haydn Site Admin
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Posté le: Jeu Juil 28, 2011 10:11 am Sujet du message: 28 juillet 2011 |
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Pour une socialisation de la danse classique au Liban, par Géraldine Zeidan (L'Orient - Le Jour - Beyrouth)
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Quinze jeunes danseurs novices, issus de milieux populaires, dirigés par Nada Kano, chorégraphe et fondatrice du Beirut Dance Studio, ont dévoilé sur les planches du théâtre Monnot un savoir-faire débutant mais ô combien prometteur. Après un an d’exercices acharnés, d’entraînement quotidien et d’un encadrement régulier, les efforts des jeunes amateurs (de 9 à 12 ans) ont abouti. Ils étaient là, les néophytes du ballet qui, il y a un an, ignoraient complètement les fondements de la danse classique. Ils étaient présents à travers leurs silhouettes ultrafines et graciles, leurs postures et leurs expressions aux visages tantôt jovials pour les filles et tantôt graves pour les deux garçons qui participaient également à cette représentation de fin d’année... |
Vacances studieuses avec un chorégraphe danois, par Antoine Galindo (Sud-Ouest)
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Depuis lundi et jusqu'à samedi, une soixantaine de jeunes danseurs du monde entier suivent les cours de l'Académie Bournonville. C'est la troisième fois que ce stage estival, international et itinérant a pour cadre le Conservatoire de Biarritz. Objectif : faire vivre l'œuvre du célèbre chorégraphe franco-danois du XIXe siècle. Dès l'entrée, on entend résonner le piano à queue qui accompagne les pas de danse. Une professeur danoise explique et décortique en anglais les mouvements à ses élèves... |
Christophe Haleb et la Cie la Zouze entament une nouvelle aventure à l’horizon 2013, avec une 1ère résidence au Ballet national de Marseille., par Denis Bonneville (La Marseillaise)
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Parc Henri-Fabre, hier matin, à l’abri du déluge. Alors qu’un piano aligne gentiment ses gammes dans une salle voisine, c’est une autre partition qui donne sa pulsation au studio Franchetti du Ballet national de Marseille ; le violoncelle caressé ou meurtri de Bruno Ducret et les boucles électroniques de Lionel Kasparian, entre lancinements orientalisants et martèlements de transe, semblent abattre ou transporter les corps déjà échauffés de huit danseurs aux profils variés ; athlétiques ou élancés, massifs et plus ou moins burinés, les mâles se retrouvent dans une même énergie, celle lancée par Christophe Haleb, chorégraphe et metteur en espace aux aguets, et pour cause : accueilli en résidence par Frédéric Flamand, le chef de la Zouze, compagnie marseillaise qui rayonne bien au-delà de la région et jusqu’en Amérique du Sud, lance en effet ici son projet Fama, « exposition vivante » qui se bâtira, ici et ailleurs, avec de multiples intervenants, jusqu’à l’horizon 2013... |
Carlos Acosta, London Coliseum, review, par Mark Monahan (The Daily Telegraph)
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Sometimes in this job, the most useful thing to do is to put one’s scribbled notes briefly to one side and just think back for a second: what, from the previous night’s show, has stuck in the mind? It’s a test that Premieres Plus – Carlos Acosta’s latest pick-and-mix of modern dance – fails badly. The Royal Ballet guest principal has made a laudable effort to use sound, lighting and general stage craft to link one piece to the next. Unfortunately, these artfully blurred boundaries only highlight the works’ general saminess... |
Swan Lake, Royal Opera House, London, par Clement Crisp (The Financial Times)
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The world’s stages are littered with productions of Swan Lake, the majority of which – as I know to my cost – are horrid and foolishly optimistic. One alone I find wholly engrossing, heart-touching, noble in its response to narrative as to Tchaikovsky’s score, and that is the version staged by the Ballet of the Mariinsky Theatre, with which the company opened its London season on Monday. Its virtues are those of the troupe as a dance-ensemble: elegance of means, nobility of expression and that historical resonance that announces every step, every dramatic attitude, is the fruit of long years of thought, aspiration and reverence for the art, which this ballet celebrates. I treasure the Mariinsky’s scenery and costumes, which frame the piece so discreetly... |
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