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Le Temps d'aimer, Biarritz 12/09 - 21/09/2008

 
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haydn
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MessagePosté le: Lun Juin 23, 2008 10:58 am    Sujet du message: Le Temps d'aimer, Biarritz 12/09 - 21/09/2008 Répondre en citant

L'édition 2008 du festival "Le Temps d'aimer" se déroulera à Biarritz du 12 au 21 septembre 2008, avec, en ouverture, une soirée de gala destinée à célébrer les 10 ans du Ballet Biarritz, dirigé par Thierry Malandain.




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haydn
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MessagePosté le: Mer Juil 02, 2008 10:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

Quelques détails sur le programme :


Vendredi 12 septembre
11h – Halles de Biarritz– Le Fanfare Ballet
20h – Parvis Gare du Midi – Le Fanfare Ballet
21h – Gare du Midi – Ballet Biarritz Thierry Malandain

Samedi 13 septembre
11h – Place Clémenceau – Le Fanfare Ballet
18h – Colisée– Cie Sylvain Groud (Jeune Public)
20h – Parvis du Casino Municipal – Le Fanfare Ballet
21h – Théâtre du Casino Municipal – Inbal Pinto Dance Company (Israël)

Dimanche 14 septembre
11h – Esplanade de la Grande Plage – Gigabarre
12h – Esplanade du Casino Municipal – Lauréats de l’UPPA
18h – Colisée – Aracaladanza (Espagne), (Jeune Public)
19h – Théâtre du Casino Municipal – Paulo Ribeiro (Portugal)
21h – Gare du Midi – Bale da Cidade de Sao Paulo (Brésil)

Lundi 15 septembre
12h – Jardin Public – Répétition Publique : Organik (Pays Basque)
19h – Colisée – Organik (Pays Basque)
21h – Théâtre du Casino Municipal – Emanuel Gat Dance (France/Israël)

Mardi 16 septembre
12h – Jardin Public – Répétition Publique : Jant Bi (Sénégal)
19h – Théâtre du Casino Municipal – Cie de danse Hallet Eghayan
21h – Gare du Midi – Jant Bi / Germaine Acogny (Sénégal)

Mercredi 17 septembre
12h – Jardin Public – Répétition Publique : Cie L’Adret
19h – Colisée – Cie L’Adret
21h – Théâtre du Casino Municipal – Josef Nadj & Dominique Mercy

Jeudi 18 septembre
12h – Jardin Public – Répétition Publique : Cie Le Cri du Pied
19h – Colisée – Cie Le Cri du Pied
21h – Gare du Midi – Kiev Modern Ballet (Ukraine)

Vendredi 19 septembre
12h – Jardin Public – Répétition Publique : Lanòmina Imperial (Espagne)
19h – Colisée – Les Associés Crew / Babacar Cissé
21h – Théâtre du Casino Municipal– Lanònima Imperial (Catalogne)

Samedi 20 septembre
12h – Dans les airs entre la Mairie et le Casino – Cie Retouramont
14h/17h – Atabal– Battle de hip hop
17h – Façade de l’Atabal– Cie Retouramont
18h – Atabal – Black Blanc Beur
20h – Théâtre du Casino Municipal – Cia Urbana de Dança (Brésil)
21h – Gare du Midi – Ballet de l’Opéra de Macédoine (Macédoine)

Dimanche 21 septembre
11h – Esplanande de la Grande Plage – Gigabarre hip hop
12h – Esplanade du Casino – Scènes Lycéennes
19h – Théâtre du Casino Municipal – Aukeran (Pays Basque)
21h – Gare du Midi – Aida Gómez (Espagne)


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haydn
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MessagePosté le: Mer Juil 02, 2008 11:08 am    Sujet du message: Répondre en citant

BALLET BIARRITZ
Thierry MALANDAIN
Pièce de circonstance
Vendredi 12 septembre – 21h
Gare du Midi
Tarif plein: 35 €
Tarif réduit : 32 €
Tarif fidèle : 28 €
Tarif découverte : 10 €
Places numérotées
Chorégraphie : Thierry Malandain
Au piano : Miyuki Brickle et Alberto Ribera
Décor et costumes : Jorge Gallardo
Conception lumière : Jean-Claude Asquié
Vidéo : Georges Florès et Frédéric Néry
Avec : Ione Miren Aguirre, Véronique Aniorte,
Giuseppe Chiavaro, Annalisa Cioffi, Frederik
Deberdt, Cédric Godefroid, Mikel Irurzun del
Castillo, Miyuki Kanei, Fabio Lopez, Silvia
Magalhaes, Arnaud Mahouy, Florent Mollet,
Audrey Perrot, Magali Praud, Thibault Taniou,
Nathalie Verspecht et Daniel Vizcayo.
Durée : 1h15

Citation:
Pièce de circonstance (2008)
"Gravez votre nom dans un arbre
Qui poussera jusqu’au nadir
Un arbre vaut mieux que le marbre
Car on y voit les noms grandir".
Pièce de circonstance - Jean Cocteau (1922)

La classe de danse ou l’entraînement journalier du danseur est rarement montré en publicpeut-être par pudeur de se mettre à nu ou crainte de dévoiler ses rides. Pourtant chacun sait que le coeur n’en a jamais et que tout âge porte ses fruits. A l'occasion du dixième anniversaire de Ballet Biarritz, plutôt qu'une rétrospective aux intentions commémoratives,
"Pièce de circonstance" se propose de mettre en lumière ce quotidien de la troupe et de l'associer à quelques fragments des chorégraphies créées ou présentées à Biarritz depuis 1998. Au final, une célébration sans "pompes et circonstances", juste empreinte de "solennité intime".




