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Nouvelles de l'English National Ballet
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maraxan



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MessagePosté le: Ven Juil 04, 2008 11:45 am    Sujet du message: Répondre en citant

J'essaierai de faire un compte rendu serein de ces représentations à mon retour à Paris car le malaise de Fernando Bufalá lors de la Première et le recours à la quasi dernière minute à Zdenek Konvalina du Ballet national du Canada pour remplacer Dmitri Gruzdyev ont généré quelques rebondissements qu'il faut assimiler, pour l'ENB comme pour le public... Toutefois, hier soir, Etudes a déclenché une ovation comme rarement ici où le public est souvent assez calme et la joie des danseurs aux saluts faisait vraiment plaisir à voir…




Dernière édition par maraxan le Lun Juil 07, 2008 9:47 pm; édité 1 fois
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maraxan



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MessagePosté le: Lun Juil 07, 2008 9:46 pm    Sujet du message: Festival Ballet, 2-5 juillet 2008 Répondre en citant

Festival Ballet
London Royal Festival Hall 2-5 Juillet 2008

A Million Kisses to my Skin
Asta Bazevičiũte (2 & 3/07) Jenna Lee (4 & 5/07), Laura Bruña Rubio, Elena Glurdjidze, Daria Klimentová, Agnes Oaks, Erina Takahashi
Fernando Bufalá (2/07) Anton Lukovkin (3-4 & 5/07), Thomas Edur, César Morales

Resolution
Begoña Cao, Fernanda Oliveira, Adela Ramirez, Adrienne Schulte
Medhi Angot, Zhanat Atymtayev, James Forbat, Young-Jae Jung, Arionel Vargas

Etudes
Elena Glurdjidze (2/07), Sarah McIlroy (3 & 5 /07 matinée & 4/07) Erina Takahashi (3 & 5/07 soirée)
Zdenek Konvalina, César Morales & Arionel Vargas

Festival Ballet fêtait le retour de la compagnie dans le Royal Festival Hall qui lui fut jadis associé lorsqu’elle s’appelait London Festival Ballet. Cette triple affiche pariait sur la diversité avec pour débuter A Million Kisses to my Skin, chorégraphie dynamique et jouissive de David Dawson, très moderne mais utilisant un vocabulaire classique très dépouillé et régénéré dans une construction étourdissante sur le Concerto n°1 pour piano et orchestre en ré mineur, un opus plus lent et plus sombre de Wayne Eagling, des impressions et des sentiments retenus sur les Rückert Lieder de Gustav Mahler chantés par Elizabeth Sikora et pour terminer, l’hommage à l’académisme avec Etudes d’Harald Lander, une des signatures de la compagnie.
Mais diversification ne signifie pas antinomie et les deux premiers ballets ont un parti pris esthétique qui rejoint un peu la perfection stylistique et la composition carrée du dernier. Les scénographies sont très travaillées et la succession de tableaux dessinés au millimètre d’Etudes répond parfaitement aux courses folles organisées dans le moindre détail d'A Million Kisses ou les déplacements raisonnés de Resolution.

