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La danse dans la presse
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CatherineS



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 9:38 am    Sujet du message: Répondre en citant

Florestiano a écrit:
CatherineS a écrit:
Maintenant le public répond présent quelle que soit la programmation donc !!!!!

Je ne suis pas si certain que la direction - voire les tutelles - aient été totalement ravies du taux de remplissage du Keersmaeker programmé par Mlle Dupont en fin de saison dernière.

Don Quichotte, on verra, mais la dernière série n'avait pas affiché complet loin de là et rappelons qu'il y a 18 représentations (plus avant-première jeunes) à remplir, soit 50 000 places !

HS : incidemment, en allant sur le site pour voir le nombre de représentations, je m'aperçois que sur 13 des dates, on trouve encore des places à moins de 25 euros Wink


Oui, mais là c'est aussi un problème de tarif de l'Opéra qui est en jeu.
Ce n'est pas forcément les danseurs qui sont en ligne de compte. Et puis un certain nombre de balletomanes attendent les distributions pour réserver. Gageons que tous ceux qui commentent les spectacles ici, iraient voir toutes les distributions si les places étaient moins chères.

Sinon même quand l'Opéra avait une meilleure compagnie (car elle fut bien meilleure), les soirées de création n'attiraient pas, les créations de Gallotta notamment, et même les soirées Robbins/Balanchine. De toute façon, il est sûr que l'Opéra ferait salle comble avec le Lac tous les soirs.

C'est donc un faux problème de mettre le taux de remplissage uniquement sur le dos de la politique artistique ! Il vaudrait mieux critiquer aussi la politique économique.
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Florestiano



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 10:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

CatherineS a écrit:
Il vaudrait mieux critiquer aussi la politique économique.

Ah ça... il y aurait de quoi ouvrir un fil dédié Wink


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eloisa



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 11:54 am    Sujet du message: Répondre en citant

1997-1998 : 4 Noureev + Giselle (classique) +L'histoire de Manon
C'était mieux avant?


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CatherineS



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 3:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

eloisa a écrit:
1997-1998 : 4 Noureev + Giselle (classique) +L'histoire de Manon
C'était mieux avant?


Mais à l'époque, on avait les étoiles pour danser tout cela !!! Même s'il y avait des blessés, ce n'était pas aussi handicapant que maintenant. Il y avait les étoiles "Noureev" et la nouvelle génération conjointe ! Les premiers danseurs ne jouaient pas les bouche-trous, quand ils étaient distribués, c'étaient parce que c'était de futures étoiles, ce n'était pas "à la place de".

Les meilleures programmations de l'Opéra ont été à l'époque Dupond et les années Gall.
A partir de Mortier et de l'abandon total de la danse à Brigitte Lefèvre, les choses ont changé !


Dernière édition par CatherineS le Mar Sep 26, 2017 5:30 pm; édité 1 fois
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Florestiano



Inscrit le: 28 Mai 2010
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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 3:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il y a sans doute aussi un élément de psychologie collective : dans la génération d'Etoiles qui portaient alors la compagnie, la plupart excellait et mettait un point d'honneur à briller dans les grands classiques - il suffit de nos jours de lire les interviews des uns et des autres pour noter beaucoup plus de désinvolture voire de défiance vis-à-vis de ce répertoire chez les Etoiles actuelles.

Avec le cumul de directions artistiques successives méprisant l'héritage classique, d'un système de formation défaillant et de danseurs peu engagés vis-à-vis de ce répertoire, qui ne rêvent que de créations et de Onéguine, la situation que certains balletomanes déplorent est en réalité tout à fait logique.

Entre le fait de ne pas se construire de culture classique collective (cette balle étant dans le camp de l'Ecole et de la Direction de la danse) et le fait de ne pas s'intéresser plus cela à ces rôles (cette balle étant dans le camp des danseurs), c'est un peu la poule et l'oeuf, tout ça !

Un des clés est se niche sans doute dans le modèle de fond, la Compagnie n'étant en rien une compagnie de répertoire, même si on aime à s'imaginer que ça puisse être le cas depuis la parenthèse Noureev.


