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Tournées du Bolchoï et du Mariinsky
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sophia



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MessagePosté le: Mar Juil 13, 2010 5:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

paco a écrit:
ce qui est amusant aussi, c'est que jusqu'à présent, pour Spartacus, seules les représentations avec Vasiliev étaient complètes, or seules les 19 et 31 étaient programmées avec lui.
Maintenant il danse aussi le 21, pour lequel il reste environ 200 places, une belle opportunité pour ceux qui ont été refoulés les 19 et 31...


Finalement (?), c'est Mikhaïl Lobukhin qui est distribué sur cette date (d'après le ROH).
Cela dit, on a du mal à s'expliquer le retrait de Maria Alexandrova de Coppélia et son absence (il est vrai dès le départ) des rôles de Myrtha et d'Aegina (voire de Kitri). Evil or Very Mad


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maraxan



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MessagePosté le: Mar Juil 13, 2010 5:42 pm    Sujet du message: Répondre en citant

non Mikhaïl Lobukhin était distribué sur cette date depuis le début avec Artem Shpilevsky en Crassus.
Je pense que cela n'a pas été encore modifié sur le site de la ROH d'après le dernier (?) communiqué Hocchhauser qui confirme Vasiliev.


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sophia



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MessagePosté le: Mar Juil 20, 2010 2:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Plutôt que de poster l'une ou l'autre des critiques dithyrambiques déjà parues ou à paraître dans la presse britannique sur le Spartacus avec Ivan Vassiliev, qui a ouvert hier soir la tournée londonienne du Bolchoï, je signalerais ici simplement l'article du Guardian que Sanjoy Roy consacre - actualité oblige - au Bolchoï dans son excellente série "a step-by-step guide to dance". C'est clair, précis, enlevé... Comme quoi on peut encore envisager un journalisme grand public qui soit en même temps éducatif (les précédents épisodes sont toujours disponibles en ligne) :

http://www.guardian.co.uk/stage/2010/jul/20/bolshoi-ballet-guide-dance

Et en complément de l'article plus étoffé de Judith Mackrell, "Power and Poise", une série de photos "backstage at ROH" :

http://www.guardian.co.uk/stage/gallery/2010/jul/20/backstage-bolshoi-ballet?intcmp=239


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marc



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MessagePosté le: Sam Juil 24, 2010 10:50 am    Sujet du message: Répondre en citant

Autant "Spartacus", donné par le Bolshoi mercredi dernier, était un ballet masculin, autant "Coppélia", jeudi, était le triomphe de la ballerine. 

"Spartacus" fut explosif, ardent, plein de fougue et d'allant avec un Ivan Vasiliev dans le rôle de Spartacus qui réalisait des sauts et des pirouettes à la limite de l'exploit physique. Certes, son Spartacus n'était pas très cérébral, mais il était tellement en accord avec l'image de ce personnage véhiculé par les peplums du cinéma qu'il remportait l'adhésion enthousiaste du public. Dans le rôle de Crassus, Alexander Volchkov a posé un personnage hautain, habité par la certitude de sa valeur, de sa supériorité, de son bon droit et de son dédain pour les autres parfaitement convainquant. Dans cette ambiance de luttes et de bagarres très viriles, les rôles de femme étaient une respiration salutaire. Nina Kaptsova, en Phrygia, fut une touchante compagne de Spartacus, délicate, fragile, terrifiée par son abominable destin, mais aussi habitée par son inaltérable amour pour Spartacus qui finit par faire d'elle un authentique personnage tragique. Maria Allash, qui avait en Agina le personnage le plus complexe, a rendu admirablement la dualité, la duplicité, la force manipulatrice de ce personnage, mais aussi les doutes qui habite cette courtisane dans sa volonté effrénée de se faire une place au soleil. Le corps de ballet, quant à lui, a été épatant et m'a particulièrement impressionné par sa parfaite synchronisation dans des tableaux techniques et trés rapides. Chapeau ! Un petit bémol, toutefois, à cette représentation : L'idée de liberté et de la noblesse des luttes pour l'obtenir se sont beaucoup moins imposées à moi que dans le DVD avec Carlos Acosta. Mais bon...

