Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant |
Auteur |
Message |
Stefania
Inscrit le: 15 Fév 2015 Messages: 106
|
Posté le: Dim Nov 20, 2016 11:22 pm Sujet du message: |
|
|
Je viens faire un commentaire tardif sur la retransmission d’Anastasia du 2 novembre. Sur le fond, je n’ai rien à ajouter à la critique de Paco dans la rubrique sur le Royal Ballet. Malheureusement, le terme de « pensum » résume bien mon impression des deux premiers actes. Peut-être la compagnie pourrait-elle ne garder à son répertoire que le dernier acte dont je comprends qu’il a de toute façon été créé indépendamment !
J’avais juste envie de partager quelques considérations pratiques. Je n’avais trouvé qu’une salle à Paris pour assurer la projection du ballet en direct. En l’occurrence, je suis allée au Publicis sur les Champs-Elysées alors que j’avais pris l’habitude de me rendre à l’Arlequin. Malgré l’absence de concurrence, la fréquentation était assez faible.
La salle m’a paru un peu moins adaptée dans la mesure où il n’y a pas de hall d’accueil (et pas d’apéro offert !) pour patienter et se détendre avant le spectacle ou pendant les entractes. En contrepartie, le billet est moins cher (18 €) et certains spectateurs n’hésitent pas à apporter un léger pique-nique (vin inclus !). En bonus, un professeur de danse assure une courte introduction à la soirée : j’ai bien apprécié sa présentation de la compagnie, du chorégraphe et du ballet. J’ai découvert à cette occasion que des éléments de la vie de Kenneth MacMillan auraient inspiré le personnage de Billy Elliot ?
Bref, j’ai encore une fois regretté le relatif insuccès de ce programme de projections. Compte tenu du jour et de l’heure, je comprends bien que la fréquentation est nécessairement moins importante que pour le Bolchoï mais je crois aussi que le public potentiel des amateurs de danse est tout de même plus large.
Il me semble que l’Opéra de Paris et UGC n’assurent pas non plus une folle promotion des projections de ballets (ou d’opéra) au cinéma, non ? Cependant, j’ai fini par entendre une annonce (sur Radio Classique ou France Musique ?) plus spécialement consacrée au prochain Lac des Cygnes.
|
|
Revenir en haut |
|
silvia
Inscrit le: 24 Mai 2006 Messages: 198 Localisation: rome
|
|
Revenir en haut |
|
Ritournelle
Inscrit le: 13 Juin 2013 Messages: 577
|
Posté le: Mer Nov 30, 2016 10:53 pm Sujet du message: |
|
|
Après Jérémie Bélingard, c'est au tour d'Aurélie Dupont de raconter sa collaboration cinéma, cette fois sur le film d'animation Ballerina. Elle raconte cette expérience à... Purepeople.
|
|
Revenir en haut |
|
sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
|
|
Revenir en haut |
|
fandorine
Inscrit le: 29 Avr 2012 Messages: 376
|
|
Revenir en haut |
|
haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26517
|
Posté le: Jeu Déc 15, 2016 5:56 pm Sujet du message: |
|
|
Si vous ne l'avez pas vu en 2014, et/ou que vous êtes en manque de sapins de noël et de flocons de neige, il repasse dans les cinémas Pathé Live dimanche 18/12 à 16h00 :
Casse-Noisette
Musique : Piotr Ilitch Tchaïkovski
Chorégraphie : Youri Grigorovitch
Argument : Youri Grigorovitch (d’après E.T.A. Hoffmann et Marius Petipa)
Avec :
Casse-Noisette : Denis Rodkin
Marie / Macha : Anna Nikulina
Drosselmeyer : Andreï Merkuriev
Le Roi Souris : Vitaly Biktimirov
Infos cinémas participants :
http://www.pathelive.com/casse-noisette-2016
Réservation en ligne :
https://www.cinetick.fr/?e=PLcasse-noisette-2016
Bande-annonce :
Extrait vidéo (inédit) :
Rappel : nos critiques d'il y a deux ans
sophia a écrit: |
C'est une expérience étonnante - et ô combien agréable - que de voir le Bolchoï en deux lieux différents et à deux jours d'intervalle - avec une même Katia Novikova se jouant des distances -, tout en sachant que pendant qu'une partie de la compagnie nous joue le traditionnel Casse-noisette de Grigorovitch en direct de Moscou, une autre enchante Monaco dans un répertoire tout neuf pour elle. Au-delà de sa présence médiatique, comment nier la domination écrasante de cette troupe, qui ne semble savoir nous servir que de l'excellence à tous les niveaux?