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CatherineS



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 5:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ah mais je suis d'accord avec vous Florestiano, ça fait des années que je déplore le problème de l'Opéra qui a périclité à partir du moment où le directeur de l'Opéra a laissé la main mise totale à la direction de la danse.
Hugues Gall avait la réputation de ne pas aimer la danse, mais visiblement il s'y connaissait beaucoup mieux et souhaitait la grandeur de l'étoile. C'est pour cela que quasiment toutes ses nominations furent rares et furent celles d'étoiles prestigieuses (même si je n'en aime pas certaines d'entre elles, mais les goûts et les couleurs).

A partir de Mortier, on a laissé la main à Lefèvre qui a privilégié des étoiles plus contemporaines. Les étoiles Noureev ont aussi passé la main, mais à l'époque les étoiles qui les ont remplacées étaient encore brillantes pour la plupart et ne refusaient pas de danser le grand répertoire classique. A partir d'un moment, les étoiles sont devenues capricieuses et on les a laissées faire. Maintenant la parenthèse Millepied a permis de mettre en avant certains danseurs mais au détriment d'un certain répertoire. Espérons juste que la volonté d'Aurélie Dupont soit de revenir à une troupe telle qu'elle était quand elle est devenue étoile, avec une sorte de "compétition" entre tous les danseurs. Il n'y avait pas de soirées réellement décevantes à l'époque et surtout on ne sortait pas en se disant que les étoiles ne méritaient pas leur titre. On avait envie de voir aussi le premier danseur prometteur, ou le sujet bondissant. Mais on ne se disait jamais que le premier danseur ou le sujet méritait plus le titre que l'étoile dansante ! On se disait que la relève était là, qu'il fallait la promouvoir. Avec Mortier on a promu les "anciens" et on s'est moqué des jeunes pousses, au son de "ils sont jeunes, ils peuvent attendre".


Sous Noureev, cela n'a pas été non plus une compagnie de répertoire, il a juste donné le coup de pied à la fourmilière, révélé les talents d'une certaine époque. Une fois encore à mes yeux les années d'excellence de l'Opéra sont celles dirigées par Patrick Dupond et les toutes premières années de Lefèvre, où il y avait une réelle émulation dans la compagnie.

Mais je pense que sans un directeur de l'Opéra qui a une image de la danse prestigieuse, la troupe ne changera pas ! C'est triste de lire certaines interviews où les danseurs parlent famille, cinéma, théâtre, et danse contemporaine, où est l'amour du classique qui les a fait rentrer à l'Ecole de danse.

Bref c'est un vaste sujet Very Happy
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Delly



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 5:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Elle ne l'a pas dit ni même sous-entendu mais comme vous le signalez Florestiano et Catherine, les danseurs qui à longueur d'interview réclament du contemporain, et certains qui disent qu'ils découvrent la richesse du classique vers 30 ans (un peu tard tout de même), ça joue.

C'est peut-être un problème de pédagogie à l'Ecole mais aussi de méthode de travail du ballet, on ne peut pas monter du Noureev de la même manière avec des danseurs nés en 1995 qu'avec ceux nés 50 ans plus tôt, Aurélie Dupont le signale d'ailleurs. On rencontre le même problème dans tous les secteurs, de l'enseignement général aux chorales amateurs et Conservatoires.

Je me souviens avoir lu une interview de Manuel Legris qui, même lui, critiquait la façon dont on travaille les ballets de Noureev aujourd'hui à l'ONP. Ca touche d'ailleurs aux problème juridique et financier des droits d'auteur. En gros Legris regrettait que à cause entre autres de la vidéo (mais je pose la question des droits) les chorégraphies étaient sacralisées dans une forme devenue "canonique" dans ses moindres détails, alors que Noureev lui-même ne voyait pas d'inconvénient à modifier tel ou tel pas selon les danseurs du moment. Dans ces conditions, apprendre un ballet classique c'est forcément moins valorisant qu'avoir un chorégraphe qui créée sur vous le jour J...

Je n'ai pas la solution mais manifestement il y a aussi des évolutions à apporter dans l'approche des classiques (en dehors de ne pas faire que du Noureev.....), la pédagogie de la transmission... râler sur le manque d'intérêt et de culture classique des jeunes, ça peut être justifié, ça n'en reste pas moins peu constructif.
Si AD en est consciente et engage un travail de fond (et de longue haleine donc) là-dessus, tant mieux.


