne l'aime pas. Ce n'est pas une féerie du XIXe siècle, mais une féerie néo-classique. En tout cas, le rôle peut être interprété autrement. Titania doit être bellissima, c'est un fait, mais pas que, notamment dans la fameuse scène d'amour avec Bottom. Lopatkina et Tereshkina - plus encore peut-être - sont extrêmement drôles et spirituelles dans le rôle - des "prima" au second degré en quelque sorte. Mais ce n'est pas lui faire offense que de dire qu'Hannah O'Neill, qui a un grand talent, n'a pas encore atteint le même niveau, artistiquement parlant, que ces deux-là.




Dernière édition par sophia le Sam Mar 18, 2017 1:16 pm; édité 1 fois
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céline



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MessagePosté le: Sam Mar 18, 2017 1:16 pm    Sujet du message: songe d'une nuit d'été Répondre en citant

Frederic je partage votre avis sur l'entrée au répertoire de ce Balanchine.
Ceci dit, je suis en désaccord avec votre parallèle Danse/Théâtre s'agissant des costumes. L'art de la danse est la discipline des mouvements du corps en lien avec la musique: la façon dont ce corps est vêtu importe et peut être discutée.
Le théâtre est bien évidemment physique, mais la déclamation et les expressions du visage encore plus.


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frederic



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MessagePosté le: Sam Mar 18, 2017 2:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mais évidemment que le costume est important, au théâtre comme au ballet, mais ce que dit Barthes, si vous me permettez de le trivialiser, c'est que les costumes ne doivent pas phagocyter l'œuvre et c'est un peu le cas pour ce spectacle quand on lit les compte-rendus et c'est d'autant plus troublant qu'il ne s'agit au fond que d'une déclinaison, certes talentueuse, des créations de Karinska.


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céline



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MessagePosté le: Sam Mar 18, 2017 2:24 pm    Sujet du message: Songe d'une nuit d'été Répondre en citant

Nous voici sur la même longueur d'ondes, alors.


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Constance



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Messages: 87
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MessagePosté le: Dim Mar 19, 2017 12:52 am    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Rothbart et Haydn de vos compte rendus de la soirée d'hier soir, dont je partage certaines vues.
Je reviens donc sur ce Songe, représentations de mercredi 15, et de ce vendredi 17 mars.

