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Teshigawara / Brown / Kylián [ONP 31/10-14/11/2013]
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Hermione



Inscrit le: 28 Mar 2012
Messages: 36

MessagePosté le: Sam Oct 12, 2013 11:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est peut-être parce que je n'ai pas l’habitude de ce genre d'exercice, mais j'ai adoré cette Rencontre. Bien sûr, cela n'aurait peut-être pas fonctionné aussi bien sans Nicolas Le Riche et sa grande intelligence du mouvement, son sens du partage. Mais rien que pour cela, savourons ce qui nous est donné...


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Joël



Inscrit le: 11 Avr 2010
Messages: 112

MessagePosté le: Dim Oct 13, 2013 12:42 am    Sujet du message: Répondre en citant

haydn a écrit:
Lors des représentations de la Dame aux Camélias, nombre de ces places, autrefois à 6 puis 7 et 10 €, sont restées vides. Les habitués, pour peu qu'ils soient salariés (ou même étudiants, s'ils ont des cours), n'ont pas le loisir de faire la queue à partir de 13h ou 14h pour espérer obtenir quelque chose dans la bagarre de 19h (c'est peut être le but d'ailleurs, afin de les obliger à se rabattre sur des places de catégorie supérieure), et les touristes n'en veulent pas, en raison des mauvaises conditions de visibilité et de confort...

Dans mon expérience (La Sylphide, La Dame aux camélias, Alceste), il suffit le plus souvent d'arriver vers 17h pour être dans les dix premiers de la file et disposer d'une place assise pendant le temps de l'attente. J'ai systématiquement réussi à obtenir exactement la place que je voulais. (Cela dépend peut-être du jour de la semaine, cela dit.)


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chloe.c



Inscrit le: 27 Fév 2012
Messages: 126
Localisation: France

MessagePosté le: Lun Oct 14, 2013 11:54 am    Sujet du message: Répondre en citant

Expérimental était le mot...
Pour ma part j'avoue être allée à cette "Convergences" surtout à cause de la présence de Nicolas Le Riche, et je dois dire qu'heureusement qu'il était là (avec son ex-étoile préférée qui l'accompagnait, ça faisait plaisir de la revoir Very Happy ).

Même si c'était très intéressant d'observer la création d'une oeuvre et la démarche du chorégraphe et de ses danseurs, je n'ai pas adhéré plus que ça à la méthode de travail de M. Teshigawara telle qu'elle nous a été présentée. Deux jours après, et avec le recul, je ne comprends toujours pas tellement la différence entre improvisation à "l'occidentale" et ce qui nous a été montré samedi... Après, je pense qu'en une heure et surtout à cause de la barrière de la langue (malgré les prouesses de Nicolas Le Riches Wink ), c'était compliqué de se faire une idée complète de la méthode.
Je reste curieuse néanmoins de voir ce que donnera l'oeuvre "aboutie". Si j'arrive à trouver une place pas chère...


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LucyOnTheMoon



Inscrit le: 18 Nov 2008
Messages: 984

MessagePosté le: Lun Oct 14, 2013 7:22 pm    Sujet du message: Répondre en citant

chloe.c a écrit:
Deux jours après, et avec le recul, je ne comprends toujours pas tellement la différence entre improvisation à "l'occidentale" et ce qui nous a été montré samedi...


Je vais vous expliquer ce que je crois avoir compris, et peut-être quelqu'un pourra-t-il confirmer, infirmer ou compléter ! Wink

La "non-improvisation", selon Teshigawara, semble être de se laisser guider par les réactions de notre corps. Le mouvement devenant une réaction mécanique (je crois qu'il a utilisé le terme "scientifique") au mouvement qui précède. Il procède d'une énergie, d'un état d'esprit, d'une respiration... et non pas de la volonté ou de la "mémoire" du danseur.
Une expérience simple à faire : debout, lancez votre bras (droit ou gauche peu importe) devant vous, tendu. Si vous le lancez "mollement", la "réaction" naturelle de ce bras sera de retomber, fin de l'histoire. Si vous le lancez très énergiquement, l'élan donné devrait vous déséquilibrer, et le mouvement suivant sera un pas, une chute, une spirale si le bras était lancé un peu diagonale, etc...
Cela dit, comment le chorégraphe s'est servi de ça pour créer un ballet... ça reste totalement obscur pour moi ! En même temps, comme d'après le titre il sera justement question d'obscurité, c'est peut-être aussi bien Laughing


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Florestiano



Inscrit le: 28 Mai 2010
Messages: 1802

MessagePosté le: Jeu Oct 17, 2013 11:00 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Second post du jour pour signaler la mise en ligne des distributions :

http://www.operadeparis.fr/saison_2013_2014/Ballets/teshigawara-brown-kylian/decouvrir/distribution-teshigawara-brown-kylian/


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22163

MessagePosté le: Ven Oct 25, 2013 9:37 am    Sujet du message: Répondre en citant

En vidéo sur le site de l'Opéra : Aurélie Dupont, Nicolas Le Riche et Jérémie Bélingard en répétition avec Saburo Teshigawara.

