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Hommage à Maurice Béjart, du 9 au 29 décembre 2008
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akhmatova



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MessagePosté le: Jeu Déc 18, 2008 8:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je n'ai pas encore trouvé le premier chef soviétique à diriger Le Sacre. Mais en furetant j'ai trouvé un interview avec Svetlanov qui en dit long sur la différence d'exécutions de musique de ballet dans les deux culutres :
Interview parue dans Le Monde de la musique, 1995
… " J’aime aussi beaucoup diriger les ballets, surtout ceux de Tchaïkovski. "
Q "En Occident, diriger des ballets, sauf « le Sacre du printemps » ou « Daphnis et Chloé », est considéré comme indigne d’un grand chef."
Y.S. : - Pas chez nous.
Ce n'est pas un grand bavard, comme il l'affirme lui même, mais on comprend tout.


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sophia



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MessagePosté le: Lun Déc 22, 2008 12:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Béjart n'a jamais été vraiment populaire en Grande-Bretagne, et peut-être plus largement dans les pays anglo-saxons. Néanmoins, le Financial Times publie une critique du spectacle donné actuellement à l'Opéra Bastille, signée Gerald Dowler. Le ton en est évidemment beaucoup moins révérencieux que ce qu'on peut lire habituellement sur le sujet dans la presse française. Serait-ce la mort? et L'Oiseau de feu essuient ainsi les critiques, tandis que Le Sacre du Printemps reçoit un éloge sans réserve, et adressé également à son interprète principal, Jérémie Bélingard.

A great showman returns, par Gerald Dowler (21/12)

Citation:
Béjart reveals his weaknesses in this slight work – limited choreographic palette, uncertain musicality and a penchant for jarring, quirky gesture – as well as his strengths – a sure grasp of the stage space and a simplicity of movement. In common with the two other works, “Serait-ce” is set in a black box with dancers clearly side-lit – surely the most effective way of highlighting bodies in motion.

“L’Oiseau de Feu” is set to Stravinsky’s 1919 suite from the full score of The Firebird and represents the evocation of a free spirit, a galvanising force, be it political (it was created only two years after 1968), religious or social, who sets aflame a tired and fearful grey-clad community. Karl Paquette is more in the chunky male mould favoured by Béjart himself, but remained earth-bound in the title role, outclassed by notable solos from the grey men from whom he emerged clad in flame-red leotard. The work suffers from a poorly conceived ending which sees our feathered friend joined by 17 others in movement of utter banality, and has a final tableau of a body-popping daisy chain of scarlet tweeters.

Best, and last, is the work that, in 1959, first drew attention to Béjart, “Le Sacre du Printemps” (pictured). This stands as one of the most powerful imaginings of this titan score, the idea of ritual sacrifice rejected in favour of sexual union to restart the cycle of life. Twenty-three men dance the first section in a visceral, savage evocation of animalistic rutting and intrinsic maleness from whom emerges L’Élu, the Chosen Man, here an astonishing Jérémie Bélingard. This was a snorting, stamping performance from an artist of rare dramatic engagement, physicality and hard muscularity. He was matched by his wide-eyed Élue Clairemarie Osta, twitching and pulsating to Stravinsky’s rhythms, her submission to Bélingard’s consummating thrust total.


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sophia



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MessagePosté le: Lun Déc 22, 2008 7:03 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Service minimum pour Philippe Noisette dans Les Echos qui commente la première et distingue tout particulièrement Le Riche dans Serait-ce la mort?.

Trois Béjart à l'Opéra, par Philippe Noisette (22/12)


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serge1 paris



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MessagePosté le: Mar Déc 23, 2008 2:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bravo Haydn, vous lisez dans le marc de café !

Les nouveaux changements dans le Sacre remettent la distribution initialement prévue le 29 soit Bezard Romberg...

Cela me permettra finalement de voir une troisième distribution !


