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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Dim Juil 17, 2011 7:54 pm Sujet du message: |
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Le Miami Herald se réjouit du triomphe inattendu du Miami City Ballet à Paris et évoque déjà l'éventualité d'un retour de la compagnie en 2014, à Paris, mais aussi en Espagne. L'article explique également que Marina de Brandt [sic] et Valéry Colin avaient initialement envisagé d'inviter plusieurs compagnies américaines, mais que, enthousiasmés par la compagnie lors d'un voyage à Miami, ils leur avaient finalement offert de se produire seuls durant les trois semaines du festival.
Citation: |
The enthusiastic reception has startled artistic director Edward Villella.
“I just ... I’m stunned, wonderfully stunned,” said Villella, reached backstage shortly before Wednesday’s show.
“It’s the biggest success the company has had in 25 years. We are the talk of Paris. People are clamoring for tickets. They stop me in buses and restaurants. They have grabbed me in the aisles and told me they’ve never seen dancing like this.
“We prepared, we worked hard, but this is way beyond our wildest expectations.”
Read more: http://www.miamiherald.com/2011/07/17/2315830/miami-city-ballet-triumphs-in.html#ixzz1SNy29xXa |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Lun Juil 18, 2011 7:54 am Sujet du message: |
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Philippe Noisette, des Echos, a vu une soirée réunissant Square Dance, Symphony in Three Movements et La Valse.
"On pensait Miami, la ville, un rien bling-bling. On découvre sa compagnie de danse pas tapageuse pour un sou. L'effet Balanchine sans doute."
Balanchine made in Miami (18/07)
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serge1 paris
Inscrit le: 06 Jan 2008 Messages: 877
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Posté le: Lun Juil 18, 2011 11:40 am Sujet du message: |
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L'euphorie du journaliste du Miami Herald ne serait elle pas légèrement ...."too much" ??
Sans vouloir chipoter les petites inexactitudes dans le détail de son article, il semble oublier que ce qui est excessif devient insignifiant...
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Lun Juil 18, 2011 2:56 pm Sujet du message: |
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Je pense que l'auteur de l'article ne se trouve pas à Paris, mais écrit "de Miami", et essaye simplement de retranscrire, en faisant un peu mousser la sauce pour le public local, l'enthousiasme sincère (et "à l'américaine") des danseurs de la troupe et de son directeur, tel qu'il peut se lire au travers des différents réseaux sociaux. Il y a aussi l'idée, derrière tout cela, que le public parisien, considéré comme difficile (à juste titre), notamment pour tout ce qui lui est étranger, a été conquis par cette compagnie, très peu connue jusque-là en Europe, ce qui n'est pas totalement faux si l'on en juge par l'accueil réservé aux différents programmes.
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Gracian2
Inscrit le: 25 Nov 2009 Messages: 147 Localisation: Paris
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Posté le: Lun Juil 18, 2011 4:20 pm Sujet du message: |
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Cela semble en effet un peu exagéré.
En tout cas, il n'y a pas de "clamoring for tickets" dans les participants du forum de Dansomanie. Je n'ai toujours reçu aucune offre pour le fauteuil de demain soir !
Aussi J'OFFRE une place d'orchestre à l'un de vous pour un programme exceptionnel,
comprenant deux ballets inédits "Liturgy" de Wheeldon & "Nine Sinatra song" de Tharp (aucun commentaire n'ayant été publié ici sur aucun de ces ballets) a qui acceptera de m'accompagner à cette soirée.
Il suffit de vous annoncer sur mon PM.
A demain.
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Lun Juil 18, 2011 4:28 pm Sujet du message: |
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Gracian, en ce qui me concerne (mais je pense que beaucoup ici font de même), au Châtelet, j'attends toujours le jour de la représentation pour acheter les places libérées à 10€. Le théâtre n'étant jamais plein, en raison du très grand nombre de places réputées invendables, j'estime qu'une "petite" place bien choisie vaut toujours mieux qu'une place chère avec pilier (ou autre chose) devant la figure.
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Gracian2
Inscrit le: 25 Nov 2009 Messages: 147 Localisation: Paris
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Posté le: Lun Juil 18, 2011 5:53 pm Sujet du message: |
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Je ne comprends pas votre commentaire Sophia. Je propose, de grand coeur, un fauteuil milieu de rang d'orchestre.
Aucune possibilité d'avoir une vue bouchée !
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Gracian2
Inscrit le: 25 Nov 2009 Messages: 147 Localisation: Paris
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Posté le: Lun Juil 18, 2011 6:56 pm Sujet du message: |
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La place est prise, j'ai trouvé amateur !