Il paraît que Casse-noisette, quand ce n'est pas du Noureev, c'est rose, c'est sucré et c'est mièvre. Du moins est-ce un bruit qui court. On n'a pas mené une enquête auprès de tous les Casse-noisette de la planète (épargnez-nous cela!), mais une chose est sûre, celui de Grigorovitch, chorégraphié en 1966 pour le Bolchoï, n'est rien de tout cela. On pourrait même lui reprocher d'être un peu gris, voire de manquer de glamour - question d'époque et de style sans doute. Un rhabillage (pour l'hiver) serait en soi envisageable, mais en réalité, cet aspect s'avère assez secondaire, car comme toujours, l'essentiel est dans la danse, mise ici au premier plan. Grigorovitch a en effet réussi à monter un Casse-noisette entièrement dansé, débarrassé de toute pantomime (et la danse déboule dès le premier tableau chez les Stahlbaum, souvent bien ennuyeux), dont la narration reste pourtant parfaitement lisible.
L'argument, il est vrai, est simple : la petite Macha reçoit de son parrain Drosselmeyer un Casse-noisette. La nuit de Noël, le parrain se transforme en magicien (avec un côté gentiment hoffmanien), qui donne vie à tous les jouets de la chambre de Macha. C'est là que se déroule le fameux épisode de la bataille des Rats, qui verra la transformation miraculeuse du petit Casse-noisette en un beau prince sauveur qui ouvre à Macha les portes d'un pays merveilleux, inauguré par la Valse des Flocons. Si l'on est là clairement dans l'univers du conte, la mise en scène et la danse n'ont rien d'enfantin. L'acte II est une sorte de grand divertissement chorégraphique, partagé équitablement entre une série de danses de caractère exécutées par les poupées animées de Macha (où l'on retrouve une danse espagnole, une danse indienne - et non arabe -, une danse russe, une danse chinoise, une danse française - sur le pas des Mirlitons - et une farandole sur la musique de Mère Gigogne) et un grand pas académique. Le tableau des danses de caractère mise avant tout sur le spectaculaire, parfois presque circassien, de la chorégraphie (il n'y a pas que chez Rudi que les danses sont retorses) plus que sur la magie de l'action. Le Confiturembourg originel est bien loin et l'on peut peut-être le regretter. Le grand pas classique réinstille toutefois de la féerie au travers des évolutions aériennes du corps de ballet et d'un pas de deux superbement chorégraphié, qui prend parfois des allures héroïques (le couple principal, mené par un prince rouge et argent, se retrouve porté en triomphe par le groupe). A la fin, Macha revient à la réalité de sa belle maison et de ses jouets de petite fille.
Ce Casse-noisette avait déjà été diffusé et filmé il y a quelques années avec Nina Kaptsova et Artem Ovcharenko. Je ne l'avais pas vu alors, mais depuis j'ai rattrapé mon retard en visionnant avec délectation la variation de la Fée Dragée dansée par Nina Kaptsova, qui est une pure merveille. J'ai aussi le souvenir, bien plus lointain, d'un film aux couleurs passées avec les mythiques Ekaterina Maximova et Vladimir Vassiliev, dont la diffusion sur Kultura TV a pu donner envie à un petit Rodkin de cinq ans de devenir danseur au Bolchoï.
