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haydn Site Admin
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Posté le: Ven Juin 13, 2014 11:46 am Sujet du message: |
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Et déjà quelques infos sur la tournée du Ballet National de Norvège :
Citation: |
à propos …
Afin d’ouvrir cette première édition de notre Festival TranscenDanse, nous avons choisi de célébrer le chorégraphe Tchèque Jiří Kylián qui a véritablement révolutionné le monde de la danse. Au programme, un voyage au coeur des sentiments mais aussi à travers l’évolution chorégraphique de Kylián. Les trois oeuvres présentées illustrent plus de 30 ans de création. En premier lieu un lever de rideau sur la splendide Bella Figura (1995), dansée sur les airs de maîtres de la musique ancienne comme Pergolèse et Vivaldi. Puis l’oeuvre la plus récente de « Future Memories », Gods and Dogs (2008), en première française qui explore avec brutalité la frontière étroite entre normalité et folie. Pour clôturer cette soirée, la lyrique Symphonie des Psaumes créée en 1978 basée sur l’éponyme et grandiose oeuvre pour choeurs de Stravinsky et certainement une des créations les plus célèbres de Kylián.
Le Ballet National de Norvège est constitué de 59 danseurs de plus de 20 pays. C’est une des compagnies de ballet les plus éclectiques et intéressantes d’Europe, avec un répertoire allant de Petipa à Paul Lightfoot et Sol León. Elle collabore étroitement avec Kylián depuis plusieurs années et affiche 19 de ses oeuvres à son répertoire. La première production présentée sur la scène principale de l’Opéra d’Oslo inaugurée en 2008, était également une soirée entière signée Kylián. Après avoir été une des danseuses principales de la compagnie pendant de nombreuses années, Ingrid Lorentzen a pris la direction du ballet en 2012. Au programme de la saison 2014/2015, hormis la cinquième soirée Kylián, figurent la première représentation des Revenants d’Ibsen par la chorégraphe norvégienne Cina Espejord et un tout nouveau Carmen de Liam Scarlett.
Ingrid Lorentzen
Directrice du Ballet National de Norvège
« Que personne n’en doute. Il y a une nouvelle femme en ville » écrivait Dagbladet après la première représentation d’Ingrid Lorentzen en tant que directrice du ballet du Norwegian National Ballet à l’automne 2013. Après avoir été une des danseuses principales de la compagnie pendant de longues années, Ingrid Lorentzen a pris la direction du ballet en 2012. Hormis les cinq premières de I Fokines verden en ouverture, le programme de la saison 2014/2015 affiche entre autres la première des Revenants d’Ibsen par la chorégraphe norvégienne Cina Espejord et un tout nouveau Carmen signé Liam Scarlett.
La danseuse Ingrid Lorentzen s’est inscrite avec fermeté dans un répertoire aussi bien classique, avec le rôle d’Odette et Odile dans Le Lac des cygnes que moderne, dans les oeuvres de chorégraphes contemporains comme Jiří Kylián, Jo Strømgren, Sol León ou Paul Lightfoot. Elle a participé à plusieurs productions artistiques indépendantes du Norwegian National Ballet en tant que chorégraphe, danseuse et actrice.
En 2001, Ingrid Lorentzen a reçu le prix norvégien de la critique pour son rôle dans l’oeuvre de Kim Brandstrup Place of Stone. En 2004, Telenor lui a remis son prix « Grenseløs kommunikasjon » pour la culture. Elle a été membre du Conseil culturel norvégien et du Conseil culturel pour la danse, jury pour la bourse Drømmestipendet du Conseil culturel norvégien des écoles et membre du Conseil artistique pour le laboratoire du ballet de l’Opéra d’Oslo. |
Infos : service de presse, PIAS |
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Lun Juin 16, 2014 7:41 pm Sujet du message: |
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Et voilà le programme (sous réserve de modifications) :
Olga Smirnova et Semyon Chudin
Ballet du Théâtre Bolchoï de Moscou
Grand Pas Classique
Musique : Daniel François AUBER
Chor. : Victor GSOVSKY
La Fille du Pharaon
Musique : Cesare PUGNI
Chor. : Marius PETIPA
Lucia Lacarra et Marlon Dino
Ballet de l’Opéra de Munich
La Dame aux Camélias
Musique : Frédéric CHOPIN
Chor. : John NEUMEIER
Oxana Skorik et Timur Askerov
Ballet du Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg
Le Lac des Cygnes (Pas de deux du Cygne Noir)
Musique : Piotr Ilitch TCHAIKOVSKY
Chor. : Marius PETIPA
In the Middle Somewhat Elevated
Musique : Thom WILLEMS
Chor. : William FORSYTHE
Isabella Boylston et James Whiteside
American Ballet Theater
Tchaikovsky Pas de Deux
Musique : Piotr Ilitch TCHAIKOVSKY
Chor. : George BALANCHINE
Création de Pontus LIDBERG pour le Gala
Manuela Navarro et Gian Carlo Perez Alvarez
Ballet National de Cuba
Pas d’Esclave - extrait du Corsaire
Musique : Adolphe ADAM
Chor. : Marius PETIPA
Diane et Actéon
Musique : C. PUGNI et Riccardo DRIGO
Chor. : Agripina VAGANOVA
Erwan Leroux et Aurélien Houette
Danseurs de l’Opéra de Paris / Incidence Chorégraphique
BLESS – ainsi soit-IL
Musique : Johan-Sebastian BACH
Chor. : Bruno BOUCHE
L'Après-Midi d'un Faune
Musique : Claude DEBUSSY
Chor. : Thierry MALANDAIN
Solo : Aurélien Houette
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Lun Juin 16, 2014 10:54 pm Sujet du message: |
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Comme l'impression qu'Oksana Skorik et Timour Askerov assument là le programme prévu initialement pour Ekaterina Kondaurova et Alexander Sergueiev... Après interrogation et vérification, je me rends compte que ni l'un ni l'autre n'ont In the Middle à leur répertoire.