"Coppélia" fut luxe, splendeur et volupté. Les décors, les costumes étaient superbes, colorés, brillants. Le corps de ballet trés à son aise a livré des tableaux réjouissants, pleins d'allant et de fraicheur. Ruslan Skvortsov a été parfait dans le rôle de Franz, mais surtout, surtout, surtout, Natalia Osipova a illuminé cette soirée de sa grâce incroyable, de son talent fabuleux, de sa féminité rayonnante. Chacune de ses apparitions électrisait la salle et était saluée par des bravos et des vivas. C'était magique ! Par la chance que j'ai eu de voir cette grande danseuse au sommet de son art, cette "Coppélia" du Bolshoi restera pour moi une soirée que je n'oublierai pas de sitôt...            


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sophia



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MessagePosté le: Sam Juil 24, 2010 12:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Apres Novossibirsk et le Mikhailovsky, et toutes leurs qualites, il est certain qu'avec le Bolchoi, on monte de plusieurs crans, c'est presque un autre monde!
J'ai vu la deuxieme de Coppelia avec Anastasia Stashkevitch et Viacheslav Lopatin. Bien sur, j'aurais aussi aime admirer Natalia Ossipova que finalement je ne verrai pas (pour arriver a y echapper dans cette histoire, il faut le faire quand meme...).

Pour ma part, je reste surtout sideree de voir ce que Vikharev a reussi a faire, techniquement et stylistiquement, avec cette compagnie, quoi qu'on pense du ballet par ailleurs, qui a ses evidentes limites et pesanteurs, mais ouvre un immense champ de reflexion au monde de la danse classique, qui de son cote ne veut surtout pas reflechir. A part ca, qu'on ne me parle plus de la difficulte insurpassable des choregraphies de Noureev, de la technique tellement meilleure aujourd'hui qu'hier, etc..., a voir ce ballet, on se rend compte que les choses sont legerement plus complexes que ces idees recues... Mais brisons-la...

Je posterai mon compte-rendu (non polemique) aussi tot que possible dans la journee...


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sophia



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MessagePosté le: Dim Juil 25, 2010 10:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

Suite des hostilités londoniennes donc (et j'ai envie de dire aussi, là, on passe vraiment aux choses sérieuses...) avec la Coppélia du Bolchoï et une jeune soliste encore peu connue du grand public en Occident, Anastasia Stashkevitch...


Coppélia
Ballet du Théâtre Bolchoï
Londres, Royal Opera House
23 juillet 2010


La tournée londonienne du Bolchoï est l'occasion de voir pour la première fois sur une scène occidentale la Coppélia de Marius Petipa et Enrico Cecchetti, dans sa version reconstruite par Sergueï Vikharev, dont la première avait eu lieu à Moscou en mars 2009. Insérée dans le copieux programme de la tournée, juste après le Spartacus de Grigorovitch et son ode épique à l'héroïsme survitaminé, il était à vrai dire difficile d'imaginer écart culturel plus grand entre deux spectacles – histoire d'ouvrir les hostilités en montrant toute la palette stylistique et technique du répertoire présent de la compagnie...