Le carré de sol blanc cerné de verticalité noire d'A Million Kisses accueille des danseurs en blanc qui se jouent des lumières à l’horizontale en détachant leur silhouette sur le fond noir, ou en projetant à la verticale, leur ombre sur le sol. Ils ne sont que vitesse et lyrisme, une démonstration de vélocité et par conséquent de virtuosité, une recherche frénétique du mouvement perpétuel, incarnation de l’hésitation, de l’accord ou du refus, les corps se joignant et se repoussant. Un passage lent central oppose à ce tourbillon enivrant une douceur suave, comme un ralenti des mouvements précédents, plus lisibles par conséquent. Les ombres se meuvent fébrilement comme à la poursuite de leurs propriétaires, démultipliant les effets. Thomas Edur et Agnes Oaks irradient un lyrisme absolu dans leur partenariat fusionnel, une perfection glacée avant d’être rejoints par leurs "faux doubles" Elena Glurdjidze et César Morales, dans un jeu de synchronies et d’asymétries puis enfin par le troisième couple, Erina Takahashi et Fernando Bufalá pour la Première puis Anton Lukovkin pour les autres représentations.
La dynamique du ballet repose sur des constants mouvements, relancés par des successions de mini voire micro tableaux avec des sorties et entrées de scène spectaculaires. Il y a une très belle distribution des partenariats, entre les danseurs et danseuses, du solo au trio en passant bien sûr par les traditionnels duos et mouvements de groupe, en particulier un sextuor de femmes très brillant, dans tous les sens du terme.
Le malaise de Fernando Bufalá le soir de la Première après la blessure de Dmitri Gruzdyev a malheureusement entamé l’intégrité du ballet pour les soirées suivantes, Anton Lukovkin appelé à le remplacer le matin de la deuxième représentation n’ayant pu répéter assez longuement. Ce ballet étant excessivement demandeur en placements, en coordination et en désynchronisation savante, entraîne une exigence ultime des partenariats, les accroches entre les danseurs extrêmement millimétrées dans l’espace et dans le temps. Ainsi, certaines apparitions du troisième homme ont été supprimées, notamment le frénétique trio masculin, réduit à un duo entre Thomas Edur et César Morales, qui clôt le premier mouvement de la partition de Bach. En revanche, Thomas Edur a parfois effectué les parties de son cadet lorsque sa propre présence n’était pas nécessaire sur scène. Cette entaille à l’œuvre n’était cependant pas visible pour qui ne connaissait pas le ballet, la maestria des danseurs et la profusion de pas jubilatoires ayant pallié aux mouvements absents.
Le ballet se sert à merveille des individualités présentes, la souplesse et la vitesse de César Morales, la puissance et l'abattage d'Asta Bazevičiũte, Jenna Lee ou Laura Bruña, les grandes danseuses qui impressionnent dans les grands jetés et les pirouettes, la dynamique électrique d'Elena Glurdjidze ou la précision d'Erina Takahashi.
A Million Kisses to my Skin fait appel aux ressources ultimes des danseurs et a le charme fou des moments enivrants où le risque de la rupture absolu déclenche l’adrénaline chez le spectateur. Point de danger ici mais des conduites aux frontières du possible, des mouvements où le centre du corps devient un objet laxe piloté par des membres inférieurs et supérieurs très marqués dans des hyper extensions, des envolées dans certains portés, rares d’ailleurs sauf dans le mouvement lent, des pirouettes ultra rapides, une recherche d’angles et de moments d’équilibre saisissants, soulignés esthétiquement par un très beau travail du haut du corps. Le ballet ne frôle jamais l’anarchie car à chaque fois que les mouvements sont au comble de l’exaltation, David Dawson y réinsère de la synchronie, en particulier par les bras, et des alignements, ce qui est très spectaculaire. La musique de Bach, nourrie sans cesse par un orchestre très mordant, contribue à faire monter tension et excitation, la chorégraphie dialoguant étroitement pour la nier ou l’épouser, comme elle joue de l’hésitation dans les rapports entre les danseurs. L’équilibre entre la frénésie des mouvements et leurs soudaines synchronies, ou tout simplement l’immobilisation des danseurs relance constamment le ballet, les pirouettes courant après le piano, les sauts des danseurs sur les envolées de violons...
Cette pièce de David Dawson est un des plus grands frissons du ballet contemporain.

