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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26671
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Posté le: Mer Avr 26, 2006 3:34 pm Sujet du message: Le ballet Cullberg au Théâtre de Chaillot (Paris) |
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La célèbre compagnie suédoise du Ballet Cullberg est actuellement en tournée en France, et présente au Théâtre de Chaillot, à Paris, un programme consacré à Mats Ek. A cette occasion, le Figaroscope publie une mini-interview de Johan Inger, le nouveau directeur de la troupe :
Citation: |
La pièce de Mats Ek Aluminium, que vous amenez à Chaillot, est sur la notion de résistance. Et de quoi traite la vôtre ?
As if est un voyage dans le temps, un jeu sur les hypothèses, un rêve aussi où les danseurs sont poussés par un mur noir sur scène qui tourne lentement et modifie l’espace.
Mats Ek va-t-il continuer à chorégraphier pour Cullberg ?
Je suis le chorégraphe principal de la compagnie, mais j’ai l’intention de l’ouvrir à d’autres. Mats bien sûr, mais son travail aujourd’hui est centré sur le théâtre. J’ai par contre invité Sidi Larbi Cherkaoui, qui va débuter une création pour nous début mai. |
L'article d'Ariane Bavelier, dans le Figaroscope, est ICI
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22166
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Posté le: Jeu Avr 27, 2006 11:48 pm Sujet du message: |
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La dépêche de l'AFP: "La danse a investi la grande salle de Chaillot pour la fin de la saison"
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26671
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Posté le: Sam Avr 29, 2006 7:28 am Sujet du message: |
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Encore un article du Figaro sur la tournée du Ballet Cullberg à Chaillot :
Citation: |
Aluminium de Mats Ek (notre photo) et As if de Johan Inger sont deux pièces de groupe à l'univers très personnel qui s'articulent autour du sol, du poids du corps, des chutes et du mouvement imprévisible. Le travail sur la lumière et la matière sonore relie encore ces deux modernités entre elles. Mats Ek, qui crée aujourd'hui en qualité d'invité pour les plus grandes compagnies internationales, offre une vision aiguë de la vie contemporaine et des choses familières. Des accessoires comme des tables et des lampes se parent d'une étrangeté poétique ou violente et les danseurs offrent une gestuelle pure qui n'a rien à défendre sinon d'aller de l'avant. D'où des déambulations, des petites courses, des portés audacieux et une façon vibrante de penser la danse. |
La critique (non signée) du Figaro est ICI
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