Dansomanie Index du Forum
Connexion S'enregistrer FAQ Liste des Membres Rechercher Dansomanie Index du Forum

Tournées du Bolchoï et du Mariinsky
Aller à la page Précédente  1, 2, 3 ... 54, 55, 56 ... 112, 113, 114  Suivante
 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Dansomanie Index du Forum -> Tout sur la danse
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
NEOPHYTE



Inscrit le: 25 Sep 2011
Messages: 1002
Localisation: PARIS

MessagePosté le: Jeu Déc 27, 2012 11:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

@EmmaHK: vous avez raison de parler de Vasily Tkachenko qui a dansé le fou du roi (Hofnarr en allemand), il a été à la fois espiègle et virtuose, ce personnage a disparu de la version de l'Opéra de Paris et pourtant ses variations ne manquent pas de panache.

En parlant de Lopatin, j'ai adoré son James, vu au cinéma, et j'aurais bien aimé que le Bolchoi danse la Sylphide cet été à Londres.

J'espère que le Bolchoi trouvera un accord avec Natalia Osipova et Ivan Vasiliev, j'irais bien les voir dans "Flammes de Paris" et la "Bayadère".

J'ai vu la variation de Solor de François Alu dans le documentaire de France 2 et il est vraiment parfait mais en attendant qu'il danse au milieu des beaux décors de l'Opéra de Paris, j'aimerais bien voir Ivan Vasiliev interpréter ce valeureux Guerrier.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26513

MessagePosté le: Ven Déc 28, 2012 3:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La Badische Zeitung publie un article très élogieux tant pour la chorégraphie que pour l'interprétation, en écho aux représentations du Parc d'Angelin Preljocaj à Baden-Baden par la troupe du Mariinsky.

Ekaterina Kondaurova dont la beauté est jugée "rayonnante" et la danse "très expressive" semble avoir particulièrement impressionné le chroniqueur du journal local, qui n'avait d'yeux que pour la flamboyante ballerine rousse venue de Saint-Pétersbourg :




Mariinsky Ballett: Zauberhafte Leichtigkeit, par Nike Luber (Badische Zeitung)



_________________
Un petit "j'aime" sur la page Facebook de Dansomanie : http://www.facebook.com/Dansomanie/
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
NEOPHYTE



Inscrit le: 25 Sep 2011
Messages: 1002
Localisation: PARIS

MessagePosté le: Dim Déc 30, 2012 6:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

sophia a écrit:
Gala
Carmen Suite / Scotch Symphony / Etudes
28 décembre


Le gala de clôture est sans nul doute la principale attraction des tournées annuelles du Mariinsky à Baden-Baden. En contrepoint d'une programmation qui se contente le plus souvent de décliner les classiques que l'on attend de la maison, cette soirée sait toujours proposer, en guise de dessert aussi copieux qu'alléchant, des oeuvres rares ou inédites, associées aux traditionnelles séries de pas de deux. Cette année toutefois, le gala délaisse les divertissements virtuoses pour une soirée en forme de « triple bill », réunissant trois pièces d'ampleur conséquente et s'inscrivant dans des styles bien distincts. On goûte d'autant plus cette affiche 2010, aux couleurs du XXème siècle, que l'on a peu d'occasions de ce côté-ci de l'Europe de voir représentés Carmen Suite, Scotch Symphony, ou même encore Etudes, tous entrés au répertoire du Mariinsky la saison dernière.

