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haydn
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
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 Posté le: Ven Jan 13, 2006 12:58 pm Sujet du message: |
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Thanks Enya for your interesting comment. I think it's really a pity you couldn't see the performance with Zakharova and Laurent Hilaire as Rothbart. And for the magnificent Letestu (a great Odette, according to my point of view) , you will have the dvd in a few months!
La presse française, comme à l'ordinaire pour les grandes productions classiques, est avare de commentaires et de critiques et il faudra attendre la parution des magazines spécialisés pour avoir quelques avis sur ce "Lac des cygnes" ("Danse" a commencé à parler des premières représentations de la série dans son dernier numéro).
Pour être complet, citons l'article de Gérard Mannoni paru récemment surAltamusica: c'est un peu "tout le monde, il est beau...", et chacun peut y trouver son compte, à commencer par Agnès Letestu:
| Citation: |
| Avec une technique du plus haut niveau totalement maîtrisée tant dans la poésie des adages que dans la précision du mimodrame ou dans la pyrotechnie du Cygne noir, Agnès Letestu incarne la double héroïne de Petipa-Tchaïkovski dans la plus brillante tradition de l’Opéra. Une interprétation absolument exemplaire qu’il est bon de savoir désormais enregistrée. |
de même que son partenaire José Martinez:
| Citation: |
| Il en va de même pour José Martinez, qui sait mieux que quiconque donner vie et relief à la chorégraphie conçue par Noureev pour un Prince perdu dans ses rêves, sans cesse à mi-chemin entre fantasmagorie et réalité. La pureté et la poésie naturelle de sa danse confèrent notamment à la grande variation lente qui clôt le premier acte, une signification humaine et douloureusement poétique de toute beauté. |
puis Emilie Cozette, pleine de promesses:
| Citation: |
| Grande, belle, très féminine et touchante en cygne blanc dont elle exécute les pas avec fidélité et un total professionnalisme, elle manque un peu d’éclat maléfique et de sûreté en Cygne noir. Sur ces bases et compte tenu de la difficulté de s’affirmer en une seule occasion, elle peut sans aucun doute développer un travail des plus prometteurs. |
Eleonora Abbagnato, "belle comme une star de cinéma":
| Citation: |
| Eleonora Abbagnato, elle aussi un peu dépassé par l’énergie requise pour le Cygne noir, campe en revanche un Cygne blanc d’une beauté exceptionnelle. Elle a l’aura, le rayonnement des grandes ballerines, émouvante sans jamais forcer les effets, dansant avec aisance, belle comme une star de cinéma. |
Aurélie Dupont:
| Citation: |
| Très belle elle aussi, sa technique et sa maturité lui ont permis d’imposer d’emblée une vision très complète et très intéressante de son double personnage. On admire la précision des pas, leur vivacité sans nervosité qui est celle des grandes étoiles, les qualités expressives de son interprétation, la pureté du style, bref tout ce qui fait la grande école française. Son cygne noir est percutant, utilisant à la perfection tout ce qui dans la chorégraphie exprime l’image inverse du cygne blanc. Un rôle à l’évidence fait pour cette magnifique ballerine et où elle trouvera encore à l’avenir mille manières de nous séduire et de nous émouvoir. |
et enfin Mathieu Ganio:
| Citation: |
| Il l’a employé pour déployer une danse facile, large, onctueuse, d’une grande beauté de geste et de mouvement, sans faute de style ni de goût. Que lui manque-t-il encore ? Seulement cette once de liberté supplémentaire que la pratique lui apportera et qui lui permettra de camper théâtralement un personnage plus personnel, plus présent, même si ce n’est pas facile dans ce ballet. |
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005
Messages: 1796
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| Posté le: Ven Jan 13, 2006 1:17 pm Sujet du message: |
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J'ai assisté à la dernière hier soir. Un peu dur de quitter cette magie après huit représentations... Il y avait une bonne ambiance dans la salle et les danseurs, galvanisés, ont voulu donner le meilleur d'eux-mêmes.
Mathieu Ganio a néanmoins été un peu juste techniquement au 3e acte mais ces défauts ont été compensés par une belle présence et de beaux moments lyriques.
Quant à Aurélie Dupont elle a été splendide. Je crois que ses deux derniers spectacles ont été meilleurs que les premiers d'après ce que j'ai pu comprendre. Nous avons eu droit à d'excellents fouettés et à des équilibres remarquables. On sentait que pour cette dernière l'Etoile voulait "se donner" jusqu'au bout. Au-delà de la beauté du couple formé avec M. Ganio j'ai trouvé qu'il se dégageait une vraie émotion. Et j'insiste, son Cygne Noir est très féminin, séducteur, théâtral : j'ai beaucoup apprécié cette interprétation.