LE FANFARE BALLET
Vendredi 12 septembre
11h – Halles de Biarritz
20h – Parvis de la Gare du Midi Samedi 13 septembre
11h – Place Clémenceau
20h – Parvis du Casino Municipal
Gratuit
Musiciens : Alfred Spirli, Thierry Daudé,
Philippe Neveu, Daniel Malavergne
Danseurs : Alexandre Théry, Karim Sebbar,
Anne Catherine Nicoldazé,
Comédien : Pierre Pilatte



Compagnie Sylvain GROUD
Ma Terre Nelle
Samedi 13 septembre – 18h
Colisée
Jeune public
Dès 3 ans
Tarif unique : 10 euros
Conception : Sylvain Groud
Interprétation : Bruno Bayeux, Arnaud Le
Mindu, Sylvain Groud
Musique originale : Arnaud Le Mindu
Lumières : Pierre Borde
Régie Générale : Michael Dez
Scénographie : Sylvain Groud
Décor : Sylvain Groud
Costumes : Kakou Cavalier
Durée : 45 minutes

Citation:
Ma Terre Nelle (2005)
Au départ créé comme une déambulation dans une école maternelle, Ma Terre Nelle dans sa version scène, entraîne le public à revisiter les ressources du plateau. Trois enfants (un musicien, un comédien, un danseur) devenus grands le temps d’une sieste, réinventent avec le
public une maternelle : un dortoir douillet et onirique, un couloir vif et abstrait, une classe mystérieuse et infinie. Ces trois enfants se jouent de nos certitudes, changent tout rapport d’échelle. Par leur jeu malicieux, ils interpellent le public : rester ou grandir ?




INBAL PINTO & AVSHALOM
POLLAK DANCE COMPANY
Shaker
(Israël)

Samedi 13 septembre – 21h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein: 25 €
Tarif réduit : 22 €
Tarif fidèle : 15 €
Tarif découverte : 10 €
Chorégraphes, Costumes, Bande-son : Inbal
Pinto et Avshalom Pollak
Interprètes : Michal Almogi, Ido Batash, Talia
Beck, Zvi Fishzon, Igal Furman, Shay
Haramaty, Shir Medvetzky, Andreas Merk,
Naomi Nissim, Shi Pratt, Dana Shoval
Lumières : Uri Morag
Assistant costume : Ditza Avidan
Maître de Ballet : Dina Ziv
Musique : Chopin, Purcell, Gavin Bryars et
Arvo Part, avec des musiques folks suédoises
Durée : 1 heure

Citation:
Shaker (2006)
Vent froid et neige abondante!
Telle est la météo annoncée sur scène lorsque le rideau se lève. Et la tempête arrive… mais avec une énergie et une chaleur qui surprend et réveille. Il faut dire que la dépression vient du sud, d’Israël, de Tel-Aviv plus exactement et qu’elle porte le nom de Shaker. Le ton est donné : la secousse sera croissante et ne laissera aucun repos. Si elle s’immisce timidement dès la vision de la scène transformée en petit village islandais
avec ses trois cahutes blanches et ses 10 cm de neige en polystyrène recouvrant la scène, elle s’accroît au fur et à mesure que la neige s’anime, vole, glisse sous les assauts des danseurs, habitants de ce drôle de microcosme. Une boule à neige géante tout droit sortie de l’enfance que la chorégraphe agiterait non stop pour éviter que la neige ne retombe et que les choses ne se figent . C’est poussés par cette énergie vitale que les corps s’agitent avec fougue et que les personnages s’animent et jouent ; entre eux, avec la neige sur laquelle ils traversent le plateau en glissant ou avec le spectateur amusé par les clins d’oeil, à Chaplin notamment. La bande-son est, elle aussi, à l’image de la chorégraphie, bondissante, passant du piano à un morceau de musique baroque ou à une chanson rétro chantée en japonais… Le monde à l’intérieur du shaker est magique et enchanté mais pas forcément heureux, on y ressent à la fois le bon et le mauvais, la joie et la tristesse. Représentant une nouvelle génération d’artistes israéliens, Inbal Pinto, chorégraphe et Avshalom Pollak, metteur en scène, sont connus pour leur habileté à mêler drame fantasque et comédie, mariage réussi grâce à l’emploi de danseurs mais aussi de comédiens. Ainsi, le spectacle propose une alliance sans faille entre la danse contemporaine, le ballet, le mime et l’acrobatie. Les costumes hautement théâtraux et originaux et les décors deviennent partie intégrante de la chorégraphie. La mise en scène se démarque donc par sa force visuelle. On navigue dans un univers qui peut être tant satirique et cauchemardesque que dadaïste et absurde.




ARACALADANZA
Pequeños Paraisos
(Espagne)
Dimanche 14 septembre – 18h
Colisée
Jeune public
Dès 4 ans
Tarif unique : 10 €
Conception et direction chorégraphique :
Enrique Cabrera
Chorégraphie avec les interprètes :
Carolina Arija Gallardo, Jimena Trueba, Noelia
Pérez Gil, Raquel de la Plaza
Pilar Abaurrea Zardoya
Musique originale : Mariano Lozano P.
Ramos
Décors et costumes : Elisa Sanz
Création lumières : Pedro Yagüe
Invention et réalisation des marionnettes :
Ricardo Vergne
Accessoires sur marionnettes : Compagnie
théâtrale El nudo.
Réalisation des costumes : Petra Porter
Création graphique et photographie : Oscar
Cantos
Durée : 50 minutes

Citation:
Librement inspiré du tableau de Bosco, Le Jardin des Délices, le nouveau travail d’Aracaladanza a pour simple intention d’offrir aux spectateurs des petits instants de bonheur. Pequeños Paraísos (petits paradis) offre des moments de bonheur fugaces qui procurent une
joie contagieuse et promettent des sourires. Un spectacle lumineux qui prend le temps de s’attarder minutieusement sur de petits détails. Pequeños Paraísos ne raconte rien. Il profite juste de l’instant et s’en amuse. Il n’enseigne pas, ne guide pas et laisse à chacun développer
son imaginaire. Un travail épuré qui fait danser les objets et dont les marionnettes qui accompagnent les cinq danseuses se convertissent, de fait, en sixième ballerine. Destiné au public familial, il prétend aussi réveiller l’enfant caché en chacun de nous, quel que soit notre âge.