Ce qu'en dit Nicolas Le Riche dans Le Figaro :

"«J'avais vu les pièces de Teshigawara, il avait entendu parler de moi. Nous nous sommes rencontrés.» Avec un tel succès que le chorégraphe invite ­Nicolas Le Riche, cet été, au Japon, pour une nouvelle création, cette fois avec sa compagnie Karas. «J'aime qu'il travaille sur le dionysiaque plus que sur la forme du mouvement, et de manière extrêmement sensible et fine. Ses productions, toujours sophistiquées ne doivent pas cacher le naturel qui est le fondement de son art», dit-il.

Darkness is Hiding Black Horses, explore la manière dont «la pénombre porte la lumière et inversement, comment tout cela fluctue et respire, où sont les frontières, et une partie plus mystérieuse qui parle de ce qu'on ne voit pas et qu'on pourrait imaginer. Qu'y a-t-il dans cette pénombre? Et s'il y avait des chevaux noirs?», note ­Nicolas Le Riche. Il précise goûter ce travail qui ne repose pas sur la mémoire du danseur mais sur quelque chose qui serait plutôt de l'ordre du vivant et de l'échange spontané."


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Insia



Inscrit le: 29 Avr 2009
Messages: 63

MessagePosté le: Mer Oct 30, 2013 4:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai eu la chance de pouvoir assister à la générale hier soir, bien que surprenante, la soirée est très agréable avec une belle préférence pour le troisième ballet que j'ai personnellement trouvé magique.

Soirée à ne pas mettre dans toutes les mains, je pense, mais très intéressante pour le moins.


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Ritournelle



Inscrit le: 13 Juin 2013
Messages: 577

MessagePosté le: Mer Oct 30, 2013 7:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Marc Moreau a publié sur son compte Instagram une vidéo montrant les fumées /décor du ballet de Teshigawara.
http://instagram.com/p/gGV4esCL0c/#


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haydn
Site Admin


Inscrit le: 28 Déc 2003
Messages: 26659

MessagePosté le: Ven Nov 01, 2013 1:09 am    Sujet du message: Répondre en citant

Accueil tout juste poli pour Darkness is Hiding Black Horses ce soir au Palais Garnier. Saburo Teshigawara a dû faire une drôle de tête s'il est resté jusqu'à la fin du spectacle, pour voir l'enthousiasme du public lorsque Jiří Kylián est monté sur scène, en se la jouant un peu "vedette américaine". Ovation méritée en tout cas, car ses Doux mensonges étaient de très loin la pièce la plus aboutie de la soirée.

Pour cette reprise, Doux mensonges bénéficiait en outre d'une très belle distribution, deux couples à l'équilibre parfait : Eleonora Abbagnato et Vincent Chaillet d'une part, Alice Renavand et Stéphane Bullion d'autre part. Ces deux paires, la première plus solaire, la seconde plus minérale, servaient idéalement le propos du chorégraphe, qui était de montrer les deux faces du théâtre, la scène et sa lumière intense, et les coulisses, dans la pénombre. Cette dualité se retrouvait également dans la musique : Claudio Monteverdi et les fastes de la cour de Mantoue opposé à Carlo Gesualdo, le musicien des ténèbres, le meurtrier pénitent.

Si les quatre danseurs se sont tous montrés dignes de la tâche qui leur était confiée, Alice Renavand aura de nouveau fait preuve d'une présence scénique exceptionnelle, et tout le monde aura compris qu'elle n'est pas destinée à terminer sa carrière au grade de Première danseuse. Mais la performance d'Alice Renavand ne doit pas occulter les mérites de ses comparses : Stéphane Bullion, tourmenté comme à son habitude, Eleonora Abbagnato, flamboyante, et Vincent Chaillet, étonnamment à l'aise dans les portés, sculptant, avec sa partenaire Sicilienne, des mouvements d'une fluidité remarquable. Au crédit du quatuor de danseurs, on portera aussi une réelle musicalité - ce qui ne va pas toujours de soi à l'Opéra de Paris -, qualité d'autant plus appréciable que les ballets de Kylián sont des compositions autant sonores que chorégraphiques.