Les Quatre Petits Cygnes ont de nouveau déchaîné l'enthousiasme. Il faut saluer aussi le brio de Christophe Duquenne dans le Pas de trois.
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Enya
Inscrit le: 26 Aoû 2005
Messages: 1050
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| Posté le: Ven Jan 13, 2006 2:38 pm Sujet du message: |
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Thank you Haydn and Sophia. I'm not so lucky as all the friends living in Paris...
Just 1 or 2 days before I came to Paris, I learnt the news from Dansomanie that the cast on Dec.27 was changed to Zakharova, Nicolas Le Riche and Laurent Hilaire. It was already too late for me to book a ticket online or via telephone, and I was also afraid that the plane would be landed late in Paris. I arrived in time, but still too late for getting a ticket at boxoffice, even a 5 euro standing ticket.
I waited in the main hall of Bastille and hoped that there might be a returned ticket, meanwhile looked the performance on the sceen in the hall. Although the image on the screen was small, I could already feel it was a performance which should not be missed, but due to my own mistake I hadn't booked a ticket, I missed it. I waited there till the adage of Act 2 finished, then left hopelessly... I was too tired after a long journey.
Yes, it's a happy news that a DVD by Agnes Letetu will be leased soon, this would be a great compensation.
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Azulynn
Inscrit le: 13 Nov 2004
Messages: 659
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| Posté le: Ven Jan 13, 2006 4:22 pm Sujet du message: |
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Thanks very much for your reviews, Enya, I read them with much interest...
Pour revenir sur deux représentations que je n'ai pas évoqué, à savoir les distributions Marie-Agnès Gillot/Nicolas Le Riche le 3 janvier et Diana Vishneva/Benjamin Pech le 9.
J'ai été passionnée et fascinée par le Cygne de Marie-Agnès Gillot, que je voyais comme Enya pour la première fois dans un grand ballet en trois actes. Son Odette est d'un lyrisme sublime, avec des bras très russes et une danse absolument tragique. Elle m'a semblé parfois avoir cette do-or-die quality, selon l'expression que Katharine Kanter employait à propos de Myriam Ould-Braham ; sa danse est viscérale, habitée, en plus d'une très belle technique. Un exemple d'engagement artistique, à mon sens. Il est vrai que son Cygne noir est moins convaincant - elle ne donne pas une impression de réelle méchanceté, tout simplement parce que son talent est fait d'une fragilité qu'elle sait montrer sur scène et n'efface jamais tout à fait. Toutefois, son jeu est très intelligent, notamment dans la complicité évidente avec Rothbart/Stéphane Phavorin, et lors de la diagonale où elle recule en arabesque et où l'on sent véritablement qu'elle possède et attire le prince, très subtilement.
Une note : à la réflexion, c'est assez peu étonnant qu'elle soit véritablement montée en puissance depuis sa première représentation le 13. Marie-Agnès Gillot n'a pas dansé de rôle classique en trois actes depuis un an, et encore, elle n'avait fait qu'une représentation de La Belle !  Le but n'est pas de l'excuser, elle n'en a pas besoin, mais de souligner que c'est assez inquiétant d'avoir accès à aussi peu de représentations classiques à l'Opéra- même quand on est étoile...
Diana Vishneva, au contraire, c'est avant tout la diva - comme beaucoup l'ont dit. Son Odette est une reine, son Odile est une vamp. Elle ne me convainc qu'à moitié dans le rôle de la première, elle joue beaucoup sur l'aspect "tragédie", mais me touche moins que d'autres danseuses - trop sophistiquée, dans un sens, malgré la grande beauté de sa danse. Odile, par contre, est faite pour elle, et là elle tient véritablement le public en haleine - vamp sensuelle, elle survole les difficultés (très belle variation) et on comprend aisément pourquoi le prince craque... (Benjamin Pech avait un petit côté loup de Tex Avery, du coup  ) Il me semble que les Russes n'abordent pas Odile de la même manière, et je préfère leurs Odiles, désinvoltes et show-off, qui collent au côté "cirque" de cet acte, même si pour le coup le jeu théâtral m'a semblé moins fin que celui de Marie-Agnès Gillot.