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haydn
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MessagePosté le: Mer Juil 02, 2008 11:22 am    Sujet du message: Répondre en citant

COMPANHIA PAULO RIBEIRO
FEMININE
(Portugal)
Dimanche 14 septembre – 19h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein: 25 €
Tarif réduit : 22 €
Tarif fidèle : 15 €
Tarif découverte : 10€
Première française
Direction et chorégraphie: Paulo Ribeiro
Textes : A partir de textes de Fernando
Pessoa, traduits par Richard Zénith
Lumières : Numo Meira
Danseuses : Elisabeth Lambeck, Erika
Guastamacchia, Leonor Keil, Margardia
Gonçalves, Sao Castro.
Assistant à la chorégraphie : Peter Michael
Dietz
Musique : Nuno Rebelo
Création des costumes et production :
Ana Luena
Vidéo : Paulo Américo

Citation:
Cinq femmes et Fernando Pessoa. Un Pessoa au féminin et talons aiguilles. Les paroles du poète défient celles des cinq interprètes qui se laissent perdre à leur tour par leurs propres récits. La poétique du mouvement féminin parcourt la pièce, mêlée à l’ardeur insufflée dans chaque geste. Dans cet univers propre à Pessoa, les interprètes s’occupent de leurs cheveux, mettent des talons aiguilles, dédaignent les hommes et dansent avec leur corps qui transpirent la sensualité. Le mouvement est retenu, épuré et se dilue dans un plaisir prolongé. Et cet espace de sensations n’est interrompu que par le pouvoir qu’a le chorégraphe de jouer avec ses créations, de les faire rire d’elles-mêmes.




BALE DA CIDADE DE SAO PAULO
Dualidade@br / Canela Fina / Perpetuum
(Brésil)
Dimanche 14 septembre – 21h
Gare du Midi
Tarif plein : 35 €
Tarif réduit : 32 €
Tarif fidèle : 28 €
Tarif découverte : 10 €
Places numérotées
Dualidade@br - Première française
Chorégraphe : Gagik Ismailian
Assistants: Lumena Macedo et Laudnei
Delgado
Costumes: Geraldo Lima Júnior
Lumières: Wagner Freire
Musique: "Com Que Voz" et "Meu Amor"
d’Amália Rodrigues, Henry Tourge, Wim
Mertens, Delirium.
Canela Fina - Première française
Chorégraphe, scénographe, lumières :
Cayetano Soto
Musique : Michael Gordon ( weather 1)
Perpetuum
Chorégraphe : Ohad Naharin
Assistant : Adi Salant
Chorégraphes assistants et répétiteurs:
Laudnei Delgado, Lumena Macedo
Musique : Johann Strauss
Costumes : Rakefet Levi
Lumières : Avi Yona Bueno (Bambi)
Scenographie : Arik Levi
Durée: 1h45 avec entracte



ORGANIK
Nathalia Monge
(Pays Basque)
Lundi 15 septembre – 19h
Colisée
Tarif unique : 10 €
Conception et direction : Natalia Monge
Chorégraphes et Interprètes : Pilar de
Andrés, Helena Golab Izaskun Santamaría
Musique originale : Itziar Madariaga
Scénographie et costumes : Organik
Lumières : Ivan Garcia
Technicien : Kric-Krac
Durée : 1 heure

Citation:
On reconnaît le travail d’Organik par l’humour avec lequel la compagnie aborde des sujets actuels. Ainsi pour évoquer les femmes, Organik préfère parler de leurs hormones et de leurs influences au cours de leur vie : adolescence, maternité, ménopause. Tout s’explique par les
hormones : tensions, chaleur, manque d’air, agressivité, libido en hausse, libido en baisse…Une montagne russe d’émotions. Lilas prend alors les couleurs du féminisme, sans jamais tomber dans les poncifs.




Emanuel GAT DANCE
Emanuel GAT
Voyage d’Hiver
Le Sacre du Printemps
(France /Israel)
Lundi 15 septembre – 21h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein : 25 euros
Tarif réduit : 22 euros
Tarif fidèle : 15 euros
Tarif découverte : 10 euros
Voyage d’Hiver
Chorégraphe, lumières, costumes :Emanuel Gat
Musique : Frantz Schubert
Interprètes : Roy Assaf et Emanuel Gat
Le Sacre du Printemps
Chorégraphe, lumières, costumes :
Emanuel Gat
Musique : Igor Stravinsky
Pièce pour 5 danseurs
Durée : 1 heure



Cie DE DANSE HALLET EGHAYAN
Michel HALLET EGHAYAN
Retour en avant
(France)
Mardi 16 septembre – 19h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein : 25 euros
Tarif réduit : 22 euros
Tarif fidèle : 15 euros
Tarif découverte : 10 euros
Chorégraphie et conception : Michel Hallet
Eghayan
Musiques : Jean-Sébastien Bach
Collaboration musicale : Jean-Christophe
Désert
Danseurs : Guillaume Barre, Jacinthe
Janowskyj, Ivan Julliard,
Marina Morel, Marc Ribault, Maude Rieder
Création lumière : Guy Simard
Création costumes : Carole Boissonnet
Durée : 1 heure


