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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 25111
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Posté le: Mar Nov 10, 2020 8:04 pm Sujet du message: |
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Katharine Kanter a écrit: |
This will doubtless be censored by the Thought Police, since we are henceforth meant to listen solely to Voice of America, but until Mark Sauerberg or whoever tears it down,
Spare a Temps de Cerveau Disponible for Tchaikovski's quartets with the Borodin Quartet ... Berlinsky was still with us at the time.
https://www.youtube.com/watch?v=Nf4_iiUtuic
And Hello, Russia. |
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Katharine Kanter
Inscrit le: 19 Jan 2004 Messages: 1229 Localisation: Paris
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Posté le: Mer Nov 18, 2020 11:18 pm Sujet du message: Diffusion de l'Amour en Ligne - TRIAL BY JURY |
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Gilbert & Sullivan - download this before it disappears.
TRIAL BY JURY - and there's lots of dancing in it.
https://www.operaonvideo.com/trial-by-jury-gilbertsullivan-tv-movie-1974/
I have found the word "love" in Dupond-Moretti's recent statement - "s'y lover". What a funny word.
«Et nous avons travaillé de ce point de vue-là, de façon très précise, pour essayer de réguler, au travers de la loi, notamment de 1881, les immixtions de ceux qui ne sont pas journalistes et qui ne méritent pas d'être protégés par cette loi mais qui viennent, au fond, s'y lover pour diffuser la haine en ligne et bénéficier des protections qui sont dues aux journalistes et aux organes de presse.»
(How ODD - and I thought journalists had no protection at all in this country)
BREAKING NEWS - je ne pensais pas si bien dire: 12 heures de garde à vue pour un journaliste de France3 hier
http://snj-francetv.fr/wp-content/uploads/Liberte-de-la-presse-181120-1.pdf
Be that as it may, I have decided to spread LUV LUV LUV on the LUVERLY Internet.
by acquainting people with
Gilbert & Sullivan
who were of course completely angepasst and GREAT admirers of EMPIRE.
THAT was a joke - G & S were in non-stop trouble, and threatened with a number of lawsuits by the Great and Good.
G & S, come back. All is forgiven.
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 25111
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Posté le: Jeu Nov 19, 2020 11:05 pm Sujet du message: |
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Je vais passer sur les réflexions politiques pour vous engager à écouter Gilbert & Sullivan, les alter-ego anglais d'Offenbach et (Ludovic) Halévy. C'est de l'opérette anglaise, c'est très bien écrit et surtout très bien orchestré. Les livrets sont très drôles, mais pour goûter pleinement leur saveur il faut avoir quelques connaissances de l'histoire d'Angleterre.
Trial by Jury est une pièce brève, qui devait être jouée en prélude lors des premières représentations londoniennes de...La Périchole, justement.
Presque toutes les créations des ouvrages de Gilbert & Sullivan ont eu lieu au Savoy Theatre, situé dans l'hôtel éponyme, à côté de la gare de Charing Cross. En fait, le directeur de l'hôtel, Richard D'Oyly Carte (ça ne s'invente pas), s'était pris de passion pour la musique de WS Gilbert, et avait créé ce théâtre (qui existe toujours) à l'intérieur de son établissement et avait présidé à la fondation en 1870 d'une troupe d'opérette qui a porté son nom, la D'Oyly Carte Opera Company, qui a ensuite survécu jusqu'en 1982 grâce au dévouement de Bridget D'Oyly Carte, l'arrière petite-fille de Richard.
