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L'Anatomie de la sensation - McGregor - ONP 29/6-15/7 2011
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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
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MessagePosté le: Mar Juil 05, 2011 7:05 am    Sujet du message: Répondre en citant

A vrai dire, il n'y a rien de surprenant à ce que Boisseau et Noisette, qui sont de "vieux briscarts" de cette critique de danse qui s'est développée dans les années 80 (pas des pigistes en CDD à qui on a dit de louer l'Opéra de Paris), tirent (un peu) sur McGregor (et avec le même type d'argument) et encensent (sans nuance) Keersmaeker. On retrouve là en fait le fossé culturel entre la conception française (ou flamande) de la danse contemporaine, plus réflexive, et celle des Anglo-Saxons, plus accessible et dansante.


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nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Mar Juil 05, 2011 9:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

Encore que la danse flamande soit elle-même d'une très grande diversité, et que Keersmaeker n'a pas du tout été épargnée par la presse, même si elle en a surtout été ignorée jusque là...


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MiCo



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Localisation: Paris

MessagePosté le: Mar Juil 05, 2011 4:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

nabucco a écrit:
Le Figaro bégaye : une deuxième critique, cette fois sous la plume d'Ariane Bavelier, nettement moins enthousiaste. Je ne suis pas d'accord avec tout (pour moi, les danseurs de l'Opéra ne rachètent rien), mais résolument avec la conclusion : "De sensation, aucune, absolument.".

http://www.lefigaro.fr/culture/2011/07/04/03004-20110704ARTFIG00464-loin-de-francis-bacon.php

Merci à elle notamment de relever la supercherie de la récupération de Francis Bacon !


L'autre supercherie, parce que ça ne peut pas être un hasard, concerne la récupération de Deleuze et de son "Francis Bacon : logique de la sensation".

Ce qui ne laisse, certes, préjuger en rien de la qualité du ballet, que j'irai voir ce soir...

M.


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nabucco



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1462

MessagePosté le: Mar Juil 05, 2011 9:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La Fnac brade des places de première catégorie à 44 € pour les dates après le 11 juillet ("ventes flash"), et on peut même choisir sa place sur plan... Si avec ça vous n'y allez pas, c'est que... euh... vous avez mieux à faire...
(comment ça, "une place à 5 €, de toute façon je pourrai me replacer" ?)


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Gracian2



Inscrit le: 25 Nov 2009
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Localisation: Paris

MessagePosté le: Mer Juil 06, 2011 6:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

Dans cette danse contemporaine qui commence à ronronner, on sentait poindre hier soir un frisson de renouveau. McGregor a abandonné la virtuosité frénétique de « Genus », sa chorégraphie fouille les corps, cherche des articulations inhabituelles, travaille les membres avec entêtement et c'est l'ensemble de ces moments qui constituent l'intérêt de cette soirée où, pour une fois, chorégraphie, décor, musique s'articulaient parfaitement.

Cette suite de moments de danse – solo, deux, quatre, six ou plus – s'articule clairement, comme dans les ballets de Cunningham. Les grands panneaux qui partagent le fond de scène créent un espace propre où s'enchaînent ces moments de danse. Les éclairages et les couleurs très sobres - avec, au cinquième mouvement, des touches violentes, vert acide et pourpre, chères à Bacon – participent à créer un espace particulier.

À part Marie Agnès Gillot, qui danse dans chaque spectacle, c'était hier la distribution sans étoiles. Je ne sais si quelqu'un s'en est plaint, mais Laetitia Pujol a été ajoutée et, au dernier moment, il a été annoncé que le sixième mouvement serait dansé par Aurélie Dupont et Jérémie Bélingard.

Le pas de deux qui ouvre le ballet est remarquable, peut-être la meilleure pièce de l'ensemble, il a été brillamment interprété par Yannick Bittencourt et Alexandre Gasse, deux corps minces d'adolescents qui, sans défaillance, ont défendu cette redoutable chorégraphie. Il est probable qu'avec Heymann et Bélingard, elle doit avoir un caractère plus sensuel.

Marie-Agnès Gillot semble se régaler dans sa longue variation tandis qu' Aurélie Dupont m'a semblé, elle, assez mal à l'aise.