Citation:
Retour en avant (2008)
Re-création de l’oeuvre originale de 1983 à l’occasion du 30ème anniversaire de la Compagnie et en ouverture de la Biennale Internationale de la Danse de Lyon Retour en avant du chorégraphe Michel Hallet Eghayan créée en 1983 pour la Biennale de Lyon prouvait alors que la danse française pouvait être contemporaine, belle et essentielle, tout en puisant aux sources de notre patrimoine gestuel et musical. Retour en avant qui interrogeait déjà la mémoire, l’invention et les rapports entre la danse et la musique (ici Jean-Sébastien Bach) est devenue une pièce incontournable du répertoire de la Compagnie Hallet Eghayan. La musique de Jean Sébastien Bach, si fortement structurée, offre paradoxalement au
chorégraphe un point d’appui solide et une grande liberté pour créer avec elle une infinité de rapports. Le répertoire classique offre cette particularité à la danse contemporaine de contraindre le chorégraphe à explorer des champs nouveaux. Face à des “lieux communs”, des sortes de “clichés musicaux” le chorégraphe se doit autant que faire se peut, d’échapper aux
stéréotypes. Il en va ainsi de chaque phrase, de chaque mesure, de chaque instant, tant l’écriture musicale est forte.
Retour en avant a donc permis d’établir entre la danse et la musique des liens toujours nuancés. Michel Hallet Eghayan et sa compagnie avaient besoin à leur tour de l’apaiser et, pour ce faire, de donner à leur danse un regard plus conscient sur les rapports qu’elle entretenait avec la musique. Ils ne voulaient pas choisir entre le premier académisme qui consistait à chorégraphier en accord total avec la partition et le second académisme qui voulait que l’on chorégraphiât dans l’indépendance absolue.
Aujourd’hui, reprise 25 ans plus tard, cette pièce témoigne comment la danse, art du provisoire et de l’éphémère, peut franchir l’épreuve du temps en restant pertinente. Un rendez-vous où la danse, loin de se figer dans une quelconque nostalgie, reste libre et vivante.




Cie JANT-BI/GERMAINE ACOGNY
Germaine Acogny et Kota Yamazaki
FAGAALA
(Sénégal/Japon)
Mardi 16 septembre – 21h
Gare du Midi
Tarif plein : 35 €
Tarif réduit : 32 €
Tarif fidèle : 28 €
Tarif découverte : 10 €
Places numérotées
Chorégraphes : Germaine Acogny, Kota
Yamazaki
Assistant Germaine Acogny : Longa Fo Eyeto
Assistante Kota Yamazaki : Mina Nishimura
Musique : Fabrice Bouillon- Laforest, Jean-
Yves Gratius
Danseurs : Babacar Ba / Ciré Beye /
Mouhamed Abdoulaye Kane / Ousmane
N'Diaye, dit Bané / Pape Ibrahima N'Diaye, dit
Kaolack / Bertrand Saki Tchébé / Abib Sow
Scénographie : Maciej Fiszer
Création lumières : Horst Mühlberger
Costumes : Oumou Sy
Musiciens : Oumar Fandy Diop, Ndeye Seck,
Mamadou Traoré,
Djibril Ba, Abdourahmane Diop
Durée : 1h10



Cie L’ADRET
David RODRIGO et Gaël BOVIO
Tri-biome
Mercredi 17 septembre – 19h
Colisée
Tarif unique : 10 euros
Chorégraphie : David Rodrigo
Scénographie : Gaël Bovio
Lumière : Philippe Ferbourg
Création bande son : Jean-Jacques
Schmidely
Interprétation : Maëlle Desclaux, Alain El
Sakhawi, Patricia Henriques, David Rodrigo
Durée : 1 heure


Citation:
Tri-biome (2008)
« L’individu s’oppose à la collectivité, mais il s’en nourrit. Et l’important est bien moins de savoir à quoi il s’oppose que ce dont il se nourrit. »
André Malraux. Le Temps du mépris

« Il arrive que les grandes décisions ne se prennent pas, mais se forment d’elles‐mêmes. »
Henri Bosco.

Tri‐biome : trois angles de vue, trois expériences distinctes, trois mises en situation pour essayer de saisir la construction des vies de chacun d’entre nous. Dans un univers de sciencefiction, mais avec une approche résolument humaine, tri-biome tente de saisir ce qui façonne les êtres dans leur vie. La première partie est axée autour d’un travail intime sur l’individualité et la nature profonde de chaque interprète. Le contexte est exclu et l’environnement sans cesse modulé. Sans contrainte extérieure, il est question des libertés individuelles. La deuxième expérience met en évidence les influences sociales... La contrainte, le modèle, l’image et le conditionnement. Les interprètes se relaient dans un mouvement persistant, avec une gestuelle plus écrite, structurée, directionnelle et plus sèche. La dernière aventure est une fiction utopique, à l’image d’une dictature. Totalement formatés et dirigés, les personnages ont la même partition. Un départ en ligne dans un starting block, tous égaux au saut de la vie, annonce une course de clones. Malgré tout, les individualités
ressurgissent comme autant de grains de sable dans un engrenage.


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haydn
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MessagePosté le: Mer Juil 02, 2008 11:31 am    Sujet du message: Répondre en citant

Josef NADJ et Dominique MERCY
Petit psaume du matin
Mercredi 17 septembre – 21h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein : 25 €
Tarif réduit : 22 €
Tarif fidèle : 15 €
Tarif découverte : 10 €
Chorégraphie : Josef Nadj
Interprètes : Josef Nadj et Dominique Mercy
Lumières : Rémi Nicolas assisté de Xavier
Lazarini
Costumes : Bjanka Ursulov
Musiques traditionnelles : Cambodge,
Macédoine, Roumanie, Egypte, Hongrie,
Michel Montanaro, extrait de « Maria » Igor
Stravinsky « Tango »
Durée : 1 heure


Cie LE CRI DU PIED
Lauriane CHAMMING’S
L’empreinte
Jeudi 18 septembre – 19h
Colisée
Tarif unique : 10 euros
Conception, chorégraphie : Lauriane Chamming's
Interprétation: Valérie Ardilliez
Juliette Delaunay, Johanna Etcheverry
Céline Kerrec, Virginie Perret
Création Lumière et Son : Emmanuel
Bassibé
Régie Lumière et Son : Vanessa Lechat
Durée : 50 minutes