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sophia



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MessagePosté le: Mer Déc 24, 2008 3:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Patricia Boccadoro livre sur CultureKiosque une critique du spectacle Béjart, plus contrastée que celle qu'elle consacre parallèlement à Raymonda:

CHRISTMAS FARE IN PARIS Part 2 - Tribute to Maurice Béjart


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LucyOnTheMoon



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Messages: 984

MessagePosté le: Ven Déc 26, 2008 11:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Un petit mot sur la représentation de ce soir...
Dans Serait-ce la mort, autant il y avait une entente parfaite entre Manuel Legris, très à l'aise, et Delphine Moussin (La Mort), autant la discordance avec Eve Grinsztajn (La Sophistiquée) était manifeste, comme s'ils n'avaient seulement pas eu le temps de répeter ensemble Embarassed
N'étant pas fan de Benjamin Pech je ne m'étendrai pas sur L'Oiseau de feu, mais j'ai apprécié le bel ensemble des "partisans" et la très bonne prestation de Nicolas Paul.
Quant à celle de Nicolas Le Riche dans Le Sacre... j'ai peur de manquer de superlatifs !!!! Very Happy Tout simplement magnifique, d'une justesse incroyable dans l'interprétation. Eleonora Abbagnato s'est montrée à la hauteur, très fluide, avec beaucoup de nuances et de subtilité. J'ai trouvé leur duo moins lisse, plus violent, que celui formé par Jérémie Bélingard et Claire-Marie Osta (très bien aussi tous les deux), et cela fonctionne très bien ! La coordination du corps de ballet, surtout féminin, fut un vrai régal Smile
(Au cas où, par hasard, les ouvreurs de l'Opéra Bastille tomberaient sur ces lignes, un grand merci à celui qui m'a permis, pour le Sacre, de passer des places debout à un strapontin du parterre Wink )


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Silk



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Messages: 165

MessagePosté le: Sam Déc 27, 2008 9:39 am    Sujet du message: Répondre en citant

Comme quoi deux dansomaniaques peuvent assister à la même représentation et... ne pas sortir de la salle avec les mêmes impressions...!

Dans "Serait ce la Mort", c'est le manque de concordance entre Manuel Legris (inspiré, il est fait pour ce genre de rôle !) et Mélanie Hurel qui semblait le plus flagrant à mon avis : voilà une danseuse que j'apprécie d'ordinaire mais là elle semblait avoir tellement le trac qu'elle était omnubilée par sa technique ! Par contre Eve Grinsztajn, visiblement plus assurée, a commençé un peu "dans son monde" si vous voyez ce que je veux dire Wink mais elle y a vite entraîné Manuel Legris et ils ont fini leur adage en nous racontant tous les deux la même histoire, avec beaucoup de délicatesse, j'ai trouvé. Pour moi, c'est l'entente avec Muriel Zusperreguy qui était la meilleure : une complicité totale et un bonheur de danser partagé ! Mais il est vrai que c'est certainement leur adage qui s'y prêtait le mieux. Quant à Delphine Moussin, dans le rôle de la Mort elle était tout simplement glaciale : parfaite !

A la différence de LucyOn The Moon, Benjamin Pech est un danseur dont, malgré les irrégularités, j'apprécie la personnalité. Mais dans "l'Oiseau de Feu", non, ce n'était pas çà ! Un oisillon, oui, mais pas un Oiseau ! Béjart avait expliqué à propos de ce ballet que les révolutionnaires comme les poètes ne mourraient jamais. Et bien voilà, je crois que Benjamin Pech s'est plus senti poète que révolutionnaire... On sentait ce jeune chef de partisan presque timide face à ses responsabilités, écrasé par le poids du destin (un peu... Elu du "Sacre"). A ses côtés Audric Bézart était plus énergique et concerné, à se demander pourquoi ce n'était pas lui le chef des partisans... Tout le corps de ballet était absolument excellent et j'ai trouvé l'orchestre très bon également.

Dans "Le Sacre du Printemps", c'est encore le corps de ballet qui était remarquable ! Les ensembles des filles, la force des garçons, rarement j'ai vu ce ballet dansé à un si haut niveau même par les compagnies de Béjart ! Par contre, mon avis sur Nicolas Leriche est un petit peu plus modéré. Oui, il était remarquable, par sa technique et son investissement mais, à mon avis, un peu "too much" : il ne fallait vraiment pas qu'il en fasse plus... Ceci étant dit, je l'ai trouvé dans une forme remarquable et toujours aussi généreux dans sa danse.
Au fond, je crois qu'il aurait été un excellent "Oiseau de Feu" et Benjamin Pech un excellent "Elu du Sacre"... Wink