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26523
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Posté le: Dim Sep 07, 2014 10:04 pm Sujet du message: |
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Pour Bruno Bouché et son groupe, représenté ici par Aurélien Houette et Erwan Leroux, cette participation au Gala des Etoiles du XXIème siècle aura un petit air de consécration, et Incidence Chorégraphique a, pour l'occasion, réalisé un visuel spécial :
Citation: |
« L’APRES-MIDI D’UN FAUNE »
Chorégraphie de Thierry Malanadain
Créé en 1995 à Saint-Etienne, Entrée au répertoire d’Incidence Chorégraphique
Musique : Claude Debussy
Avec : AURELIEN HOUETTE
S’inspirant de Vaslav Nijinski qui créa ce ballet en 1912 sur la musique du Prélude à l'après-midi d'un faune de Claude Debussy, c’est en 1995 à Saint-Etienne que Thierry Malandain régla ce solo pour le danseur IsaÏas Jaurégui.
Repris à Biarritz en 2001 par Christophe Roméro, puis par Roberto Forléo et Mikel Irurzun del Castillo et tout dernièrement par Arnaud Mahouy et Mickaël Conte, ce ballet est également au répertoire de l’Aspen Santa Fe Ballet (USA) et de la compagnie Introdans (Pays-Bas). Il a aussi été interprété par deux étoiles de l’Opéra de Paris, Laurent Hilaire et Benjamin Pech.
Entrée au répertoire d’Incidence Chorégraphique, Aurélien Houette, danseur de l’Opéra de Paris à répéter auprès de Thierry Malandain à Biarritz "l’Après-midi d’un faune" dans la version de Thierry Malandain. Premières représentations, les 12,13 et 14 septembre au Théâtre des Champs-Elysées lors de la 17e édition du Gala International de Danse : Les Etoiles du XXIe siècle. |
Citation: |
« BLESS - ainsi soit IL » extrait 1ére Partie
Chorégraphie de Bruno BOUCHÉ
Créé le 30 juillet 2010 au Suzanne Dellal de Tel Aviv
Présenté à l’Amphithéâtre de l’Opéra Bastille les 19,20 et 21 janvier 2011
Musique : Johann Sebastian BACH/ Ferrucio BUSONI
Chaconne in D minor pour piano
Avec : ERWAN LEROUX et AURELIEN HOUETTE
La Lutte de Jacob avec l'Ange est un épisode complexede la Bible, chapitre 32 de la Génèse, qui a donné lieu à de nombreuses interprétations et débats. « Cette même nuit, il se leva, prit ses deux femmes, ses deux servantes, ses onze enfants et passa le gué du Yabboq. Il les prit et leur fit passer le torrent, et il fit passer aussi tout ce qu'il possédait. Et Jacob resta seul. Et quelqu'un lutta avec lui jusqu'au lever de l'aurore. Voyant qu'il ne le maîtrisait pas, il le frappa à l'emboîture de la hanche, et la hanche de Jacob se démit pendant qu'il luttait avec lui. Il dit : Lâche-moi, car l'aurore est levée, mais Jacob répondit : Je ne te lâcherai pas, que tu ne m'aies béni. Il lui demanda : Quel est ton nom ? - Jacob, répondit-il. Il reprit : On ne t'appellera plus Jacob, mais Israël, car tu as été fort contre Dieu et contre tous les hommes et tu l'as emporté. Jacob fit cette demande : Révèle-moi ton nom, je te prie, mais il répondit : Et pourquoi me demandes-tu mon nom ? et, là même, il le bénit. Jacob donna à cet endroit le nom de Penuel, car, dit-il, j'ai vu Dieu face à face et j'ai eu la vie sauve. Au lever du soleil, il avait passé Penuel et il boitait de la hanche. »
Livre de la Genèse, chapitre 32, 23-32
" La Chaconne est une danse de vie et de mort.(...) C'est le mouvement le plus puissant que Bach ait jamais écrit, comparable à l'architecture d'une cathédrale, chaque variation éclairant la nef avec la lumière filtrant à travers un vitrail différent. En jouant, on a le sentiment de danser avec son ombre. La fin est un autre mystère: au lieu de conclure elle donne à l'interprète toutes les directions possibles."