La Coppélia de Sergueï Vikharev ressemble à une précieuse boîte à musique qu'on aurait dérobée à un fabuleux magasin d'antiquités. C'est là sa force, c'est aussi là sa limite en tant que spectacle - de danse et de théâtre mêlés. L'oeil se perd avec bonheur dans ce délicat oeuf de Fabergé, dans ce délicieux grenier impérial aux airs de cabinet de curiosités fin-de-siècle, qui décline, dans des décors et des costumes sortis tout droit d'un livre d'estampes de la fin du XIXème siècle, toute une panoplie complexe de pas et d'enchaînements oubliés, dont le raffinement et la virtuosité disent aussi en filigrane l'immense pauvreté du vocabulaire classique actuel. Une imagerie dont la reconstitution méticuleuse et réfléchie se situe cependant loin, très loin du kitsch plus ou moins sophistiqué auquel les mises en scène de ballets classiques nous habituent le plus souvent. La réhabilitation du décor n'est pas ici une fin en soi ou un simple divertissement d'enfant gâté, elle n'est là que pour servir d'écrin et de caisse de résonance - il est vrai majestueuse - à la réhabilitation d'un style – fait de pas, de gestes, d'enchaînements qu'on pourrait croire parfois venus d'un autre monde. Mais par-delà la perfection d'une reconstitution muséographique qui frappe autant par sa beauté patinée que par sa soif de vérité, par-delà l'exercice de style proposé à des danseurs d'excellence (et une telle chorégraphie le prouve ô combien), la vie – la chair – semble aussi parfois comme avoir déserté cette Coppélia d'antan, ressuscitée d'entre les morts de l'Empire. Impossible de parler de ce ballet comme d'un drame – d'une comédie – que l'on suit avec passion, doté d'une action et de caractères aptes à toucher ou à amuser, il est simplement une succession fascinante de tableaux riches et colorés, animés par la danse et par un mime ancestral, rien d'autre qu'un essai esthétique doublé d'une démonstration stylistique offerte à l'acuité des danseurs d'aujourd'hui.

Sergueï Vikharev vient du Mariinsky et ses précédentes reconstructions - La Belle au bois dormant, La Bayadère, Le Réveil de Flore... – ont pour la plupart été faites pour ce théâtre – jusqu'à ce que, gêné aux entournures par son approche esthétique inédite (et de peu de succès auprès du public russe et des danseurs, il faut bien le dire), on lui suggère d'aller reconstruire ailleurs. C'est le Bolchoï qui l'a accueilli, et à voir la chorégraphie de cette Coppélia se déployer, on ne peut qu'être confondu devant le travail extraordinaire qu'il a dû mener en amont avec ces danseurs bigger than life que sont ceux du Bolchoï, certes de très haut niveau, mais pas vraiment coutumiers du style de danse pré-soviétique qu'il souhaite restaurer, dentelle complexe d'épaulements, de petits pas et de sauts délicats, dans laquelle priment non seulement la mobilité du haut du corps, mais aussi la précision et la vélocité du bas de jambe. Après un premier acte où dominent les danses de caractère et un second davantage marqué par la pantomime, le troisième acte, pur divertissement dans le goût impérial, se présente ainsi comme une apothéose de virtuosité stellaire pour le corps de ballet et les différents solistes. Dans cette démonstration de style, enthousiasmante pour les yeux, les épousailles des deux héros, Swanilda et Franz, semblent largement perdues de vue, pour mettre au premier plan la richesse de la construction chorégraphique et le brio des danseuses.

Les tournées des compagnies – celle du Bolchoï n'y fait d'ailleurs pas exception - se contentent le plus souvent de mettre en avant leurs étoiles – et évidemment les plus « rentables » parmi celles-ci. Pour cette Coppélia toutefois, c'est une simple soliste, Anastasia Stashkevitch – aucun premier rôle à son actif (était-ce là son vrai début dans le rôle? Elle a été applaudie par les solistes et le corps de ballet au moment des saluts...) -, qui a l'honneur d'une distribution, en alternance avec la star internationale Ossipova, et ce, avant même le retrait (incompréhensible) de Maria Alexandrova de la série. D'apparence presque fragile, Anastasia Stashkevitch est une jolie blonde, gracieuse, légère et délicate, apparemment très jeune, qui frappe paradoxalement tout au long du ballet par la force inébranlable qu'elle dégage, tant sur le plan scénique que technique. Elle domine avec un certain éclat, et notamment par une saltation très assurée et volontaire, la difficile chorégraphie de Vikharev, dont la virtuosité culmine dans une impossible variation finale qui ferait passer les morceaux choisis de Noureev pour un simple jeu d'enfants. Sur le plan scénique, on est loin avec elle – on s'en doute - de la tornade Ossipova, qu'on imagine du reste survoler la chorégraphie de Vikharev avec délectation, ou de la force de caractère très féminine d'une Alexandrova. Le personnage qu'elle campe joue davantage sur le charme juvénile, sur la douceur et le piquant plutôt que sur la franche impertinence. Si elle semble parfaitement à sa place dans le rôle de Swanilda, on peut regretter toutefois que sa danse manque quelque peu d'accents – de ces surprises qui font la différence, au-delà d'une exécution quasi-parfaite de la chorégraphie, qui s'étend jusqu'aux parties mimées, très lisibles et justes. De ce point de vue, elle ne se distingue pas toujours assez en tant qu'héroïne auprès de ses amies, aussi enjouées qu'impeccables dans le pas d'action du premier acte.

