sophia
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Posté le: Mar Oct 27, 2015 10:22 am Sujet du message: Interroger les archives de la danse [CND - 6-8/11/15] |
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6, 7 & 8 NOVEMBRE 2015
Une proposition de l’équipe de l’Atelier des doctorants :
Beatrice Boldrin, docteure en philosophie à Paris V Descartes
Evelyne Clavier, doctorante en arts à l’Université de Lorraine et cotutelle avec l’université de Genève
Bruno Ligore, doctorant en danse à l’université de Nice Sophia Antipolis
Bianca Maurmayr, doctorante en danse à l’université de Nice Sophia Antipolis
Alessandra Sini, doctorante en danse à l’université de Nice Sophia Antipolis
et du service Recherche et répertoire chorégraphiques, CND
« L’archive commence là où la trace s’organise, se sélectionne »
Jacques Derrida, Trace et archive, image et art
(Ina éditions, 2014)
Quelles archives pour la danse ?
Comment les traces deviennent-elles archives ?
Quels usages des archives pour le chercheur en danse ?
Quels usages des archives pour le chorégraphe et les danseurs ?
Les ateliers Pratiques de thèse en danse - outils à l'oeuvre du CND, visent à mettre en commun, à croiser et à affiner les outils méthodologiques, les savoir-faire et les pratiques de doctorants avec ceux de chercheurs plus confirmés, afin de promouvoir la recherche en danse, de fédérer et de mettre en réseau les jeunes chercheurs dispersés dans les diverses universités françaises et européennes.
Cette première rencontre intitulée Interroger les archives se déroule à l'occasion de l'exposition performative Scènes du geste dont Christophe Wavelet est le commissaire, et se décline en trois matinées d'étude consacrées à la question méthodologique de la recherche d'archives en danse.
En s'appuyant sur un principe participatif, Interroger les archives se propose de questionner les archives en danse comme traces écrites et documentaires et comme traces incorporées et mémorielles, ainsi que les notions d’archives vivantes et de corps liquide. Ce programme insiste sur la relation de « l'archive expériencée » et de « l'expérience de l'archive* », voire de la trace écrite avec son inscription dans et sur le corps du chercheur, afin de valoriser la spécificité de la recherche en danse.
Dans le partage, l'équipe, les doctorants et les chercheurs invités essayeront donc de nourrir réciproquement danse et recherche : penser pour danser et danser pour penser.

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