Le long neuvième mouvement réunissant l'ensemble est dansé derrière un rideau et termine le ballet dans une sorte de léger brouillard où les danseurs se silhouettent dans un univers différent.

Pas d'ovation à la fin et visiblement il restait des places dans toutes les catégories.
Pour moi, une soirée d'une grande richesse.


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Joël



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Messages: 112

MessagePosté le: Mer Juil 06, 2011 9:36 am    Sujet du message: Répondre en citant

Gracian2 a écrit:
À part Marie Agnès Gillot, qui danse dans chaque spectacle, c'était hier la distribution sans étoiles. Je ne sais si quelqu'un s'en est plaint, mais Laetitia Pujol a été ajoutée et, au dernier moment, il a été annoncé que le sixième mouvement serait dansé par Aurélie Dupont et Jérémie Bélingard.

Il me semble que L. Pujol était programmée et je ne pense pas qu'il y ait lieu de s'en plaindre. La modification principale de la distribution a été de faire danser à Aurélie Dupont et Jérémie Bélingard le pas de deux (sixième partie), alors que c'étaient Myriam Ould-Braham et Alexandre Gasse qui étaient prévus. Ce changement-là a un peu gâché ma soirée parce que j'aurais préféré revoir M. O-B dans un autre rôle que lors de la première, même s'il n'a pas été désagréable de la revoir dans la cinquième partie.
Je ne fais en effet pas partie de ceux qui ont apprécié ce ballet (alors que Genus m'avait plutôt plu) et en le revoyant j'aurais aimé avoir au moins la consolation de voir certains de mes danseurs préférés dans des rôles différents ou plus importants. À part la scénographie qui est assez jolie et quelques interprètes qui raniment un peu l'attention (surtout Marie-Agnès Gillot et Alice Renavand), le ballet m'a semblé bien ennuyeux. L'ennui atteint son paroxysme lors de la neuvième et dernière partie où en plus on se moque du spectateur 1) en lui faisant croire plusieurs fois que c'est la fin de son calvaire, 2) en faisant évoluer les danseurs derrière un voile qui, vu le faible éclairage à ce moment, cache l'essentiel de ce qui se passe sur scène.


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mizuko



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Localisation: tokyo

MessagePosté le: Jeu Juil 07, 2011 3:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Extraits sur YT de général
http://youtu.be/BdTrmVOetAY
http://youtu.be/rLZMw3Zx2xs

Et répétition (Hoffalt/Renavand)
http://youtu.be/Tri6I8Xuon0


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Celi



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Messages: 84
Localisation: Paris 11

MessagePosté le: Sam Juil 09, 2011 10:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quelqu'un sait-il ce qui est arrivé à Mlle Lévy ? Elle devait danser davantage si ma mémoire est bonne...


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sophia



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Messages: 22085

MessagePosté le: Sam Juil 09, 2011 10:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Elle est blessée, mais reste a priori distribuée sur les derniers spectacles.

J'en profite pour signaler ici cette interview-vidéo de Dorothée Gilbert à propos de L'Anatomie de la sensation (avec la musique de Giselle pour générique!...), puisque les trois parties sont désormais disponibles sur YT :
http://youtu.be/l-9f9uxcA1E
http://youtu.be/ppVWkWU-VxU
http://youtu.be/DK95_H5jpK0


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paco



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Messages: 3548

MessagePosté le: Lun Juil 11, 2011 8:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La braderie à 10 euros pour le Pass Jeunes + les promos à la Fnac ont amené un public inhabituellement juvénile et enthousiaste ce soir, ne ménageant pas ses applaudissements tout au long de la représentation, et ovationnant au rideau final la plupart des solistes féminines ainsi que le tandem Bélingard-Heymann.

Après les cimes de raffinement créatif la semaine dernière au Sadler’s Wells (Ek/Forsythe), cela m’a fait bizarre d’assister ce soir à une sorte de Broadway sur Seine musical, pimenté des tics habituels de McGregor, à savoir la gesticulation non stop. Mais je dois dire que j’ai pris beaucoup de plaisir à ce spectacle, que finalement je reverrais volontiers. Après tout, une série B de temps en temps ce n’est pas désagréable, surtout en cette période d'insouciance estivale et pré-vacances...

