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friday
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 Posté le: Jeu Aoû 31, 2006 11:07 am Sujet du message: Biennale de la danse à Lyon |
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"Le monde des villes et les villes du monde" est le thème de cette 12e édition qui accueillera, du 9 au 30 septembre, une quarantaine de compagnies nationales et internationales avec au programme 156 représentations dans huit communes de l'agglomération lyonnaise.
En outre, des danseurs présenteront des chorégraphies de façon inopinée dans des lieux totalement insolites, comme les files d'attente devant les cinémas ou sur les marchés.
La célèbre parade de la Biennale doit réunir, le dimanche 17 septembre, plus de 4.500 figurants et retrouvera son parcours de la première année de la Place des Terreaux à la Place Bellecour.
(Renseignements et réservations sur www.biennale-de-lyon.org ou 04 72 00 21 70)
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haydn
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| Posté le: Sam Sep 02, 2006 1:40 pm Sujet du message: |
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Isabelle Danto, dans Le Figaro, se livre aussi à une présentation de la Biennale de la Danse à Lyon :
| Citation: |
Festival Sous la houlette de Guy Darmet, la 12e édition de la Biennale de la danse de Lyon invite 29 villes des cinq continents et affiche un soutien élargi à la création contemporaine.
80 000 spectateurs attendus, 15 premières mondiales, 13 créations en coproduction, 40 compagnies originaires de quinze pays, 600 artistes de Sydney à New York, de Montréal à Buenos Aires, en passant par Paris, Johannesburg, Rio de Janeiro, Tokyo, Dakar, Madrid, 4 500 participants au Défilé, devenu en dix ans l'image de marque de la Biennale de la danse... Outre ces chiffres qui donnent le vertige, la Biennale affiche un programme riche et diversifié pour que chacun puisse se sentir concerné par la danse d'aujourd'hui. |
L'article d'Isabelle Danto est ICI
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haydn
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| Posté le: Ven Sep 08, 2006 6:40 pm Sujet du message: |
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Au tour du Monde de s'intéresser à l'événement chorégraphique lyonnais :
| Citation: |
Samedi 9 septembre, la Biennale de la danse de Lyon dresse un grand écran sur la place des Terreaux pour une projection de West Side Story, la comédie musicale chorégraphiée par Jerome Robbins et filmée par Robert Wise en 1961. Cette séquence lance la 12e édition de la manifestation, dirigée depuis sa création par Guy Darmet et placée cette année sous le titre générique de "Danse la ville". Un thème que l'introduction cinématographique valorise. Avec ses corps tendus prenant d'assaut les buildings, la chorégraphie de Jerome Robbins arrache au béton new-yorkais l'essence d'un mouvement urbain.
New York donc, mais aussi Istanbul, Rio de Janeiro, Sydney, pendant trois semaines. 600 artistes venus de 29 capitales du monde entier se produiront dans sept villes de l'agglomération lyonnaise. "Cette Biennale marque un tournant, indique Guy Darmet. Géographique jusqu'ici, elle devient politique. Le thème de la ville s'est imposé comme une urgence. Plus de 50 % de la population mondiale vit en ville. C'est ici que tout se passe désormais. Et la danse, plus que tout autre art, a son mot à dire sur l'environnement. Réactive, elle agit aussi sur lui." |
L'article de Rosita Boisseau est ICI
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friday
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| Posté le: Lun Sep 11, 2006 9:29 am Sujet du message: |
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a Biennale de la danse de Lyon a annoncé vendredi soir l'annulation d'un spectacle de Karine Saporta, en raison des difficultés à le remonter dans les conditions de sa création à l'Opéra du Caire, et le maintien de celui du danseur flamenco Farruquito.
Le festival devait accueillir, pour la première fois en France, trois représentations (12, 13 et 14 septembre) d'une coproduction entre The Egyptian Modern Dance Company et la compagnie de la Française Karine Saporta.
"En raison des difficultés matérielles à recréer le spectacle à Lyon dans les conditions de sa création à l'Opéra du Caire (exemple: impossibilité de remonter le décor), les représentations ont été annulées", indique la direction du festival dans un communiqué.