Resolution est l’inverse de la jouissance de l’œuvre de David Dawson. La création de Wayne Eagling est un ballet hermétique, en particulier si on n’accroche pas aux lieder de Mahler car il colle parfaitement à la musique et n’a pas d’expressivité indépendante ce celle-ci. Le parti pris esthétique est assez réussi, des costumes très élégants jouant sur le sombre et la transparence pour les jupes des femmes et les t-shirts des hommes, jambes voilées pour les filles et bras nus pour les garçons apportant une touche de clarté dans la scénographie. Des raies de lumière très légères sur les danseurs tracent des impacts sur une scène constamment dans une pénombre accentuée parfois par des fumigènes (un peu trop sonores d’ailleurs, la musique de Mahler et le chant de la cantatrice étant parfois couverts). Il est très difficile de chorégraphier sur de l’ambiance et Wayne Eagling échoue là où Christopher Wheeldon par exemple excelle à insuffler un contenu cohérent dans un glaçage esthétique. Le choix de courts lieder complexifie la tâche puisque les changements de tableaux empêchent le spectateur de s’installer dans le ballet. Il n’y a pas de force conductrice, peu de lyrisme dans une chorégraphie axée sur les placements et d’innombrables portés modernes, dont certains déjà très vus… Peut-être y a-t-il profusion inutile de pas car la musique appelle plutôt à la rareté, à l’espace, voire au vide. Dans cette ambiance, les galipettes de Medhi Angot sont déplacées.
Le ballet commence sur un quatuor féminin qui peut-être est le mouvement le plus réussi, des attitudes, des synchronies élégantes et simples. Puis les couples se forment, le nombre des mouvements s’intensifie et même le pas de deux central avec Begoña Cao et Arionel Vargas échoue à communiquer quoi que ce soit.
Le pas de trois masculin qui termine l’œuvre voit Medhi Angot trituré sous toutes les coutures par Zhanat Atymtayev et Arionel Vargas. Il saura désormais ce que c’est que d’être une ballerine dans nombre de ballets contemporains car il pose rarement les pieds par terre, et rarement de manière autonome, constamment dans les airs, dans des portés pas toujours très esthétiquement réussis. C’est très oppressant et si Wayne Eagling expliquant que cette partie lui a été inspirée par une maladie entraînant la dégénérescence musculaire voulait instaurer le malaise, il engendre plutôt le scepticisme.

Etudes doit être pris pour ce qu’il est, une construction de pas classiques sans grand intérêt artistique mais après Resolution, il apparaît comme un élément de clarté et de jubilation… Le crescendo dans le spectaculaire fonctionne parfaitement et la compagnie est très au point dans l’exécution.
Zdenek Konvalina, principal au Ballet national du Canada qui avait été appelé en dernière minute pour remplacer Dmitri Gruzdyev afin que Fernando Bufalá ne fasse pas toutes les représentations, a dû également pallier à la défection de ce dernier, et danser tous les soirs aux côtés de César Morales, l’incontournable pirouetteur et Arionel Vargas, le danseur romantique. Il avait débuté dans Etudes cette saison dans sa compagnie, porteur donc d’une fraîche expérience des exploits techniques requis pour l’occasion.
Zdenek Konvalina s’est très bien tiré de son séjour londonien, mais il avait la redoutable tâche de prendre la scène aux côtés de César Morales et Etudes sert énormément la haute technicité et la précision du danseur de la compagnie. César Morales est une plume dont la danse irradie une fluidité parfaite, il trace de l'art sur un sol qu'il semble survoler et Zdenek Konvalina a paru un peu terrien face à son partenaire, doué il est vrai d’une élévation et d’un ballon des plus spectaculaires. Thomas Edur a sans doute renoncé à se comparer dans cet exercice où il n’avait déjà pas paru très à l’aise au printemps. Seul Dmitri Gruzdyev a le tempérament assez fougueux et le ressort dynamique d’une technique très au point pour diminuer l’effet dévastateur d’évoluer dans la même sphère que César Morales qui distille sa danse subtile avec une régularité de métronome. Zdenek Konvalina est donc un danseur élégant mais beaucoup moins félin que César Morales, qui effectuait les tours et les pirouettes, les sauts étant dévolus au danseur invité. Avec un peu plus de souplesse dans ses réceptions et de liant dans ses enchaînements, il aurait été parfait et la mazurka manquait un peu de jubilation, l’opposé des tours à la seconde et des fouettés de César Morales qui ont chaque soir déclenché l’extase dans la salle, en particulier le soir où les grands élèves des écoles de danse de la capitale étaient présents.
Suite aux remaniements de distribution, Zdenek Konvalina a donc eu la surprise d’avoir à faire couple avec Elena Glurdjidze et Sarah McIlroy, alors qu’il n’était prévu au départ qu’avec Daria Klimentová et Erina Takahashi. Les interactions ne sont pas nombreuses puisque le danseur romantique est Arionel Vargas dans toutes les représentations mais les danseuses ont toutes des gabarits et des personnalités différents, ce qui ajoutait à la pression. Les jeunes femmes ont su cependant le mettre à l’aise et rayonner à ses côtés, notamment le soir de la Première où Fernando Bufalá a déclaré forfait à quelques minutes de l'entrée en scène, alors que Zdenek Konvalina ne devait pas danser avec Elena Glurdjidze.
Arionel Vargas lui, connaît ses ballerines et sa participation dans le rôle du danseur romantique est irrésistible de douceur et légèreté, malgré son grand gabarit et son mime exemplaire.