En ce qui concerne les princes, Nicolas Le Riche m'a semblé très très bon, et pas du tout lourd comme j'ai pu le lire parfois (mais bon, de représentation en représentation...) J'ai beaucoup aimé son interprétation un peu désinvolte, moins princière que d'autres. J'ai toutefois du mal à juger les princes de manière générale, car plus je vois Le Lac, plus je trouve la chorégraphie masculine bizarre et inutilement compliquée...
Un mot en faveur de Benjamin Pech, tout de même : personnellement je l'ai trouvé tout à fait au niveau de ses collègues. Il s'implique beaucoup dramatiquement parlant, et la variation du premier acte avait la langueur appropriée. Il n'a pas fait plus d'erreurs techniques que les autres princes que j'ai vu, au contraire je l'ai trouvé précis. Certes, il était en décalage avec Diana Vishneva lors de l'acte II, mais elle dansait tout de même un cygne un peu autiste, et le contraste qu'ils formaient était intéressant : lui, jeune prince fougueux, heureux d'avoir trouvé une future femme à présenter à sa mère - elle, princesse avant tout contrainte par le destin et souffrant de sa captivité. Cette "incompréhension" des personnages rendait aussi plus naturelle l'erreur du Prince à l'acte III, et dans l'acte IV, les protagonistes ont su trouver je pense une réelle cohésion, comme si la trahison ne leur laissait que l'amour réel qu'ils ont l'un pour l'autre... Même si tout cela n'était pas forcément voulu !
Très bons Rothbart de Stéphane Phavorin, à l'expression inquiétante et puissante, et de Karl Paquette, qui a fait une très bonne variation et qui s'affirmait dramatiquement. Dans le pas de trois, il est clair que le 3, Dorothée Gilbert et Alessio Carbone ont éclipsé Aurélia Bellet. Si Mélanie Hurel apporte des détails très intéressants à ce pas de trois (le 9), j'avoue une préférence pour Dorothée Gilbert, dont la danse très brillante convient bien à ce rôle.
A part cela, les 4 petits cygnes sont toujours aussi exceptionnels, mais quel dommage que la direction ait choisi de continuer à ne programmer que 20 cygnes au lieu de 24 alors que les représentations de La petite danseuse étaient terminées. Par ailleurs, l'utilisation abusive des élèves de l'école de danse (jusqu'à 8 ou 9 peut-être ?) m'a semblé déplacée - d'abord parce qu'elles sont mineures et dansent pourtant tous les soirs sur scène en plus de leurs cours, ensuite parce que l'Opéra n'en engagera que bien peu dans le ballet. Mais je comprends qu'elles soient heureuses de pouvoir être sur scène...
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haydn
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| Posté le: Ven Jan 13, 2006 4:55 pm Sujet du message: |
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Merci Azulynn
Pour répondre enfin à la demande de Jonquille, voici le récapitulatif des distributions correspondant - je l'espère - à peu près exactement à ce que le public a vu sur scène, changements de dernière minute inclus.
12/12
Odette/Odile : Letestu
Siegfried : Martinez
Rothbart : Romoli
Pas de trois : Daniel + Gilbert + Thibault
La Reine : Hallé
Czardas : Daniel + Carbone
Espagnole : Romberg + Riqué + Novis + Duquenne
Napolitaine : Ould-Braham + Bélingard
13/12
Odette/Odile : Gillot
Siegfried : Moreau
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Fiat + Gilbert + Carbone
La Reine : Talon
Czardas : Fiat + Bouché
Espagnole : Hallé + Aubin + Magnenet + Meyzindi
Napolitaine : Ould-Braham + Bélingard
14/12
Odette/Odile : Cozette
Siegfried : Bart
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Fiat + Gilbert + Carbone
La Reine : Talon
Czardas : Gilbert + Elizabé
Espagnole : Hallé + Aubin + Magnenet + Meyzindi
Napolitaine : Ould-Braham + Thibault
16/12
Odette/Odile : Letestu
Siegfried : Martinez
Rothbart : Romoli
Pas de trois : Daniel + Gilbert + Thibault
La Reine : Hallé
Czardas : Fiat + Carbone
Espagnole : Romberg + Riqué + Paquette + Duquenne
Napolitaine : Ould-Braham + Bélingard
18/12 (14h30)
Odette/Odile : Gillot
Siegfried : Moreau
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Fiat + Gilbert + Thibault
La Reine : Talon
Czardas : Fiat + Bouché
Espagnole : Hallé + Aubin + Magnenet + Meyzindi