Carmen Suite est l'un des avatars de la nouvelle histoire d'amour, passablement incongrue, entre le couple Plissetskaïa-Chédrine et le Théâtre Mariinsky, ou plutôt son chef éminent, Valery Gergiev. Dans ce contexte, l'oeuvre d'Alberto Alonso, chorégraphiée en 1967 sur la musique de Bizet revisitée par Chédrine, est entrée au répertoire de la compagnie à l'occasion du festival d'avril dernier, en même temps qu'Anna Karénine, sur une partition du même compositeur. Plus de quarante ans après sa création – pour Maïa -, le ballet frappe surtout par son étrangeté chorégraphique et musicale, « datée », comme on a coutume de dire, à bien des égards, qui en fait davantage une curiosité historique et esthétique qu'un sommet incontournable – un indispensable en quelque sorte - du répertoire d'aujourd'hui. Le caractère novateur de la scénographie, ainsi que l'érotisme latent de la chorégraphie, qui avait créé en son temps le scandale à Moscou, restent cependant encore aisément perceptibles. L'action, construite autour d'une suite de tableaux juxtaposés les uns aux autres de manière délibérément abrupte, se déroule dans l'espace clos d'une arène symbolique, conçue comme lieu du combat et de la fatalité. Un rideau de scène rouge et noir, à l'effigie d'une tête de taureau, place l'oeuvre sous le signe d'un constructivisme qui inspire l'ensemble de la scénographie. Cette Carmen Suite ressemble du reste à un exercice de géométrie : géométrie du décor, dominé par les couleurs primaires, géométrie de l'action, libérée de tout lyrisme et d'une certaine forme de pittoresque espagnol, géométrie des caractères, stylisés jusqu'à l'abstraction, géométrie des pas, tout en parallèles, en lignes droites et en angles coupants, à l'image des ces chaises étranges qui envahissent la scène. C'est un choc, il faut le dire, de voir le rideau s'ouvrir sur Ouliana Lopatkina, la paume ouverte et le bras tendu à la seconde, dans la pose aguicheuse immortalisée par Maïa Plissetskaïa. Mais Ouliana ne cherche pas à singer Maïa dans sa vulgarité ravageuse, ni à être la Carmen gouailleuse de l'imaginaire populaire, elle utilise plutôt la chorégraphie, véritable ode à la plastique de l'interprète, et sa technique, aussi flamboyante et aiguisée qu'un couteau de brigand andalou, pour camper une séductrice à la beauté implacable, jouant sans complexe de tout son corps avec les hommes jusqu'à la mort. Une physicalité qui pourtant ne s'abstrait jamais du sens. A ses côtés, Danila Korzuntsev semble avoir été catapulté en Don José de Lopatkina uniquement pour des raisons de partenariat. Il réussit toutefois à convertir son relatif manque d'étoffe dramatique en un jeu qui fait ressortir la fragilité sentimentale d'un héros manipulé par la femme et le destin. Konstantin Zverev domine ici la distribution, se jouant des bizarreries de la chorégraphie d'Alonso et imposant un Escamillo au grotesque parfaitement contrôlé, qui se hisse à la hauteur dramatique de Lopatkina. Yulia Stepanova, enfin, est une captivante figure du Destin, déployant un style impeccable et une technique affutée dans un costume de Fantômette interdisant la moindre défaillance. On retrouve ces mêmes qualités, servies par une plastique de rêve, chez Nadezhda Batoeva, Margarita Frolova et Olga Gromova, jeunes recrues du Mariinsky elles aussi, qui forment le trio des Brigandes.

Scotch Symphony, créé par Balanchine en 1952 à partir d'extraits de la symphonie éponyme de Mendelssohn, témoigne surtout de l'intérêt marqué – et sans doute un peu trop appuyé - de l'actuel directeur de la compagnie, Youri Fateev, pour le chorégraphe américain, dont il fut longtemps l'un des répétiteurs au Mariinsky. L'oeuvre, qui se veut une variation libre et brillante pour solistes et corps de ballet autour de l'imaginaire de La Sylphide, est tout à fait charmante, le décor et les costumes – mélange de pittoresque écossais et de romantisme éthéré - sont délicieux, le corps de ballet y est admirable de placement et d'élégance, mais l'on se demande franchement ce qui imposait cette entrée au répertoire, en-dehors du fait que le ballet – souvenir, souvenir... - fait partie des tout premiers Balanchine montés au Kirov à la fin des années 80 (avec, notamment, Thème et Variations, présenté l'an dernier en ces mêmes lieux). On ne peut s'empêcher de penser à cette occasion qu'une révision-résurrection de l'actuelle production pétersbourgeoise de La Sylphide, qui ressemble davantage à un objet de musée qu'à une oeuvre vivante au style accompli, aurait sans doute eu plus de pertinence que ce retour en grâce d'un Balanchine oublié. Pour le reste, cette Symphonie Ecossaise, aussi joliment dansée soit-elle, manque de style, ou plutôt respire un peu trop celui, gracieux et sophistiqué, du Kirov, pour que l'on y croit vraiment. Anastasia Matvienko offre une prestation légère et souriante, à la fois appliquée et musicale, mais sans grand mystère ni nuances. Ancienne danseuse principale du Mikhaïlovsky, il lui manque toujours cette aura unique et quelque peu magique – sans parler du pied sculpté - des ballerines du Mariinsky. La paire qu'elle forme avec Alexandre Serguéïev, bondissant et racé, se révèle pourtant fort harmonieuse. On préférera toutefois au couple principal les demi-solistes qui les accompagnent ici : Valeria Martiniuk, petit elfe virtuose déployant son charme dans la première variation, et Vassili Tkachenko et Alexeï Nedviga, dont les qualités vont bien au-delà du port impeccable du kilt et du béret.