Cette brillante fin de soirée aura fort heureusement occulté une entrée en matière beaucoup plus laborieuse. Darkness is hiding black horses est une pièce déconcertante, où l'on perçoit avec difficulté les intentions de Saburo Teshigawara : pas de décor, ascèse japonaise oblige, quelques fumeroles (hommage involontaire à feu Patrice Chéreau, qui usait et abusait des brouillards artificiels?), des pas un peu décousus, évoquant étrangement la danse française du Grand siècle... Etait-il vraiment nécessaire de convoquer Aurélie Dupont et Nicolas Le Riche en personne pour une création qui, de toute évidence, est promise à un oubli rapide? Paradoxalement, c'est le troisième larron, Jérémie Bélingard, qui a su le mieux se saisir de l'affaire, et a donner un peu de sens à cette pièce erratique. Lui seul est parvenu à faire prendre corps à son "rôle", à lui conférer quelque substance sur le plan "dramatique" si l'on ose dire, dans un ouvrage qui défie la théâtralité.

Le réfrigérant Glacial Decoy qui suivait en paraissait presque primesautier. Certes, ce genre de chorégraphie pour apprenties-vestales n'a pas vocation à amuser l'auditoire, et toutes ces élucubrations de nonnes sécularisées ont tôt fait de virer au pensum. Mais au moins, Trisha Brown aura su imprimer à sa pièce la logique, la direction qui font défaut à Darkness is hiding black horses. Cela relevait pourtant de la gageure car Glacial decoy se déroule dans un silence quasi-absolu. La succession des pas n'est rythmée que par le cliquètement d'un appareil de projection, qui fait défiler sous les yeux des spectateurs une succession de clichés signés Robert Rauschenberg, le pape du Pop-art made in USA. Comme dans Darkness is hiding black horses, l'ambiance est résolument "black and white". Par ailleurs, Glacial decoy aura heureusement été un peu réchauffé par le duo bondissant formé de Laurence Laffon et Caroline Robert, très joueuses, évoquant de-ci de-là le Balanchine de Concerto Barocco.



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Joelle



Inscrit le: 06 Avr 2013
Messages: 882

MessagePosté le: Ven Nov 01, 2013 10:40 am    Sujet du message: Répondre en citant

Excellente synthèse, très brillamment rédigée et qui résume parfaitement la soirée vue par des non-spécialistes (mais qui commencent quand même à s'y connaître un peu plus...)

La néophyte se permettra d'ajouter qu'il y a quand même eu quelques jolis moments fulgurants (à son goût) dans Darkness is Hiding Black Horses, mais trop peu pour faire de ce ballet quelque chose que l'on a envie de revoir. Et je préfère ne pas citer la déception de mon mari qui s'est exprimé en termes beaucoup moins châtiés... Il a plutôt évoqué une danse de Saint-Guy qu'autre chose...

Pour Glacial Decoy, l'atmosphère "pensum"a été sauvée par la performance de Laurence Laffon et Caroline Robert, sans oublier Letizia Galloni qui a une réelle présence. Mais l'absence de musique et le projecteur de diapos qui représente le seul bruit du ballet :pfff...........

Mais le troisième ballet fut superbe : les danseurs, les décors, le chœur, la scénographie avec les prises de vue sous les dessous de la scène du Palais Garnier. C'était génial et l'ovation fut plus que méritée pour Jiri Kilian, le chœur et nos 4 danseurs !
Cela nous a fait oublier la déception de la première partie et nous en sommes ressortis avec des "étoiles" plein les yeux !


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sophia



Inscrit le: 03 Jan 2004
Messages: 22163

MessagePosté le: Lun Nov 04, 2013 9:40 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ariane Bavelier proprement ravie par la soirée TBK :

"En réunissant ces trois œuvres, Brigitte Lefèvre signe un coup de maître. Les trois chorégraphes mettent l'espace au centre de leur travail. Ils l'explorent magistralement, chacun d'une manière si personnelle et si radicale, si complémentaire, que le spectateur assiste, fasciné, à l'entrée dans une nouvelle dimension."

Ivresses de l'espace à l'Opéra de Paris (Le Figaro)


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Joelle



Inscrit le: 06 Avr 2013
Messages: 882

MessagePosté le: Lun Nov 04, 2013 11:05 am    Sujet du message: Répondre en citant

Humm... Wink
Dans tout les cas, superbe photo d'Aurélie Dupont pour illustrer l'article !


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Florestiano



Inscrit le: 28 Mai 2010
Messages: 1802

MessagePosté le: Mar Nov 05, 2013 1:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dites-moi, le nombre de réactions à ce spectacle sur ce fil semble être à l'image de l'apathie du public à l'issue des deux premières pièces.