Le rôle de Franz est, sans surprise, assez limité dans cette version, et l'on peut, indépendamment du contexte de reconstruction, trouver cela dommage, car Viacheslav Lopatin a tout d'un merveilleux danseur. Bien que ce ne soit pas l'aspect le plus passionnant du ballet, son mime s'avère excellent, plus convaincant et autoritaire que celui de sa partenaire, et la variation finale permet d'admirer tant son ballon extraordinaire que la propreté et la précision de sa petite batterie. Habitués que nous sommes à des versions modernisées où Coppélius tend à apparaître comme un vieillard vaguement fantastique et inquiétant, on passe aussi un peu à côté du caractère originel, savant excentrique et gentiment râleur, mais resté très humain, interprété ici par Guenadi Yanin, spécialiste glorieux et émérite des rôles mimés.

Le divertissement du dernier acte, plus qu'un élément de l'action, est en réalité un hymne grandiose à la femme et à la ballerine impériale, qui rappelle au demeurant celui du Réveil de Flore. Les évolutions géométriques écrites pour le corps de ballet y alternent ici avec les quatre variations allégoriques dédiées aux Heures de la journée et le Grand pas de deux final. C'est une symphonie de couleurs et de tissus vaporeux et soyeux qui se joue ici, et que mettent en scène les costumes aussi somptueux que dépareillés des danseuses - caractéristiques de toutes les productions de Vikharev - avec leur riche bustier orné et leur jupon épais et tombant. Ekaterina Krysanova y déploie son élégance et sa technique subtile et précise dans la variation de l'Aurore, mais c'est au fond Anna Leonova, dans la variation bondissante de la Folie, qui emporte tous les suffrages, par un sens de l'attaque étourdissant, qui va bien au-delà de la technique pure.

Après le Mariinsky, a priori mieux façonné pour se prêter au jeu, c'est le Bolchoï qui relève avec grandeur le défi technique et stylistique lancé par Vikharev. Dans le monde des « versions d'après » dans lequel nous baignons, je ne saurais dire franchement, a fortiori avec autorité, à quoi cela sert de proposer aujourd'hui une reconstruction de la Coppélia impériale - qui n'en sera jamais autre chose que l'idée -, et au-delà, de tout un pan du répertoire chorégraphique, que les aléas de l'histoire se sont chargé de transformer. Sans doute y aurait-il beaucoup à répliquer à Vikharev sur sa prétention à l'authenticité via des notations chorégraphiques que l'on sait discutables par nature et par accident... Sans doute cette Coppélia, fascinante curiosité esthétique qui se contemple avec distance, n'est-il pas un ballet à revoir dix fois de suite, indépendamment du talent de ses interprètes... Sans doute, surtout, le ballet n'est-il pas un spectacle conçu pour satisfaire quelques historiens et balletomanes obsessionnels... Néanmoins, dans sa manière désespéré de remettre en question un certain nombre de certitudes – celles des spectateurs comme celles des danseurs et des maîtres de ballet – et de nous faire découvrir, à la manière d'un nouveau continent, la richesse insoupçonnée d'un langage classique appauvri et affadi par tous les soviétismes de l'histoire, il a le grand mérite – combat perdu d'avance? - d'introduire de la réflexion, et partant de la vie, dans un monde plombé par la mécanique et les idées reçues.