Quelque mots d'abord sur l'ensemble. Et avant tout la musique! Mendelssohn! Cette partition est superbe de bout en bout, d'une énergie, d'une inventivité formidables et réjouissantes, et je rejoins ici Haydn: si il y a une vrai déception durant cette soirée, c'est la direction d'orchestre de Simon Hewett; sa mollesse, dans une musique pareille, est impardonnable. Comment peut-on jouer l'ouverture ainsi, fade, sans vitamine, trop lente?
Le ballet lui-même gagne à être revu; c'est tout de même fort bien fait, même si ce découpage en 2 parties est déconcertant au premier abord. Certes, la pantomime n'est pas toujours facile à comprendre. Quand l'est-elle d'ailleurs? Sans avoir jamais vu le ballet ou lu l'argument détaillé de Giselle, ou plus encore du Lac des Cygnes, qui pourrait en comprendre toutes les subtilités?? Comment ne pas saisir l'histoire archi classique des deux couples, contrariés dans leur choix et échangés sous le coup d'un sortilège, très clairement réalisé au moyen de la fleur que Puck agite sous le nez des protagonistes?
Très belle production! Je trouve, au contraire de ce qui a été dit souvent, que la beauté et le rire s'équilibrent, chacun bien présents, et que le charme opère.
Oui, le travail de Christian Lacroix est exceptionnel et il me semble parfaitement justifié qu'il soit partout commenté comme un évènement. Les artistes -car il s'agit bien d'un artiste ici- qui ont élaborés les costumes, les décors et les scénographies des grandes productions d'opéra ou de ballet au cours du passé ont eux aussi écrit l'histoire du théâtre vivant et réduire les articles concernant leur travail à du placement de produit est vraiment très étroit. Les couleurs des costumes pétaradent parfois dans tous les sens, avec un kitsch assumé mais l'ensemble est très beau, malgré le rose, les choucroutes sur la tête et les brillants partout, marque de fabrique héritée du Trust. La contribution de Swarovski est évidemment...beaucoup moins digne d'intérêt que celle de Lacroix; et bien plus dans l'esprit "NYCB". Très beaux décors, surtout les magnifiques fleurs géantes, très stylisées et pas du tout, mais pas du tout Disney (!!!).
Venons-en au ballet de l’ONP. Démérite-t-il? Non!
Certes, il manque de précision dans les ensembles; il faut dire que le nombre de surnuméraires est assez affolant. En revanche, les élèves de l'école méritent le triomphe qui leur est fait: ils sont beaucoup plus en place que les "grands", avec une rigueur et un aplomb épatants. Pourvu que ça dure avec l'âge!
Certes on aurait pu programmer "comme au NYCB" cinq ou six étoiles emblématiques; cela viendra peut-être avec la reprise. Il se trouve que les jeunes talents de la compagnie ont vaillamment défendu ce Songe. La soirée du 15 mars voyait la prise de rôle de Marion Barbeau en Titania, qui mit un temps pour s'imposer, puis dansa bien, avec un charme certain. Elle donne une réplique rafraichissante à Paul Marque, Oberon fantastique. Le moins qu'on puisse dire est qu'il m'a bluffé. Bien entendu, il est encore bien jeune, et n'a pas -encore- la stature de Peter Martins ou de Roberto Bolle, dont il n'a de toute façon pas le physique sculptural ; cependant, quelle maitrise! Quel abattage! Quelle grâce! Quelle musicalité! Marque incarne à merveille l'impétuosité et la tendresse du jeune demi-dieu, à la fois capricieux et sage, impérieux et bienveillant. Une réussite, vraiment. Mention spéciale pour le Puck de Hugo Vigliotti (voilà une pantomime exemplaire), explosif, faunesque à souhait, très précis et puissant, enfin très drôle. Son duo avec Marque fonctionne très bien. Papillon un peu fade de Laetitia Galloni. Cavalier inexistant de Stéphane Bullion, dans un moment de présence/absence auquel il nous habitue de plus en plus souvent. Dommage! Enfin, un pas de deux du divertissement magnifique, poétique, par Sae Eun Park enfin vraiment convaincante (en ce qui me concerne bien sûr...), pleine de lyrisme, très belle technique, et Karl Paquette, partenaire idéal; ce pas de deux m'en a rappelé un autre, d'anthologie, celui du mouvement lent du Palais de cristal, par le même Paquette et la sublime Ludmila Pagliero.
Hugo Marchand était très attendu vendredi soir. On imagine aisément qu'il devait être fatigué de son voyage, de sa prise de rôle en catastrophe de James, de son changement de statut, de son manque de temps pour répéter Obéron. Il a fort bien dansé et il est toujours très expressif mais il m'a moins convaincu que Paul Marque; plus désuni, survolant moins les difficultés techniques, moins énergique. Il est clair, comme le dit Haydn, que sa taille ne l'avantageait pas, d'autant que la place sur le plateau était comptée et qu'il a manqué une fois ou deux de trop reculer et de tamponner ses elfes.
Hannah O'Neill danse bien, dans un style que le Trust doit apprécier, rapide, assez brusque et elle est une belle Titania. Elle garde sur le visage le même sourire imperturbable; dans le Lac des Cygnes, Odette comprise, ou dans Titania, c'est égal, juste plus ou moins appuyé. J'attends la Sylphide...
Excellent et virevoltant Puck du jeune Antoine Kirscher, moins affuté que celui de Vigliotti, moins tranchant mais tout de même très réussi! Belle Hppolyte d'Ida Viikinkoski, très dynamique. Délicieux Papillon d'Alice Catonnet, décidément un espoir de la troupe; pas encore totalement relâchée techniquement mais exquise de style; bras, port de tête ravissants.
Marion Barbeau et Florian Magnenet apparaissent effectivement un peu fades dans le divertissement après le duo Park-Paquette. Ils ne me semblent pas savoir exactement quoi faire de ce pas de deux mais c'est tout de même fort bien réalisé, sans démériter.
Les personnes placées autour de moi au cours de ces deux soirées riaient souvent pendant le spectacle, et gardaient le sourire ensuite. Voilà au moins une réussite.


