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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26524
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Posté le: Dim Juin 08, 2014 1:00 pm Sujet du message: |
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Bienvenue Danseur en bleu, et merci pour l'info. |
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Danseur en bleu
Inscrit le: 08 Juin 2014 Messages: 53
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26524
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Posté le: Mar Juin 10, 2014 11:02 am Sujet du message: |
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Je viens d'avoir la réponse en ce qui concerne les horaires d'ouverture de l'exposition :
Citation: |
Du lundi au vendredi, de 8h30 à 17h00
Le jeudi jusqu'à 19h30 ; le samedi de 9h à 12h.
Dans les faits, la bibliothèque municipale, située dans la Mairie ferme à 19h et l'on passe par le hall d'accueil pour en ressortir. Donc, on peut normalement visiter jusqu'à 19h. En revanche, les lieux sont fermés les jours fériés. |
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Florestiano
Inscrit le: 28 Mai 2010 Messages: 1802
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Posté le: Mar Juin 10, 2014 11:14 am Sujet du message: |
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De passage à Grenoble, j'ai pu voir, à la bilbiothèque municipale, une exposition de Guy Delahaye consacrée à Pina Bausch. Jusqu'au 21 juin.
Citation: |
Cinq ans après la mort de Pina Bausch, ses artistes font vivre son répertoire. Le Tanztheater (théatre dansé) de Wuppertal célèbre cette année les 40 ans de la Compagnie. Guy Delahaye, photographe du spectacle vivant, admire cette chorégraphe depuis 35 ans. Il a vu et photographié tous ses spectacles, comme en témoignent deux de ses livres.
L’exposition se veut à la fois un hommage à Pina et au travail sensible de Guy Delahaye, reconnu aussi bien en Allemagne qu’en France. |
Citation: |
Bibliothèque Centre ville
10 Rue de la République
38000 Grenoble
Tel : 04 76 54 57 97 |
Source : http://www.bm-grenoble.fr/TPL_CODE/TPL_AGENDA/PAR_TPL_IDENTIFIANT/5049/688-agenda.htm
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Entrechat 4
Inscrit le: 05 Mai 2009 Messages: 176
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Posté le: Mar Juin 10, 2014 5:00 pm Sujet du message: |
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Merci beaucoup !
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26524
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Posté le: Ven Juil 04, 2014 7:56 am Sujet du message: |
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Haendel a écrit: |
voici un lien pour découvrir le travail et la dernière oeuvre de JR Artist qui travaille avec les danseurs de l'ONP en ce moment ...photos démentes!!!
www.jr-art.net
Voir également l'article sur FR3 Haute-Normandie |
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26524
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26524
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26524
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Posté le: Dim Aoû 17, 2014 7:39 pm Sujet du message: |
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Le musée du Palais impérial de Compiègne (Oise), facilement accessible en train depuis Paris, propose, jusqu'au 27 octobre prochain, une exposition consacrée au sculpteur Albert-Ernest Carrier-Belleuse, élève de Rodin, qui - d'où cette intervention - participa à la décoration du Palais Garnier, en réalisant notamment les deux torchères (les dames au flambeau, si vous préférez) qui ornent le bas du grand escalier :
Ouverture : tous les jours de 10h à 18h (dernière admission 17h15).
Fermeture hebdomadaire le mardi
Tarifs : 9,5 €, TR 7,5 €
Gratuit pour les moins de 26 ans, les adhérents des sociétés d’amis des musées nationaux du Palais de Compiègne, et le 1er dimanche de chaque mois pour tous
Accès : depuis Paris, autoroute A1, sortie n° 9 vers Compiègne Sud. Depuis Lille, autoroute A1, sortie n° 10 à Arsy.
Trains au départ de la Gare du Nord à Paris (40 min environ)
renseignements et réservations sur :
www.grandpalais.fr
www.musee-chateau-compiegne.fr
http://fr.wikipedia.org/wiki/Albert-Ernest_Carrier-Belleuse |
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NEOPHYTE
Inscrit le: 25 Sep 2011 Messages: 1002 Localisation: PARIS
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Posté le: Dim Aoû 24, 2014 8:54 pm Sujet du message: |
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L'expo Carpeaux au musée d'Orsay est sympa.
