haydn
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 Posté le: Ven Mai 27, 2011 11:36 am Sujet du message: 27 mai 2011 |
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Anne Teresa de Keersmaeker [Paris] : L’averse joyeuse, par Delphine Goater (Res Musica)
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| La chorégraphe Anne Teresa de Keersmaeker transmet pour la première fois l’une de ses pièces majeures à une autre compagnie que la sienne. Avec le Ballet de l’Opéra de Paris, Rain est assurée de passer à la postérité. Dès l’ouverture, pendant la scène d’approche où les danseurs se jaugent, cèdent à l’abandon, on perçoit que les danseurs du Ballet de l’Opéra de Paris ont trouvé le ton juste, ont su se couler dans le style très particulier de la chorégraphe flamande... |
Un étincelant traité d'écriture chorégraphique, par Rosita Boisseau (Le Monde)
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| Le public du Palais Garnier, à Paris, ne s'y est pas trompé. Lâcher d'applaudissements comme des salves, mercredi 25 mai, pour Rain, chorégraphié en 2001 par Anne Teresa de Keersmaeker et dansé par le Ballet de l'Opéra de Paris. C'est la première fois que la chorégraphe belge, réputée mondialement, collabore avec la troupe à laquelle elle a accepté de donner l'une de ses pièces les plus somptueuses : un étincelant traité d'écriture pour dix interprètes, sept femmes et trois hommes... |
De Keersmaeker: «L’écriture de la danse dépasse les interprétations», par Marie-Valentine Chaudon (La Croix)
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| Pourquoi avez-vous décidé de confier Rain, l’un de vos plus beaux ballets, à l’Opéra de Paris? Anne Teresa de Keersmaeker : Rain , qui date de 2001, a été mon troisième grand rendez-vous avec le compositeur américain Steve Reich, après Fase en 1982 et Drumming en 1998. C’est un point d’orgue dans notre collaboration mais aussi dans ma propre trajectoire... |
La fièvre des flash mobs gagne tous les Biarrots, par Olivier Bonnefon (Sud-Ouest)
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| Même Thierry Malandain, chorégraphe et big boss du Centre chorégraphique national Ballet Biarritz est épaté par ce phénomène. Faire danser 300 personnes devant autant de spectateurs, sur une chorégraphie bien huilée, un jour de juin 2010 pluvieux au bord de la Grande- Plage. Recommencer avec plus de succès encore en plein cœur de l'été, puis en mars, pour la journée Biarritz en forme. Pas de doute, les flash mobs biarrotes montrent combien l'amour de la danse est désormais enraciné en ville... |
Académie de danse à Monaco: un parrainage de 45 000 euros, par Anne-Sophie Lizzani (Nice-Matin)
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| Le Crédit Foncier de Monaco prend en charge l’intégralité des études d’un jeune Brésilien qui arrivera à la rentrée. Jeudi dernier, le parrainage d’un jeune danseur brésilien a été officialisé. A l’Atelier des Ballets de Monte-Carlo, Gilles Martinengo, directeur général de la banque CFM Monaco, a remis un chèque de 15000 euros à l’Académie de danse Princesse Grace dirigée par Luca Masala. Un premier versement qui prendra en charge la première année d’études d’Alexsandro Florencio Akapohi. Au total, la banque déboursera 45000 euros pour une formation de trois ans... |
No pointe to B'way ballet, par Leigh Witchel (The New York Post)
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| New York City Ballet has a triple threat of musical com edy running through Sunday -- ballets by George Balanchine, Jerome Robbins and Susan Stroman, all of which celebrate the Great White Way. And since you gotta have a gimmick, all three showed off something new. In Balanchine's "Slaughter on Tenth Avenue," princely Tyler Angle made his debut as the hoofer stalked by a gangster in the audience. His dame is a stripper, Maria Kowroski, who's slinked through the part many times. She's less about bumps and grinds than lovely lines and sky-high legs... |
Ballet Meets Broadway Choreographers and Composers, par Alastair Macaulay (The New York Times)
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| Ballet companies, like individual dancers, love to demonstrate how diverse they can be. So New York City Ballet, which began its six-week spring season with eight performances of high modernism (black-and-white costuming, no scenery, most of the music by Webern, Stravinsky and Hindemith), is now giving us a tribute to Broadway, with music by Richard Rodgers, Duke Ellington and Leonard Bernstein... |
Bern Ballet - Clara/Howl, par Neil Norman (The Stage)
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| The two works from the small but enterprising Swiss dance company illustrate director Cathy Marston’s mission - to forge a link between contemporary dance and dramatic narrative. Choreographed by Marston herself, Clara is based on the three-way relationship between the Schumanns, Robert and Clara, and their friend, Johannes Brahms. Against an austere backdrop of grey carpets and a grand piano, Marston’s work unfolds with a calculated vigour and scowling passion that is both tantalising and alienating. Her arrangements are clear and concise, the three protagonists separated from the ensemble of seven who act as a kind of chorus to the push-me-pull-you menage a trois. Marston’s choreographic language is virile and flexible, intimate and surprising, with quick, snatching moves followed by languorous caresses... |
Utopische Liebe : »Onegin« beim Staatsballett Berlin: Männer ohne Endel, par Gisela Sonnenburg (Junge Welt)
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| Männer! Sie können Frauen zur Verzweiflung treiben. Insbesondere, wenn sie von russischen Dichtern ersonnen sind. Wie der in sich zerrissene Verführer »Onegin«, dem Alexander Puschkin ein weltbewegendes Versepos widmete. Pjotr Tschaikowski machte daraus eine vielschichtige Oper – und der in Südafrika geborene John Cranko 1967 ein ballettöses Meisterwerk der Herzschmerz-Extraklasse... |
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