Les organisateurs ont à l'inverse décidé de maintenir (quatre représentations du 14 au 17 septembre) le spectacle de l'Espagnol Farruquito, étoile du flamenco, après sa condamnation en appel mardi à trois ans de prison pour avoir tué un piéton alors qu'il roulait sans permis et pris la fuite.
"La programmation de Farruquito par la Biennale de la danse de Lyon ne relève en aucun cas d'une attitude indulgente vis à vis de l'homme et de la faute dramatique qu'il a commise", assure la direction du festival. Celle-ci note que le jeune homme, "le plus grand danseur au monde de flamenco gitan", purgera sa peine "dès que le jugement sera exécutoire".
"Dans ce contexte", la Biennale de Lyon "ne souhaite pas lui appliquer le principe de la +double peine+ en l'empêchant de se produire, alors que la loi l'y autorise".
Les organisateurs ont aussi annoncé un changement de lieu pour le "Bal électro" (23 septembre), qui se déroulera sur les péniches Plateforme et Sirius près des berges du Rhône et non au Palais des sports de Gerland.
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haydn
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| Posté le: Mar Sep 12, 2006 7:24 am Sujet du message: |
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Libération a aussi effectué le pélerinage obligé à la Biennale de la Danse de Lyon, et Marie-Christine Vernay en rapporte ses impressions :
| Citation: |
Bien que très affaibli après un arrêt cardiaque, Guy Darmet, directeur de la Maison de la danse et de la Biennale de Lyon, a tenu à donner, samedi, le coup d'envoi de la douzième édition d'une manifestation devenue extrêmement populaire. Alors que la place des Terreaux était prise d'assaut pour la projection sur écran géant des Demoiselles de Rochefort, à deux pas de là, à l'Opéra, le Ballet proposait deux créations élargissant ainsi son répertoire contemporain déjà conséquent.
Antihéros. Rachid Ouramdane, Français d'origine algérienne ayant beaucoup exploré les relations entre la musique, l'image et la danse et à qui l'on doit une version pleine d'humeurs du Jeune homme et la mort, met en scène ses Superstars, entendez ses antihéros. Au lieu de se fixer sur le corps de ballet, le chorégraphe a individualisé les sept danseurs de la compagnie lyonnaise, dirigée par un Yorgos Loukos, mêlant joyeusement les nationalités. |
L'article de Libération est ICI
Attention, votre ordinateur n'a pas la berlue, le site de Libé connaît, à l'image des finances du journal, de sérieuses difficultés depuis quelques temps (pannes à répétition, piratages...) et maintenant, dans certains articles, tous les caractères accentués sont remplacés par des ?? ...
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haydn
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| Posté le: Mer Sep 13, 2006 8:18 am Sujet du message: |
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Couverture médiatique maximale semble-t-il pour cette biennale lyonnaise (les Etoiles de l'Opéra de Paris les mieux traitées par la presse ne bénéficient pas d'une telle sollicitude!) avec un nouvel article du Monde pour commenter la soirée d'ouverture dévolue au hip-hop, dont tous les poncifs sont au rendez-vous, à commencer par les discours d'Adolf-le-moustachu rééchantillonnés et montés en boucle pour servir de "musique" de fond. Normal, c'est dans le domaine public, rien à payer à la SACEM...
| Citation: |
Politique et intime : la soirée d'ouverture de la Biennale de la danse de Lyon, intitulée "Danse la ville", assène ses préoccupations. Faire de la danse le creuset d'une équation humaine singulière entre histoire collective et parcours individuel. Ce pari délicat, deux sur trois des spectacles présentés dimanche 10 septembre, à l'exception de la pièce de l'américain Tere O'Connor, Like two Kevins, étrangement datée, le relèvent sans tomber dans le discours moralisateur et la caricature poing levé.