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eloisa



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 6:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il y a aussi beaucoup de danseurs qui veulent faire du classique et qui nous répètent chaque année qu'il n'y a rien à danser cette saison...
Comment motiver des danseurs qui n'ont pas besoin de s'échauffer pour entrer en scène : la pièce ou les danseuses avaient des bouées en plastique...
Après moins ils dansent, moins ils sont entrainés, et plus ils se blessent en dansant; c'est un cercle vicieux.


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CatherineS



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 6:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La technique est la même pourtant. Alors certes, les danseurs qui ont évolué avec Noureev ont vu et travaillé avec le chorégraphe, mais le problème est ailleurs. Le problème de la vidéo est évident. Je me souviens que pendant quelques années le lac a été remonté avec une "erreur" dans la danse espagnole. En effet, un des deux danseurs faisait un grand jeté. En réalité, ce grand jeté était un gag de dernière filmé sur la vidéo qui avait servi aux répétitions. Après, on est revenu à la version dite initiale. Il y avait des aménagements dans certaines variations, mais pas dans d'autres. Dans le manège du second acte de Solor, Legris et Belarbi faisaient des sauts groupés. Dans la variation de Siegfried, Legris faisait une série d'échappés contre les grands ronds de jambes, mais les "difficultés" et les défis techniques des rôles demeuraient, comme les double assemblés ou les fouettés. Jamais il n'y a eu de changement là dessus. Quant au cdb, il n'y avait aucun aménagement.

Quand on lit les interviews des danseurs, on y lit la "difficulté" de faire les chorégraphies ! On a l'impression que comme partout, on est dans le culte de la "facilité". Mais bon, la danse classique n'est pas une partie de plaisir. Il est évident qu'on ne voit pas les fautes "techniques" dans les grands ballets narratifs où l'histoire prime. Les danseurs qui ont dansé Noureev sont encore tous dans les murs soit comme profs, soit comme répétiteurs. On peut très bien enseigner encore la manière de danser ces ballets, mais faudrait-il que l'on change aussi la "répartition" des rôles. Dans le passé, les sujets faisaient du cdb, et les surnuméraires n'étaient pas légion. Depuis quelques années, on a certes quelques sujets, mais on a essentiellement des quadrilles et des surnuméraires qui dansent peut-être de manière identique, mais n'ont pas cette âme que donnaient les sujets dans le cdb.

Je pense que le problème est venu de la gestion de la compagnie avec des étoiles à qui on a tout cédé, des premiers danseurs qui ont suppléé les étoiles, et des sujets qui ont finalement été distribués comme des premiers danseurs. Il y a eu un glissement hiérarchique des capacités, et c'est là où est le problème.
Les quadrilles actuelles sont certainement plus douées techniquement que par le passé., mais elles n'ont plus d'âme, hormis quelques-unes. Une variation comme celle de Giselle ou de la fée des Lilas était un véritable juge de paix au concours, alors que maintenant, toutes les danseuses semblent en maîtriser les difficultés. Je ne parle pas des danseurs où le niveau me semble le même avec des années creuses et des années fortes.

Le problème des Noureev est de toute façon un faux problème, comme par hasard, toutes les étoiles sont sur pieds et de belle manière quand il s'agit de danser Onéguine, Manon, la Dame, Giselle dans une moindre mesure. Par contre, dès qu'il s'agit d'un grand classique, elles se blessent ou se défaussent ! De toute façon, le problème se situe à mon avis ailleurs que dans la direction de la danse. D'ailleurs la démission de Millepied a bien montré qu'on ne pouvait pas bousculer certaines mauvaises habitudes.
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sophia



