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La Sylphide, juin 2004
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Pierre



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MessagePosté le: Mer Juil 14, 2004 1:25 am    Sujet du message: Répondre en citant

Miracle ce soir à Garnier : l'orchestre a bien joué, voire très bien joué... Cool
Faut dire qu'il y avait une bonne dizaine de caméras dans la salle pour figer le ballet pour l'éternité. Ce qui en dit long sur le dilettantisme du tarif syndical ordinaire...

Colère étant passée, d'autant qu'on les aime quand même quand ils nous jouent du Ravel, du Richard Strauss et que, mais chut Rolling Eyes , il est vrai que Schneitzhoeffer, c'est pas terrible...

Par contre, il est vain de commenter la prestation de Melle Dupont. Il n'y a rien à disserter sur la "perfection", sauf que je croyais que l’accélération de la gravité était immuablement fixée à 9,81... visiblement Aurélie Dupont ne répond pas aux même lois de la physique...

Ganio, idem, a tout donné et il serait parfaitement indécent de commenter une prestation techniquement exceptionnelle.

Le corps de ballet a franchi également le mur du son ce soir.

Mais trop c'est trop... et également trop de lumière pour la mise en image DVD... le mystère s'en est trouvé asséché et je garde finalement un faible pour le couple Pech-Moussin qui m'a ému.

Placé de face, j'ai vu aussi deux fois plus de danseurs et danseuses que lors de la première représentation à laquelle j'ai pu assister depuis une loge de côté.

Bref, je ne me remets pas bien encore de cette insolation ou plutôt de ce coup de lune... Wink




Dernière édition par Pierre le Mer Juil 14, 2004 10:53 am; édité 1 fois
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Madeline



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MessagePosté le: Mer Juil 14, 2004 9:36 am    Sujet du message: Répondre en citant

Et dire que j'ai manqué ça .... Exclamation

Un Miracle n'arrivant jamais seul .... Peut-être aurais-je de la chance aujourd'hui .... !


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haydn
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Messages: 26517

MessagePosté le: Mer Juil 14, 2004 12:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je l'espère pour vous Madeline! Mais le miracle, ce sera déjà que vous arriviez à entrer au Palais Garnier aujourd'hui, à moins que vous n'ayez eu le courage de vous lever aux aurores pour camper devant l'Opéra en attendant l'ouverture des portes...

Toutefois, je pense que le prosaïsme de Pierre est malheureusement la voix de la raison... La présence des caméras et micros a dû faire beaucoup pour l'amélioration de la prestation de l'orchestre. Gravées sur DVD, les mauvaises performances des jours précédents n'auraient peut-être pas été du meilleur effet... Rolling Eyes

En attendant, encore quelques photos adressées par Pierre, et prises lors de cette représentation du 13 juillet 2004. Milles mercis à lui Very Happy


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Dernière édition par haydn le Mer Juil 14, 2004 2:19 pm; édité 2 fois
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Madeline



Inscrit le: 21 Mai 2004
Messages: 11

MessagePosté le: Mer Juil 14, 2004 2:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Effectivement, haydn, vous aviez vu juste !
Le miracle n'a donc pas eu lieu puisque je me suis trouvée confrontée à une file d'attente incroyable !
Et qu'hélas .... Je n'ai pas pu rentrée ! Crying or Very sad


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libellule



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MessagePosté le: Lun Juil 19, 2004 8:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Avec plus d'une semaine de retard, je viens vous faire part de mes impressions suite à la représentation du 10 juillet à laquelle j'ai assisté.

Ce fut pour moi une journée inoubliable.
Elle a commencé par la visite de l'Opéra (j'habite les Pays-Bas et mes visites à Paris sont plus que rares..), j'ai eu l'extraordinaire chance de pouvoir visiter cette magnifique demeure avec une personne qui l'a connaissait très bien. Si elle lit ces lignes qu'elle en soit ici encore une fois remerciée, elle n'a peut-être pas idée de ce que cela représentait pour moi.