Trois ballerines se sont donc succédées dans Etudes et les qualités très diverses de celles-ci ont enrichi le plaisir de les voir croiser leurs talents. Sarah McIlroy est peut être la plus concentrée techniquement mais elle s’approprie parfaitement son rôle de démonstratrice et certaines attitudes sont impérieuses grâce à une envergure sereine et un port altier, un travail du haut du corps superbe. Elle est, tout comme Elena Glurdjidze très à l’aise dans les passages avec les garçons auxquels elle ne rend rien en dynamisme et puissance. Erina Takahashi est la plus délicate des ballerines et elle excelle dans le pas de deux romantique. Elle vole littéralement dans les bras d’Arionel Vargas puis dans ceux de César Morales plus tard, alors que le solo sur pointe est d’une rare perfection, une légèreté et une précision qui sont un régal. Il est difficile quelquefois d’imaginer dans les ballets une quelconque raison d’effectuer ces séries sur pointe vraiment limites et tuant souvent la cohésion dramatique de l’histoire, mais dans Etudes, ils trouvent leur raison d’être. Elena Glurdjidze est également très spectaculaire dans cet exercice, mais beaucoup plus en force alors qu’Erina Takahashi vit sa danse avec légèreté en communiquant un plaisir visible. C’est elle qui sans conteste est la Prima Ballerina de ces représentations.
Comme la saison assez brillante de la compagnie l’a montré, le corps de ballet est particulièrement en forme, les synchronisations affinées et l’esthétique d’Etudes ont été particulièrement peaufinées et merveilleusement rendues. On ne peut pas mentionner ce ballet sans parler de ce qui fait l’existence même d’une grande compagnie, un corps de ballet cohérent et lumineux, chez les filles comme chez les garçons. C’est un des états de l’English National Ballet actuellement qui certes travaille sur peu de répertoire mais qui a cette qualité de présenter constamment un groupe de danseurs de haute teneur.


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natpointeshoes



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MessagePosté le: Mer Juil 09, 2008 8:52 am    Sujet du message: English National Ballet 5 juillet 08 et ENB School 6/7 Répondre en citant

Le spectacle de l'English National Ballet était superbe! J'ai assisté au spectacle du samedi 5 juillet en soirée!

Le 1er ballet "A million kisses to my skin" de David Dawson était SUBLIME ! Très technique, superbement dansé, un pur bonheur ! Style néoclassique sur une musique de Bach ! Les filles en tunique bleu ciel, sans collants. Les garçons en collants bleu ciel et t-shirt « transparent » bleu ciel. Un morceau de virtuosité spectaculaire qu'ils avaient visiblement beaucoup de bonheur à danser. Ce n'était que la 15ème représentation… Un ballet à avoir impérativement s'il sort un jour en DVD ! Ca me faisait penser à « In the Middle »… A voir et à revoir !


Le 2ème ballet, « Resolution » de Wayne Eagling sur une musique de Mahler, était de style un peu espagnol sur pointes. Pas mal mais pas transcendant. Il y avait un morceau avec trois garçons : un plus petit qui était porté par les deux autres… C'était bof !