On peut y voir un beau bronze de Charles Garnier qui a partagé les bancs de la petite école avec Carpeaux,
des maquettes de la "Danse" de Carpeaux qui a déchainé les esprits lorsqu'elle a été installée au Palais Garnier et a bien failli être démontée,
et un joli buste d'une danseuse de l'époque, Eugénie Fiocre, qui se serait distinguée en dansant Frantz (?) dans Coppélia....
le buste semble provenir du petit palais:
www.petitpalais.paris.fr/fr/collections/mademoiselle-fiocre
et toujours au musée d'Orsay, mais pas dans l'expo, une reproduction du plafond d'origine de l'Opéra Garnier, celui d'avant Chagall donc.
Le théâtre du Châtelet et le théâtre de la Ville ont été construits pour pouvoir mieux contrôler ce qui se jouait à Paris.[url][/url]
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Dim Aoû 24, 2014 9:40 pm Sujet du message: |
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Citation: |
et un joli buste d'une danseuse de l'époque, Eugénie Fiocre, qui se serait distinguée en dansant Frantz (?) dans Coppélia.... |
Il n'y a pas d'erreur, Eugénie Fiocre, première danseuse à l'Opéra de Paris durant les années 1860-70 (au passage, c'est elle qu'on voit sur un célèbre tableau de Degas représentant une scène de La Source), réputée pour sa beauté, interprétait couramment des rôles "en travesti". Quant au rôle de Frantz, il a longtemps été interprété par une danseuse (à Paris tout au moins), peut-être bien jusque dans les années cinquante.
La figure de la "danseuse en travesti" remonte en fait presque aux débuts du ballet romantique. Les rôles stéréotypés comme les rôles de hussards, de marins, de toréadors dans le corps de ballet pouvaient ainsi être tenus par des femmes. On peut aussi évoquer l'exemple de Thérèse Elssler, qui - paraît-il - était très grande et dansait en travesti aux côtés de sa soeur Fanny.
Les raisons de ce phénomène, spécifiquement parisien je pense, sont multiples : raréfaction des danseurs - et des danseurs de qualité -, ouvertement méprisés dans le ballet français de l'époque qui voue un culte à la seule ballerine, mais aussi délices de l'ambiguïté...
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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sophia
Inscrit le: 03 Jan 2004 Messages: 22087
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Posté le: Jeu Sep 25, 2014 8:29 am Sujet du message: |
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Le livre de Pierre-Elie de Pibrac, In situ. Dans les coulisses de l'Opéra de Paris, signalé par Haydn dans le fil sur les parutions livres, sortira le 9 octobre et donnera également lieu à une exposition, qui se tiendra à la Galerie Clémentine de la Ferronière, 51, rue saint-Louis-en-l'Ile, Paris 4ème, du 10 octobre au 23 novembre.
Exposition In situ
Né à Paris en 1983, Pierre-Elie de Pibrac commence à travailler sur le médium en 2005, avec une série de paysages urbains sur New York. Ses premiers documents photographiques remporteront de nombreux concours, lui permettant de pousser plus loin son travail et d’exposer notamment aux Transphotographiques de Lille (2007), au musée de l’Elysée à Lausanne (2006) et au Grand Palais (2013). Ses deux derniers projets (American Showcase, 2010 et Real Life Super Heroes, 2012) ont été publiés et exposés en France et à l’étranger. Pierre-Elie entretient un rapport très complet à la photographie : de tradition argentique (influencé notamment par le travail de son grand-père Paul de Cordon), il choisit avec soin ses appareils photographiques et adapte sa distance au sujet. Chacun de ses projets revêt un genre particulier – le reportage-document, l’abstraction picturale, la mise en scène plasticienne – poussé à l’extrême dans le choix de l’appareil, du cadrage, de l’éclairage, de la composition, du support d’impression jusqu’à la scénographie. Chaque série, dans sa parfaite cohérence, se met au service de ses émotions, les retranscrivant avec justesse et précision. In situ (du latin, qui signifie littéralement « sur place ») évoque l’immersion du photographe au sein du corps de ballet de l’Opéra de Paris, pendant la saison 2013-2014. Jour après jour, l’artiste partage la vie et l’intimité des danseurs et des différents acteurs de ce lieu mythique. Y naissent trois séries de photographies qui se font écho. In situ I : confidences, regroupe des images noir et blanc en un témoignage unique des émotions captées depuis les coulisses. Utilisant un appareil télémétrique, ayant la qualité de n’émettre aucun bruit à la prise de vue, le photographe se sert d’un objectif fixe de 23 mm l’obligeant à être très proche des danseurs. En résulte ainsi une photographie brute, franche, sans filtre. Envahi par l’énergie qui se dégage des corps des danseurs sur scène, le photographe parvient à transmettre cette force dans la série In situ II : catharsis, en modifiant son appareil et un objectif des années 1950. Ainsi, à travers la lumière dégagée des mouvements, se recréent des formes, plus ou moins abstraites, en couleur, d’une puissance extrême : un cri de douleur, un cygne qui prend son envol… chaque photographie est le dessin de l’empreinte d’un danseur. Enfin dans la dernière série In situ III : analogia, ce sont les murs du palais Garnier qui prennent toute leur puissance. Le photographe utilise une chambre photographique trafiquée pour illustrer la grandeur et la force de ces lieux. Il remet en scène dans une série de 14 tableaux les danseurs au coeur de cette architecture qui influence leur vie, depuis l’école de danse, aux adieux des étoiles. L’ensemble In situ compose avec un sujet mythique, n’ayant jamais été exploré de cette manière : l’intimité entretenue avec le sujet et son environnement, la prise de conscience des forces présentes et l’influence des murs du palais Garnier sur ses danseurs. Enfin, l’originalité technique à laquelle le photographe recourt constamment, nous mène face à une œuvre inédite.