Hélène Grimaud
" C’est l'oeuvre de Delacroix peinte sur les murailles de l'église Saint-Sulpice qui me regarde plus que je ne la regarde; ça me regarde au creux même de ma nuit. Faut-il voir dans cette lutte une allégorie du combat de l'homme face aux forces qu'ils le dépassent? "
Bruno Bouché |
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Joelle
Inscrit le: 06 Avr 2013 Messages: 882
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Posté le: Lun Sep 08, 2014 10:20 am Sujet du message: |
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Ayant déjà vu "Bless" en avril près de Bordeaux, j'ai trouvé l'oeuvre très impressionnante avec A. Houette et E. Leroux.
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3564
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Posté le: Sam Sep 13, 2014 12:08 am Sujet du message: |
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Pas mal de modifications dans le programme par rapport à celui ci-dessus (fil du 27 août) :
- une pièce de Millepied à la place de la création de Lidberg,
- une pièce de je ne sais plus qui (contemporain) à la place de Diane & Actéon,
- une pièce contemporaine sur une musique de Vivaldi en guise de 2e oeuvre pour le duo Kochetkova-De Luz (l'autre oeuvre étant, comme mentionné par Sophia, un extrait de Rubis)
- le Pas de Deux de Giselle à la place du Pas de Deux de Balanchine (Tchaïkovsky)
- je n'ai pas souvenir que Skorik et Askerov aient joué Forsythe, ils ont bien joué un contemporain mais il me semble que c'était autre chose.
Je n'ai pas acheté le programme, 10 euros c'est vraiment trop cher. Il y a 5 ans, c'était 5 euros, puis c'est passé à 7, puis 8, maintenant 10 sous prétexte d'un beau papier glacé à la place du papier ordinaire. Résultat, les ouvreuses pleines de programmes à vendre ne trouvant pas preneurs...
Soirée très propre et absolument sans éclat, bien fade et tristounette. J'oserai même dire que j'ai pas mal bâillé et me suis fermement ennuyé. Rarement vu ce gala aussi tièdement applaudi, en dehors du défilé final, enlevé avec un certain panache il est vrai.
Le classique réduit à la portion congrue, un enchaînement de pièces contemporaines toutes sur le même ton (méditatives, froides, néo-classiques pour ne pas dire sans inspirations, avec bandes-son interchangeables...).
Quelques belles exceptions : sur le plan chorégraphique, la pièce de Incidences chorégraphiques en jette, de même pour la pièce choisie par Kochetkova et De Luz (sur une musique de Vivaldi).
Sur le plan de la danse, quelques très bons moments (heureusement...) :
- Aurélien Houette, très impressionnant dans le Faune de Malandain, présence magnétique, puissance, maîtrise... Quasiment la "star" de la soirée à l'applaudimètre...
- Kochetkova et De Luz, éblouissants les deux fois où ils se sont produits. Ce dernier est encore étonnamment brillant techniquement et d'une virtuosité de toupie, bien qu'il ne soit désormais plus si jeunot que ça...
- Cygne noir très convaincant de Oxana Skorik (en revanche on l'imagine très mal dans d'autres rôles, ce personnage semble être son ADN...).
Je suis resté sur ma faim concernant Lucia Lacarra : d'une part les deux pièces choisies se prêtent mal à un gala (très difficile de rentrer dans la fin de la Dame aux camélias sans avoir vu les actes précédents, et les 3 Préludes de Stevenson sont gentillettes mais un peu monotones et sans grand intérêt), d'autre part je l'ai trouvée impeccable techniquement mais bien moins investie que d'ordinaire, un peu sage et distante, très propre mais sans plus. Reste une présence indéniable, mais j'ai eu l'impression, en tant que spectateur, qu'on se forçait à ne pas perdre une miette des rares minutes où elle danse à Paris, parce que c'est elle, qu'on applaudit bien fort parce que c'est elle, qu'on se force à trouver ça merveilleux parce que c'est elle, ... Mais très franchement elle nous a autrement séduits et marqué les fois précédentes où elle est venue.