Enfin « Etudes » une merveille !!!!! Je dansais avec dans mon siège (j'en avais mal aux jambes). Tout le monde était impeccable ! Les pirouettes et autres difficultés parfaitement assurées ! Un plaisir pour les balletomanes ! Moi qui ne l'avais jamais vu en scène, j'en avais des frissons partout ! Des ensembles parfaits, des pirouettes finies impeccablement… Bref la compagnie est en pleine forme et est heureuse de danser ! J'ai particulièrement apprécié Jenna Lee dans "A million kisses to my skin" et dans "Etudes"! Une superbe danseuse qui mérite de monter en grade!

Dimanche, le spectacle de l'école. Superbe niveau ! Une vraie compagnie ! Il y a eu un morceau du Songe d'une Nuit d'Eté, un morceau de Raymonda, le 2ème acte du Lac avec une fille absolument superbe dans le rôle principal. Les 4 petits cygnes étaient magnifiques. Dans les grands cygnes, il y en avait une meilleure (une japonaise) que l'autre (elle restait plantée sur ses équilibres et avait des arabesques et attitudes à faire pâlir d'envie)… La 2ème partie présentait un ballet contemporain que je n'ai pas aimé du tout mais qui était très bien dansé. Ensuite, pour finir, Elite Syncopation. Très bien dansé, très frais… Les garçons de bons partenaires... Pour résumer : une grand école. Ce qui me chagrine c'est de savoir que probablement certains de ces jeunes ne trouveront pas de boulot… alors qu'ils ont tout pour faire une belle carrière.



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Nathalie
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haydn
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MessagePosté le: Mer Juil 09, 2008 7:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Petite question à Maraxan, Cesar Morales n'apparait plus dans la liste des solistes de l'ENB sur le site officiel de la compagnie. Quitte-t-il lui aussi la troupe à la fin de cette saison?


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maraxan



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MessagePosté le: Mer Juil 09, 2008 9:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

oups... no comment...


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maraxan



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MessagePosté le: Jeu Juil 10, 2008 10:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Après imprimatur: oui, César dansera la saison prochaine au Ballet royal de Birmingham


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haydn
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MessagePosté le: Jeu Juil 10, 2008 10:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Si Buckingham Palace a donné son aval... Mr. Green Merci Maraxan! Sait-on aussi où ira Medhi Angot?


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maraxan



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MessagePosté le: Jeu Juil 10, 2008 10:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Buckingham, je ne sais pas mais si le président, HRH Charles est aussi intéressé que son frère HRH Andrew l'est pour l'ENB...
Pour Medhi Angot... pas d'imprimatur...


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sophia



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MessagePosté le: Ven Juil 11, 2008 10:52 am    Sujet du message: Répondre en citant

Si certains artistes quittent l'ENB, d'autres s'apprêtent à en rejoindre les rangs... L'information n'est pas vraiment inédite, mais elle a tout de même sa place ici. L'English National Ballet School signale ainsi sur son site le nom des élèves qui ont obtenu un contrat avec l'ENB.

Citation:
Guest Teachers
2008 has been busy at English National Ballet School as a host of Guest Teachers have been sharing their expertise with the students. 1st, 2nd and 3rd Years have had the chance to continue working with renowned artists such as Wolfgang Stollwitzer, Gillian Revie, Julie Lincoln and Christopher Carr. Also teaching at ENBS this term will be Mikhail Tchoupakov and Cynthia Harvey.

ENBS students are continuing to achieve high standards both inside and outside their studies. In January Nancy Osbaldeston became the only UK finalist at the Prix de Lausanne and in March Laurretta Summerscales won third prize in The Young British Dancer Awards.

Many students have already been on stage with English National Ballet this year, both at home and on tour, in productions of Swan Lake, The Nutcracker, The Snow Queen, Etudes and Coppelia. Other students were also performing at the Peacock Theatre for the London run of ENB’s Angelina Ballerina.

Graduate Contracts
For 3rd Years the often difficult task of finding that crucial first contract can loom largely in their final year of study and English National Ballet School is proud to announce that the following students have been accepted contracts with English National Ballet; Ruth Brill, Nancy Osbaldeston, Ksenia Ovsyanick, Sayako Tomiyoshi and Junor de Oliveira Souza. Benjamin Griffiths has accepted Ballet Graz and 2nd Year students Benjamin Poirier and Luiza Lopes will leave the course early for contracts with Leipzig Ballet and City Ballet, Sao Paulo respectively. Some of the students were in the privileged position to have received offers from several companies.