Cette année, ce sont Anna Nikulina et Denis Rodkin, déjà mis en avant dans La Légende d'amour, qui ont été choisis pour interpréter les rôles principaux (et l'on retrouvera Rodkin en janvier prochain dans Le Lac des cygnes). J'ai déjà eu l'occasion de dire ce que je pense d'Anna Nikulina, que j'ai toujours trouvée en-deçà de toutes ces solistes magnifiques que compte le Bolchoï, et je n'ai pas vraiment changé d'avis sur elle avec cette diffusion. Sa danse manque d'un certain moelleux et son registre expressif reste toujours un peu limité (une mimique pour exprimer la peur, une mimique pour exprimer le contentement). Cela étant dit, il faut reconnaître que son physique et son style, mélange de grâce cristalline et d'énergie sans limites (et "que ça saute!" comme tous les danseurs de cette compagnie du reste...), se prêtent parfaitement aux ballets de Grigorovich. Elle a ce côté juvénile et charmant qui fait d'elle une Macha naturelle, et question technique, si elle n'a pas la musicalité de Nina Kaptsova, notamment dans la variation finale, le rôle ne lui pose aucun problème. Denis Rodkin, avec son physique d'Apollon, s'inscrit de son côté dans la belle tradition de bravoure du Bolchoï, mais il n'en conserve pas moins une élégance princière. Il n'est du reste pas donné à tout le monde de savoir porter avec chic le fameux costume rouge du Prince de Grigorovitch et à cet égard, il faut le dire, Rodkin le porte à merveille. Son apparition à l'acte I est un moment rare de saisissement, un miracle à proprement parler, pour Macha comme pour nous. Le jeune espoir brille par sa danse ample, bondissante, son aisance dans les sauts et ses qualités de partenaire, jamais prises en défaut. Andrei Merkuriev, lui, n'est plus un espoir, mais un interprète confirmé qui ne déçoit jamais, quels que soient les rôles. Avec lui, le personnage de Drosselmeyer se fait dandy, doté d'une séduction inattendue. Avec l'absence d'une partie de la troupe, beaucoup de jeunes danseurs, dont certains encore peu connus, étaient engagés dans le danses de caractère. On a notamment bien apprécié Artur Mkrtchyan (à l'école il n'y a pas si longtemps), particulièrement brillant dans une danse espagnole assez poussive, les Chinois bondissants Svetlana Pavlova et Egor Sharkov, ou encore le petit couple français, Vladislav Kozlov et Margarita Shrainer, accompagné de son charmant mouton à roulettes enrubanné façon Lise et Colas dans La Fille mal gardée. Cela devient une banalité de le dire, mais le corps de ballet, dynamique et élégant, s'est montré tout à fait superlatif dans les très beaux ensembles des Flocons et des Fleurs. |
haydn a écrit: |
Quelques mots sur le Casse-Noisette retransmis cet après-midi en direct du Bolchoï, à Moscou (et non à Monaco, en dépit de la présence, à l'acte II, d'un esquif dont on ne sait s'il est immatriculé à George Town - Îles Caïmans, s'entend).
Toutes les compagnies internationales, nationales, régionales et locales s'étaient donné le mot cette année pour programmer les aventures de Marie et Tonton Drosselmeyer au moment des fêtes de Noël, et il faut bien avouer qu'on frisait un peu l'overdose. Mais avec le Bolchoï, les choses se passent toujours différemment...
Avant Nouréev déjà, Youri Grigorovitch a, pour son Casse-Noisette - créé en 1966 - cherché à éviter le rose et le sucré, et a substantiellement modifié la dramaturgie de l'ouvrage originel de Lev Ivanov. La pantomime est presque entièrement sacrifiée, et tous les rôles sont dansants. La part dévolue aux deux personnages principaux a elle aussi été augmentée et requiert des aptitudes techniques impressionnantes. C'est particulièrement vrai pour Marie (alias Clara), à qui Grigorovitch impose des manèges de grands jetés d'ordinaire réservés aux danseurs de sexe masculin. De manière générale, l'aptitude aux sauts est particulièrement sollicitée des interprètes. Un Casse-Noisette d'adultes, donc, mais qui préserve suffisamment d'enchantement pour rester accessible aux enfants, sans transposer l'affaire dans le rayon "canards vibrants" d'une maison de tolérance.
La scénographie, dont les captations vidéos remontant à l'ère soviétique, laissait le souvenir d'une grisaille uniforme, a été considérablement rafraîchie (sinon refaite entièrement à neuf), et les décors aussi bien que les costumes ont retrouvé un éclat que l'on n'osait espérer.
