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La Sylphide [Opéra Garnier, 22/06-15/07/2013]
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Florestiano



Inscrit le: 28 Mai 2010
Messages: 1802

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 10:45 am    Sujet du message: Répondre en citant

Petite question aux techniciens : quelqu'un connaîtrait-il la matière du voile empoisonné à l'acte II, dont les qualités de flottaison dans l'air sont ma-gi-ques ?


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doudou



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Messages: 1128
Localisation: PARIS

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 10:47 am    Sujet du message: Répondre en citant

Pas grand chose à rajouter par rapport à ce qui a été dit. J'en profite pour remercier Sophia pour son compte rendu.

En effet Dorothée Gilbert est très bonne techniquement mais pas à l'aise dans l'emploi. Si l'Opéra n'attend pas dix ans pour remonter la Sylphide, elle pourra toutefois approfondir son interprétation.
Excellent Ganio qui est là dans un de ses meilleurs rôles, très bonnes Zusperreguy et Hurel. Cette dernière semble connaître une sorte d'été indien à quelques années de sa retraite. Je regrette de ne pouvoir assister à sa Sylphide. Thibault garde toutes ses qualités de style même si à son âge la pure virtuosité n'est plus tout à fait la même. Cela reste toujours très beau.
Un corps de ballet très bien préparé et un orchestre bien sonnant, bref une belle soirée et on attend avec intérêt les autres distributions
Juste un mot sur la sorcière de Phavorin, réjouissante caricature mais c'est justement peut-être un peu trop. Jean-Marie Didière, insurpassable dans ces types de personnage savait donner une humanité à cette figure grotesque. (Désolé de parler du mime, je sais que cela ne plait pas à tout le monde mais j'assume mon mauvais goût).


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 12:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Lors de la rencontre qui avait lieu au Studio Bastille (dont j'ai reproduit les propos ci-dessus), Pierre Lacotte soulignait que la version de Bournonville, bien qu'elle raconte la même histoire que celle de Taglioni, était d'un esprit tout différent. On ne peut évidemment qu'approuver, quoi qu'on ressente à la vision de l'une et de l'autre. Retrouver la production de Lacotte, après neuf ans de disette parisienne et avec encore dans la tête celle de Bournonville (vue successivement cette année avec le Royal Ballet et le Bolchoï), tient donc un peu du choc culturel. Lacotte nous offre là une superbe production, dont les décors et les costumes, d'une grande beauté, ont été reproduits avec une admirable minutie et l'on regarde cela comme un vieux et merveilleux livre d'images. On ne peut toutefois s'empêcher de penser que le ballet a un petit côté "musée" ou "exercice de style", avec ces variations hyper-difficiles qui s'enchaînent sans véritable pause pantomimique durant deux actes. La version de Bournonville, elle, ne connaît pas un seul temps mort, rien n'y est de trop, on est happé par le drame et par la musique de Lovenskjold, et l'on est désolé lorsque cela se termine (évidemment, avec de bons interprètes), alors qu'ici, il n'y a pas trop de place pour le "story-telling", voire pour l'émotion, même si j'aime beaucoup la manière dont Lacotte a mis en scène la mort de la Sylphide. Sans doute la musique de Schneitzhöffer, d'une platitude assez constante (consternante?), sans véritable "tube", y est-elle aussi pour quelque chose, même si elle était, me dit-on, bien jouée.

Sur les interprètes de cette première, je suis globalement d'accord avec ce qui a été dit. On entre "tout doucement" dans la série, tout est très bien dansé, sans doute, mais le charme, la magie, la grâce, on sent bien que ce sera pour plus tard.