Etudes, apothéose de virtuosité débridée aux frontières de l'indécence, apporte la conclusion voulue à ce gala – explosive, comme il se doit. Le ballet de Lander, monté une première fois en 2003, est revenu lui aussi la saison dernière au répertoire du Mariinsky, dans une version, sensiblement différente de celle de l'Opéra de Paris, du Danois Johnny Eliasen. Malgré l'attrait que suscite le ballet, défi technique permanent pour les danseurs, était-ce bien raisonnable d'achever une tournée - et un gala de fin de tournée - par cette débauche de pas d'école, ce déploiement pyrotechnique virant aisément à la démonstration circassienne? On en doute un peu à voir ces pieds coquins venant parfois rompre l'harmonie du corps de ballet, ou ces alignements approximatifs, notamment lors du final, qui ternissent quelque peu l'exécution brillante des danseurs du Mariinsky. Aidée il est vrai par une orchestration – et un orchestre - qui ont clairement renoncé en cette fin de soirée à toute subtilité, la troupe en livre une interprétation qui, à défaut d'être à chaque instant parfaitement policée, n'est pas non plus dépourvue de second degré ni d'humour. Le pur exercice technique et ses contraintes militaires, théâtralisé par Lander, en est ainsi mis légèrement à distance. Pour servir le propos du ballet, un trio d'étoiles de haut vol s'impose, et en l'absence de Léonide Sarafanov, le Mariinsky nous offre sans doute ce qu'il a de mieux en magasin, avec Denis Matvienko, Vladimir Shklyarov et Viktoria Tereshkina. Chez les garçons, on pourra toutefois regretter, en cette représentation un brin fatiguée, que les qualités de l'un semblent se perdre un tantinet chez l'autre. Matvienko a pour lui la puissance, l'énergie et la précision dans les sauts et les tours – et l'impeccable série de fouettés -, Shklyarov a le ballon, l'élégance, et l'enthousiasme d'une jeunesse irrésistible. Pour réconcilier tout le monde, Viktoria Tereshkina s'impose de manière incontestable à leurs côtés, malgré deux petites erreurs aussi incongrues qu'inhabituelles, comme la reine de la soirée. Sa danse ciselée et spirituelle, d'un raffinement qui évite les pièges du maniérisme, est de celle, rare, qui convertit la virtuosité en art. Une grande ballerine dont l'éclat et l'élégance honorent la tradition aristocratique d'une compagnie séculaire.

Le contenu des articles publiés sur www-dansomanie-net et www-forum-dansomanie-net est la propriété exclusive de Dansomanie et de ses rédacteurs respectifs.Toute reproduction intégrale ou partielle non autrorisée par Dansomanie ou ne relevant pas des exceptions prévues par la loi (droit de citation notamment dans le cadre de revues de presse, copie à usage privé), par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles L. 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle. Toute réutilisation non expressément autorisée et excédent le cadre du droit de citation prévu par la loi donnera lieu à des poursuites judiciaires.


Comme le précise Florestiano dans un autre fil, le ballet "Etudes" avait été dansé par le Mariinsky à Baden-Baden en décembre 2010 et sophia avait posté un commentaire étoffé.
Je regrette que ce ballet virtuose que je ne connaissais pas n'ait pas été dansé par le Ballet Royal du Danemark lorsqu'il est venu à Paris....


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086

MessagePosté le: Dim Déc 30, 2012 7:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cela aurait eu une autre allure que les médiocres relectures bournonvillesques de M. Hübbe. Laughing

Je relis ma prose - exercice que je déteste (pas merci, néophyte Razz) - et je peux dire que malgré le Mariinsky et ses merveilleux danseurs (vu aussi Etudes pas mal de fois à l'ONP), on était loin, très loin, de ce qu'on voit sur la vidéo Flindt/Lander/Bruhn. De toute façon - et j'assume complètement le côté "c'était mieux avant" -, je pense que personne ne danse à ce niveau-là aujourd'hui.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
NEOPHYTE



Inscrit le: 25 Sep 2011
Messages: 1002
Localisation: PARIS

MessagePosté le: Dim Déc 30, 2012 8:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai du mal à comprendre que le Ballet Royal du Danemark ait dansé "Napoli" à Paris alors qu'il a dans son répertoire les deux pépites que sont "la Sylphide" et "Etudes"...
L'Opéra de Paris est plus sympa, en tournée, c'est "Giselle"... à Singapour, aux USA et bientôt en Australie...