Suivi donc la représentation plus tard dans la journée.
Mais que dire qui n'a déjà été dit?
Ce fut magique, irréel. J'ai été enchantée par la salle, le plafond, l'émoustillement des spectateurs, les décors, les costumes, le dynamisme de tous les danseurs et danseuses, et finalement j'ai été abassourdie par la grâce, la fluidité et le jeu d'Aurélie Dupont.
Je ne rentrerai pas dans des considérations et critiques techniques car [u]tous les acteurs de cette soirée[/u] (machinistes, costumières, musiciens, répétiteurs, danseurs...) méritent à mes yeux des applaudissements et ma reconnaissance.
Je suis sortie de l'Opéra sereine, heureuse et la gentillessse de tous ceux et celles qui ont bien voulu m'accorder quelques minutes pour signer mon programme a fini de faire de cette journée une journée où plus que les autres j'ai été heureuse de vivre!!!
Merci! Merci! Merci!!!



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libellule
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Pierre



Inscrit le: 31 Déc 2003
Messages: 982
Localisation: Paris

MessagePosté le: Lun Juil 19, 2004 8:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cela s'appelle "voler sur une petit nuage"... Comme la Sylphide Wink
Sacré James Laughing


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Katharine Kanter



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Localisation: Paris

MessagePosté le: Dim Aoû 01, 2004 4:50 pm    Sujet du message: Avec nos excuses pour le retard - Début de Mlle. Hurel Répondre en citant

Debut of Mélanie Hurel as the Sylph
July 9th 2004

On the evening Mlle. Hurel made her debut as the Sylphide, July 9th, this writer had to travel abroad unexpectedly, and has only this day put down on paper a few notes.

For whatever reason, this début received little press coverage, perhaps because one must be rather close to the stage to see how very good Mélanie Hurel actually is.

Some would object that Mlle. Hurel is a little less technically accomplished than Mlle. Dupont, or even the much-younger Mlle. Gilbert. True. But what of it ?

Relative to the ideal of absolute strength, god-like alignment and absolute flexibility, i.e. absolute freedom of movement, every human being has physical defects, however slight, such that certain gestures, or combinations of gesture, will be difficult, even impossible to perform.

These impossibilities vary from one person to the other, infinitely. A professional knows just how far those limits may be rolled back, with hard work, and also, what he will never be able to do. What will come across the footlights as a good technician, is a person who is sufficiently intelligent of his limits, to put the technique he does have, to an artistic vision. That vision will, in turn, impel him beyond his apparent limits ! It helps, though, to have an artistic vision. And Mlle. Hurel is amongst the few, who does.

To give an example from outwith the ballet: the famed Danish singer Axel Schiotz. His voice, though resonant, was not, from a sheer physical standpoint, especially beautiful, nor was it very loud. He almost speaks rather than sings entire passages, and his tone production was uneven. Nevertheless, the impression is one of almost unearthly beauty. A deep study of the music, an uncanny rhythmic sensitivity, and a truthful recreation of the song’s idea-world, its place in history, each word charged with poetic ambiguity, made him one of the great musicians of the age. How can that be, with such poor physical material to begin with ? As I am not an artist, nor anything like it, it would be foolhardy to speculate further, but I do think this may be relevant, to our problem in the ballet.

Taken in isolation - they fit awkwardly on the music - there are some “out-of-print” (yet another book that needs reprinting !), and quite thrilling steps in Lacotte’s Sylphide, many of them beaten, performed by Mlle. Hurel with purity, simplicity and also, style, unlike Mlle. Ciaravola earlier in the run, who got this writer’s git with a mannierism so distasteful that I fled after Act I.

By the bye, this writer stalked out of the Letestu Sylph as well: the lady’s Automatic-Pilot mode is starting to get to me, big-time. Also, ladies, if one is going to fling one’s legs into the air, whilst affecting to play the Sylph, why not come out in a black leather bikini ? The anachronism would be no less shrill, and the public, no less enthusiastic !