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26517
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Posté le: Mar Juil 19, 2011 7:05 pm Sujet du message: |
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Le succès de la tournée du Miami City Ballet en France a donné des idées à un producteur américain de séries télé (apparemment c'est quelque chose à mi-chemin entre le documentaire et la télé-réalité).
L'un des épisodes de la série, intitulée "En Pointe" (en français dans le texte!) sera donc consacré à la compagnie de Floride. L'idée de cette série, aux dires des producteurs, est née du succès du film Black Swann, qui, aux USA, a suscité un important regain d'intérêt du public pour le ballet classique et ses coulisses...
Citation: |
The popular success of Black Swan generated a tremendous amount of interest in what goes on “behind the curtain.” En Pointe tells the real story.
En Pointe reveals the intimate and compelling world of professional dancers from grueling practices to demanding perfection. The talent, content and climactic episodes depict the intense levels of physical and mental challenges of real performers from across the world.
“The passion of these cast members is utterly awe-inspiring. Not to mention their beauty! The show is so much more than dancing; the drama and art brings a new meaning to the word ‘sexy,” it’s simply addictive.” said Lisa Jenkins, director for Dreamfly Productions.
The series premiere of En Pointe showcases the Miami City Ballet Company as it prepares for the most prestigious ballet festival in Paris, France.
The Les Etés de Danse Festival - Summers of Dance - began July 6 and will continue through July 23 at the Théâtre du Châtelet in Paris, France. The Miami City Ballet Company, directed by world-renowned ballet dancer and choreographer, Edward Villella, will present 17 performances including works by George Balanchine, Jerome Robbins, Paul Taylor, Twyla Tharp and Christopher Wheeldon.
“The Miami City Ballet Company is receiving unprecedented standing ovations and press in Paris and En Pointe captures it all,” said Edward Villella, artistic director and founder of Miami City Ballet Company.
Dreamfly Productions continues filming the En Pointe series in Miami, Fla., Austin, Texas, Atlanta, Ga., and several other cities across the world. Dreamfly Productions is currently seeking a television network to air the series this fall. |
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Gracian2
Inscrit le: 25 Nov 2009 Messages: 147 Localisation: Paris
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Posté le: Mer Juil 20, 2011 9:48 am Sujet du message: |
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J'ai enfin découvert à mon tour le Miami City Ballet.
Ce qui frappe est le bonheur de danser qui anime la troupe, la joie de se donner entièrement, face à un public qui les soutient sans pour autant se permettre la moindre facilité. Les entrechats de Renato Penteado, ses double-tours, jetés, sont exécutés avec la plus grande rigueur tout comme les pirouettes et fouettés de Mary Carmen Catoya, ce qui malheureusement plombe un peu le Ballet Imperial de Balanchine qui débute le spectacle.
Nous sommes loin des fastes de l'empire, de son charme, de sa coquetterie un peu hautaine. Il y a une certaine sécheresse, malgré le sourire de Patricia Delgado, une certaine raideur, des mains crispées dans la volonté de bien faire.
C'est dans un Balanchine plus tardif où apparemment ils excellent.
L'Après-Midi d'un Faune, lui, trouve d'emblée le ton juste.
Le beau et narcissique Carlos Miguel Guerra est rejoint par Jennifer Carlynn Kronenberg (on aime les doubles prénoms au Miami Ballet), au visage de Hollywood star, et s'ébauche dans le miroir un flirt virtuel interrompu par un baiser maladroit qui rompt cette idylle onirique.
Ici tout est parfait, la beauté de chaque mouvement, l'attention impersonnelle dirigée vers le miroir restituent l'ambiance de studio et la touche d'humour voulue par Robbins.
J'attendais avec impatience Liturgy, de Christopher Wheeldon - la tournée l'année dernière de sa compagnie avait été supprimée au dernier moment - chorégraphe attitré du New York City ballet pendant presque dix ans, il a déjà à son actif une vingtaine de ballets.
Au sein d'une obscurité totale, lentement apparaît et s'anime une fresque où, semble-t-il, un dieu oriental et sa shakti déroulent l'éternelle liturgie de la création. Chorégraphie discrètement orientale, sans invention ni originalité, 12 minutes de mouvements parfaitement exécutés, point final.
Ensuite Nine Sinatra songs a permis à la compagnie de s'exprimer librement. Car il s'agit moins de technique ici que d'interprétation, chaque chanson possède son histoire dont il faut restituer l'ambiance en un temps très court.
Ce fut un régal, la beauté des interprètes, l'élégance des costumes et de la chorégraphie sont en parfaite harmonie avec la sentimentalité-Sinatra. Chaque interprète s'est révélé expressif, souple, rayonnant. Pour être sévère, disons que dans One for my baby, Guerra n'arrive pas à maîtriser l'acrobatique chorégraphie avec la désinvolture d'un Baryshnikov, mais qui pourrait l'en blâmer !