Citation:
L’empreinte (2006)
«Selon la mythologie, l’enfant à naître est un grand sage. Déjà, dans le ventre de sa mère, il connaît tous les secrets du monde, il possède la connaissance universelle. Mais, juste avant sa naissance, un ange lui intime le silence. Il lui applique un doigt sur la bouche et chut...
l’enfant oublie tout. Tout ce qu’il a appris là-bas, avant. Il vient alors au monde innocent. Il n’y a que son inconscient qui se souvient vaguement des "grands secrets". Et de ce contact angélique, il ne reste alors que le creux sous notre nez : "L'empreinte de l'ange". » L’empreinte rassemble cinq danseuses singulières venant d’un même univers : l’improvisation et l’écriture instantanée. L’idée était de les rassembler pour construire (à partir de l’improvisation et de la composition) une pièce ludique, légère et poétique, à leur image. L’empreinte parle de chacune des interprètes, de leurs héritages, de leurs racines, de leurs liens à la famille : à travers les thèmes de la transmission, de l’inné et de l’acquis. Quels sont nos liens à la spontanéité, aux instincts, aux réactions pulsionnelles ? Comment réagissons-nous face aux règles, aux modèles ? Que nous reste-t-il de cette mémoire collective ? Chacune arrive avec ce qu’elle est et ce qu’elle est devenue à travers différentes expériences de la vie et du mouvement. Chacune raconte son histoire, l’intègre, la transforme et marque son empreinte dans le temps et dans l’espace. L’empreinte, c’est une rencontre, c’est l’image de ce qui a été. C’est ce qui caractérise chacun
d’entre nous à travers notre patrimoine. Elle marque le lien, la filiation avec un acte, un événement antérieur. L’empreinte représente aussi une trace : on la laisse derrière soi comme ses ancêtres que l’on a peu connu mais que l’on emmène malgré tout avec nous à chaque moment nouveau
«On danse ce que l’on est devenu» S. Buirge (danseuse et chorégraphe américaine). On danse ce qui nous a traversé, ce qu’on a intégré, ce qui nous a construit. Ce qui reste, c’est soi.




KIEV MODERN BALLET
Radu POKLITARU
Boléro / The Rain
(Ukraine)
Jeudi 18 septembre – 21h
Gare du Midi
Tarif plein: 35 €
Tarif réduit : 32 €
Tarif fidèle : 28 €
Tarif découverte : 10 €
Places numérotées
Boléro – Première française
Chorégraphie : Radu Poklitaru
Assistant chorégraphique : Koslov Anatolii
Musique : Maurice Ravel
Lumières: Anthokina Olena
Costumes : Kavalenka Aliaksandr
The rain – Première française
Chorégraphie : Radu Poklitaru
Musique : Jean-Sébastien Bach / world music
Lumières: Anthokina Olena
Costumes : Kavalenka Aliaksandr
Interprètes : Baranov Ruslan / Busko Oleksii
/ Dolgikh Olena / Kalivods Aleksandrs /
Klymenko Sergii / Kon Sergiy / Kondakova
Olha / Kondratiuk Dmytro / Martynova Viktoriia
/ Mitiev Volodymyr / Seliverstov Oleksandr /
Shevchenko Olha / Shramko Lidiia /
Simonova Olena / Turchyn Oleksandr /
Tymoshenko Iuliia / Velychko Anna / Vinnikova
Elina
Durée : 1h20 avec entracte



LES ASSOCIÉS CREW
Babacar Cissé
Vendredi 19 septembre – 19h
Colisée
Tarif unique : 10 €
Chorégraphie : Babacar Cissé « Bouba »
Interprètes : Babacar Cissé, Charlotte
Cousew, Julian Rouyre, Blair Sé Ly, Lowriz
Trung Ngon Vo, Hassan Sarr
Lumières : Antoine Auger
Durée : 50 min

Citation:
Être et Renaître (2008)
Tous liés, tous des hommes…
Les sociétés reposent sur un système de règles établies. Que l’on y adhère ou que l’on s’y oppose, il nous faut toutefois les suivre. Quand la rue, l’école, le travail nous intègrent dans une coexistence artificielle, l’individu,
prisonnier des codes, aspire à « se trouver » et à définir sa place en étant lui-même. Par quel combats intérieurs est-on amené à s’extraire de cette condition et comment ré-envisager nos rapports pour créer du lien nouveau et plus vrai ? Peut-être renaître dans une dimension spirituelle et humaine plus profonde ? Quand tendre la main et savoir la recevoir nous unit enfin pour mieux partager, vivre et construire ensemble…
Babacar Cissé

C’est en puisant l’inspiration au coeur de ses expériences personnelles mais aussi au regard des drames quotidiens des autres, que Babacar Cissé a entrepris l’écriture de ce spectacle. En traitant de l’affrontement entre les « identités » plurielles de « façade » des individus et leur être spirituel profond, le chorégraphe revisite les concepts freudiens du moi, du sur moi et du principe de réalité qui déchirent l’être. Chacun comprend l’importance des codes sociaux nécessaires à l’intégration de l’individu et chacun s’accorde dans un même temps à se montrer différent au travail, entre amis ou au supermarché. Ces petites transformations quotidiennes, ces apparences mouvantes répondent à un besoin vital, à un instinct grégaire primordial, interdisant à l’individu de se marginaliser, de s’affirmer trop clairement dans ses différences, au risque d’être exclu. Les codes sociaux permettent à l’individu de répondre aux images que les autres se façonnent : correspondre à l’image que l’on attend de nous ou être celui que l’on rêve d’être. Cet autre auquel on n’a pas accès. Cette subtile illusion peut se traduire par un style vestimentaire, par des symboles exhibant notre appartenance religieuse, culturelle ou idéologique, par une façon de parler. Mais tout cela n’est que duperie et ne correspond jamais vraiment à ce que nous sommes. Habitués, conditionnés par la dictature de plus en plus présente du paraître, on apprend aujourd’hui très tôt à se fuir ou à ne pas s’accepter… parfois même à se méconnaître… Alors comment être sûr de vraiment accéder à soi-même et de connaître l’autre tel qu’il est vraiment ?
Cette quête peut parfois être un cheminement personnel de recherche intérieure et de remises en question ; mais elle passe souvent par la relation à l’autre. A travers cette réflexion, Babacar Cissé imagine un monde reconstruit sur d’autres critères plus profonds, plus humains, où les liens entre les individus ne seraient plus artificiels et conditionnés par les conventions sociales mais reposeraient sur un réel partage, un don de soi
et « une vérité des émotions ramenées à leur essence ». Babacar Cissé nous propose ainsi non pas l’annihilation du groupe au profit des individualités mais une utilisation différente de cette énergie au profit d’une société plus solidaire et plus vraie pour demain. Babacar Cissé signe avec cette pièce pour 5 danseurs un véritable plaidoyer.


