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Le Lac des cygnes (R. Noureev), ONP, déc 2005 - jan 2006
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sophia



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MessagePosté le: Dim Jan 15, 2006 10:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le fond de la critique n'est sans doute pas très pertinent, ni même simplement justifié, mais on en a vu d'autres, et de bien pires..., et il est heureux que la bêtise ne soit point encore interdite par la loi! Au moins, on peut rire...


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sophia



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MessagePosté le: Lun Jan 16, 2006 12:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Une nouvelle critique du "Lac des cygnes", couplée avec une autre portant sur "La Petite Danseuse de Degas", le tout signé Marc Haegeman et paru sur DanceviewTimes, une revue de danse en ligne. C'est la distribution réunissant Aurélie Dupont, Mathieu Ganio et Stéphane Bullion qui est ici évoquée. Il y a particulièrement apprécié l'interprétation classique et lyrique tout à la fois d'Aurélie Dupont:

Citation:
I found Aurélie Dupont particularly inspired. Obviously well-prepared, Dupont’s Odette-Odile struck a near ideal balance of classical restraint and lyrical abandon. Above all, she succeeded in reminding us how beautiful this double-role is when stripped to its classical essence, devoid of all the physical excesses and cheap tricks that often come with it. Richly detailed from eyelashes to fingertips, sensibly understated or, when necessary, authoritatively delivered, and always underpinned by her flawless technique, there was no way one could have guessed Dupont only started dancing the ballet a couple of weeks earlier.


En revanche, Marc Haegeman est plus sceptique quant aux prestations de Mathieu Ganio et de Stéphane Bullion:

Citation:
Physically gifted, all exquisite long lines, he is a prince in the making. Moving with obvious musicality and soaring high leaps, Nureyev’s taxing choreography for Prince Siegfried nonetheless sometimes took its toll. Emotionally, Ganio remained as yet too innocent and far too much the victim of the events to find much passion in the role. He needs to settle down into the role, but still, for a debut of this magnitude it was most promising.

Stéphane Bullion—now making his debut as Rothbart— danced well but, he too, still has to begin with exploring the character. How so, was demonstrated earlier this season, when Laurent Hilaire proved tremendous in the dual role of the tutor and malevolent spirit.


Enfin, Marc Haegeman déplore la présence de quelques passages "moins agréables", comme le pas de trois jugé "rigide", la variation des petits cygnes qu'il qualifie de "mécanique", et les danses de caractère considérées comme "laborieuses". La réduction du corps de ballet est également soulignée en même temps que l'organisation des spectacles de ce mois de décembre.

Lien vers l'intégralité de l'article


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haydn
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MessagePosté le: Lun Jan 16, 2006 12:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

En ce qui concerne la critique de Marc Haegeman, je ne prendrai pas position sur les prestations des artistes, étant donné que je n'ai pas vu la représentation en question.

Pour ce qui touche à la chorégraphie, effectivement, le pas de trois n'est pas forcément ce qu'il y a de mieux inspiré dans le ballet (la musique, à cet endroit, n'est pas non plus du meilleur Tchaïkovsky), mais interprété par Emmanuel Thibault ou Alessio Carbone, avec comme partenaires Dorothée Gilbert, Myriam Ould-Braham, Fanny Fiat, Nolwenn Daniel ou Laurence Laffon, l'impression générale ne me semble pas vraiment "rigide".

D'accord aussi avec M. Haegeman au sujet des danses de caractère du III, qui sont à mon avis bien mieux réussies dans la version Grigorovitch en usage au Bolchoï. C'est d'ailleurs, à mon sens, ce qu'il y a de meilleur dans ce Lac des cygnes moscovite (préférable, pour cette scène du Bal, à celui du Mariinsky).

En revanche, si le pas de quatre des Petits cygnes est effectivement "mécanique", c'est tout à fait délibéré, et pour ma part, j'apprécie beaucoup cet effet d'"automate", de "boîte à musique" voulu par Nouréev et que les danseuses de l'Opéra de Paris ont particulièrement bien rendu.