Dotted throughout the ballet, Pierre Lacotte’s Sylph has several grand jetés so closely packed into their surroundings, that one has scarcely an instant to arc them, before the next step intrudes. Calculating the size and duration of the run-up steps with a precision such, that each jeté came off like a puff of wind, Mlle. Hurel solved, with apparent ease, a knotty little problem that had defeated the other Sylphs in this run. Like Mlle. Dupont, she has also conceptualised the elliptic nature of the Sylph’s motion in Act I: the sylph’s floor patterns are almost all elliptical, while the Sylph rotates upon herself elliptically as well; one has got to sense that, for the audience to see it (this, I find the most interesting choreographic aspect of Lacotte’s version, incidentally).

There were many beautiful moments, as when the Sylph snatches the ring from James’ hand. This scene takes place in a thought-area known to the ancient Greeks, as the “putative mood”. James muses silently, “What would happen, should I lose the ring ? If, and only if, I could lose the ring, I should ……” And so the immaterial Sylph, materialises his thought. Only Mlle. Hurel, who seems to be quite familiar with such metaphorical thinking, got the point. So it is, that the effect her dancing produces, is rather like coming upon a plashing stream, on an unbearably hot and sticky day.

Was this a finished portrayal though ? The truth is, that it was not. One should, I think, try to locate a performance in its proper context.
First, and most importantly, one wishes that M. Lacotte had recalled these words of Frederick Ashton,

« The whole point is a dancer should be happy and not be worried by difficulties and ought to be able to interpret; to move an audience. I mean, that's what matters, isn't it? »

(interview to Richard Cavett, June 1981, reproduced on Dance View Times)

Lacotte’s ballet is too difficult. The dancers need a Palm Pilot to remember the steps, intravenous drip-feed of glycose against black-outs, and the occasional descent of an oxygen mask. Are the dancers “happy” ? Are they “moving an audience” ? Well, at Copenhagen I’ve seen many a strong man wipe away tears in Bournonveille’s Sylphide, but in a spot-survey of the Paris public, what one saw was a host armed with stop-watches and pocket-calculators: totting up pirouettes, calculating the proportion of beaten steps against unbeaten, clocking up how much longer the score took to perform when gangling giants were dancing the leads, and so forth.

In this context, a number of Yiddish sayings come to mind, that I shall spare the reader, just for today.

Be that as it may, and secondly, Mlle. Hurel found herself making her début to the James of Gilles Isoart.

M. Isoart has danced James on several earlier occasions; he is an elegant artist, with an agreeable and open personality, but his technique is not strong enough to leave the mind free, and he is quite lacking in charisma and authority. Since the ballet stands or falls on sparks flying between the two main protagonists, this does tend to leave the Sylph generating electricity for two, as it were.

Equally regrettable, Mlle. Hurel was given but a single performance (M. Ganio danced James, if I’m not mistaken, seven times in this run, just by comparison). How anyone can be expected to come up with a well-rounded characterisation, under performance conditions akin to an amateur Peter Pan played on the English provincial circuit, is a question those of us who are not called upon to dance, should not attempt to answer. Is it not frustrating, not only for the artist, but for his professor and répétiteur as well, to work long weeks on a play, perform it once, have a thousand suggestions on the tip of one’s tongue - and then drop it ?

Why not return to the repertory system, where a play may be given as many as twenty or thirty performances in a year, three or four different artists being given to dance each role, and each no less than seven, eight or nine times a year ? One has the time to dance a role a few times, mull it over, and then come back to it a few weeks later.

Dancing Effie to Mlle. Hurel’s Sylph was Dorothée Gilbert.

Technically the strongest in this role, Mlle. Gilbert’s stagecraft – she is but twenty - is still a little ragged. Whether this Effie was ever in love with this James is a moot point, and the moment the lady stops dancing herself, her interest in the play would seem to flag. Thus, as M. Isoart launched into his big variation in Act I, to say that warm admiration was written all over Effie’s face, would be slightly overstated. Those are the wanting finer points that a child of twenty, cannot be expected to know, and that might, just might, help to turn this tongue-twisting choreography into something like a work of art.

But there were also flashes of insight: just before the curtain falls on Act I, the spurned Effie flies, despairing, into her mother’s arms. Though this crucial mime scene is ill done by in Lacotte’s version, Mlle. Gilbert turned her head, and shot a glance at Gurn like flames racing over water, a glance that said a thousand things.