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MessagePosté le: Mer Juil 02, 2008 11:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

LANONIMA IMPERIAL
Juan Carlos GARCIA
Variacions Al-leluia
(Catalogne)
Vendredi 19 septembre - 21h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein: 25 €
Tarif réduit : 22 €
Tarif fidèle : 15 €
Tarif découverte : 10 €
Création : Juan Carlos García
Artistes : Olga Clavel, Yester Mulens,
Miryam Mariblanca, Mürfila
Scénographie : José Menchero
Direction musicale : Oriol Rosell et Mürfila
Assistante chorégraphique : Anna Roblas
Costumes : José Menchero et Juan Carlos García
Durée : 1 heure

Citation:
Variacions Al-leluia (2007)
Terreurs, horreurs, cauchemars, angoisses,
Paniques, violences, frayeurs et peurs,
Il n’y a rien de plus beau si tu sais jouer.”
Variacions Al·leluia

La pièce propose une dramaturgie simple conçue comme un jeu d’enfants.
Avec la présence d’êtres terribles, accompagnés par la douce et perverse guitariste Mürfila, la pièce joue autour de ce troublant sentiment que l’on a de se faire peur. Cette œuvre met en valeur des situations énigmatiques, des atmosphères clair-obscur, des anges déchus et d’effroyables jeux d’enfants propres aux histoires d’horreurs. Avec pour certitude que l’on apprend dès l’enfance que c’est avec la peur que se développe la valeur des choses, Varacions Al.leluia est un jeu avec nos fantasmes. Avec guitare et danse, cet opéra de poche rock&roll mêle habilement danse et musique en direct, dans une atmosphère naviguant entre sensualité et mysticisme. La scénographie de José Menchero, fidèle depuis de nombreuses années à l’univers de Lanonima, prolonge avec ses objets fantastiques, ce monde de jeu enfantin terrifiant.





Compagnie RETOURAMONT
Geneviève MAZIN et Fabrice GUILLOT
Réflexion de façade
Samedi 20 septembre – Extérieur
12h – dans les airs entre la Mairie et le Casino
Municipal de Biarritz
17h – Façade de l’Atabal
Gratuit
Chorégraphie : Geneviève Mazin et Fabrice Guillot

Citation:
Réflexion de façade (1997)
«Nous dansons dans la ville et explorons ses facettes, ses détours, ses reliefs, ses coins etrecoins. Elle nous ouvre ses perspectives, ses limites souvent invisibles pour les passants. Chaque verticale peut être pour nous support de nos évolutions. Nous proposons de les révéler en venant s’y confronter, s’y appuyer, en jouant des contours afin de s’approprier les
espaces que nous côtoyons tous les jours, que nous habitons. Cette approche peut se développer sous trois formes : Exploration, Parcours et Présence dans la ville. »

Compagnie Retouramont

Complices de la matière, appuyés à un mur ou collés au sol, les danseurs construisent une architecture fugitive, transforment les espaces quotidiens des habitants en terrain ludique d'expression. Cette danse-sculpture révèle les objets auxquels elle s'attache, les espaces sur lesquels elle s'attarde, leur offrant un espace de vie éphémère. Les danseurs se jouent de la
verticalité. La chute des corps mène la danse et quand elle se termine, le vertige persiste, le spectateur vacille. En investissant la façade de l’Atabal ou en dansant dans les airs le long d’un câble suspendu entre la mairie et le casino, les danseurs voltigeurs de Retouramont font de la ville et de son
architecture un support du mouvement.




BLACK BLANC BEUR
Christine CODUN
Si je t’M
Samedi 20 septembre – 18h
Atabal
Tarif plein :15 euros
Tarif découverte : 10 euros
Tarif fidèle : 10 euros
Tarif réduit : 10 euros
Chorégraphie : Christine Coudun
Création lumière: Patrick Florès
Montage musical : Christine Coudun
Costumes: Hardcore Session et Olga Papp
Danseurs: Franz Cadiche, Adilson Horta de
Sousa, François Kaleka, Laurent Kong a Siou,
Magali Lefay, Valentine Nagata ou Emilie
Schram, Jennifer Suire ou Manuela Bolegue,
Lowriz Vo Trung Ngon.

Citation:
Si je t’M (2004)
« Le défi romantique sous les tropiques ou comment, en déplaçant le drame universel de l’amour, dans un cadre privé de nos repères habituels, apparaissent les « mobiles » de nos vies ensembles. Tchaïkovski, Winton Marsalis, Kronos Quartet, Erika Badu, Saint-Saens, Art Zoyd, Chopin, Meredith Monk… Le montage musical réalisé par Christine Coudun s’appuie
sur la confrontation des genres ; et au travers de ce voyage c’est une poursuite de la vie en break. Ronde des énergies, tourbillon de volupté, bal perdu hors du temps et de tous les temps, Si je t’M interroge les relations entre hommes et femmes. »

Compagnie Black Blanc Beur.