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haydn
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MessagePosté le: Mar Jan 17, 2006 10:26 am    Sujet du message: Répondre en citant

Critique assez sévère, aussi bien pour les danseurs que pour l'orchestre, d'Oliver Brunet dans le Quotidien du Médecin, et qui a vu la distribution Dupont-Ganio-Bullion :


Citation:
En ce tout début d’année, place aux jeunes et aux prises de rôle, celle d’une des plus jeunes étoiles de la compagnie. Nous avons pu voir débuter en Siegfried le jeune Mathieu Ganio qui a, à son actif depuis sa nomination en 2004, jugée par certains trop précoce, les rôles de Basilio de « Don Quichotte » et James de « la Sylphide ». Passer à Siegfried est une autre affaire et avec pour seule expression celle, blasée, qui sied à ce prince dans la version Noureev, au début du moins, il n’a pas vraiment réussi à créer un personnage, d’autant qu’une technique impeccable ne suffit pas là où il faut de l’assurance.

Son Odile/Odette était Aurélie Dupont qui y a débuté récemment mais a déjà l’assurance, la pénétration, la sûreté technique d’un rôle dont on ne doute pas qu’elle continuera de l’approfondir pour en atteindre toutes les possibilités expressives. Pas beaucoup de relief non plus de la part de Stéphane Bullion, un sujet un peu jeune pour capter toute l’ambiguïté de ce rôle inventé par Noureev à partir de ceux de Wolfgang et Rothbart.


En revanche, O. Brunet avait beaucoup aimé Nicolas Le Riche, "meilleur Prince Siegfried du moment", mais dont la partenaire, Zvetlana Zakharova, est jugée exagérément froide en comparaison d'Ouliana Lopatkina.



L'article du Quotidien du Médecin du 16 janvier est ICI


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sophia



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MessagePosté le: Mer Jan 18, 2006 11:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

L'agence de presse chinoise "Xinhuanet" revient dans une dépêche sur les recettes record réalisées par l'Opéra de Paris en partie grâce aux productions de ballet du mois de décembre "Le Lac des Cygnes et "La Petite Danseuse de Degas" (oui, mais à quel prix et dans quelles conditions?):

Citation:
L'Opéra de Paris a réalisé un " résultat record" pour l'année 2005, avec 44,35 millions de recettes de billetterie, et un taux de remplissage de ses deux théâtres (Palais Garnier et Opéra-Bastille) de 92,5%, a annoncé mardi l'établissement public dans un communiqué.
La première institution lyrique de France se réjouit particulièrement du succès de son ballet, dont les deux dernières productions ont été vues par 91.000 spectateurs (61.600 à Bastille pour les 23 représentations du "Lac des cygnes" de Rudolf Noureev et 29.400 pour les 18 représentations de "La Petite Danseuse de Degas" de Patrice Bart à Garnier).


L'intégralité de la dépêche


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haydn
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MessagePosté le: Jeu Jan 19, 2006 12:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Critique toute en nuances, comme d'habitude, de Luc Décygnes - Pierre Combescot dans le Canard enchaîné de cette semaine.


Encensage d'Eleonora Abbagnato et d'Hervé Moreau, ce qui ne suprendra personne, et quelques miettes pour le "diamant" Vishneva et pour Benjamin Pech. Sur les autres, pas un mot, sauf un flingage entre les lignes des "concurrentes" de la belle Sicilienne, dont il est de toute évidence raide dingue, mais qu'il relègue au rang de Sujet. Si la pauvre Eleonora apprend par voie de presse qu'elle a été destituée sauvagement de son poste de Première danseuse...


Citation:
D'abord une prise de rôle, celle de Mademoiselle Eleonora Abbagnato. C'est toujours émouvant de voir une danseuse, en l'occurence une ballerine (ce qui est bien supérieur à une étoile), alors qu'elle n'est encore que sujet [sic], aborder un rôle aussi périlleux que celui d'Odette-Odile. Il y faut des bras, de l'équilibre, des sauts et tout ce qui fait l'agrément de la belle grande danse quand on en a oublié la technique. Autant dire l'art suprême. Abbagnato le possède. Quant au charme, je ne vous dis pas, elle est née cygne. Et elle nous a fait pisser de l'oeil. C'est dire.


Le Champagne, à l'entracte, il a manifestement pissé dru lui aussi...


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sophia



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MessagePosté le: Jeu Jan 19, 2006 1:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je viens de tomber sur l'article, et je dois reconnaître, qu'avec toute sa mauvaise foi et ses parti-pris, on apprécie de lire un papier comme celui-là, vraiment écrit, avec flamme et passion!

