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hello_ballet
Inscrit le: 22 Fév 2016 Messages: 2
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26657
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Posté le: Mar Fév 23, 2016 1:22 pm Sujet du message: |
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Bonjour
Apparemment vous avez oublié de mettre le lien vers le questionnaire, donc les réponses risquent de se faire attendre. Pourriez-vous donner quelques précisions? S'agit-il d'un travail universitaire, d'une étude marketing effectuée pour le compte d'un cabinet de conseil privé ou d'une compagnie? |
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hello_ballet
Inscrit le: 22 Fév 2016 Messages: 2
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Posté le: Mer Fév 24, 2016 12:20 am Sujet du message: |
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Merci pour votre message, j'aurais effectivement pu attendre longtemps...
Je suis en master 1 "Médiation culturelle" et il s'agit donc d'un mémoire universitaire pour lequel il nous est demandé de réaliser une enquête afin d'enrichir et de "professionnaliser" un mémoire de recherche (tout ce qu'il y a de plus classique par ailleurs).
J'ai déjà une bibliographie bien fournie, notamment sur le danseur en tant que professionnel (Babe, Roharik-Rannou, Menger, Sorignet...) mais aussi le web marketing des institutions culturelles.
Mon mémoire porte davantage sur l'ouverture aux coulisses qu'offrent les compagnies et, en parallèle ou en opposition, les danseurs et ce, grâce aux réseaux sociaux. Or les articles/livres à ce sujet demeurent rares (ceux qui existent sont généralement des articles en anglais, du NY Times, Guardian et récemment Dance Magazine).
Donc je ne manque pas spécialement de matériel mais si quelqu'un connaît un ouvrage ou article sur le sujet que je ne devrais absolument pas manquer et qui aurait pu m'échapper, je suis toute ouïe
Et si certains veulent partager des remarques à ce sujet, ça ne pourra qu'enrichir mon propos. Notamment des points de vue sur la "démocratisation" ou non de la danse à travers cette utilisation grandissante des réseaux sociaux, par exemple :
- est-ce que cela diversifie le public de ballet?
- est-ce que ce ne sont pas finalement les mêmes balletomanes qui vont voir des ballets que ceux qui consomment cette présence "connectée" des compagnies et des danseurs?
- est-ce que ce n'est pas davantage l'image du danseur qui se modifie plutôt que celle du ballet en lui-même?
- être connecté avec une compagnie ou un danseur incite-t-il à aller les voir sur scène?
- cette démocratisation par les réseaux sociaux peut-elle contrebalancer une démocratisation encore poussive en pratique (prix des places, élitisme et lieux culturels intimidants...)?
Bref, autant de questions qui ne seront pas toutes abordées directement dans mon mémoire mais qui pourront nourrir ma réflexion.
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