Ainsi requinqué, ce Casse-Noisette résiste plutôt bien à l'épreuve du temps, et la chorégraphie de Youri Grigorovitch est suffisamment spectaculaire pour ne jamais distiller l'ennui. Seul ratage, la danse espagnole, avec d'étranges sauts de chats qui rappellent davantage les coutumes des provinces du Dniepr que celles du Guadalquivir.
Sur le plan physique, le couple Anna Nikulina (Maria) / Denis Rodkin (le Prince) évoque irrésistiblement la mythique paire Maximova / Vassiliev, au point qu'on se demande si Grigorovitch ne les a pas retenus précisément pour cette raison à l'occasion de cette retransmission cinématographique.
Rodkin est un artiste puissant, capable de déployer une énergie considérable, mais parfaitement maitrisée. Ses manèges sont des modèles du genre, et la comparaison avec son illustre prédécesseur ne lui est pas si défavorable. A ses côtés, Anna Nikulina est une Maria déjà assez femme (là ou l'on attendait plutôt le charme juvénile d'une Evguenia Obraztsova ou d'une Nina Kaptsova), mais finalement très cohérente avec les choix dramatiques de Grigorovitch. Sa technique est excellente, et elle se sort très honorablement de la variation de la Fée Dragée (personnage supprimé, comme à Paris, et dont les numéros ont été transférés à Maria / Clara), certes différente de celle de Rudolf Nouréev, mais au moins aussi redoutable. Seul reproche, un léger retard sur la musique.
Andrei Merkuriev incarnait, lui, Drosselmeyer, parrain ou oncle, c'est selon, de Maria. Merkuriev est un danseur hors normes, qui réserve toujours d'heureuses surprises. Son mime et sa gestuelle sont d'une grande expressivité, et sa forte personnalité en font quasiment le personnage central du ballet. Là aussi, il est en symbiose avec les vues du chorégraphe, qui fait de Drosselmeyer une sorte d'"homme de l'ombre", qui tire les ficelles de l'intrigue depuis les coulisses - en fait, E.T.A. (Ernst Theodor Amadeus, pour les intimes) Hoffmann lui-même.
Dans les danses de caractère, ce sont les couples Anna Rebetskaya / Alexander Voytyuk (danse arabe, devenue indienne dans cette production) et Svetlana Pavlova (quel ballon!) / Yegor Sharkov (danse chinoise) qui se sont montrés les plus convaincants.
Au premier acte, les scènes militaires dignes des guerres en dentelles du XVIIIème siècle sont particulièrement réussies, avec un combat bien réglé mettant aux prises le Roi des Rats (splendide Vitaly Biktimirov) et les soldats de plomb (discipline impeccable, digne du régiment Préobrajensky) commandés par un Casse-Noisette qui ne tardera pas à se muer en prince.
Enfin, sur le plan musical, nos oreilles ont été relativement gâtées, avec un orchestre du Bolchoï des bons jours, dirigé par un habitué des soirées de ballet, Pavel Klinichev, qui a imprimé à ses musiciens l'animation nécessaires (avec notamment des tempi moins alanguis que ceux auxquels nous sommes habitués à Paris, mais ça, c'est une vieille histoire). |
--> http://www.forum-dansomanie.net/forum/viewtopic.php?t=4792&start=1140 |
|
Revenir en haut |
|
ptite.danseuz
Inscrit le: 12 Fév 2006 Messages: 139 Localisation: Allemagne
|
|
Revenir en haut |
|
raph
Inscrit le: 19 Déc 2016 Messages: 5
|
Posté le: Mar Déc 20, 2016 11:47 am Sujet du message: |
|
|
Nous avons été voir Ballerina avec mon épouse.
Le film est mignon, sans plus, selon mon épouse.
Moi, je dois bien dire que je me suis laissé emporter par l'énergie formelle du film, qui m'a amusé, séduit, fait peur, enfin j'y ai pris du plaisir.
C'est un film français, d'un réalisateur français basé à Brest, il faut le soutenir
|
|
Revenir en haut |
|
Ballerina
Inscrit le: 01 Juin 2016 Messages: 1586
|
Posté le: Mar Déc 20, 2016 12:48 pm Sujet du message: |
|
|
J'ai accompagné une amie voir Ballerina. J'ai trouvé le film aussi vulgaire que les extraits me l'avaient fait supposer.