Avec C'est ça la vie ! ?, la troupe de hip-hop lyonnaise Pockemon Crew, programmée à la Maison de la Danse, entrechoque des images d'actualités de toutes les époques (discours d'Hitler, 11 septembre, guerre d'Irak, voitures brûlées dans les cités...) projetées sur un écran et les corps survoltés de sept danseurs. Le tourniquet d'événements politiques, mélangés avec des photos de l'album perso de Pockemon, entraîne la danse à un tempo d'enfer. Sa vitesse d'exécution, avec ses pieds qui ne touchent pas le sol, ses décrochages rythmiques, est sa condition de survie dans une société qui plombe les ailes. |
L'article du Monde est ICI
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friday
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| Posté le: Jeu Sep 14, 2006 2:55 pm Sujet du message: |
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Le danseur étoile français du New York City Ballet, Benjamin Millepied, participera la semaine prochaine à la Biennale de la danse de Lyon en tant que chorégraphe mais ne pourra pas danser en raison d'une blessure sérieuse au pied, a annoncé jeudi une porte-parole du festival.
Le programme que devait présenter Benjamin Millepied & Company du 19 au 24 septembre a été modifié en conséquence. Au lieu des trois pièces initialement prévues, quatre chorégraphies seront présentées : "After The Rain" de Christopher Wheeldon, "Tarantella" de Balanchine, "Closer" chorégraphiée par Benjamin Millepied et "Fancy Free" de Jerome Robbins.
Sur scène, Benjamin Millepied sera remplacé par des danseurs du New York City Ballet.
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haydn
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| Posté le: Ven Sep 15, 2006 8:41 am Sujet du message: |
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C'est au tour du Figaro de remettre le couvert aujourd'hui :
| Citation: |
Le Ballet de l'Opéra de Lyon propose deux créations qui mettent en lumière le danseur et sa présence intime sur scène et au monde, loin de l'anonymat du corps de ballet : Superstars de Rachid Ouramdane et Like Two Kevins de l'Américain Tere O'Connor sont à ce titre passionnantes.
La pièce du premier, singulière même si l'autobiographie semble devenir une exigence pour la danse contemporaine, incorpore les interviews de sept danseurs dans un espace marqué par différents écrans vidéo. Une sorte de documentaire est donc diffusée sur le plateau. |
L'article d'Isabelle Danto est ICI
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haydn
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| Posté le: Sam Sep 16, 2006 10:30 am Sujet du message: |
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L'attaché(e) de presse de la Biennale de la Danse doit décidément être d'une efficacité diablolique, puisque Libération, en prélude à la parade de demain, publie un nouvel article sur la manifestation :
| Citation: |
En 1996, le Défilé, timide, investissait le centre-ville avec des groupes des différents quartiers de Lyon mais aussi de la périphérie.
Le concept d'agglomération devenait réalité, foulant le pavé de la rue la plus commerçante et symbolique, haut lieu de rendez-vous, la rue de la République. Guy Darmet, directeur de la Biennale, déjà épris du Brésil et de ses expressions culturelles et artistiques, avait rêvé d'un carnaval comme à Rio, avec les écoles de samba mais version lyonnaise. Il ne savait pas que, dés la première édition, le Défilé allait trouver du répondant, autant du côté des participants que du public.
Symbolique. Dix ans plus tard, même si nous ne sommes toujours pas à Rio, qui reste un déclencheur mais pas un modèle, le Défilé fait le plein d'adhérents. |
L'article de Marie-Christine Vernay est ICI
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haydn
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| Posté le: Mer Sep 20, 2006 10:04 am Sujet du message: |
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Re-re-belotte dans Le Figaro, avec un comte-rendu signé Isabelle Danto :
| Citation: |
Autour de Fancy Free, Benjamin Millepied a imaginé reprendre After the Rain du Britannique Christopher Wheeldon qui a rejoint le NYCB et compte à son actif plusieurs dizaines de pièces qui témoignent de sa maîtrise du vocabulaire classique et de son goût pour un langage narratif. Tarantella de George Balanchine (dont Benjamin Millepied a interprété les rôles principaux) est aussi à l'affiche. Ce pas de deux d'une grande virtuosité s'inspire d'une danse napolitaine, très frénétique, du XVIIe siècle. La vivacité et l'abondance des pas, ainsi que les changements incessants de direction, spécialité de Balanchine, devraient imprimer tout de suite un rythme échevelé à l'ensemble.