Avec la reprise de My way la soirée se termine sur une note d'excellence et de générosité envers un public qui a manifesté longuement sa reconnaissance à la fin du spectacle.
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Mer Juil 20, 2011 11:26 am Sujet du message: |
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Ballet Impérial / Afternoon of a Faun / Liturgy / Nine Sinatra Songs
19 juillet 2011
Liturgy et Nine Sinatra Songs manquaient encore à l'appel. Avec cette soirée, la boucle est bouclée, j'aurai réussi à voir en deux semaines les quatorze ballets - et certains plutôt deux fois qu'une - présentés par le Miami City Ballet pour sa tournée parisienne. Dans cet ensemble, il y a, cela va de soi, des choses que la compagnie fait plus ou moins bien, mais ce qui reste, surtout, c'est, par-delà l'excellence de la compagnie, la quantité de chefs d'oeuvre, ou d'oeuvres majeures, à l'appel, égrenées là comme des évidences avec lesquelles la troupe vit quotidiennement. D'une certaine manière, cela permet de remettre les pendules à l'heure pour nous qui sommes gavés à longueur d'années d'images de danse, dont la mémoire s'empare avant d'effectuer le tri nécessaire.
Ballet Impérial n'est pas, à mon sens, ce que la compagnie fait de mieux. Ils font ce qu'ils peuvent, ils le font très bien, avec enthousiasme et une technique toujours affûtée, mais ces filles et ces garçons-là ne sont ni des princesses ni des princes. C'est sans doute, de ma part, quelque chose comme l'Amérique vue de loin, et avec l'arrogance de celui qui sait, mais même leurs costumes et leurs tiares ont l'air un peu surfaits. Bref, il leur manque la grandeur, le mystère, quelque chose de lointain, de hautain ou de septentrional, que seule Patricia Delgado, belle, lumineuse et bondissante jusqu'à l'exultation, nous délivre lors de ses apparitions.
Dans Afternoon of a Faun, en revanche, tout y est, de manière parfaitement juste et dosée : la désinvolture, l'improvisation feinte, le glamour, et la compréhension parfaite du texte de Robbins, ce jeu du couple avec le miroir, partenaire invisible et inoubliable, seul amant véritable des deux danseurs, Jennifer Carlynn Kronenberg et Carlos Guerra, deux Narcisse d'exception.
Liturgy est un pas de deux minimaliste et esthétisant comme Wheeldon en a chorégraphié un certain nombre. En gros, on a un peu toujours l'impression de voir la même chose. De belles silhouettes - et celles de Katia Carranza et d'Isanusi Garcia-Rodriguez sont largement à la hauteur -, des musiques planantes, convenablement dans l'air du temps (l'utilisation d'Arvo Pärt est un poncif qui mériterait d'être exploité par quelque chorégraphe porté sur la satire), une esthétique minimaliste assortie d'une géométrie de lignes qui se déploient et s'étirent en arabesques, en développés et en portés acrobatiques durant un temps relativement bref, mais qui peut, selon l'humeur, sembler infini. Disons que ce pas de deux-là présente une petite originalité : au minimalisme finno-balto-scandinave vient s'ajouter une pointe mystique et orientalisante, un petit côté Bhakti, que suggèrent les ports de bras et le justaucorps de la demoiselle. Gros succès à l'applaudimètre. Sans pour autant transcender ma soirée, j'avoue que cette wheeldonerie sans danger - une de plus - a plutôt été une agréable surprise.