Si vous déprimez, je ne peux que vous recommander la célèbre tirade du Major General dans The Pirates of Penzance, l'une des opérettes les plus fameuses des deux compères :
https://youtu.be/hlTisI_HSgw
Le titre fait allusion à Penzance, station balnéaire située sur la pointe de Cornouailles, très à la mode dans l'Angleterre victorienne, après qu'une ligne de chemin de fer la reliant directement à la gare de Paddington l'ait rendue facilement accessible à la bonne société de Londres. Le titre pourrait se traduire par quelque chose comme "Les Flibustiers de Saint -trop'". |
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Katharine Kanter
Inscrit le: 19 Jan 2004 Messages: 1229 Localisation: Paris
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Posté le: Ven Nov 20, 2020 5:34 pm Sujet du message: What is a Gilbert, without a Sullivan? |
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Gilbert le librettiste ("What is a Gilbert, without a Sullivan?", aurait-il exclamé en apprenant la mort de son co-complotteur) était en fait avocat. Profession exigeant une certaine maîtrise du langage ...
Arthur Sullivan, le compositeur, a reçu une formation musicale exceptionnelle.
Il est permis de penser que dans un environnement moins PHILISTIN que l'Angleterre de son époque, il eût pu faire de grandes choses.
Ce qui fait que dans un certain sens, et en dépit de toute la joie que procurent leurs merveilleuses opérettes, on ressent "a pang of regret at What Might Have Been ..."
Quoiqu'il en soit, selon le Sullivan Society,
https://sullivansociety.org.uk/arthur-sullivan/?v=79cba1185463
Arthur Seymour Sullivan was born in London on 13 May 1842, the second son of Thomas Sullivan (1805–1866) and Mary Clementina Sullivan, née Coghlan (1811– 82). He evinced prodigious musical talent from a very early age: his father was a theatre musician who became an army bandmaster with the result that Arthur could play every instrument in the military band by the age of eight. No career other than music was ever an option, and in April 1854 he was accepted, though at nearly twelve he was well over the customary age, as one of the Children (choristers) of the Chapel Royal. Here he came under the tutelage of the Revd. Thomas Helmore (1811–1890), a formidable teacher and scholar, and quickly became a favourite choice when solos were required. He also took his first steps as a composer, most notably in 1855 with the publication of a sacred song, O Israel.
In the summer of 1856 Sullivan, despite being the youngest entrant, won the competition for the first Mendelssohn Scholarship. This enabled him to study at the Royal Academy of Music, where his tutors included Sir William Sterndale Bennett (1816–75) and Sir John Goss (1800–80), and then from 1858 at the Conservatory in Leipzig, at that time the finest musical training school in the world. Here he learned from the best teachers in Europe, including Ignaz Moscheles (1794–1870), Moritz Hauptmann (1792–1868), Julius Rietz (1812– 77) and Louis Plaidy (1810–74).
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 25111
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Posté le: Ven Nov 20, 2020 6:40 pm Sujet du message: |
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Merci pour la rectification de ma petite confusion entre le librettiste et le compositeur, mais effectivement, l'un ne va pas sans l'autre. D'ailleurs lorsque le duo s'est séparé, en 1896, les deux ex-compères n'ont, isolément, plus rien produit de significatif. |
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Brienne
Inscrit le: 31 Déc 2012 Messages: 55 Localisation: Sydney`
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Posté le: Ven Déc 04, 2020 4:11 am Sujet du message: |
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La bayadère version Grigorovitch au Bolchoi.
La danse des fakirs au début de l'acte l.
3',47" - 5',06"
Est-ce qu'on sait si cette musique est du Minkus? Il me semble que non. Et si non, qu'est-ce que c'est? Du Khatchaturian peut-être ?
https://www.youtube.com/watch?v=Tx1iSwAnqzg&t=98s
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 20343
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Posté le: Ven Déc 04, 2020 9:30 am Sujet du message: |
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C'est un ajout chorégraphique de Grigorovitch, mais pour la musique, je n'ai rien trouvé dans le programme du Bolchoï (alors que ces publications sont en général assez complètes). Cela fait très "soviet-oriental".
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Brienne
Inscrit le: 31 Déc 2012 Messages: 55 Localisation: Sydney`
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Posté le: Sam Déc 05, 2020 9:55 am Sujet du message: |
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sophia a écrit: |
Cela fait très "soviet-oriental". |
Oui. Tout à fait
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