La danse dans la presse

[sophia]

Un joli article historique, qui vaut surtout par ses illustrations et liens, sur "les cinq classiques qui ont fait la gloire du ballet russe" (La Belle au bois dorman, La Bayadère, Le Lac des cygnes, Casse-noisette, Spartacus), sur Russia Beyond The Headlines (en français).

[Ritournelle]

Interview de Marie-Agnès Gillot en partenariat avec la marque Estée Lauder. Elle y parle notamment de l'école qu'elle a ouverte en Italie.

[Delly]

Rien ne vaut qu'un bon vieux localisme pour faire parler de danseurs, à défaut de danse.

Le journal Sud-Ouest revient sur la participation de J. Bélingard à l'émission "Là où je t'emmènerai" produite par TF1 et Engie qui se veut une incitation à la protection de notre patrimoine naturel.

http://www.sudouest.fr/2017/02/16/video-le-danseur-etoile-jeremie-belingard-declare-sa-flamme-a-la-vezere-3202937-1980.php

[haydn]

Ils ont pas osé : "avec le confit et l'Armagnac, je préserve ma ligne"?

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[Delly]

[Ritournelle]

Une interview d'Aurélie Dupont dans Les Echos Business sur sa vision du management
Comme on l'a déjà lu récemment ailleurs, des commentaires pas flatteurs pour Benjamin Millepied en ouverture... Et la petite phrase "J'ai remis la danse classique au premier plan."

[Delly]

[sophia]

"J’ai remis le ballet classique au premier plan."
Il en est du message matraqué comme de la calomnie : vrai ou faux, il en restera toujours quelque chose.

[LucyOnTheMoon]

[Delly]

"A bras le corps" est raconté dans un article instructif et plutôt bien écrit (donne-t-il envie d'y aller? c'est autre chose.... ) de Libération :

http://next.liberation.fr/theatre/2017/03/02/a-bras-le-corps-duo-en-hommes-massifs_1552829

[haydn]

Cela devrait intéresser tout particulièrement l'un de nos lecteurs (au hasard : Dimago ) - Le journal local d'Andelys (Eure) raconte l'histoire du père Franck Legros, curé de Saint-Aubin-sur-Gaillon (une petite ville proche d'Evreux), qui est passé par le Conservatoire, le Jeune Ballet de France et le Ballett am Rhein de Düsseldorf avant de mettre un terme prématuré à sa carrière de danseur pour entrer au séminaire :

Natif de Bernay, Franck a vécu son enfance au sein d’une famille qui n’était pas pratiquante. Ses parents l’inscrivent cependant au catéchisme. Jusqu’en classe de 5e, il fréquente les établissements scolaires de la capitale de la Charentonne. Sa classe de 4e, passe par le conservatoire de Rouen (en classe aménagée danse), puis par le jeune ballet de France de Paris.

Repéré au bout d’un an, il est engagé par la troupe de l’Opéra de Düsseldorf. Dans le milieu de la danse, il a vite fait de comprendre les joies et les difficultés. Pendant ses années de formation, il reste « attiré par la prière », et n’oublie pas l’appel ressenti dès l’enfance : Je voulais danser pour Dieu, résume-t-il. Sa foi, le jeune homme l’a découverte très tôt, enfant il s’adonnait avec bonheur à la prière.

De retour en France, il est décidé, il ne deviendra pas danseur professionnel, il se consacrera à Dieu, mais aussi à la danse.

L'abbé Franck Legros, le curé danseur, quittera (déjà) la paroisse cet été (L'Impartial / Les Andelys)

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[haydn]

Aurélie Dupont a accordé une nouvelle interview au Monde, dans laquelle elle révèle que sa vraie vocation était de devenir... pianiste concertiste. Mais ses ambitions ont été contrariées par ses parents :

Vers 7 ans, j’ai vécu deux ans aux Etats-Unis avec ma famille, près de Washington. Une période fantastique. On avait une maison avec un jardin, j’avais beaucoup de liberté, je faisais du chant et des claquettes à l’école. J’ai découvert la comédie musicale, qui me fascinait. Et le piano, chez des amis de mes parents qui en avaient six. C’était ça que je voulais faire. Pianiste.

Au retour en France, mes parents n’ont pas voulu que je prenne des cours. Ils ont peut-être pensé que c’était un caprice… Ma vocation a été contrariée. Mais j’aurais eu la vie solitaire du concertiste, je serais allée vers ce qui m’était naturel. En danse, on est entouré même si on décide seul de la masse de travail que l’on inflige à son corps. C’était sans doute mieux que la danse me choisisse.

Aurélie Dupont : « Pina Bausch m’a sauvée », par Pascale Krémer (Le Monde)

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[serge1 paris]

Interessante interview ....où on découvre chez Aurélie Dupont une profondeur et une souffrance que je n'avais pas vraiment perçues dans ses performances d'étoile.

[Ballerina]

Rien de vraiment nouveau. Presque mot à mot depuis sa toute première interview.
Sauf le passage sur Millepied. Ça s'est semble-t-il apaisé.

[serge1 paris]

Merci de me faire retomber sur terre !

Mais comme je ne m'étais pas vraiment intéressé aux précédentes interviews, celle ci a été pour moi plutôt une bonne surprise ...