Même s'il semble en effet avoir été victime d'une révélation quasi-mystique à la vue d'Eleonora Abbagnato et d'Hervé Moreau ("le grand danseur qu'on attendait", -sic!-), qui, rappelons-le, ne dansaient pas ensemble, Diana Vishneva, soyons honnête, est aussi largement encensée:

Citation:
Mademoiselle Diana Vishneva, qui rentrait en piste le lendemain, est droit sortie de la manufacture des cygnes de Pétersbourg. Elle brûle tel un diamant. Un diamant tour à tour blanc et noir. Elle est magnifique. Elle est russe et danse large. Elle fait la ponctuation. Elle nous ferait presque oublier Zakharova.


Et Pierre Combescot, lui aussi, de se lamenter sur les effectifs, un peu clairsemés, des cygnes de ce "Lac" parisien... Franchement, -d'aucuns trouveront tout cela très vulgaire, moi pas!- je ne résiste pas:

Citation:
La saison des grosses volailles est passée; alors, au rancart, les cygnes! Et à la revoyure, les chéries! Dans un an, dans deux ans, qui sait, peut-être jamais. Même si les 32 cygnes obligatoires pour une grande boutique telle que l'Opéra de Paris manquaient à l'appel, il y eut de la plume. Cependant, malgré les excuses qui avaient été invoquées, de la méchante gastro au durillon de la Darsonval, ça faisait tout de même maigrichon. Mais que voulez-vous, le cygne est fragile. Heureusement, les rennes du troupeau ne se décommandèrent pas.


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louvigné du dezert



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MessagePosté le: Jeu Jan 19, 2006 3:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

A propos de Pierre Combescot, que d'ailleurs je n'admire pas outre mesure, on oublie peut-être un peu trop peu sur ce site le caractère du journal dans lequel il écrit et dont le principe - la règle du jeu- est de tout traiter sur le mode de la dérision, et dans le registre du rabaissement : il s'agit d'une convention à laquelle aucun rédacteur ne doit se soustraire, convention facile à observer au sujet de l'actualité politique, mais bien plus difficile quand il faut apprécier positivement un spectacle . Aussi tel papier de "Decygnes" , qui paraîtrait insupportable dans un autre périodique doit-il être "décodé" en fonction du style imposé par la nature du journal pour lequel il est écrit . Je rendrais volontiers justice au chroniqueur : il sait assez souvent faire passer son enthousiasme, et n'est pas aussi vulgairement dépréciateur qu'on pourrait croire. C'est tout de même une sacrée gageure que d'avoir à rédiger une chronique de danse dans la langue de la satire!
Cela dit, je ne partage pas du tout son jugement sur Hervé Moreau.

Et, évidemment, la critique "non codée" et directe étant plus plaisante, je relève avec satisfaction l'adjectif "tremendous" du critique de langue anglaise au sujet de Laurent Hilaire : on ne peut pas mieux dire. Les privilégiés qui étaient à la Bastille les 24 et 27 décembre ont assisté à quelque chose d'extraordinaire: comme une manifestation de la démesure. C'est tout l'avantage de la version Noureev qu'elle donne congé au décoratif et à l'anecdotique et qu'elle invite les danseurs - surtout les deux danseurs masculins - à construire leurs personnages en dehors des conventions, et il devient alors possible à Siegfried d'être autre chose qu'un "prince" standard et à Rothbart d'être mieux qu'un traître de mélodrame ou un "méchant sorcier". Il semble qu'Hilaire ait construit son double rôle - en donnant congé à une psychologie trop facile, et même à toute psychologie - sur l'opposition entre l'impassibilité du précepteur - on eût dit un dieu grec ou un empereur romain gouvernés par une géométrie inhumaine - et la "furia" insensée du maître des cygnes. Ce n'était plus un personnage, c'était une force. Quand sa variation du troisième acte a commencé, on aurait dit l'arrivée de la tempête : un grand souvenir.C'était en effet "tremendous".


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haydn
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MessagePosté le: Jeu Jan 19, 2006 3:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

En ce qui concerne Pierre Combescot, ce qui m'insupporte chez lui, ce n'est pas le style, qui doit se conformer efffectivement comme vous le soulignez, Louvigné du Dézert, à la tonalité satirique du journal - même si certains effets ne sont pas forcément d'une grande finesse - mais bien les partis-pris du critique : quoiqu'ils fassent, Eleonora Abbagnato et Hervé Moreau seront toujours couverts de fleurs (tant mieux pour eux d'ailleurs) tandis que Clairemarie Osta se fera toujours étriller, qu'elle ait bien ou mal dansé...

