haydn Site Admin
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Posté le: Lun Déc 05, 2011 7:57 am Sujet du message: 5 - 6 décembre 2011 |
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L’autre Cendrillon, par Gérard Mannoni (AltaMusica)
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Créée en 1986 avec une distribution qui fait encore rêver (Guillem, Jude, Guérin, Loudières, Denard, Piletta, Franchetti) cette Cendrillon a bien pris et gardé sa place dans le répertoire du ballet de l’Opéra aux côtés des autres grands classiques signés par Noureev. Les générations de danseurs s’y succèdent et s’y illustrent depuis un quart de siècle. Le public ne s’en lasse pas non plus, à en juger par les salles combles qui font chaque soir un beau succès au spectacle. La production ne vieillit pas, les décors de Petrika Ionesco et les costumes d’Hanaé Mori, ravissants et tellement chics, gardent leur efficacité et leur charme... |
Cendrillon de Noureev - Certains l’aiment show, par Jacqueline Thuilleux (ConcertClassic)
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Voilà notre Cucendron transformée en starlette dans le monde alors magique du cinéma des années 30 ! Et combien le Palais Garnier lui allait mieux comme décor de rêve pour pauvrette devenue princesse, que la rude Bastille où le spectacle émigre pour la première fois ! Mais avec succès, les salles étant bondées pour ce conte de Noël inscrit dans le traditionnel programme festif de fin d’année. On ne peut en effet résister à l’humour, au chic et à l’inventivité de cette délicieuse transposition dont Noureev, fou de cinéma, eut l’idée et qu’il créa en 1986, avec une distribution phénoménale, de Sylvie Guillem à Monique Loudières et Isabelle Guérin, face au beau Charles Jude, idéal rêve de jeune fille.... |
Le ballet du Rhin rend hommage à Béjart, par Stéphane Boularand (La Dépêche du Midi)
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De Maurice Béjart, on connaît bien les grandes pièces, son «Sacre du printemps», son «Boléro» ou sa «Messe pour le temps présent». De grandes chorégraphies qui ont marqué la danse contemporaine et le grand public. Mais c'est un autre Béjart que Bertrand d'At, le directeur du ballet de l'Opéra national du Rhin, a préféré nous montrer. En choisissant 3 pièces moins connues, il nous propose une étonnante plongée dans l'univers du grand chorégraphe. Une plongée qui commence par « Le Marteau sans tête », sur la musique de Pierre Boulez, inspirée d'un poème éponyme de René Char... |
Forsythe for ever, par Emmanuelle Giuliani (La Croix)
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Structurée en quatre parties, Artifact (1984) reste mémorable, quasi intemporel, pour sa chorégraphie puissante et limpide de la chaconne en ré mineur, extraite de la Deuxième Partita pour violon de Jean-Sébastien Bach. Deux couples et le corps de ballet traduisent en mouvements abstraits et lyriques cette stupéfiante partition. À l’instar du violon (ici, une version magistrale sous les doigts de Nathan Milstein, hélas trahie par une sono brutale), les danseurs multiplient les variations vertigineuses sur un même thème et raniment les figures classiques, notamment les pointes, traits percussifs battant la scène... |
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