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 6:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tout cela est juste, mais personnellement, je crois aussi que cette culture des grands ballets dits classiques, qui ne sont jamais que des ballets de Petipa remodelés par Noureev (cette question des droits d'auteur me met dès lors toujours mal à l'aise), ne correspond que superficiellement à la culture de l'Opéra. Je n'ai jamais entendu un danseur de l'Opéra d'aujourd'hui (d'hier, je ne sais pas) exprimer dans une interview un amour vibrant pour Le Lac des cygnes, La Belle au bois dormant, La Bayadère, Don Quichotte ou Raymonda. Les rôles qu'ils mettent en exergue sont appréhendés comme des défis techniques, des passerelles vers le titre tant convoité d'étoile, mais rien de plus.
Ces grands ballets correspondent à un moment de l'histoire de l'Opéra, qui a vu l'émergence simultanée de grandes étoiles, et sans minimiser aucunement l'attraction exercée par le contemporain auprès des nouvelles générations, je crois que cette mythification de la "génération Noureev" ("tu dois danser comme/aussi bien que Manuel Legris ou Laurent Hilaire...), tout ce culte autour des vidéos et de leurs interprètes, etc..., n'a pas franchement aidé les générations qui ont suivi à s'approprier et à apprécier ce répertoire.




Dernière édition par sophia le Mar Sep 26, 2017 7:04 pm; édité 2 fois
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haydn
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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 6:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

sophia a écrit:
Je n'ai jamais entendu un danseur de l'Opéra d'aujourd'hui (d'hier, je ne sais pas) exprimer dans une interview un amour vibrant pour Le Lac des cygnes, La Belle au bois dormant, La Bayadère ou Raymonda.



Moi si. Il suffit de lire Dansomanie :

http://www.forum-dansomanie.net/pagesdanso/int0080_interview_heloise_bourdon_opera_paris.html



_________________
Un petit "j'aime" sur la page Facebook de Dansomanie : http://www.facebook.com/Dansomanie/
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sophia



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 6:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Avouons qu'elle est un peu une exception (il y en a toujours).


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CatherineS



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 7:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ceci étant, la véritable culture de l'Opéra de Paris est considérée comme obsolète et ringarde, plus de Coppélia, plus de Sylvia, hormis la version Neumeier, une version anglaise de la Fille mal gardée. Ne reste plus que Giselle, la Sylphide et dans une moindre mesure Paquita. Les ballets de Lifar sont voués aux oubliettes car trop datés pour la plupart. Il suffit de se souvenir des critiques de Phèdre ; Les Mirages restent à part. Et Suite en blanc, même s'il est la quintessence du style Lifar, est donné en tant que simple ballet "virtuose".
Au moins les ballets "Noureev" permettent de voir les grands ballets académiques à l'Opéra et même si ces grands ballets sont rentrés parfois tardivement au répertoire, ils en font partie, comme dans toutes les compagnies.

Il y a aussi des danseurs du cdb qui apprécient danser les classiques et qu'on propulse dans les contemporains alors qu'ils rêvent de danser du Noureev ! Mais ces danseurs-là, on ne les interviewe pas, alors qu'ils sont le fondement même du cdb. Le problème semble une fois encore le goût du "moindre effort" !
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sophia



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 8:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

"Comme dans toutes les compagnies", plus ou moins. Le Royal Ballet, pour rester dans le "haut de gamme", a une tout autre histoire, bien plus profonde, avec les ballets de Petipa que l'Opéra de Paris.


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Florestiano



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MessagePosté le: Mar Sep 26, 2017 8:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

CatherineS a écrit:
Hugues Gall avait la réputation de ne pas aimer la danse, mais visiblement il s'y connaissait beaucoup mieux et souhaitait la grandeur de l'étoile.
(...)
Bref c'est un vaste sujet Very Happy

Au passage : quand Mlle Pujol a été nommée, elle devenait la 10ème Étoile de la compagnie - les autres, c'était Maurin, Lestestu et Dupont chez les dames, Hilaire, Legris, Belarbi, Le Riche, Martinez, Jean-Guillaume Bart - et je compte sur Gimi pour me gronder si ce n'est pas le cas !

La question du nombre et du prestige des Étoiles est un vaste serpent de mer, dont nous balletomanes raffolons - et je gage que chaque balletomane, s'il s'amuse à compter parmi les danseuses et danseurs Étoiles en titre actuellement, ceux qu'il considère dans le secret de son vortex comme "vraies" Étoiles, retomberait peu ou prou à cet étiage Wink




Dernière édition par Florestiano le Mar Sep 26, 2017 8:34 pm; édité 1 fois
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