Je crois que je vais cesser de regarder des films inspirés par la danse et m'en tenir aux Chaussons rouges.
|
|
Revenir en haut |
|
sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
|
Posté le: Mar Déc 20, 2016 1:12 pm Sujet du message: |
|
|
On n'a pas fait beaucoup mieux que Les Chaussons rouges dans ce domaine...
Je n'ai vu que la bande-annonce - et n'irai pas plus loin -, mais si je serais en soi tout à fait prête à accepter la naïveté du conte (qui a quand même l'air de confiner à la bêtise ici), je suis très gênée par la profusion d'anachronismes : la musique - pour séduire les jeunes d'aujourd'hui? -, les danseuses éliminées comme dans un jeu de télé-réalité - où a-t-on vu cela? c'est franchement grotesque -, les tenues, qui n'ont rien à voir avec l'époque (la toute fin du XIXe siècle, choix curieux du reste, car pas la plus glorieuse de l'histoire de l'Opéra, mais on n'en a sans doute retenu que la construction du Palais Garnier), sans parler du langage des protagonistes...
Sans faire dans la reconstitution historiciste (quoique, pourquoi pas?), on peut respecter un minimum le passé pour ce qu'il est.
En revanche, les "chorégraphies" semblent techniquement assez bien réalisées.
Dernière édition par sophia le Mar Déc 20, 2016 4:27 pm; édité 2 fois |
|
Revenir en haut |
|
Delly
Inscrit le: 14 Juin 2016 Messages: 603
|
Posté le: Mar Déc 20, 2016 3:15 pm Sujet du message: |
|
|
Pour ma part je ne l'ai pas vu et ne compte pas le faire, mais mes amis qui y sont allés avec leurs enfants (garçons et filles) en sont unanimement sortis ravis, enchantés, les petits comme les grands (à la réserve que c'est quand même pour les jeunes enfants)
A croire qu'il est fait pour les non-connaisseurs de la danse, et après tout pourquoi pas. Il faut bien commencer quelque part. Si je n'avais pas cru qu'il était facile de jouer du piano ou de faire des pirouettes (ou des études) je n'aurais jamais poussé la portes des cours de musique et de danse, ou travaillé à l'école, et c’eût été dommage. On découvre ensuite que c'est difficile... mais qu'il y a bien d'autres bons côtés, et que c'est passionnant, même quand on n'est pas douée !!!
|
|
Revenir en haut |
|
Ballerina
Inscrit le: 01 Juin 2016 Messages: 1586
|
Posté le: Mar Déc 20, 2016 3:39 pm Sujet du message: |
|
|
Comme quoi, il en faut pour tous les goûts. La fille d'un ami (4 ans) a bien aimé l'histoire, mais a trouvé "les personnages moches et la musique n'allait pas".
Dernière édition par Ballerina le Mar Déc 20, 2016 5:24 pm; édité 1 fois |
|
Revenir en haut |
|
fandorine
Inscrit le: 29 Avr 2012 Messages: 376
|
Posté le: Mar Déc 20, 2016 4:31 pm Sujet du message: |
|
|
Dans la catégorie des films dans l'univers de la danse, une rareté éditée en DVD chez René Chateau Vidéo: Un Revenant, film de Christian-Jacque de 1946, avec Louis Jouvet dans le rôle d'un chorégraphe revenant à Lyon, la ville de sa jeunesse, pour renouer avec les fantômes de son passé.
En vedette, pour la danse, l'étoile Ludmila Tcherina, le corps de ballet de l'Opéra de Paris et une chorégraphie originale, dans une veine "mythologique", de Victor Gsovsky avec des costumes de Karinska. Max Bozzoni fait partie des figurants.
Un mélodrame dans le milieu de la haute bourgeoise lyonnaise, plutôt agréable.
Dernière édition par fandorine le Mar Déc 20, 2016 9:40 pm; édité 1 fois |
|
Revenir en haut |
|
haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26517
|
Posté le: Mar Déc 20, 2016 4:58 pm Sujet du message: |
|
|
Vous pouvez le voir aussi tout à fait légalement (le film est tombé dans le domaine public) sur Youtube :
https://youtu.be/zSDUrvZe0lM |
|
Revenir en haut |
|
sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
|
|
Revenir en haut |
|
|