La partition d’abord, du bon Turnage (l’époque où il faisait preuve d’une créativité mélodique qu’il a perdu depuis, se retranchant, notamment dans Anna Nicole, dans des exercices de style bien construits mais moins inspirés). Certes on est davantage dans une fin de soirée au Ronnie’s Scott’s ou au Sunset qu’à l’Ircam, mais c’est de la très belle musique qui n’est pas dénuée d’envoûtement çà et là, notamment dans les passages plus vaporeux où il joue habilement des contrepoints entre bois et trompettes.

Ensuite la chorégraphie elle-même n’est pas dénuée de moments intéressants. Le premier mouvement d’abord, dont la fougue, la violence et la virtuosité extrême ne peuvent laisser indifférent ; le 6e mouvement, magnifique duo entre Aurélie Dupont et Jérémie Bélingard, peut-être le seul moment de poésie de la soirée (ce n’est d’ailleurs pas un hasard si, après cinq mouvements d’hystérie gesticulatoire collective, c’est à partir de ce duo méditatif que les premiers bravo ont émergé de la salle), enfin le 8e mouvement (duo Alice Renavand-Josua Hoffalt), piquant, fin, étrange.

Entre ces mouvements on ne s’ennuie jamais, mais le "Speedy max" incessant de la chorégraphie lasse occasionnellement. Sans doute un spectateur voyant pour la première fois une oeuvre de McGregor sera-t-il moins blasé, pour ma part j’ai probablement été agacé par le fait de retrouver la même gesticulation que dans Live Fire Exercise il y a un mois, les mêmes tics.

Mais on passe globalement une très bonne soirée. Entre autres grâce à une distribution d'excellent niveau : le tandem Bélingard-Heymann évidemment, qui se taille le mouvement le plus captivant et hallucinant de virtuosité, mais aussi les magnifiques M.A. Gillot, Aurélie Dupont, Alice Renavand,…

Vue la braderie des prix, n’hésitez pas à y aller, ça vaut tout à fait le détour. Pour l’anecdote, le spectacle a commencé par une annonce dédiant la soirée à Roland Petit.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22085

MessagePosté le: Lun Juil 11, 2011 9:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

paco a écrit:
Mais je dois dire que j’ai pris beaucoup de plaisir à ce spectacle, que finalement je reverrais volontiers. Après tout, une série B de temps en temps ce n’est pas désagréable, surtout en cette période d'insouciance estivale et pré-vacances...


Eh bien moi aussi (de préférence quand même avec la deuxième distribution, pas encore vue). Ce ballet, je crois, a été un de mes grands plaisirs (certes imparfait) de la saison à l'Opéra, d'autant plus peut-être qu'il était inattendu, et j'ai bien du mal à comprendre pourquoi les critiques de la place parisienne, si prompts à encenser n'importe quel filet d'eau tiède que produit l'Opéra ou la énième redite, tout aussi aseptisée, de Preljocaj font soudain la fine bouche devant le dernier McGregor.
Bon, ce ne sera pas facile, car après un bon mois de disette, on est gâtés en ce moment à Paris...


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paco



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MessagePosté le: Lun Juil 11, 2011 9:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Si, je peux comprendre la fine bouche de la presse et des habitués de l'Opéra, de même que je comprends l'accueil tiède de la Première et a contrario les ovations de ce soir, venant d'un public très jeune ayant acheté les places en dernière minute.

En effet, rien dans ce spectacle ne peut "parler" à un public traditionnel de l'ONP cherchant à tous prix à y trouver ses repères, ses marques, ce qu'il anticipe de voir dans un lieu dédié à la musique et la chorégraphie savantes :

- la musique est 100% jazz, aucune filiation possible avec la musique dite savante, et en plus au sein du jazz on est dans le bon traditionnel légèrement sirupeux, même pas quelque chose de plus avant-gardiste. Premier réflexe du puriste de l'ONP : est-ce bien le lieu pour jouer cette musique ?