As Scots villagers and Sylphs, allow us to single out the lovely Laura Hecquet (this writer unfortunately missed the night she danced the Scots pas de deux), as well as Mlles. Renavand and Bance. Again, M. Gaudion remarkably good in the Scots pas de deux, probably his fifth or sixth time in this run – yet another argument for letting people to dance such difficult roles not once or twice in a season, but several times, so they can solve the main issues at the first and second performance, and then focus on getting a concept across to the people who have come, not to see them worry, but to see them dance !


***


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haydn
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MessagePosté le: Lun Aoû 02, 2004 2:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tant qu'a faire dans les remords tardifs, un article du Quotitien du Médecin (si, si!) avec une critique de la Sylphide, qui fait la part belle à Laura Hecquet et Josua Hoffalt.


Citation:
Le spectacle comporte largement de quoi mettre en valeur le Ballet de l'Opéra, avec au premier acte la grande fête dans la chaumière écossaise, qui met en mouvement un régiment d'Ecossais et d'Ecossaises en kilts bleu et rouge et offre le grand « Pas de deux des Ecossais », interprété superbement par la très gracieuse Laura Hecquet et Joshua Hoffalt.


La critique d'Olivier Brunel (19 juillet 2004)


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haydn
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MessagePosté le: Mer Oct 20, 2004 1:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le DVD enregistré lors des représentations de juin-juillet dernier devrait paraître au premier trimestre 2005. Au paravant, on devrait avoir droit à une diffusion (en prime-time s'il vous plait!) sur France 2 de cette Sylphide, avec la distribution A. Dupont - M. Ganio. Cadeau pour les fêtes de fin d'année?


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ilona



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MessagePosté le: Mer Oct 20, 2004 6:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ah quelle bonne nouvelle pour les provinciaux qui n'ont pas souvent l'occasion d'aller voir tous ces beaux spectacles à Garnier ou à Bastille!quel plaisir aussi de revoir dansé Mathieu après l'avoir vu faire ses débuts dans les locaux de l'ecole de Marseille!


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shylock



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MessagePosté le: Mer Oct 20, 2004 8:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

erreur


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Pami



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MessagePosté le: Mar Fév 01, 2005 12:58 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je relance la question du DVD de la Sylphide. Avez-vous des nouvelles? Et qu'en est-il de la diffusion sur France 2? En réalité, je cherche à me procurer un enregistrement de ce ballet, quel qu'il soit. Pouvez-vous m'indiquer où je peux en trouver un?
Merci


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sophia



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Messages: 22087

MessagePosté le: Mar Fév 01, 2005 7:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le dvd de "La Sylphide" devrait normalement sortir au cours du 1er semestre 2005, mais pour l'instant je n'ai pas de date précise.
On peut toujours trouver "La Sylphide" de Pierre Lacotte dans la distribution d'origine, avec Ghislaine Thesmard et Michael Denard, en VHS uniquement, sur le site américain Amazon.com.
Pour ce qui est de "La Sylphide" de Bournonville, au printemps 2005, devrait sortir toute une série de dvd de ballets de ce dernier.
Sinon, il y a un certain nombre d'enregistrements où l'on peut trouver le pas de deux de James et de la Sylphide. Je pourrai vous donner quelques références dans la journée.


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087

MessagePosté le: Mar Fév 01, 2005 4:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour le pas de deux de James et de la Sylphide (version Bournonville), vous avez donc chez VAI le dvd "Rudolf Noureev/Erik Bruhn - Their Complete Bell Telephone Hour Performances (1961-1967)" sur lequel on voit Erik Bruhn l'interpréter aux côtés de Carla Fracci. C'est magnifique en dépit de la qualité médiocre de l'enregistrement (une partie est en noir et blanc). Toujours chez VAI, sur l'un des deux dvd "Nina Ananiashvili and International Stars" (spectacles enregistrés au Japon dans les années 90), Rose Gad et Alexander Kolpin, danseurs du Royal Danish Ballet, interprétent le "Grand Pas".


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Pami



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MessagePosté le: Mer Fév 02, 2005 9:49 am    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Sophia pour votre aide précieuse.


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