Napolitaine : Ould-Braham + Thibault
20/12
Odette/Odile : Letestu
Siegfried : Martinez
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Daniel + Gilbert + Thibault
La Reine : Hallé
Czardas : Fiat + Carbone
Espagnole : Romberg + Riqué + Meyzindi + Duquenne
Napolitaine : Ould-Braham + Bélingard
22/12
Odette/Odile : Letestu
Siegfried : Martinez
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Daniel + Gilbert + Thibault
La Reine : Hallé
Czardas : Fiat + Carbone
Espagnole : Romberg + Riqué + Paquette + Duquenne
Napolitaine : Ould-Braham + Bélingard
24/12 (14h30)
Odette/Odile : Gillot
Siegfried : Moreau
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Laffon + Aubin + Duquenne
La Reine : Talon
Czardas : Gilbert + Elizabé
Espagnole : Hallé + Aubin + Magnenet + Meyzindi
Napolitaine : Ould-Braham + Thibault
24/12 (20h00)
Odette/Odile : Zakharova
Siegfried : Bart
Rothbart : Hilaire
Pas de trois : Laffon + Ould-Braham + Gaudion
La Reine : Talon
Czardas : Gilbert + Hoffalt
Espagnole : Hallé + Aubin + Magnenet + Meyzindi
Napolitaine : Ould-Braham + Thibault
25/12 (15h30)
Odette/Odile : Dupont
Siegfried : Legris
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Laffon + Aubin + Duquenne
La Reine : Hallé
Czardas : Gilbert + Elizabé
Espagnole : Aubin + Legassy + Novis + Bezart
Napolitaine : Ould-Braham + Thibault
27/12
Odette/Odile : Zakharova
Siegfried : Le Riche
Rothbart : Hilaire
Pas de trois : Laffon + Ould-Braham + Gaudion
La Reine : Talon
Czardas : Daniel + Hoffalt
Espagnole : Aubin + Hallé + Novis + Duquenne
Napolitaine : Ould-Braham + Gaudion
28/12
Odette/Odile : Dupont
Siegfried : Legris
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Laffon + Aubin + Duquenne
La Reine : Hallé
Czardas : Gilbert + Elizabé
Espagnole : Aubin + Legassy + Novis + Duquenne
Napolitaine : Ould-Braham + Gaudion
30/12
Odette/Odile : Dupont
Siegfried : Legris
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Bellet + Ould-Braham + Gaudion
La Reine : Hallé
Czardas : Daniel + Bouché
Espagnole : Aubin + Legassy + Novis + Duquenne
Napolitaine : Froustey + Valastro
31/12
Odette/Odile : Letestu
Siegfried : Le Riche
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Bellet + Gilbert + Thibault
La Reine : Talon
Czardas : Daniel + Hoffalt
Espagnole : Hallé + Riqué + Novis + Duquenne
Napolitaine : Hurel + Thibault
03/01
Odette/Odile : Gillot
Siegfried : Le Riche
Rothbart : Phavorin
Pas de trois : Bellet +Gilbert + Carbone
La Reine : Talon
Czardas : Fiat + Bouché
Espagnole : Bellet + Laffon + Paquette + Duquenne
Napolitaine : Ould-Braham + Gaudion
04/01
Odette/Odile : Letestu
Siegfried : Le Riche
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Bellet +Gilbert + Carbone
La Reine : Talon
Czardas : Fiat + Hoffalt
Espagnole : Bellet + Laffon + Novis + Duquenne
Napolitaine : Froustey + Valastro
05/01
Odette/Odile : Abbagnato
Siegfried : Pech
Rothbart : Phavorin
Pas de trois : Fiat + Gilbert + Carbone
La Reine : Talon
Czardas : Daniel + Carbone
Espagnole : Bellet + Laffon + Paquette + Meyzindi
Napolitaine : Ould-Braham + Gaudion
06/01
Odette/Odile : Letestu
Siegfried : Le Riche
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Fiat + Hurel + Gaudion
La Reine : Talon
Czardas : Daniel + Carbone
Espagnole : Hallé + Laffon + Novis + Meyzindi
Napolitaine : Froustey + Valastro
07/01
Odette/Odile : Dupont
Siegfried : Ganio
Rothbart : Bullion
Pas de trois : Daniel + Hurel + Duquenne
La Reine : Talon
Czardas : Daniel + Carbone
Espagnole : Hallé + Laffon + Paquette + Meyzindi
Napolitaine : Froustey + Valastro
09/01
Odette/Odile : Vishneva
Siegfried : Pech
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Daniel + Hurel + Carbone
La Reine : Talon
Czardas : Fiat + Bouché
Espagnole : Romberg + Riqué + Magnenet + Bezard
Napolitaine : Hurel + Gaudion
10/01
Odette/Odile : Dupont
Siegfried : Ganio
Rothbart : Bullion
Pas de trois : Fanny Fiat + Myriam Ould-Braham + Mallory Gaudion [rectifié]
La Reine : Talon
Czardas : Daniel + Carbone
Espagnole : Hallé + Riqué + Magnenet + Bezard
Napolitaine : Hurel + Bélingard
11/01
Odette/Odile : Vishneva
Siegfried : Pech
Rothbart : Paquette
Pas de trois : Daniel + Hurel + Carbone
La Reine : Talon
Czardas : Gilbert + Elizabé