- côté danse, en dehors de l'aspect virtuose spectaculaire, à bien des moments on a des mouvements qu'un Musical de Broadway ne dédaignerait pas, notamment le 5e mouvement avec ses bras et jambes swinguant en synchro (et c'est sans doute volontaire). Là encore, le puriste se demande s'il est bien à l'Opéra ou à Mogador

Deux facteurs qui doivent laisser dubitatif celui qui vient avec une idée très cadrée de ce que doit être un spectacle à l'Opéra.
A l'inverse, si on vient pour voir un spectacle de danse, peu importe qu'il ait lieu à Bastille ou au Châtelet ou à Mogador, bref sans a priori de ce que l'ONP a le droit de jouer ou non, si on se laisse simplement aller à sa propre émotion, alors on sort conquis car tous les ingrédients sont réunis pour passer une très bonne soirée : concision du propos, chorégraphie bien construite avec plusieurs moments spectaculaires et un ou deux passages plus poétiques, belle partition, excellent niveau des interprètes -quelle brochette de super solistes !-.


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marc



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MessagePosté le: Lun Juil 11, 2011 10:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La musique jazzy, parfois avec des consonnances de club branché des années 50-60 (à un moment j'ai même cru entendre les premières notes des "cinq dernières minutes", la célèbre série policière avec le brave Raymond Souplex) m'a semblé bien éloigné de l'univers qu'évoque pour moi les tableaux de Francis Bacon. J'aurais vu une musique beaucoup plus tellurique, sourde, violente, chaotique, difficile. De même l'extrême fluidité de la danse de Wayne Mcgregor, marquée par des déhanchements incessants, d'amples mouvements du torse, du bassin et des bras, qui vont et qui viennent comme des vagues, était très loin de m'évoquer l'univers de Francis Bacon. Il n'y a pas beaucoup d'interrogation dans cette danse, de doute, de pessimisme, de souffrance ou de détresse. En fait, pour moi, ce spectacle était à côté de son sujet.

Mais bon, ce n'était désagréable non plus, même si j'ai trouvé qu'il y avait quand même pas mal de redites.

Globalement, ce fut pour moi un spectacle plus décoratif que profond, un exercice de style un peu froid dont la finalité était essentiellement plastique.

Une mention spéciale pour Marie-Agnès Gillot, qui était bien à son affaire, et pour Audric Bezard qui lui a donné joliment la réplique en montrant une belle présence charismatique.




Dernière édition par marc le Lun Juil 11, 2011 10:52 pm; édité 2 fois
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paco



Inscrit le: 28 Oct 2005
Messages: 3548

MessagePosté le: Lun Juil 11, 2011 10:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ah oui, ce n'est qu'en sortant que je me suis souvenu que cette oeuvre était sensée parler de Francis Bacon, je l'avais complètement oublié en arrivant à Bastille, c'est peut-être ce qui m'a permis d'aborder le spectacle avec un oeil vierge et sans chercher à y déceler des repères auxquels m'accrocher


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marc



Inscrit le: 16 Fév 2009
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MessagePosté le: Lun Juil 11, 2011 10:30 pm    Sujet du message: Répondre en citant

paco a écrit:
Ah oui, ce n'est qu'en sortant que je me suis souvenu que cette oeuvre était sensée parler de Francis Bacon, je l'avais complètement oublié en arrivant à Bastille, c'est peut-être ce qui m'a permis d'aborder le spectacle avec un oeil vierge et sans chercher à y déceler des repères auxquels m'accrocher


Et c'est bien le problème. Dans tout ce que j'ai lu avant de venir, l'ambition affichée par Wayne Mcgregor n'était pas de faire du music hall (si je puis m'exprimer ainsi Smile ) mais de rendre hommage à l'univers de Francis Bacon. Et quand on parcourt le programme, si on l'a acheté avant le spectacle, cette ambition est affichée à chaque page. De surcroit, Wayne Mcgregor parle dans ce programme de sa perception de la peinture de Bacon avec beaucoup de sincérité, de profondeur et de talent. Alors bon, quand on est imprégné de tout ça avant, ça devient un peu comme le "Port-Salut" : Dès lors que c'est écrit dessus, on s'attend à le trouver dedans... Very Happy


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