Que M. Combescot adore Eleonora Abbagnato et le fasse savoir, il n'y a rien de mal à cela. Mais que directement ou indirectement, il s'en prenne à chaque fois à ses "concurrentes" réelles ou supposées, à celles dont il estime qu'elles ont usurpé le titre d'étoile qui revenait selon lui légitimement à Mlle Abbagnato, je trouve cela difficilement admissible.

Et ce genre de dénigrement peut faire des dégâts, car le Canard enchaîné n'est pas une publication confidentielle, mais un journal qui doit être lu au moins par 150000 ou 200000 personnes chaque semaine...


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sophia



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MessagePosté le: Jeu Jan 19, 2006 11:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis plutôt d'accord avec Louvigné du Dezert: je ne suis pas forcément une admiratrice de la prose de Pierre Combescot, mais je pense aussi qu'il faut replacer ses papiers dans le contexte du journal satirique dans lesquels ils sont publiés, où le jeu est de briller par une verve particulière et où l'on se damnerait pour un bon mot. Ce n'est pas chose si courante dans notre époque si tristement correcte pour que nous nous en offusquions.

Le sire a de furieux parti-pris, mais qui n'en a pas?... L'important est de les assumer intelligemment, sans obliger quiconque à partager ses goûts et ses dégoûts. Tout le monde sait maintenant qui'il idolâtre Eleonora Abbagnato et qu'il n'aime guère Marie-Agnès Gillot... C'est son affaire, et je ne crois pas qu'il y ait de "stratégie politique" derière tout ça. Quoiqu'il en soit, ce qu'il écrit ne relève pas de la critique "savante" ou "de spécialiste" (même si je pense que Mr Combescot connaît très bien l'histoire de la danse) qui nécessiterait davantage d'objectivité et de nuances dans l'appréciation. C'est évidemment d'une subjectivité pleine et entière, c'est probablement de la mauvaise foi la plus totale, mais personne n'en est dupe je pense, dès lors qu'il a entre les mains "Le Canard enchaîné"...


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doudou



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MessagePosté le: Ven Jan 20, 2006 9:38 am    Sujet du message: Répondre en citant

Quand je vois ce que je vois, je pense ce que je pense et Pan sur le bec de Monsieur Combescot dont l'idolatrie me semble excessive. Il y a sans doute des rôles ou Eleonora Abbagnato fait jeu égal avec Marie Agnès Gillot sur le plan émotionnel mais lorsque l'aspect technique du rôle doit être parfaitement maitrisée pour permettre de gouter l'interpretation dramatique (et c'est le cas d'Odette Odile) Marie Agnes Gillot a un avantage sur sa collégue par sa grande sécurité.


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Azulynn



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Messages: 659

MessagePosté le: Mer Fév 08, 2006 1:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tardivement, Patricia Boccadoro publie une critique pour CultureKiosque, qui encense la production et les danseurs : Rudolf Nureyev's Swan Lake still fresh and exciting
Elle y évoque entre autres Agnès Letestu, José Martinez, Nicolas Le Riche et Emilie Cozette.

Citation:
After the Kirov's drab staging of Swan Lake with its wheezing choreography and regimented corps de ballet, followed by Matthew Bourne's entertaining and clever versionwhich, after ten years, is still trotting its way around the world, its tired dancers reaping the price of their success, it was such a relief to see Rudolf Nureyev's personal but utterly sublime production at the Opéra Bastille!

Created for the Paris Opéra Ballet in 1984 to replace Bourmeister's empty work, it is the most typical of all Nureyev's productions, being theatrical and dramatic with a strong psychological side. The story is both convincing and moving and the staging is most spectacular with exquisite costumes by Franca Squarciapino, each handmade in silks or satins and encrusted with embroidery. It is also superlatively danced.


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aya



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MessagePosté le: Ven Fév 10, 2006 4:34 am    Sujet du message: Répondre en citant

chacott Web magazine au Japon : article de "Le Lac des cygnes " au Paris.

http://www.chacott-jp.com/magazine/around/pari_38.html


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haydn
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MessagePosté le: Ven Fév 10, 2006 9:09 am    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Aya! Quelqu'un pourrait-il nous résumer brièvemement le contenu de l'article? Les critiques sont elles positives ou négatives? Smile


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aya



Inscrit le: 17 Nov 2005
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MessagePosté le: Ven Fév 10, 2006 4:14 pm    Sujet du message: Répondre en citant

haydn,

Les critiques sont elles tres positives Very Happy Very Happy Very Happy


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