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haydn
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Messages: 26514

MessagePosté le: Dim Mar 19, 2017 3:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci à vous aussi Constance pour ce long compte-rendu, dans lequel vous évoquez notamment la (bonne, à vous lire) prestation de Marion Barbeau en Titania, sur laquelle nous n'avions pas encore eu de commentaire.



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Delly



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Messages: 603

MessagePosté le: Dim Mar 19, 2017 10:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le ballet est retransmis en direct le 23 mars par UGC :

http://www.vivalopera.fr/


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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
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MessagePosté le: Lun Mar 20, 2017 12:39 am    Sujet du message: Répondre en citant

Pour ceux qui voudraient écouter les œuvres de Mendelssohn utilisées par Balanchine pour son Songe d'une nuit d'été, petite sélection d'interprétations "de référence" (et dans le domaine public) :


Le Songe d'une nuit d'été



Jennifer Vyvyan
Marion Lowe
Chœur de femmes du Royal Opera House, Covent Garden
London Symphony Orchestra, dir Peter Maag (1957)






Heather Harper
Janet Baker
Philharmonia Orchestra & Chorus, dir. Otto Klemperer (1960)




(Parties instrumentales uniquement)

Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam, dir. Eduard van Beinum (1952)



Cela risque de vous changer assez brutalement de ce que vous avez entendu à la Bastille...



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Katharine Kanter



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MessagePosté le: Lun Mar 20, 2017 11:43 am    Sujet du message: En parlant du SONGE - et Max Reinhardt .. Répondre en citant

Dans la tentative d'éliminer des doublons et triplons de la bibliothèque,
j'ai à donner la correspondance (en langue allemande) du metteur en scène allemand qui a fait filmer LE SONGE avec Nini Théilade, en un volume:

Max REINHARDT
"Ich bin Nichts als ein Theatremann"

Il s'agit de l'édition est-allemande de 1989.

Max Reinhardt n'ayant pas écrit de Mémoires, sa correspondance est à peu près le seul moyen que nous ayons de le connaître. Elle est fort utile pour comprendre le développement du théâtre classique allemand à la toute fin du XIXème siècle, début du XXème, à Berlin et à Vienne.

Si vous voulez le livre (gratis naturellement), veuillez me contacter par MP.

En même temps, je pourrai vous donner: "Dresdner Hefte - Sprache des Körpers - Tanz in Dresden", "Oxford-Schnappschüsse eines Dramatikers" de Kaj Munk, et "Macbeth und die Evangelisierung von Schottland" du Dr. Paul A. Cantor, si cela vous intéresse.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
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MessagePosté le: Lun Mar 20, 2017 12:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Critique sans grand risque dans Les Échos.


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Marie-Ange



Inscrit le: 12 Déc 2010
Messages: 304
Localisation: Paris

MessagePosté le: Mer Mar 22, 2017 12:51 am    Sujet du message: Répondre en citant

Peu à ajouter sur vos commentaires précédents, ce soir de très beaux danseurs, Hannah O'Neill est vraiment très belle dans ce ballet qui lui va parfaitement. Un superbe second acte avec un grand bravo de l'audience au pas de deux de Marion Barbeau et Florian Magnenet amplement mérité!


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