D'autres que moi l'ont ressenti, mais Dorothée Gilbert me paraît aussi un peu à contre-emploi dans le rôle-titre. Elle n'a pas le côté aérien, éthéré du personnage, ni du reste son côté malicieux, charmeur. Il y a même parfois quelque chose d'anguleux dans sa danse, ce qui me semble en contradiction avec tout ce qu'on sait du style romantique, du style Taglioni, tout en rondeur et en fluidité. Par moments, on se dit qu'elle est trop vivante, trop réelle, qu'on l'imaginerait bien plus en Effie, rôle qu'elle a d'ailleurs interprété jadis. Je n'ai pas été non plus vraiment ébranlée par le partenariat avec Mathieu Ganio qui, lui, brille de mille feux par ses qualités aériennes : ses sauts, son ballon, ses entrechats sont une merveille. Je n'en reste pas moins un peu sceptique devant cette tendance qu'a l'Opéra de distribuer quasi-systématiquement en James des danseurs à l'allure princière (personnellement, je préfère des danseurs plus compacts - rustiques mais élégants -, à la Alu ou à la Thibault, pour ce rôle), cela vaut aussi pour Gurn, ultra BCBG comme son compère. Mélanie Hurel, remarquable Effie, est parfaitement à son affaire dans le style romantique : sa danse est vive, acérée, joyeuse, large, d'une remarquable précision musicale. C'est elle la vraie réjouissance de ce plateau étoilé! Dans le Pas des Ecossais, Muriel Zusperreguy me semble avoir des qualités comparables - et quel charme souriant se dégage de cette danseuse! Thibault, oui, il reste excellent, mais c'est il y a dix ans qu'on aurait aimé l'admirer dans ce pas et surtout dans le rôle de James, taillé pour son génie. D'accord avec Doudou sur Phavorin, qui fait du Phavorin - on le reconnaît d'ailleurs sans peine sous le maquillage. Ce côté presque comique ne me semble pas être vraiment en phase avec le ton sérieux du ballet de Lacotte, je le verrais presque mieux dans la version de Bournonville. Pour finir, j'ai trouvé le corps de ballet magnifique, très bien réglé. A mon avis, c'est dans ces parties-là (Ecossais au premier acte, Sylphides au second) que le talent créatif de Lacotte est le plus évident et le plus efficace. Au passage, on peut regretter que Laura Hecquet - l'une des trois Sylphides, entre autres - n'ait pas eu droit à une représentation dans le rôle-titre. Dans le corps de ballet, elle se montre remarquable de style et de légèreté.


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fandorine



Inscrit le: 29 Avr 2012
Messages: 376

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 12:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

D'accord avec Sophia: c'est vrai que pour le rôle de James, il n'y a que des princes, alors que l'argument à la Walter Scott évoque plus un gentilhomme campagnard. C'est sans doute la volonté de représenter un archétype du personnage romantique.
Un peu plus de diversité ne nuirait pas. J'aurais bien aimé voir Alessio Carbone dans ce rôle. Ne l'avait-il pas dansé lors de la dernière reprise?


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serge1 paris



Inscrit le: 06 Jan 2008
Messages: 877

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 1:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'avoue que j'ai un peu de mal à me mettre au diapason de l'enthousiasme des habitués de ce ballet.

Tout d'abord, même si la musique de ballet incite à l'indulgence, c'est une épreuve de subir deux heures d'une musique aussi pauvre d'inspiration. Le premier acte est particulièrement dur à avaler et la musique y atteint des sommets de prosaïsme.

Je dois ajouter à cela une "kiltphobia" dont je suis apparemment le seul à souffrir à propos de la lourdeur des costumes avec des ensembles qui m'ont paru peser des tonnes.

Heureusement, la seconde partie rachète largement l'affaire, même si Ganio continue à subir l'outrage du kilt.

Pour Dorothée Gilbert je serais plus positif car c'est quand même elle qui a sauvé ma soirée.

Seul l'espoir de la révélation avec Obraztsova sera en mesure de me faire revenir...


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paco



Inscrit le: 28 Oct 2005
Messages: 3559

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 3:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

serge1 paris a écrit:
Je dois ajouter à cela une "kiltphobia" dont je suis apparemment le seul à souffrir


Rassurez-vous, moi aussi j'ai du mal avec ce ballet à kilts, et je n'avais pas prévu de voir cette reprise s'il n'y avait Obraztsova...


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PetitCygne



Inscrit le: 07 Mar 2011
Messages: 391

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 3:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour répondre à la question sur la matière : je n'ai pas encore vu le ballet mais pour un tissu vaporeux, flottant, léger, on peut penser à du tulle de soie.


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balletetmoi



Inscrit le: 12 Juin 2013
Messages: 5

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 4:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Aussi sur la matière du voile: peut-être c'est Organza ou même Organzina.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 5:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

fandorine a écrit:
D'accord avec Sophia: c'est vrai que pour le rôle de James, il n'y a que des princes, alors que l'argument à la Walter Scott évoque plus un gentilhomme campagnard. C'est sans doute la volonté de représenter un archétype du personnage romantique.
Un peu plus de diversité ne nuirait pas. J'aurais bien aimé voir Alessio Carbone dans ce rôle. Ne l'avait-il pas dansé lors de la dernière reprise?