En regard, Benjamin Millepied propose son pas de deux, Closer, pièce minimaliste, sensuelle et audacieuse sur une musique au piano de Philip Glass. Ce duo qui a déjà fait éclater sa sensibilité musicale et son style néoclassique, hérités du NYCB, fera donc se confronter Benjamin Millepied à ses maîtres. Un beau défi en perspective. |
L'article du Figaro est ICI
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eurydice
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| Posté le: Mer Sep 20, 2006 3:08 pm Sujet du message: |
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Rien sur la compania Nacional de Danza?
J'ai eu de mon côté d'excellents échos, mais n'ai malheureusement pas pu le voir moi-même (j'en suis d'autant plus malheureuse que je me suis farci un programme un peu lourd sur le dessert...)
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haydn
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| Posté le: Mer Sep 20, 2006 3:18 pm Sujet du message: |
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| Les articles viendront sûrement, vu l'excellente couverture médiatique dont a bénéficié la biennale de Lyon. Dès que je verrai passer quelque chose, je le signalerai. Maintenant, il y a peut-être aussi des spectateurs de la région Rhône-Alpes parmi nos lecteurs, et qui pourraient nous en dire plus s'ils ont vu le spectacle...
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haydn
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| Posté le: Sam Sep 23, 2006 10:58 am Sujet du message: |
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Pas un jour sans un papier sur la Biennale de Lyon. Rosida Boisseau remet ça. Si vous êtes de passage dans la Capitale des Gaules, entre deux danses, profitez-en : un pot de Saint-Joseph, une salade de lentilles avec du saucisson tiède, une tarte aux pralines... Je sais, très bon pour les papilles, très mauvais pour un régime de ballerine 
| Citation: |
| L'éclectisme de la Biennale de la danse de Lyon se révèle plus culotté qu'on pouvait le penser. D'un côté, cette manifestation ramasse 320 000 personnes dans les rues du centre-ville pour la dixième édition d'un défilé qui appartient désormais à la tradition lyonnaise ; de l'autre, elle fait salle comble avec des spectacles intransigeants. Mardi 19 septembre, au Théâtre du Point du Jour, situé sur les hauteurs, derrière Fourvière, le directeur artistique, Guy Darmet, se réjouissait - avec raison - de la curiosité japonaise qui y était représentée : What Follows the Act, chorégraphié par Maho Sumiji, de la compagnie Selenographica. |
L'article de Rosita Boisseau est ICI
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haydn
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| Posté le: Lun Sep 25, 2006 9:55 am Sujet du message: |
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La Tunisie était également à l'honneur pour cette Biennale 2006, avec Khaddem Hazem, une pièce d'Aïcha M'Barek et Hafiz Dhaou :
| Citation: |
| Leur destin s'est endormi sur un banc d'une grande cité d'Afrique du Nord. Leur avenir s'invente au jour le jour au gré de petits boulots. Ces traîne-savates, ces hommes et ces femmes à tout faire, sont les personnages de Khaddem Hazem, une pièce pour quatre interprètes des chorégraphes et danseurs tunisiens, Aïcha M'Barek et Hafiz Dhaou. Formés à Tunis par Syhem Belkhodja puis au CNDC d'Angers, interprète (pour lui) dans les compagnies de Fattoumi/Lamoureux et d'Abou Lagraa, ces jeunes artistes travaillent sur une danse porteuse de culture première mais riche d'influences. |
L'article de Marie-Christine Vernay, dans Libération, est ICI
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haydn
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| Posté le: Ven Sep 29, 2006 8:27 am Sujet du message: |
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L'Afrique de l'Ouest aussi, avait sa place à la Biennale de la danse, ainsi que le rapporte Libération :
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| L'histoire de la danse de création au Burkina Faso ne date pas d'aujourd'hui. Déjà, dans les années 70 et 80, par le biais de la maison des jeunes de Ouagadougou et de danseurs-acteurs motivés, comme Lassana Congo qui revint au pays en 1982 après une formation artistique à l'étranger (notamment à Mudra Afrique, l'école de Maurice Béjart à Dakar), l'expression corporelle puis chorégraphique allait devenir un des modes d'écriture privilégiés des jeunes créateurs. En invitant deux compagnies de ce pays, la Biennale de Lyon tient à mettre l'accent sur la dynamique engagée, qui aboutit aujourd'hui à l'ouverture d'un premier centre dévolu à la discipline. |
L'article de Marie-Christine Vernay est ICI
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