Espagnole : Romberg + Riqué + Magnenet + Bezard
Napolitaine : Hurel + Gaudion
12/01
Odette/Odile : Dupont
Siegfried : Ganio
Rothbart : Bullion
Pas de trois : Daniel + Hurel + Duquenne
La Reine : Talon
Czardas : Daniel + Carbone
Espagnole : Hallé + Riqué + Novis + Bezard
Napolitaine : Hurel + Bélingard
Dernière édition par haydn le Ven Jan 13, 2006 6:12 pm; édité 1 fois |
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Charlux
Inscrit le: 06 Oct 2005
Messages: 10
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| Posté le: Ven Jan 13, 2006 5:12 pm Sujet du message: |
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| Si je peux me permettre, le pas de trois de la représentation du 10/12 était dansé par Fanny Fiat, Myriam Ould-Braham et Mallory Gaudion.
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087
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haydn
Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517
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| Posté le: Ven Jan 13, 2006 6:11 pm Sujet du message: |
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| Je pense qu'il s'agissait du 10/01! Je corrige dans le tableau. Il est possible qu'en recopiant j'ai encore commis l'une ou l'autre erreur. Merci Charlux et Sophia.
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Charlux
Inscrit le: 06 Oct 2005
Messages: 10
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005
Messages: 1796
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| Posté le: Ven Jan 13, 2006 8:32 pm Sujet du message: |
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| Merci beaucoup Haydn d'avoir fait ce travail !
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Enya
Inscrit le: 26 Aoû 2005
Messages: 1050
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haydn
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Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26517
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22087
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| Posté le: Dim Jan 15, 2006 5:37 pm Sujet du message: |
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| Dans le numéro de janvier du magazine "Danser", une critique à l'emporte-pièces d'Agnès Izrine à propos du "Lac des cygnes" de Noureev, qui agacera probablement notre ami Pierre, son fan n°1. Une version "curieuse" selon elle (ce n'est pas l'adjectif qui me serait venu immédiatement à l'esprit pour qualifier ce "Lac" on ne peut plus classique). Si elle juge "remarquable" la réforme chorégraphique" des actes I et III qui "permet d'admirer les qualités d'un corps de ballet d'exception qui ne cesse de progresser", on peut en effet être surpris du jugement qu'elle porte sur les actes blancs: "de plus en plus abstraits" (soit, mais cela n'est pas une nouveauté me semble-t-il et puis, par rapport à quelles versions?), ce qui tiendrait peut-être "aux bras moins onduleux et moins moelleux" ou "aux lignes moins rigoureuses" ou encore "aux présences féminines plus effacées par une gestuelle plus technique et moins sensible" (là encore, par rapport à quoi? Agnès Izrine ne le précise pas, de toutes façons, elle n'a pas de réponse à ses questions). Pour elle, -c'est sympa pour les autres (visiblement, elle a vu la distribution de la première avec Letestu et Martinez)-, la seule étoile du ballet, c'est Wilfried Romoli: "la force de sa présence, la subtilité de son interprétation (c'est sûr, là on est d'accord), la densité de son mouvement (il était blessé et a dû arrêter très vite les représentations) effacent les autres protagonistes qui apparaissent alors comme un prince un peu falot face à un cygne désincarné (bon, là, c'est carrément n'importe quoi, on se permet de le dire...).
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Jonquille
Inscrit le: 22 Avr 2005
Messages: 1796
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| Posté le: Dim Jan 15, 2006 11:21 pm Sujet du message: |
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| Eh oui Agnès Izrine a encore frappé ! Je trouve ça fou que l'on puisse publier des "critiques" pareilles...
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