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086

MessagePosté le: Lun Déc 31, 2012 10:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Napoli est un chef d'oeuvre de Bournonville, au même titre que La Sylphide, qui a tout à fait sa place dans une tournée du Ballet Royal du Danemark. Mais peut-être l'acte III - couplé à autre chose - aurait-il suffi? Ce que je conteste, c'est que l'on impose à un public, absolument étranger à la tradition de Bournonville, une relecture de ce classique qu'il ne connaît même pas dans sa version "originale", pas déplaisante sans doute, mais très contestable. Mais bon, on ne va pas refaire la saison et ce n'est pas non plus le sujet...


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Florestiano



Inscrit le: 28 Mai 2010
Messages: 1802

MessagePosté le: Jeu Jan 03, 2013 7:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

9999 messages... Bravo (et merci Very Happy), sophia ! Bientôt un compte rond !


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086

MessagePosté le: Jeu Jan 17, 2013 9:04 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Il paraît qu'About the House, le magazine des amis du ROH, donne les dates de la tournée du Bolchoï à Londres (les réservations ne sont pas encore ouvertes). Pour info, donc :

Le Lac des cygnes : 29, 30, 31 juillet, 1er, 10 (M&S), 14 et 15 août
La Bayadère : 2, 3 (M&S) août
La Belle au bois dormant : 5, 6, 7, 8, 9 août
Symphonie classique (Possokhov) / Le Sacre du printemps (McGregor) / Diamants (Balanchine) : 12, 13 août
Flammes de Paris : 16, 17 (M&S) août


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086

MessagePosté le: Mer Jan 23, 2013 4:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

L'annonce officielle du programme de la tournée londonienne du Bolchoï via The Arts Desk :

Citation:
Full programme

Swan Lake (8 performances): 29, 30, 31 July and 1, 10, 14, 15 August at 7.30pm, and 10 August 2pm
La Bayadère (3 pfs): 2, 3, August at 7.30pm, 3 August at 2pm
The Sleeping Beauty (5 pfs): 5, 6, 7, 8, 9 August at 7.30pm
Triple Bill (2 pfs): Classical Symphony (Yuri Possokhov) / The Rite of Spring (Wayne McGregor) / Diamonds (George Balanchine) 12, 13 August at 7.30pm
The Flames of Paris (3 pfs): 16, 17 August at 7.30pm, 17 August at 2pm

The principal artists listed for London are (female) Maria Alexandrova, Maria Allash, Nina Kaptsova, Svetlana Lunkina, Anna Nikulina, Evgenia Obraztsova, Natalia Osipova, Ekaterina Shipulina, Anastasia Stashkevich, Olga Smirnova and Svetlana Zakharova; (male) Semyon Chudin, David Hallberg, Mikhail Lobukhin, Vyacheslav Lopatin, Artem Ovcharenko, Ruslan Skvortsov, Nikolai Tsiskaridze, Ivan Vasiliev and Alexander Volchkov.


La réservation ouvre le 9 avril sur le site du ROH.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
paco



Inscrit le: 28 Oct 2005
Messages: 3557

MessagePosté le: Mer Jan 23, 2013 4:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

sophia a écrit:
L'annonce officielle du programme de la tournée londonienne du Bolchoï via The Arts Desk :

Citation:
Full programme

Swan Lake (8 performances): 29, 30, 31 July and 1, 10, 14, 15 August at 7.30pm, and 10 August 2pm
La Bayadère (3 pfs): 2, 3, August at 7.30pm, 3 August at 2pm
The Sleeping Beauty (5 pfs): 5, 6, 7, 8, 9 August at 7.30pm
Triple Bill (2 pfs): Classical Symphony (Yuri Possokhov) / The Rite of Spring (Wayne McGregor) / Diamonds (George Balanchine) 12, 13 August at 7.30pm
The Flames of Paris (3 pfs): 16, 17 August at 7.30pm, 17 August at 2pm

The principal artists listed for London are (female) Maria Alexandrova, Maria Allash, Nina Kaptsova, Svetlana Lunkina, Anna Nikulina, Evgenia Obraztsova, Natalia Osipova, Ekaterina Shipulina, Anastasia Stashkevich, Olga Smirnova and Svetlana Zakharova; (male) Semyon Chudin, David Hallberg, Mikhail Lobukhin, Vyacheslav Lopatin, Artem Ovcharenko, Ruslan Skvortsov, Nikolai Tsiskaridze, Ivan Vasiliev and Alexander Volchkov.