Nous assistions à la représentation d'hier (toute la représentation ; je suis faible, j'ai cédé et me suis résolu à venir dès le début...).

Nicolas Le Riche, l'un des plus grands danseurs du monde (et ils ne sont pas nombreux dans la compagnie qui peuvent s'en prévaloir !), s'en va, et tout ce qu'on trouve à lui faire danser pour sa saison de départ, c'est ce truc gentillet de Teshigawara qui suscite au mieux l'indifférence ou le scepticisme au pire un ennui profond. Je me serais bien passé des convulsions et crises épileptiques de nos trois Etoiles.
De belles choses semblent affleurer pourtant, mais il me manque probablement un certain niveau d'intimité culturelle avec le Japon, son rapport aux esprits et aux fantômes, qui pourrait permettre de mieux appréhender la pièce.
Encore une création mondiale à l'Opéra de Paris qui marquera l'histoire de la danse...

Paradoxalement, je me suis surpris à être plus "emporté" par le Trisha Brown. C'est austère, le diaporama de photos laisse de marbre, mais au moins, ça danse.
J'ai passé les 18 minutes de la pièce à me poser deux questions métaphysiques :
1. mais pourquoi diable les tuberculeux de service nous infligent au concert leurs éructations sonores alors qu'ils ont montré hier qu'ils pouvaient être très sages pendant toute l'oeuvre, interprétée dans un silence scandé par les seuls cliquetis du diaporama...
2. il y a 5 danseuses annoncées sur la fiche de distribution, elles ne sont que 4 à saluer, il y en a une - Miho Fujii ? - que j'ai cru voir 4 secondes au début et 25 secondes vers la fin. Encore un élément de trouble !

Bref, si on veut voir ce genre de danse, on va au Théâtre de Ville, mais cela ne pouvait que faire pschittt à Garnier. Indifférence stupéfiante du public ; j'ai rarement vu cette intensité de mollesse. Ce qu'Ariane Bavelier se plaît à décrire comme l"ahurissante prestation" de Nicolas Le Riche fait un flop presque gênant.

Avec Doux mensonges, on revient dans des standards esthétiques plus balisés, et je souscris à ce qui en a été dit plus haut.
On ne peut que louer la distribution - choisie par Kylian soi-même, dit-on -, structurée autour de 4 personnalités fortes, charismatiques, musicales.
C'est l'occasion pour Stéphane Bullion d'explorer un côté carnassier de sa personnalité artistique, qui affleurait déjà dans Caligula.
De très belles scènes, marquantes, voire d'une violence limite perturbante (la scène sur le son d'un molosse enragé - comme quoi, il suffit de peu pour suggérer et ébranler, mais je ne veux pas spoiler).
Visuellement plaisant. Le voile qui se déploie au fur et à mesure m'a rappelé - en plus vieillot et plus matériellement pauvre - la scénographie créée par Jean-Marc Puissant pour Aeternum, la création de Wheeldon en février dernier à Covent Garden. Le lien de parenté entre les deux dispositifs me semble clair.
Dernier petit mot pour les chanteurs, tout de même, qui, non contents de porter toute la pièce de leurs litanies a capella, doivent également subir, hommes et femmes, de porter des voilettes et jupes longues violettes. Pas très charitable de la part du costumier, Joke Visser : les voilettes s'avèrent évidemment bien plus seyantes quand elles habillent Bullion et Chaillet Wink


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Marie-Ange



Inscrit le: 12 Déc 2010
Messages: 335
Localisation: Paris

MessagePosté le: Mar Nov 05, 2013 9:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Superbe soirée! Ok, ça ne plaît visiblement pas au public Opéra, mais je me souviens des sifflets de premières qui ont changé depuis, alors peut-être un jour?... Je mettrais un bémol au Trisha Brown, avec cette saison des danseuses un peu jeunes en maturité comparativement au vu il y a quelques années.


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Hermione



Inscrit le: 28 Mar 2012
Messages: 36

MessagePosté le: Mar Nov 05, 2013 10:01 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour tout dire j'ai été un peu étonnée par les réactions (quasi) unanimes très négatives pour le Teshigawara. J'ai assisté à la première, et si je n'ai pas été transportée, j'ai néanmoins trouvé le travail intéressant et certains passages beaux. Après, on va me dire qu'on ne va pas voir un ballet parce qu'il est "intéressant", certes... Je suis d'accord en revanche : il y a un côté parfois brouillon et inachevé de la chose - pour le coup, on "voit" le travail alors que si j'ai bien compris, on ne devrait pas, justement -, et la prestation d'Aurélie Dupont m'a laissée froide. Un peu de déjà vu aussi. Mais de là à zapper la première partie... On peut voir une fois pour se faire un avis Wink


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