Nine Sinatra Songs ou huit chansons de Sinatra pour sept couples (allez comprendre...) sous une boule à facettes. Les couples défilent, chacun illustrant dans un style différent une chanson de Sinatra, jusqu'au final sur My Way, qui les réunit tous. La chorégraphie comporte beaucoup de passes et de portés complexes que les danseurs se doivent d'assumer avec fluidité, naturel et décontraction. Le modèle : Barychnikov bien sûr, et sa partenaire, Elaine Kudo, qui a dirigé les répétitions du Ballet de Miami. Au départ, ça a quand même un peu l'air des championnats du monde de danse sportive (l'horreur!), mais Twyla Tharp fait en sorte, avec son humour et son sens théâtral et esthétique, d'éviter cet écueil. Boule à facettes disco, décor noir monochrome, tenue affolante et glamour de rigueur pour ces messieurs et dames, venus vivre leur vie en plus grand, au rythme de Sinatra l'intemporel, dans une discothèque imaginaire. Pour le coup, il doit falloir être américain pour assumer avec naturel et avec swing ce kitsch-là. Se côtoient donc, successivement, un couple qu'on qualifiera d'incongru (la chaleur latine de Jeannette Delgado associée au blondinet Jeremy Cox, plus provincial, sur "Softly"), les petits jeunes pas très sûrs d'eux et même un brin ridicules (Tricia Albertson et Michael Sean Breeden, au comique un peu forcé, sur "Something Stupid", ma chanson préférée de tous les temps), deux vieux fêtards, usés par l'alcool (Jennifer Carlynn Kronenberg - la palme du glamour et de la complicité avec son partenaire - et Carlos Guerra sur "One for the Road"), les séducteurs confirmés, dans une veine plus traditionnelle (Callie Manning et Yann Trividic sur "Stangers in the Night" ou Mary Carmen Catoya et Reyneris Reyes sur "All The Way"), et, pour finir, les couples qui ont l'air de danser avant tout pour l'amour de la danse, just for fun, mes préférés peut-être (Patricia Delgado et Kleber Rebello sur "Domani", craquants, même s'il est presque plus petit qu'elle et porte encore assez mal le smoking, et Katia Carranza, aussi enflammée que la Jeannette, et Renato Penteado sur "That's Life").
Dernière édition par sophia le Jeu Juil 21, 2011 12:08 am; édité 1 fois |
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marc
Inscrit le: 16 Fév 2009 Messages: 1157
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Posté le: Mer Juil 20, 2011 6:36 pm Sujet du message: |
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Dans cette représentation du 19 juillet que j'ai trouvée très agréable, j'ai particulièrement apprécié "Ballet impérial" que je n'avais jamais vu. J'ai été frappé par l'harmonie existant entre la danse et la musique. Chaque pas était une mise en geste des notes et le tout donnait une puissante impression de cohérence au service d'une chorégraphie luxueuse et pleine de faste. Du grand art ! J'ai apprécié la musicalité des danseurs qui étaient en permanence dans le tempo de la musique, leur élégance souriante et gracieuse, leurs ensembles parfaitement coordonnés jusque dans les mouvements des bras (ce qui n'est pas toujours le cas en cette matière à l'ONP). J'ai apprécié qu'il n'y ait pas de vedettes qui ressortent de façon spectaculaire, l'impression de collectif qui en résultait qui permettait à chacun de briller, comme les facettes d'un diamant brillent chacune à la lumière sans qu'une d'elles ne ressorte plus que les autres. J'ai été d'autant plus content de ce spectacle que Balanchine est un chorégraphe qui ne m'a jamais beaucoup touché jusqu'à maintenant. Même, (crime de lèse bon goût !), je dois avouer que j'ai toujours trouvé que son bien célèbre "Joyaux" était un véritable pensum pour moi, source d'un indicible ennui. Hier soir fut donc une bien agréable surprise...
"Afternoon of a Faun" était bien troussé, joli à regarder, élégant et sensuel. Simplement, sans la lecture du programme auparavant, je n'aurais probablement pas compris la finalité du spectacle, c'est à dire que nous, les spectateurs, étions le miroir dans lequel se miraient les danseurs, le miroir témoin de leur rapport complexe à leur corps dansant, fait de détachement, de froide analyse critique, d'insatisfaction, mais aussi de narcissisme. Sans le programme, je serais probablement passé à côté de ce spectacle car sa finalité ne me serait certainement pas apparue clairement dans son déroulement.
Que dire de "Liturgy" ? Je ne sais pas. C'était très court, une dizaine de minutes, et je suis resté plutôt de marbre devant les mouvements harmonieux que je voyais. Mon intérêt s'est éveillé simplement à la fin, sur les derniers gestes, ces mouvements de bras très jolis qui se mariaient parfaitement avec les mouvements du corps. Mais c'était fini. En fait, je n'en pense rien (je sais, ce n'est pas le genre de commentaires qu'on attend ici, mais bon, c'est comme ça ). C'est vraiment le genre de ballet qu'il faudrait que je revois pour m'en faire une opinion (mais ce n'est pas prévu)
Quant au dernier ballet "Nine Sinatra Songs" :
1) Je ne suis vraiment pas un fan de la soupe "croonesque" de Frank Sinatra...
2) Comme le dit Sophia, ça faisait quand même beaucoup penser à un championnat du monde de danse sportive...
3) J'ai trouvé que cette danse faisait assez vieillote dans sa conception, ainsi que dans le style de couple qu'elle exposait...
Mais à la différence de certains goujats consuméristes, je suis resté jusqu'au bout pour célébrer à la fin les artistes de cette belle compagnie.
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3559
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