Non. Il l'a dansé, je crois bien, lors de son année sabbatique, en Italie (dans la version de Bournonville, je présume).
Lors de la dernière série, en 2004, en-dehors des étoiles (Martinez, Ganio, Pech - ce dernier n'était alors que premier danseur), il y avait aussi Gil Isoart et Stéphane Phavorin distribués en James (la fameuse époque du TST - "Tout sauf Thibault").

James n'est pas un prince ou un rôle noble, c'est un rôle de demi-caractère. Kobborg au Royal Ballet ou Lopatin au Bolchoï correspondent idéalement à ce type de personnage. Carbone ou Thibault hier, Alu aujourd'hui, y auraient été ici parfaits.
Si l'on y distribue aujourd'hui des danseurs grands et fins, de style princier ("catégorie" dans laquelle je n'inclurais pas Heymann), c'est simplement parce que le "danseur noble" correspond à l'esthétique en vogue, non à l'esthétique romantique en soi (le danseur noble était méprisé au XIXe siècle).
Personnellement, je trouve que cela contribue à un certain affadissement du personnage. On le sait, qui dit prince de ballet dit forcément personnage un peu niais et ravi, ce que n'est pas James à mon sens. Malheureusement, cet amalgame se retrouve dans la vision que notre temps a le plus souvent du romantisme (confondu avec la sensiblerie, la nunucherie, etc...). Peut-être est-ce l'une des raisons, avec la musique, pour lesquelles je préfère aujourd'hui la version Bournonville, plus "virile".




Dernière édition par sophia le Dim Juin 23, 2013 6:02 pm; édité 3 fois
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Ornella



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Messages: 363
Localisation: Versailles

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 5:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ah, François Alu... <3


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Joelle



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Messages: 882

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 5:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je sors de la matinée du 23 sous un orage "princier" Laughing

Le fameux voile m'a effectivement l'air d'être en organza...

@Ornella : et François Alu était là, mais dans un petit rôle dans le groupe des Ecossais. Il n'empêche qu'il a encore sauté plus haut que les autres ! Laughing

F. Magnenet ne s'en est pas trop mal tiré, A. Renavand aussi dans le rôle d'Effie et Ludmilla a parfaitement tiré son épingle sylvestre du jeu !

En revanche c'était triste de se dire que c'était la dernière fois (en ce qui me concerne) que je voyais Mathilde Froustey sur la scène de Garnier... Elle a bien assuré son pas de deux des Ecossais, mais son partenaire semblait moins dans le rythme.


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haydn
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Messages: 26517

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 6:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quelques mots sur la représentation de cet après-midi, avec, pour distraction, à l'entracte, une manif d'antifafs qui ont confondu La Sylphide et Paquita, en scandant de véhéments "No pasarán" sur la place de l'Opéra. Sur le plateau, la fumée des grenades lacrymogènes aura fort heureusement cédé la place aux brumes des Highlands pour le début du second acte...

L'attraction du jour, c'était évidemment la prise de rôle de Ludmila Pagliero. On aurait pu craindre qu'elle ne soit que moyennement motivée par une représentation programmée en matinée, d'où le gratin de la presse était évidemment absent. Il n'en a fort heureusement rien été, Mlle Pagliero a donné tout ce qu'elle avait en elle, et sa prestation a été grandiose. J'ai déjà été amené à la défendre contre les préjugés de certains balletomanes, qui la traitent en "mercenaire" venue de l'étranger, mais là, elle mérite encore davantage qu'on lui tresse des lauriers. Sa Sylphide est tout simplement la plus belle et la plus émouvante que j'ai vue depuis celle de Delphine Moussin, en 2004. Technique impeccable, ports de bras et de tête superbes - on aurait cru voir une gravure représentant la Taglioni - elle s'est comportée - ô paradoxe pour une artiste venue d'Argentine - en digne héritière du style romantique français. Tour a tour mutine et enjouée, blême et distante, elle s'impose dans un rôle qui lui convient à la perfection. Une Sylphide diaphane et touchante, dont on se souviendra longtemps.