Si je t’M prend à bras-le-corps la relation homme-femme, sujet encore souvent empreint de tabous dans l’univers majoritairement masculin du hip-hop. Poursuivre la quête de sens et d’émotions au-delà des stéréotypes portés par cette danse, voilà le moteur de la démarche de création de la chorégraphe Christine Coudun. La ronde amoureuse, la parade de l’amour,
union et duel, sont portées par toutes les musiques : du « Lac des Cygnes » au tango, du mambo au human beat box. Des moments de grâce qui signent une véritable écriture chorégraphique.




COMPANHIA URBANA DE DANCA
Agwa et Suite Funk
(Brésil)
Samedi 20 septembre – 20h
Théâtre du Casino Municipal
Plein tarif : 25 €
Tarif réduit : 22 €
Tarif fidèle : 15 €
Tarif découverte : 10 €
Suite Funk
Chorégraphie : Sonia Destri et Companhia
Urbana de dança
Musique : Funk ball base
Vidéo : Marcelo Destri et Bruno Léonardo
Films : Kathie Levy
Scénographie, vidéo : Diego Carvalho
Coproduction : Biennale de Danse de Lyon
Avec le soutien de : Centro Coreografico da Cidade do Rio de
Janeiro et SESC Copacabana – Ambassade du Brésil en France
Agwa
Chorégraphie : Mourad Merzouki
Musique : AS’N
Scénographie : Benjamin Lebreton
Coproduction : Biennale de la Danse de
Lyon, Espace Albert Camus de Bron,
Compagnie Käfig
Avec le soutien de : Fondation BNP Paribas, Ministère de
la culture et de la communication, DRAC Rhônes-Alpes,
région Rhône-Alpes, Culturesfrance pour certaines de ses
tournées internationales, Ambassade du Brésil France.
Kâfig est en résidence à l’Espace Albert Camus de Bron.
Durée : 1h15 avec entracte



BALLET DE L’OPÉRA DE
MACEDOINE
Mikhail KRAPIVIN
Scheherazade
(Macédoine)
Samedi 20 septembre – 21h
Gare Du Midi
Tarif plein: 35 €
Tarif réduit : 32 €
Tarif fidèle : 28 €
Tarif découverte : 10 €
Places numérotées
Première française
Chorégraphe : Mikhail Krapivin
Solistes :
Zobeide: Aleksandra Mijalkova
L’escalve : Dmitro Chebotar
Le roi Sharhyar: Goran Bozinov
Shah Zaman: Kiro Pavlov
Durée : 50 minutes

Citation:
Scheherazade (2006)
Le ballet Scheherazade est inspiré des Contes des mille et une nuits.
Persuadé par son frère, le shah Zeman, que son esclave favorite, la belle Zobeide le trompe en son absence, le shah Shahryar feint de partir à la chasse. A peine éloigné, les femmes du harem persuadent le chef des Enuques d’ouvrir les grilles aux beaux esclaves captifs pour se livrer avec eux aux plaisirs de l’amour. Le plus magnifique d’entre tous, l’Esclave d’Or,
captive Zobeide qui ne résiste pas à ses étreintes passionnées. Le shah Shahryar surgit au plus fort de l’orgie et ordonne de massacrer esclaves et favorites. Il hésite à condamner Zobeide qui implore son pardon, mais qui voyant ses efforts vains, préfère se poignarder aux pieds de son maître, plutôt que d’être honteusement tuée comme ses compagnes. Les compagnies qui défendent exclusivement le répertoire classique sont aujourd’hui peu nombreuses. Le Ballet de l’Opéra de Macédoine, dans la tradition de l’école russe embrasse fièrement depuis 50 ans cette mission tout en restant attentive à son époque. Scheherazade, chorégraphiée par Fokine en 1910, appartient justement au répertoire des grands ballets. Son adaptation par le chorégraphe russe Mikhail Krapivin, propose une danse
de caractère et souligne l’enchantement d’une histoire orientalisante portée par des danseurs d’exception.




AUKERAN
Katixa PEREA
Bideak
(Pays Basque)
Dimanche 21 septembre –19h
Théâtre du Casino Municipal
Tarif plein: 25 €
Tarif réduit : 22 €
Tarif fidèle : 15 €
Tarif découverte : 10 €
Direction et chorégraphie : Katixa Perea
Script et direction scénique : J.-A. Vitoria et
Garbi Losada
Danseurs : Edu Muruamendiaraz, Aiert
Beobide, Gotzon Poza, Ander Errasti, Iurre
Aranburu, Maitane Múgica, Onintza Odriozola,
Naikari Galarraga, Garazi Lekuona, Ane Anza
Musique : Shanti Basauri, Ion Lombera, Julio
Andrade, Pascal Gaigne : bande originale du
court-métrage, Bertzea de Safy Nebou
Voix : Alaitz Ormazabal
Chorégraphie contemporaine : Katixa Perea
Stylisme et costumes : Ramon Garcia
Durée : 1h10

Citation:
Bideak (2007)
Aukeran est à l’écoute du métissage culturel et chorégraphique du monde dans lequel nous vivons. La compagnie travaille sur la fusion entre la danse traditionnelle et la danse contemporaine, sur le métissage des rythmes, des mélodies du Pays Basque avec des musiques lointaines aux résonances parfois familières. « Bideak est une réflexion sur les chemins et ses croisements et surtout sur les transmissions qui s’opèrent au fil des générations. Iparra, Hegoa, Ekia, Mendebala: la vie et la mort, la création et la destruction, l’amour et la guerre au carrefour des chemins. Sur le chemin, tu trouves et on te trouve. Tu apprends et on apprend de toi. Les chemins qui traversent notre pays (spécialement le Chemin de Saint Jacques de Compostelle) nous ont mis en contact avec d’autres cultures, d’autres tendances et ont permis que des musiques et des danses de toute l’Europe se métissent avec les nôtres. Pour cette raison, nous souhaitons que dans Bideak, apparaissent d’autres danses et d’autres instruments.
Du Nord, il y aura des rythmes binaires de Scandinavie, des rythmes ternaires d’Ecosse et d’Irlande, des phrasés et des harmonies de Bretagne. Du Sud, des rythmes ternaires arabes, des instruments comme la darbuka, le tar, les castagnettes, le nay, etc. Et tout cela se croisera avec notre tradition. Et que raconter à partir de tout cela ? Que l’homme ne choisit pas le chemin, mais que le chemin choisit l’homme. Que ce chemin te mène par des paysages de lumières et d’ombres depuis le passé jusqu’au futur, du connu à l’inconnu, et se convertit ainsi en un sentier de dépassement personnel, de curiosité intellectuelle et d’échange. Que notre chemin est par conséquent un chemin métaphorique, image de la vie et du passage de l’Histoire. Toute la pièce est construite autour de rubans et de cordes : les soka dantzak, métaphores du chemin sur lequel nous sommes tous voyageurs. Le voyage physique devient une allégorie du voyage spirituel»