La réservation ouvre le 9 avril sur le site du ROH.


chouette, ils y sont tous !

courage pour la réservation, le nouveau système du ROH est inutilisable en cas d'affluence (sans file d'attente = 100 personnes cliquent en même temps sur le même fauteuil à la même seconde, au pire ça plante tout de suite, au mieux le panier se vide au moment de payer. Ils disent essayer de résoudre le problème suite aux nombreuses récriminations mais je doute qu'ils y parviennent...)


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
NEOPHYTE



Inscrit le: 25 Sep 2011
Messages: 1002
Localisation: PARIS

MessagePosté le: Jeu Jan 24, 2013 12:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Presque tous là...sauf Vladislav Lantratov qui est pourtant invité au Marinsky pour danser Solor avec Olga Smirnova le 4 fevrier.....

Après bien sûr avoir dansé la "Bayadère" retransmise par le Bolchoi au cinéma le 27 janvier...

S'il ne vient pas à Londres qui va danser "Flammes de Paris" en alternance avec Ivan Vasiliev...?

Vyacheslav Lopatin sera là mais la "Sylphide" n'est pas au programme...donc pas de James...


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086

MessagePosté le: Jeu Jan 24, 2013 12:45 am    Sujet du message: Répondre en citant

La dépêche ne cite que les étoiles et les solistes principaux. J'aurais tendance à croire qu'elle a été rédigée avant la promotion de Lantratov au rang de "soliste principal" (bien qu'Olga Smirnova, présente dans la liste, ne soit que première soliste, tout en ayant déjà statut de star). Anna Tikhomirova, Denis Savin, Pavel Dmitrichenko ou d'autres premiers solistes seront très probablement de la tournée aussi, quoique non mentionnés.
Enfin, quelle joie de voir à côté de tous ces noms attendus ceux de Lunkina, qui ne danse pas actuellement, ou des enfants prodigues...




Dernière édition par sophia le Jeu Jan 24, 2013 12:51 am; édité 1 fois
Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Florestiano



Inscrit le: 28 Mai 2010
Messages: 1802

MessagePosté le: Jeu Jan 24, 2013 12:50 am    Sujet du message: Répondre en citant

NEOPHYTE a écrit:
S'il ne vient pas à Londres qui va danser "Flammes de Paris" en alternance avec Ivan Vasiliev...?


Alexander Volchkov, j'imagine - très beau Philippe.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
NEOPHYTE



Inscrit le: 25 Sep 2011
Messages: 1002
Localisation: PARIS

MessagePosté le: Jeu Jan 24, 2013 12:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

vous avez certainement raison Florestiano, il est le seul parmi les danseurs cités pour la tournée à l'avoir dans son répertoire.

Mais il ne suffit pas d'être beau pour être un bon Philippe... il faut avoir... le "feu sacré"...


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Florestiano



Inscrit le: 28 Mai 2010
Messages: 1802

MessagePosté le: Jeu Jan 24, 2013 1:12 am    Sujet du message: Répondre en citant

Par beau, j'entendais "de belle facture". Les représentations de Flammes de Paris avec Volchkov-Alexandrova que j'ai pu voir étaient très différentes mais bien aussi "intéressantes" (toutes proportions gardées ; on parle de Flammes de Paris Wink) et exaltantes que celles avec Vasi-Osi.


Revenir en haut
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web du posteur
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Dansomanie Index du Forum -> Tout sur la danse Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Aller à la page Précédente  1, 2, 3 ... 54, 55, 56 ... 112, 113, 114  Suivante
Page 55 sur 114

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous pouvez voter dans les sondages de ce forum


Nous Contacter
Powered by phpBB © phpBB Group
Theme created by Vjacheslav Trushkin
Traduction par : phpBB-fr.com