Malgré ces (tout) petits détails sur l'interprétation, ce que je retiendrai c'est l'extrème modernité des ballets de cette soirée !
Retrouver des ballets qui ont largement plus de trente ans m'inquiétait un peu et en particulier "L'Oiseau de Feu" très post soixantehuitard dans son propos et son esthétique. C'est incroyable comme ces ballets ont bien vieilli ! Sans doute la quasi absence de costumes et décors joue t'elle pour beaucoup en cela, mais ni les propos ni la chorégraphie n'ont pris de ride et quand je réalise à quel point Maurice Béjart a su faire du Ballet un art universel, en une oeuvre qui a traversé les années, l'admiration et une certaine émotion me gagnent... Je sais bien que tous les ballets de Maurice Béjart ne sont pas du niveau de ceux de cette soirée et que certains n'ont pas atteint la postérité mais ces trois là illustraient vraiment le meilleur de son oeuvre, et c'est important pour les jeunes générations et les néophytes qui la découvraient à cette occasion.


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Ailey



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Messages: 70

MessagePosté le: Dim Déc 28, 2008 2:40 am    Sujet du message: Répondre en citant

À moi de défendre Benjamin Pech dont il m'a semblé qu'il "donnait tout" avec une profondeur et une énergie qui éclairaient aussi bien la chorégraphie que la fonction du personnage. Pour Delphine Moussin je vous rejoindrai, Silk, si ce n'est que je l'ai trouvée parfaite, mais pas glaciale!



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Ailey
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Lacdescygnes



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MessagePosté le: Dim Déc 28, 2008 10:30 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Béjart avait expliqué à propos de ce ballet que les révolutionnaires comme les poètes ne mourraient jamais.

Est-ce que quelqu'un pourrait développer les significations/l'enjeu de ce ballet pour Béjart ? Où se reconnaissent les poètes, où se reconnaissent les révolutionnaires ? Dans un même symbolisme représenté par l'oiseau de feu ? Quel est le rôle de l'oiseau Phénix et du porté final ?
Y a-t-il réellement un "discours politique" ? En le voyant, je dois dire que la dimension esthétique et poétique m'a "suffie".


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serge1 paris



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Messages: 877

MessagePosté le: Mar Déc 30, 2008 12:10 am    Sujet du message: Répondre en citant

Pas de video et de DVD prévus pour ce spectacle ???

Ce serait assez chic d'avoir l'Oiseau de Feu et le Sacre du Printemps de Bejart sur DVD.


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sophia



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MessagePosté le: Mar Déc 30, 2008 10:06 am    Sujet du message: Répondre en citant

L'Oiseau de feu doit être diffusé le 31 décembre sur Arte (avec Benjamin Pech et Karl Paquette). Le ballet est programmé dans le cadre d'une soirée de gala à l'Opéra Bastille. On peut déjà l'enregistrer (mais ces soirées du Nouvel An finissent toujours en DVD)... Laughing
Le programme complet se trouve ici: Soirée de gala à l'Opéra Bastille, 30-31 décembre 2008

Je ne suis pas du tout spécialiste, mais il me semble que ces ballets, notamment Le Sacre, ont déjà été plus ou moins filmés avec l'une ou l'autre des compagnies de Béjart. Est-ce que quelqu'un peut nous renseigner là-dessus? Sur Y..., on trouve notamment un enregistrement fameux du Sacre (et complet), datant de 1970, avec Tania Bari et Germinal Casado.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
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MessagePosté le: Mar Déc 30, 2008 11:38 am    Sujet du message: Répondre en citant

Lacdescygnes a écrit:
Est-ce que quelqu'un pourrait développer les significations/l'enjeu de ce ballet pour Béjart ? Où se reconnaissent les poètes, où se reconnaissent les révolutionnaires ? Dans un même symbolisme représenté par l'oiseau de feu ? Quel est le rôle de l'oiseau Phénix et du porté final ?
Y a-t-il réellement un "discours politique" ? En le voyant, je dois dire que la dimension esthétique et poétique m'a "suffie".