Source: http://www.enbschool.org.uk


Parmi les noms cités, certains reconnaîtront peut-être deux finalistes du Prix de Lausanne: Ksenia Ovsyanick (2007) et Nancy Osbaldeston (2008), ainsi qu'un (excellent) candidat de l'édition 2007, le Brésilien Junor de Oliveira Souza.

Concernant les autres anciens (mais toutefois récents) lauréats anglais de Lausanne, on peut signaler ici que James Hay (lauréat en 2007) rejoindra officiellement à la rentrée les rangs du Royal Ballet (attention!...). Quant à Delia Mathews (également lauréate en 2007), elle a obtenu un contrat, il me semble, avec le Birmingham Royal Ballet (ce qui montre, encore une fois, la grande qualité de son recrutement).


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Katharine Kanter



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MessagePosté le: Ven Juil 11, 2008 2:21 pm    Sujet du message: Ruth Brill & Benjamin Griffiths Répondre en citant

Les parisiens se souviendront peut être de Ruth Brill et de Benjamin Griffiths, car en octobre 2006 c'est eux qui ont fait les démonstrations pour les Célébrations Cecchetti avec Richard Glasstone, au CNR et à l'Espace Marceau.


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haydn
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Messages: 26499

MessagePosté le: Sam Juil 12, 2008 5:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Retrouvez le compte-rendu de Maraxan illustré d'une série de photos que nous a fait parvenir le service de presse de l'English National Ballet sur le site de Dansomanie :

Lien direct :

Du 02 au 05 juillet 2008 : Festival Ballet au Royal Festival Hall


Ou :

www.dansomanie.net, rubrique "Critiques & Comptes-rendus".


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sophia



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Messages: 22085

MessagePosté le: Jeu Juil 24, 2008 6:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le Birmingham Royal Ballet annonce sur son site les promotions au sein de la compagnie, avec l'arrivée notamment de César Morales de l'ENB comme principal. Delia Mathews rejoint donc aussi le BRB comme "artiste".

Citation:
Birmingham Royal Ballet has announced the following promotions, and new arrivals who will be joining the Company for the 2008-09 season.

Promotions

Artist to First Artist
Aaron Robison

First Artist to Soloist
Momoko Hirata

Soloist to First Soloist
Jamie Bond
Natasha Oughtred
Jenna Roberts
Lei Zhao


New Starters

Principal
César Morales (English National Ballet)

Artists
Dusty Button (Royal Ballet School)
Delia Mathews (Royal Ballet School)
Nicki Moffatt (Royal Ballet School)
Yijing Zhang (Hamburg Ballet School)
Laura Davenport (Elmhurst School for Dance)


Congratulations to all promoted, and warm welcomes to everyone joining us in the new season.

Source: http://www.brb.org.uk/




Dernière édition par sophia le Jeu Juil 24, 2008 6:10 pm; édité 1 fois
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haydn
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MessagePosté le: Jeu Juil 24, 2008 6:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant


Delia Mathews (à gauche) lors du Prix de Lausanne 2007


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sophia



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MessagePosté le: Mar Sep 16, 2008 7:32 am    Sujet du message: Répondre en citant

L'English National Ballet monte un ballet.... sur le football!! Et ce n'est pas une blague, la première a déjà eu lieu et l'on en trouve même des extraits sur Youtube et ailleurs...
Ce spectacle intitulé The Beautiful Game - A football ballet se propose d'évoquer les 10 moments les plus mémorables de l'histoire du football sélectionnés au préalable par des internautes sur le site Football Pool.

Le résultat ici:
The Beautiful Game: the English National Ballet brings football to the stage


Shocked Shocked Shocked


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serenade



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MessagePosté le: Mar Sep 16, 2008 1:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Et bien, on aura tout vu Shocked


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