Le projet In situ est distribué par l'agence Vu'.
Exposition du 10 octobre au 23 novembre,
du mardi au samedi de 12h à 20h
Galerie Clémentine de la Féronnière
[deuxième cour]
51, rue saint-Louis-en-l'île, Paris 4
http://www.galerieclementinedelaferonniere.fr/article.php?q=139
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Ritournelle
Inscrit le: 13 Juin 2013 Messages: 577
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Posté le: Lun Oct 27, 2014 6:32 pm Sujet du message: |
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Marie-Claude Pietragalla se produira prochainement au Musée Rodin à l'occasion d'une lecture théâtrale du journal d'Isadora Duncan.
Citation: |
Dans cet hôtel Biron ou Isadora Duncan installa son académie de danse, cette lecture sera comme une lecture-dansée autour du journal de l'artiste au destin insolite qui révolutionna la gestuelle de la danse. -
Avec le comédien Charles Gonzalès et la danseuse Marie-Claude Pietragalla
Mercredi 5 novembre 2014 à 19h |
http://www.musee-rodin.fr/fr/agenda/activite/isadora-duncan
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haydn Site Admin
Inscrit le: 28 Déc 2003 Messages: 26524
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Posté le: Mar Avr 07, 2015 8:48 pm Sujet du message: |
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Du 5 au 7 juin 2012 se tiendra à Limoges la seconde Biennale de la danse organisée par la compagnie Pedro Pauwels.
L'édition 2015 sera dédiée à Jean-Gros Abadie, qui a notamment réalisé des clichés pour Michel Kelemenis et Andrea Sitter
Forte du succès rencontré en mai 2013, la Compagnie Pedro Pauwels organise la deuxième édition de la Biennale de Photographie de la Danse. 3 jours dédiés à la photographie et à la danse, afin de mettre en valeur la complémentarité de ces deux arts et d’inciter les habitants à s’approprier, à déceler le mouvement dansé qui les entoure dans leur quotidien par l’instantané de la photo. Cette manifestation a pour objectifs de rendre accessibles à tous les publics des œuvres d’hier et d’aujourd’hui reconnues internationalement, d’encourager les photographes régionaux à présenter leurs travaux, d’inciter les limousins à faire leurs propres photos de danse et de développer un vaste programme d’actions culturelles autour de la manifestation. Cette année c’est Monsieur Jean-Gros Abadie qui présentera 30 ans de carrière à travers 30 clichés emblématiques de son œuvre. Au niveau régional, c’est Monsieur Christophe Péan qui sera mis à l’honneur. La biennale se déclinera en cinq volets principaux :
> une exposition au Pavillon du Verdurier de Jean-Gros Abadie
> une exposition fragmentée de Christophe Péan chez les commerçants limougeauds
> la mise en valeur de photographies amateurs qui attestent de la présence de la danse dans la vie locale.
> des performances dansées
> des tables-rondes
En ce qui concerne la danse dans la vie limougeaude, malheureusement, il s'agira surtout d'enterrer le Ballet de l'Opéra local, qui vient d'être démantelé suite à restrictions budgétaires... |
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