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Manu



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MessagePosté le: Dim Juil 25, 2010 12:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Si je me souviens bien, pour Staschkevich c'etait le deusieme spectacle


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sophia



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Messages: 22086

MessagePosté le: Dim Juil 25, 2010 2:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Deux p'tits souvenirs :





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frederic



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Messages: 976

MessagePosté le: Dim Juil 25, 2010 7:28 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'adhère totalement Sophia à votre compte rendu; j'ai vu Coppélia à la création, avec Maria Alexandrova lors de la générale puis avec Natalia Ossipova qui m'a semblé à l'époque mieux convenir au rôle. Je crois que Vikhariev avait tout d'abord "reconstruit" cette Coppélia pour... Novossibirsk précisément. Ballet qui n'en mérite pas tant, et "pour les enfants" comme disent les Russes!... La reconstruction est une idée vaine qui peut aboutir à des résultats différents: La Belle de Vikhrariev est irregardable car l'esthétique a évolué en 100 ans. Sa Bayadère est plus intéressante même si elle reste une curiosité pour balletomane. Et j'aime beaucoup cette remarque de Maya Plissetskaya lorsqu'on lui rapporta que Pierre Lacotte "recréait" la version d'origine de "La fille du pharaon": "Ah bon!.. il l'a vue?"...


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haydn
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Messages: 26513

MessagePosté le: Dim Juil 25, 2010 7:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cela dit, au-delà du mot d'esprit de Maya Plissetskaya, si seuls ceux qui avaient vu de leur propres yeux un ballet étaient en droit de le reconstituer, il ne resterait pas grand chose du répertoire du XIXème siècle...


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086

MessagePosté le: Lun Juil 26, 2010 9:59 am    Sujet du message: Répondre en citant

Enfin, concernant Pierre Lacotte et La Fille du pharaon en particulier, le terme "reconstruction" me semble de toute façon inadéquat.


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futaba



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Messages: 94
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MessagePosté le: Mer Juil 28, 2010 7:37 am    Sujet du message: Répondre en citant

From the BBC News,

Here is a video clip of Ivan Vasiliev.
Enjoy his amazing leaps in “Le Corsaire”.

http://news.bbc.co.uk/2/hi/entertainment/8836919.stm


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Malixia



Inscrit le: 28 Jan 2008
Messages: 375

MessagePosté le: Ven Juil 30, 2010 2:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le site Ballet.co a publié des photos du Grand Pas de Paquita, donné à Londres par le Bolchoï - où l'on remarque par exemple que le tutu de Masha Alexandrova rappelle plus celui de Kitri que celui porté par Svetlana Zakharova lors de la première de ce Grand Pas Smile


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22086

MessagePosté le: Ven Juil 30, 2010 6:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est un rêve de photographe ce ballet!... Very Happy

Pas de doute, c'est son tutu de Kitri... A la création de Paquita, elle portait pourtant l'un des (fabuleux) tutus de la production, plus ou moins le même que celui de Zakharova qui illustre le programme de la tournée (bon, j'avoue, j'ai regardé les photos de presse sur le site du Bolchoï... Laughing).

Qui sont les enfants qui dansent la Polonaise? Des élèves de la Royal Ballet School? Idea


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paco



Inscrit le: 28 Oct 2005
Messages: 3557

MessagePosté le: Ven Juil 30, 2010 9:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Certaines photos d'Ossipova et de Tsikaridzé à 10 mètres au-dessus du sol sont assez époustouflantes, entre autres parce qu'elles sont très nettes, comme si la danseuse ou le danseur étaient suspendus en apesanteur pendant des minutes sans bouger
Bon, on va encore me dire que j'aime le cirque... Wink


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