Voilà, le reste ce sont des pièces pseudo-contemporaines soporifiques, une Giselle bien trop sage et sans grande envergure, un Corsaire bien dansé mais dont je n'ai absolument rien reconnu, ni la partition ni la chorégraphie (que quelqu'un m'explique de quoi il s'est agi - version ??-) et qui lui aussi était fort sage - dommage car le tandem qui le dansait ne semble pas manquer de brio par ailleurs-
Décidément, ce Gala annuel n'a plus, depuis plusieurs éditions, le brio qui faisait son intérêt à l'origine.
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26523
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Posté le: Sam Sep 13, 2014 12:34 am Sujet du message: |
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Pour ce qui est du spectacle lui-même, je me ferai une opinion après l'avoir vu. Dommage qu'il y ait des changements jusqu'au dernier moment, mais j'ai l'impression qu'avec les stars internationales, ça devient de plus en plus compliqué de caler des dates. Le prix du programme (10 €) ne me choque pas - ou plutôt ne me choque plus - , c'est devenu la norme presque partout. Après, chacun connait la parabole de la grenouille cuite à l'eau bouillante... |
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paco
Inscrit le: 28 Oct 2005 Messages: 3564
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Posté le: Sam Sep 13, 2014 12:53 am Sujet du message: |
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haydn a écrit: |
Le prix du programme (10 €) ne me choque pas - ou plutôt ne me choque plus - , c'est devenu la norme presque partout. |
C'est vrai à Paris et en province, mais quand je pense qu'au Royal Ballet c'est 6 livres (environ 7 euros) pour quelque chose d'autrement plus épais et documenté...
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Sam Sep 13, 2014 9:46 am Sujet du message: |
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Le programme a été mis à jour sur le site du TCE : http://www.theatrechampselysees.fr/danse/danse/les-etoiles-du-xxie-siecle
Je trouve regrettable ce formatage, lissage et tout ce qu'on veut... qui contraint désormais chaque couple à présenter - en gros - un pas de deux classique et un pas de deux néo-classique, quel que soit le répertoire qu'ils ont en boutique, quel que soit leur talent. C'est ainsi qu'on en arrive à remplacer un Diane et Actéon, où ces Cubains auraient sans doute brillé, par une obscure pièce néo-je ne sais trop quoi qui va ennuyer tout le monde... et ainsi de suite. Tout le monde ne peut pas se permettre cette variété! En revanche, c'est une bonne idée qu'Erwan Le Roux et Aurélien Houette, qui ne sont pas des vedettes de galas classiques, présentent des pièces un peu plus "en marge" dans ce contexte, mais qui leur vont bien.
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Gimi
Inscrit le: 09 Mar 2014 Messages: 1935
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Posté le: Sam Sep 13, 2014 12:09 pm Sujet du message: |
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Pour Paco : Dans le programme diffusé par Sophia le 27 août dernier, elle indiquait "Pas d'Esclave, extrait du Corsaire".
Il s'agit du Pas de Deux des Esclaves au tout début de l'acte I du Corsaire, chorégraphie de Jules Perrot, musique d'Adolphe Adam, intégralement repris par Marius Petipa quand il a transformé ce ballet folklorique français de 1856.
Le Pas de Deux du Corsaire que l'on voit dans de multiples galas est le détricotage par du Pas de Trois du deuxième acte de la version Petipa de 1899, musique de Riccardo Drigo, Pas de Trois entre Conrad (Le Corsaire), Medora et Birbanto, soit la démarche inverse de Rudolf Noureev, transformant le Cygne Noir en un Pas de Trois.
À noter qu'en janvier 1998, lors de la venue du Bolchoï au Palais Garnier, un petit jeune inconnu, Ivan Vassiliev, a "cassé la baraque" dans le petit rôle de l'Esclave .
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Sam Sep 13, 2014 1:38 pm Sujet du message: |
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Le Pas de trois (ou plutôt Pas de deux à trois) du Corsaire est dansé par Médora, Conrad et Ali, son esclave. L'histoire du passage de trois à deux, puis de deux à trois (et encore, cela dépend des versions) est compliquée, il faudrait que je fasse quelques vérifications.
Le Pas d'Esclave (dansé par des anonymes dans la version du Bolchoï, par Gulnare et Lankedem dans celle du Kirov) est un ajout de Petipa. La musique de ce pas a été partiellement composée par le Prince d'Oldenburg.
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