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MessagePosté le: Mer Juil 02, 2008 11:47 am    Sujet du message: Répondre en citant

AIDA GOMEZ
Carmen
(Espagne)
Dimanche 21 septembre – 21h
Gare du Midi
Tarif plein: 35 €
Tarif réduit : 32 €
Tarif fidèle : 28 €
Tarif découverte : 10 €
Places numérotées
Direction artistique et Chorégraphe : Aída
Gómez Metteur en scène : Emilio Sagi
Musique : José A. Rodríguez (Musique originale)
et Bizet (orchestration Miguel Roa)
Lumières : Nicolás Fistchel (AAI)
Costumes : Miguel Crespi
Interprètes :
CARMEN : Aída Gómez
DON JOSÉ : Christian Lozano
ESCAMILLO : Eduardo Leal
MANUELITA : Yolanda Murillo / Maria Alonso
LILLIAS PASTIA : Eduardo Carranza
ZÚÑIGA : Antonio Jesús Jimenez
Corps de ballet : Miriam Mendoza, Yolanda
Murillo, Patricia Fernández, Palom Ariza, Sara
Martin, Maria Alonso, Bárbara Moreno, Rocio
Osuna, Antonio Rosales, José Franco, Daniel
Morillo, Angel Roda, Angel Sanchez
Durée : 1h30

Citation:
CARMEN (2006)
Tiré d’une nouvelle de Prosper Mérimée, l’opéra Carmen est composé en 1875 par Georges Bizet, compositeur décédé trop jeune pour assister au succès de son oeuvre. L’action de Carmen se déroule à Séville, en Espagne, à la fin du XIXème siècle. Carmen la cigarière se bat avec Manuelito à l’intérieur de la fabrique de tabac. À l’issue de cette bagarre,
elle lui coupe le visage. Le lieutenant Zuniga ordonne sa détention, et charge Don José, chef du régiment de Dragones d’Alcala, de son transfert en prison. Carmen réussit alors à séduire Don José, qui obtient sa libération, mais qui sera à son tour arrêté et dégradé de l’armée. Un jour, Carmen se rend à l’auberge de Lillias Pastia, où elle a rendez-vous avec Don José. C’est alors qu’elle fait la connaissance du toreador Escambillo, dont elle tombe amoureuse. Plus tard, Carmen se retrouve avec Don José à une corrida. Alors que retentissent les cris de joie qui saluent le triomphe d'Escambillo, Carmen met fin aux supplications de Don José, en lui jetant la bague qu’il lui offra comme preuve d’amour et décide de rompre leur relation. Don José jaloux la frappe alors à mort.

En se livrant à l’adaptation d’un tel monument, Aida Gomez ne pouvait offrir de Carmen qu’une interprétation très intime et personnelle. Elle a choisi de donner corps à une femme hautement fatale et extrêmement sensuelle. Cette lecture enivrante a fait d’Aida Gomez une figure incontournable de la danse flamenca.


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MessagePosté le: Jeu Oct 09, 2008 11:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Thierry Malandain a été désigné hier Directeur Artistique du festival Le Temps d'aimer. Il sera aussi en charge de la programmation de la saison chorégraphique à l'agence Biarritz-Culture.

http://www.biarritz-culture.com/


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MessagePosté le: Dim Oct 19, 2008 10:56 am    Sujet du message: Répondre en citant

En écho au festival "Le temps d'aimer", qui vient de s'achever, Biarritz-culture propose le 31 octobre un spectacle de danse contemporaine africaine à la Gare du Midi :





Citation:
Compagnie Baninga / DeLaVallet Bidiefono (République du Congo)
Compagnie Inzalo D. T. C. (Afrique du Sud)
Compagnie Pape Ibrahima Ndiaye dit Kaolack (Sénégal)


Plateau des lauréats de Danse l’Afrique Danse !
Ce plateau réunit les deux compagnies de groupe et un solo, lauréats des 7ème Rencontres chorégraphiques de l’Afrique et de l’Océan indien qui se sont tenues cette année à Tunis sous la direction artistique : Syhem Belkhodja.
Depuis douze ans, cette manifestation accompagne le renouveau chorégraphique africain. Tous les noms qui comptent sur le continent y ont un jour été primés. De jeunes artistes s’affirment. Certains réinterprètent un héritage traditionnel fabuleusement riche. D’autres développent un point de vue saillant, pleinement contemporain, sur un univers qui ne l’est pas moins : celui d’une jeunesse africaine des villes, gagnée par les vents contraires de la mondialisation, avide d’expériences et de circulations nouvelles.
Ainsi se dessine la carte chorégraphique d’un continent où, bravant les difficultés, plusieurs foyers de création sont apparus,des formations et des festivals ont pris racine.
Les contextes spécifiques portent des propos d’auteurs singuliers.
Leur grande diversité contredit l’illusion exotique de "la" danse africaine unique et immuable.


(Informations communiquées par le service de presse de Biarritz-Culture)


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