A ses côtés, Florian Magnenet a su faire très bonne figure. Lui aussi a su faire valoir une excellente technique, avec des cabrioles bien battues, où il n'hésitait pas à faire claquer les mollets, à l'ancienne. L'effort est davantage perceptible que chez Mathieu Ganio, dont les réceptions sont également un peu plus légères ; en revanche, M. Magnenet a soigné ses expressions et son jeu de scène. La performance est d'autant plus louable que le travail d'acteur n'est d'ordinaire pas son point fort. Là, il a su oublier qu'il est beau, et a campé un James exempt de niaiserie. Il faut dire aussi que sa partenaire faisait tout pour ne pas l'y inciter. L'harmonie entre les titulaires des rôles principaux a en tout cas semblé parfaite, tant sur le plan artistique que physique.

Mickael Lafon, enfin remis de son accident, - et qui a gagné en carrure -, s'est révélé un Gurn honorable et crédible. Le trio des Sylphides, composé de Laurène Lévy, Marie-Solène Boulet et Caroline Robert (et non Héloïse Bourdon, comme indiqué sur la feuille de distribution, si je ne m'abuse) était d'un charme délicat, et surtout plus homogène que celui de la Première, samedi.

Alexis Renaud s'est, lui, distingué en Sorcière ; il a construit son personnage sans forcer le trait, et surtout sans le tirer abusivement vers le comique, écueil que n'avait su éviter Stéphane Phavorin la veille. Madge n'est pas la Mère Simone...

Je n'ai en revanche pas totalement adhéré à l'Effie d'Alice Renavand. Il est vrai que, venant après Mélanie Hurel, elle n'avait pas la tâche facile, mais surtout, c'est une danseuse trop entière, trop démonstrative pour se fondre dans un rôle qui nécessite davantage de retenue. Il ne s'agit pas de suggérer à Mlle Renavand de s'effacer, de s'affadir volontairement. Ce serait aller contre sa nature. Simplement, alors qu'elle a été éblouissante en Kitri, elle se retrouve ici confrontée à un rôle moins en adéquation avec sa nature profonde. Elle n'a d'autre choix de que faire avec, du mieux possible. C'est d'ailleurs ce à quoi elle s'applique.

Enfin, il faut bien le dire, il y a eu aujourd'hui une petite déception : le pas de deux des Ecossais, où Mathilde Froustey a semblé étrangement absente. Seule la coda pétillait vraiment, et le duo qu'elle formait avec Marc Moreau ne pouvait rivaliser avec le couple Muriel Zusperreguy / Emmanuel Thibault qui nous avait enchantés la veille. Dommage, chacun sait toute l'admiration que j'ai pour le talent de Mathilde Froustey, et j'ai eu maintes fois l'occasion de l'exprimer ici même. Manifestement, elle avait déjà l'esprit sur les rivages du Pacifique, où on lui souhaite de faire une brillante carrière, conforme à ses capacités et à ses aspirations.



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Joelle



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MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 7:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
F. Magnenet
L'effort est davantage perceptible que chez Mathieu Ganio, dont les réceptions sont également un peu plus légères


C'est très bien écrit !!! Wink


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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 7:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Heu je ne sais pas si c'est bien écrit, mais extraite de son contexte, la phrase pourrait laisser à penser que je n'ai pas aimé ce qu'a fait Florian Magnenet, alors qu'au contraire, je l'ai beaucoup apprécié, même si sur certains points techniques, Mathieu Ganio lui est supérieur...



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Joelle



Inscrit le: 06 Avr 2013
Messages: 882

MessagePosté le: Dim Juin 23, 2013 7:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Votre phrase (même extraite de son contexte) est un excellent résumé de ce qui m'interpelle chez ce danseur par rapport à certains autres, même si "techniquement" je ne peux pas bien l'exprimer.

F. Magnenet a bien dansé cet après-midi, mais j'ai toujours en tête le Mathieu Ganio aérien et à l'aise lors de la répétition générale de vendredi... Pour parler des Dames, la Sylphide version Ludmilla de cet après-midi caracole largement en tête de la version Dorothée de vendredi.

Maintenant j'attends avec impatience de revoir M. Ganio avec A. Dupont le 13 juillet, sans oublier le duo M. Heymann/E. Obraztsova !!!


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