Pour répondre à Lacdescygnes, il me semble que le caractère politique de L'Oiseau de feu a été clairement revendiqué par Béjart lui-même.
Son Oiseau de feu tourne d'abord délibérément le dos à l'atmosphère de légende du ballet de Fokine qui s'inspirait d'un conte traditionnel russe. Ensuite, bien que l'évocation en soit stylisée, le ballet recrée l'histoire de partisans, menés par l'Oiseau de feu, qui luttent et tombent au combat. Leur défaite et leur mort engendre un nouveau Phénix, symbole d'espoir dans une renaissance des forces révolutionnaires. L'ennemi en revanche n'est pas vraiment nommé. L'apothéose finale évoque cette idée de renaissance en réunissant les partisans en uniforme et les hommes du futur en justaucorps rouge, en qui repose l'espérance révolutionnaire... Les vestes à cols "Mao" portées par une partie du corps de ballet témoignent de manière superficielle de cet aspect politique. L'importance chorégraphique accordée au corps de ballet traduit aussi cette fascination révolutionnaire pour les masses en mouvement, image du peuple en marche... Moi qui ne suis pas une grande fan de Béjart, j'ai trouvé ce ballet admirablement bien construit et d'un effet toujours saisissant, tant dans le traitement de l'héroïsme individuel que de l'héroïsme collectif. On comprend là aussi les influences et les connexions avec Grigorovitch.

Il n'y a toutefois pas de contradiction entre cette dimension politique, liée aussi au contexte de la création (le ballet a été créé en 1970), et une lecture poétique du ballet. L'oiseau de feu est une métaphore de la poésie et de la révolution. Béjart, qui avait sans doute lu tous les bons auteurs depuis Rimbaud (et qui avait l'esprit de synthèse!), disait justement à propos de son ballet: "Le poète comme le révolutionnaire est un oiseau de feu."

Maintenant, et je ne parle pas spécialement de Béjart, je pense que les oeuvres survivent fort heureusement au contexte historico-politique dans lequel elles ont été créées, même si dans cette matière, je ne prône pas l'oubli. En ce qui concerne L'Oiseau de feu, d'une part, le ballet ne se réduit pas à ce message politique - que je me garderai d'ailleurs de commenter et de juger (le créateur est libre de ses intentions) -, d'autre part, il n'exclut pas une approche esthétique. C'est ainsi que la plupart des spectateurs doivent le recevoir. Je me permets cependant d'ajouter que l'esthétique n'est pas ici une fin en soi, et qu'elle se doit aussi de porter du sens. Là, c'est précisément le travail des interprètes d'aujourd'hui ou d'hier qui est en question. Si l'on peut se passer de connaître en détails le message politique que l'oeuvre comporte, en revanche, il me semble que les valeurs intemporelles qu'elle véhicule, notamment l'héroïsme, se doivent toujours d'être traduites par la danse.




Dernière édition par sophia le Mar Déc 30, 2008 12:00 pm; édité 1 fois
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Lacdescygnes



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Messages: 118

MessagePosté le: Mar Déc 30, 2008 11:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Sophia. La dimension politique est donc bien là, et revendiquée par le chorégraphe. La question que je me posais au départ était la différence entre l'oiseau de feu et l'oiseau Phénix, je me demandais s'il s'agissait d'un double, d'un personnage bien distinct, venant "soutenir" l'oiseau de feu. Je me disais qu'au fond chacun était libre de projeter dans ce ballet, et dans le porté final notamment, un peu tout ce qu'il voulait. La gestuelle néoclassique de l'oiseau me rappelait plus un poète qu'un révolutionnaire. Mais il vrai que l'année de sa création est significative, tout comme les symboles représentés par le rouge, le col mao, la "foule". Vous avez raison de dire que des lectures "poétique" ou "politique" ne sont en aucun cas contradictoires dans ce ballet.


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sophia



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Messages: 22087

MessagePosté le: Mar Déc 30, 2008 4:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je dirais que l'Oiseau-Phénix est un avatar de l'Oiseau de feu. Une fois défait et mort, l'Oiseau, tel un Phénix, renaît de ses cendres...


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Nesle



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MessagePosté le: Mer Déc 31, 2008 6:12 pm    Sujet du message: Denard - Oiseau de Feu Répondre en citant

serge1 paris a écrit:
Pas de video et de DVD prévus pour ce spectacle ???

Ce serait assez chic d'avoir l'Oiseau de Feu et le Sacre du Printemps de Bejart sur DVD.



Pour les nostalgiques, il existe une vidéo en noir et blanc de la première variation de l'Oiseau dansé par Michael Denard sur You Tube... (en 75, je crois).


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